Sujet: Re: (fst, evie) I am hers, and she is mine Sam 13 Aoû 2016 - 22:26
I am hers, and she is mine
— adrian & evelyn —
I love you without knowing how, or when, or from where. I love you simply, without problems or pride: I love you in this way because I do not know any other way of loving but this, in which there is no I or you, so intimate that your hand upon my chest is my hand, so intimate that when I fall asleep your eyes close.
Son amour pour lui n'avait pas de limites. Plus haut que le ciel, plus haut que les dernières étoiles. Les autres hommes, ils étaient simplement invisibles aux yeux de la brunette. Elle n'avait que son prénom sur les lèvres, imprégnées par tous les baisers qu'il y a déposé. Marquées, aussi. Alors de concrétiser tout cela par un mariage, jamais elle n'aurait pu demander mieux. Il y avait tant de détails à penser, heureusement que la douce Anderson avait tout son temps à y consacrer sinon, elle ne voulait même pas imaginer combien de temps cela prendrait pour avoir cette cérémonie. Adrian semblait deviner ses pensées puisqu'il la coupa dans ses réflexions en la faisant basculer sous lui pour l'embrasser avec passion et tendresse. « On a encore le temps de penser à tout ça. D'abord, on se marie... On se marie, et on prouve au monde entier à quel point on s'aime. » Elle était tellement bien dans ses bras, blottie contre lui et coincée entre les draps et son corps imposant. Elle avait l'impression que rien ne pourrait jamais lui tomber dessus. Qu'il pourrait porter le poids du monde pour elle. Ce qu'elle avait tendance à faire pour lui parfois, quand les horreurs de la guerre l'engloutissait dans un état second, un état de détresse. Elle se faisait bouée de secours et s'accrochait à lui pour ne jamasi le laisser couler. « À ce point-ci, ceux qui en doutent encore sont vraiment aveugles. » Secouée à son tour d'un doux ricanement, elle en profitait pour glisser ses doigts sur la tempe du grand blond par habitude. Car quand il avait les cheveux plus longs, avant l'armée, c'était devenu une marque d'affection si naturelle qu'elle faisait par d'elle. D'eux. Et même à présent qu'il arborait la coiffure d'un militaire, elle ne se laissait pas de cette tendre caresse.
Une preuve d'amour qu'elle avait pour lui parmi des milliers d'autres... alors malgré les craintes du jeune homme, elle savait que son père n'allait pas empêcher leur union. Certes, il était vieux jeu. Il serait furieux de savoir qu'on ne l'avait pas consulté quant à la vie de sa fille mais comme il aimait Evie, le paternel allait finir par trouver raison. Éventuellement. Mais elle se doutait qu'il en ferait voir de toutes les couleurs à Adrian avant. Ne voulant pas inquiéter son nouveau fiancé avec de telles choses, elle se contenta de lui sourire. Bien des gens autour d'eux doutaient de leurs sentiments l'un pour l'autre, notamment leurs parents qui répétaient le même discours sans cesse. Vous êtes encore jeunes, ça ne va pas durer. Le premier amour est rarement le dernier. La sagesse des adultes... sur ce point, ils avaient tout faux et cette bague à son doigt prouvait à quel point. Et la suggestion suivante du grand blond encore plus. Se marier immédiatement, pas dans un an. Se marier avant qu'il ne retourne se battre sur le front. « Et on emmerde royalement le reste du monde. » La caresse dans ses cheveux la faisait frissonner d'une sensation exquise. De cet amour dont elle débordait pour lui. « Le reste du monde peut aller chier, oui. Parce que j'suis à toi, et tu es à moi. » Une évidence qu'elle n'aurait même pas eu besoin de mentionner mais elle ne se lasserait jamais de lui répéter à quel point il n'y avait que lui. Et il n'y aurait toujours que lui. Lui pour occuper ses pensées, pour réchauffer ses draps dans leur Alaska glaciale. Quand il était là, le blizzard dehors ne lui semblait plus aussi froid. Rien n'allait pouvoir changer cela à présent. Ils étaient liés plus que jamais et ils n'étaient même pas encore mariés. « Si je le pouvais, je ferais tout pour que la cérémonie soit demain. Mais j'imagine qu'avant ton départ ça fera l'affaire. » Un nouveau sourire illumina ses traits fins alors qu'elle enroulait ses maigres bras autour de ses épaules. Pour les enfermer dans un autre monde, loin des jours d'hiver et de l'opinion de leurs parents. Son front trouva le sien doucement et elle ferma les yeux. Cet instant était parfait. Plus parfait que dans ses rêves les plus fous. Ils allaient se marier. Elle et Adrian, à la vie et à la mort.
