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SUR TH DEPUIS : 15/02/2015

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c'est le jeu des espions

Comme on est qu'une sale de bande stalkeurs, on créait des jeux exprès pour vous espionner, connaitre tout de votre petite vie, s'insinuer dans vos petits secrets, donc, pour nous aider à vous stalker, parce que vous aimez vous faire stalker, ne mentez pas ! Dans ce jeu, il suffira de faire un collé, du dernier truc que vous avez copié ☆ le ctrl+v. 2765873474

SUR TH DEPUIS : 20/03/2016

≈ DeMaggio (Rafael, Isabella (mère, libre), Cesare (pris), Azaria (décédée))

SUR TH DEPUIS : 26/04/2015

Citation :: http://realitealafrancaise.com/

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SUR TH DEPUIS : 26/04/2015

Citation :: 202450

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SUR TH DEPUIS : 26/04/2015

Citation :: 202450

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SUR TH DEPUIS : 26/03/2016

Citation :: Felix jouait à un jeu dangereux, il le savait. Il marchait sur une glace fine, trop fine, qui menaçait de se briser à chaque instant. Un seul faux mouvement et il se retrouverait plongé tête première dans l’eau froide – et tout serait terminé. Un seul faux pas et il signerait son arrêt de mort. Il était conscient de tout ça, beaucoup trop conscient. Il devait rester dans l’ombre tout en ne disparaissant pas, et redevenir le hunter dynamique qu’il avait si longtemps été sans trop attirer l’attention sur lui – un équilibre difficile à obtenir, surtout considérant son patronyme. Lecter, ça ne laissait personne indifférent. Tout le monde savait qui était les Lecter. Ça pouvait jouer en sa faveur, parfois, quand quelqu’un se montrait trop inquisiteur. Un simple regard, et un ‘j’ai besoin de te rapeller à qui tue parles’ suffisait à éloigner les hunters curieux. Car on savait qui était Carlisle Lecter, et Felix était son fils. Sa réputation n’était pas à faire. Mais malgré ce jeu dangereux, malgré ce risque constant de se faire repérer à un endroit où il n’aurait pas du être, Felix était plus heureux qu’il l’avait été depuis bien longtemps. Pendant des semaines, pendant des mois, il avait été plongé dans une sorte de torpeur. Tout avait commencé avec l’annonce de Bea, qui avait tourné son monde à l’envers. Suivi de son père, mis dans le coma par une bande de mutants un peu trop ambitieuse pour leur propre bien. Son horrible conversation avec Alec, qui l’avait profondément secoué, et la dispararition de ce dernier. Mais il y avait aussi eu cette nuit avec Maiken – qui avait tellement mal commencé, mais qui s’était tellement bien terminée. Felix ne pouvait s’arrêter de penser à ce baiser, et de la main de Maiken dans la sienne, et de comment ils avaient quitté cette ruelle sombre ensemble – vraiment ensemble. Il n’avait plus besoin de cacher son amour pour elle – du moins, pas à lui-même, et maintenant plus à elle – et elle était sienne, enfin. C’était amplement suffisant pour faire sourire à nouveau le jeune Lecter, qui se sentait revivre depuis quelques temps. Même le fait que Bea avait été trahie par Grimes n’était pas parvenu à détruire ce flottement – la solution lui était apparue évidente. Il l’avait promis à sa soeur, après tout, qu’il ne laisserait plus seule. Il ne comptait pas le faire. Pas aujourd’hui, et pas demain. C’était donc une vie double qu’il menait – d’un côté, l’aîné Lecter, fier fils de son père, chassant les mutants la nuit le sourire aux lèvres. Et de l’autre, Felix, le protecteur, qui rendait visite à sa soeur fugitive et qui pouvait enfin embrasser sa bien-aimée tous les jours. Il savait que joindre ces deux vies était impossible – alors il devait vivre les deux.

Isolde était devenue maire – ça avait arraché un rire à Felix quand il avait appris la nouvelle. Isolde avait été sa partenaire pendant longtemps, après tout. La jeune femme était solide, et serait une bonne politicienne, il n’en doutait pas – mais elle supportait les mutants. Et même s’ils avaient été amis, ça n’effaçait pas le nom de famille de Felix, et la réputation qui venait avec. Il avait entendu dire que la jeune femme ferait une enquête approfondie sur le poste de police, qui était reconnu comme corrumpu. Felix savait bien que son boulot était compromis. Qu’il le perdrait, peut-être bien, ou pire. Il avait déjà fait des démarches pour se trouver un avocat – un ami de son père, un certain Callahan. Il devait s’assurer que perdre son job serait le pire qui pourrait lui arriver. Felix était donc au poste ce jour-là, profitant de ce qui était peut-être ses derniers jours de boulot. C’était étrange – il avait été policier pendant tellement longtemps – que pourrait-il faire d’autre ? Peut-être pourrait-il regagner sa place en allant pourparler avec Isolde. Peut-être qu’elle l’écouterait. Plongé dans ses pensées, le jeune homme sursauta en entendant quelqu’un cogner à sa porte. « Ouais ? » dit-il, se massant les tempes. La porte s’ouvrit sur un de ses collègues. « T’as de la visite, Lecter. » Felix fronça des sourcils, et regarda derrière son collègue – il s’attendait à ce que ce soit peut-être Russel, ou même un autorité quelconque pour le questionner. Mais c’était plutôt une tête blonde bien familière qui se trouvait là. Felix ne retint pas son soupir. « Eh merde ». Il jeta à la jeune femme un regard noir. Holgersen. Elle était bien la dernière personne qu’il avait envie de voir. « Tu peux nous laisser ?” »demanda-t’il à son collègue, qui s’éloigna en hochant la tête. Il laissa la blonde entrer dans le petit bureau, soupirant à en fendre l’âme. « Qu’est-ce que tu veux, Holgersen ? Je pensais qu’on s’était tout dit la dernière fois. » Il faisait référence à la ‘conversation’ qu’ils avaient eu après que Felix eut appris pour le don de Bea – disons que ça avait été enflammé. Il n’avait guère envie de discuter avec la blonde, surtout avec tout ce qui lui planait au-dessus de la tête. « J’espère que tu sais que le précieux labo de ta famille est sous enquête » ajouta-t’il avec un sourire arrogant. Il avait eu vent que le journal local enquêtait sur la Holgersen Corporation. Il ne pouvait pas cacher son mépris pour la jeune femme, et la colère qu’il avait ressenti envers elle en apprenant que malgré ses promesses, elle n’avait rien fait pour protéger Beatrix. Que de belles paroles, elle était. Dire qu’ils avaient à une époque été des amis – que Felix avait même poussé la jeune femme à demander sa soeur à sortir. Une autre vie, on aurait dit. Maintenant, Felix ne ressentait que du dégout envers la blonde, et n’avait qu’une seule envie – la foutre en dehors de son bureau avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit. Mais tout de même, il était curieux de savoir ce qu’elle voulait. Si elle voulait une bataille, elle en trouverait une. Felix avait tous les outils pour riposter.

Citation :: https://38.media.tumblr.com/b3a1fff7266bde389ab98156abe64665/tumblr_inline_myf4mbEYpH1r9wp9n.gif

SUR TH DEPUIS : 26/04/2014

Je crois que ma balance n'aime pas me voir dépasser le 56 en fait. VDM les gens

Take this to heart

SUR TH DEPUIS : 15/02/2015

Citation :: Vivre sa vie en solitaire, ç’avait fini par être une habitude profondément incrustée en Cesare ; une habitude qui avait coûté la vie de sa sœur, et des amis d’Isolde qu’il avait sacrifiés pour la sauver elle, probablement : s’il avait appris à s’fier aux autres, y’avait bien des choses dans sa vie qui auraient été différentes, bien des choix qu’il avait été poussé à faire, qu’il n’aurait jamais envisagé en d’autres circonstances. Mais on lui avait bien assez tôt appris qu’ouvrir son cœur, c’était donner l’occasion à ses ennemis d’utiliser toutes les faiblesses nées de son affection : un fait qui avait été prouvé réel, par des ennemis qu’il n’aurait jamais cru avoir à affronter. Son propre camp. Sa destinée de toujours. Ses parents, et tous les membres qui avaient un jour constitué la famille DeMaggio. Et il était un peu aujourd’hui comme Isolde, un idiot incapable de pleinement soupeser ses sentiments, sa rancœur et sa rage pour faire ce qu’il était nécessaire de faire- pourrait-il un jour, franchement, s’résoudre à regarder son père dans les yeux avec la volonté de le tuer ? Aucun fils n’devrait avoir à se poser cette question, irrémédiablement ; et pourtant, y’avait au moins cent bonnes raisons de le faire- à commencer par la possibilité de reprendre le contrôle sur sa vie. Sauver Isolde. Venger Anthea, venger Aria, venger le père de la Saddler. Protéger Clara. Il n’avait même pas besoin de remuer des vieilles rancoeurs pour s’persuader que ça n’pouvait être qu’une bonne chose : un regard vers l’avenir, et Cesare était rappelé par ses responsabilités et ses craintes – Isolde et lui, ils n’auraient aucun avenir véritable, durable et paisible, tant que Rafael et Isabela DeMaggio auraient encore les moyens de les atteindre. Et lui, tout ce qu’il savait de ses parents, c’était l’fait qu’ils étaient bien plus qu’ils n’y paraissaient- les chasseurs en règle générale étaient toujours plus qu’ils n’y paraissaient. Ils n’étaient pas des fanatiques qui répandaient la haine et la rage partout où ils allaient – ouais, leurs motivations étaient faites de ça, mais son père, Kingsley Moren, d’autres, ils étaient tous des êtres infiniment intelligents, pragmatiques et d’excellents stratèges, qu’il était presque impossible de mettre à genoux.

Tuer son père, tuer sa mère, s’débarrasser de sa cousine, faire tout ça en s’prétextant encore et encore que c’était pour le mieux et pour des dizaines de bonnes raisons, c’était irrémédiablement la solution de facilité – le choix évident qu’il pourrait faire, s’il n’avait pas peur de rester ce Cesare porté par les ténèbres, et motivé par sa colère. Mais pour Isolde, avec Isolde, il voulait croire qu’il pouvait au moins être mieux que ça – faire les choses mieux. Mieux comment ? Il n’voulait pas le dire, n’voulait pas quantifier ses inquiétudes ni même les exposer aux yeux de la transmutante, mais il n’savait même pas comment faire. Tout ce qu’il faisait, c’était survivre au jour le jour, sonder, analyser, engranger des informations en espérant y saisir des faiblesses ; mais aucune réponse idéale n’s’était présentée à lui pour l’heure. Alors y’avait sûrement une saveur de perdition dans cette nuit- et advienne que pourra pour les semaines à venir ; peut-être bien qu’il trouverait la réponse parfaite dans ces semaines-là, ou probablement qu’un énième événement imprévu viendrait tout perturber : c’était bien la première fois en vingt-six ans d’existence, que le DeMaggio agissait en s’laissant porter par le courant. Maintenant, il n’voulait que ça- Isolde et lui, leurs caresses, leurs baisers, le miel dans leur voix- l’infime espoir avant des semaines d’inconnu, l’impression qu’ils n’se reverraient peut-être pas, toujours accrochée à son esprit. Car ouais, y’avait une grande différence entre les espoirs et la réalité ; un fait qu’ils avaient tous les deux appris d’manière bien rude – et des semaines, c’était long. Trop long. Assez long pour qu’Isolde se retrouve bel et bien avec trente-douze mille prétendants, alors même qu’il était on n’peut plus évident que lui, de par sa nature, il serait bien incapable d’amasser trente-douze mille amantes. « Je l’savais… » qu’il reconnut, dans un faux grognement de mécontentement, alors qu’un sourire répondait à la réplique suivante, Cesare arquant un sourcil intéressé à ce qu’elle disait ; comment n’pas être intéressé par toutes ces promesses ? Maintenant, il avait encore plus envie que ces semaines s’envolent et qu’ils se retrouvent. « Tu vas m’rendre encore plus impatient avec des phrases comme ça… » reconnut-il d’ailleurs, d’un vague mouvement de pied donnant un coup faiblard dans le mollet d’Isolde- une nuit, ça n’suffirait certainement pas à compenser des semaines à se manquer, de toutes les manières possibles et imaginables. Ils pourraient passer le reste de leur temps à parler, que ça n’compenserait pas les prochaines semaines de vide. Ils pourraient passer la nuit à s’envoyer en l’air que ça n’compenserait pas les semaines de rien du tout. Alors évidemment qu’y’allait avoir des moments où ça n’irait pas dans sa vie – avec sa famille, avec la chasse, et sans Isolde, c’était le calcul mathématique d’un quotidien de merde. L’idée de l’imaginer toute nue à chaque fois l’amusa, d’un rictus enfoui dans les couvertures, qu’Isolde ne remarqua probablement pas. « J’t’imaginerai souvent alors-… au bout d’un moment j’devrai commencer à t’imaginer habillée, et puis pas sexy du tout, parce que sinon les semaines vont être insupportables. » elles le seraient probablement déjà, mais si en plus ils devaient rajouter de la tension sexuelle brûlante à tout ça, ils seraient complètement perdus, et Cesare s’retrouverait à être capable de retourner la ville toute entière pour la retrouver. Et dire qu’ils n’avaient même pas encore commencé à s’quitter, qu’ils parlaient déjà trop de tout ce temps à passer l’un sans l’autre ; « Hm- ça te plait alors… ? J’pensais qu’tu serais du genre à-… trouver ça trop cul-cul. » qu’il reconnut, d’un véritable air perplexe, trop occupé à s’demander si elle avait dit ça sincèrement ou juste dans le feu du moment : ouais, décidément, Isolde ne s’affichait pas le genre de fille romantique à souhait, au premier regard. Au moins, leurs déclarations vibraient toujours de cette honnêteté rassurante, l’appartenance glissant dans les entrailles du chasseur alors qu’il enserrait doucement la main d’Isolde dans la sienne ; qu’ils n’se laissent jamais partir. Un serment qu’il n’aurait aucun problème à faire, mais qui allait à l’opposé de tout ce qui se passerait le lendemain. Au moins, les baisers d’Isolde dans son cou étaient plus délicats que n’importe quelle idée, lui arrachant un vague ricanement, alors qu’il se contorsionnait sans quitter sa position, sa main libre glissant sur le visage de la jeune femme, captant son attention pour venir déposer un baiser sur ses lèvres. « J’vais te rendre ta main maintenant… sinon-… » tout contre ses lippes, il eut un souffle à mi-chemin entre le ricanement et l’ironie, haussant les sourcils pour enfin lâcher ces doigts qu’il avait tant tenus entre les siens.

SUR TH DEPUIS : 26/05/2015

Citation :: http://24.media.tumblr.com/25acdf1fd5da44b7ce8470862c6fc095/tumblr_mflrioPKBt1qajc4eo1_500.gif

(et ce rp... ☆ le ctrl+v. 243543726

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