Invité
Invité
Sujet: Re: (fst, evie) I am hers, and she is mine Jeu 18 Aoû 2016 - 22:49
I am hers, and she is mine
BLACKWOODS - 10 YEARS AGO. THERE IS NOTHING ON EARTH MORE BEAUTIFUL TO ME THAN YOUR SMILE...NO SOUND SWEETER THAN YOUR LAUGHTER...NO PLEASURE GREATER THAN HOLDING YOU IN MY ARMS. I REALIZED TODAY THAT I COULD NEVER LIVE WITHOUT YOU, STUBBORN LITTLE HELLION THAT YOU ARE. IN THIS LIFE AND THE NEXT, YOU’RE MY ONLY HOPE OF HAPPINESS. TELL ME, DEAREST LOVE...HOW CAN YOU HAVE REACHED SO FAR INSIDE MY HEART?
Ce mariage un peu précipité ne plairait sans doute pas à tout le monde, mais Adrian s'en moquait complètement. Tout ce qui lui importait c'était l'avis de la principale intéressée, et puisque Evie voulait comme lui se marier au plus vite, alors personne n'avait son mot à dire. Cela faisait déjà presque dix ans qu'ils se fréquentaient, autrement dit plus longtemps que la plupart des couple qu'ils côtoyaient. Certes, ils étaient jeunes, mais et alors ? Lui risquait de mourir à chaque fois qu'il quittait le pays, et si cela devait arriver il voulait avoir passé la bague au doigt d'Evie avant. Loin de lui l'envie de faire d'elle une veuve, mais comme l'amoureux jaloux et égoïste qu'il savait si bien être, Adrian voulait que le monde entier sache qu'ils appartenaient l'un à l'autre. Elle et lui étaient ce qu'on appelait des âmes-sœurs. Le genre d'êtres qui n'étaient rien l'un sans l'autre. Adrian aurait été incapable de vivre sans Evie, depuis qu'ils étaient petits il gravitait autour d'elle, toute son existence était centrée sur la jeune femme ; elle était sa moitié, son soleil, son tout. Quiconque ne le voyait pas était simplement aveugle et stupide. « Je suis là pour trois mois. C'est pas énorme, mais ça nous laissera quand même le temps d'organiser quelque chose... Amelia est déjà impatiente de t'emmener faire les boutiques de mariage. Depuis que je lui ai dit que je voulais te demander ta main, elle ne parle que de ça. » Il y en avait au moins une que leur union emballait. Amelia les avait toujours soutenus, elle n'avait jamais douté de l'amour qu'ils se portaient et son jumeau était rassuré de savoir qu'Evie pouvait compter sur elle lorsqu'il était loin. Ça ne rendait pas la distance qui les séparait plus supportable, mais au moins Evie n'était pas seule, elle. « Et tu sais quoi ? Je pense qu'on pourrait songer à déménager, quitter enfin nos parents... Sans pour autant aller bien loin, hein. J'ai vu pas mal d'annonces pour des chalets à louer, en banlieue mais pas à des kilomètres du centre ville non plus. Je dis pas que c'est urgent, mais on pourrait peut-être... Commencer à y penser ? » Quitter le domicile parental, c'était toujours une étape importante dans la vie de jeunes adultes, et si Adrian ne voulait pas précipiter les choses, il ne se voyait pas non plus marié et encore chez ses parents. D'autant plus qu'il commençait à en avoir bien assez d'avoir son père sur le dos, et des querelles qui opposaient sans cesse Cecily et Nathaniel. Lui et leur mère subissaient les humeurs du reste de la famille et il en avait plus qu'assez. Il rêvait d'un petit nid douillet à partager Evie, un chez-eux où ils seraient libres de vivre comme ils l'entendaient. Et dans l'idéal, ils n'auraient pas à attendre qu'il ait terminé son service. Cependant, il pourrait comprendre qu'Evie refuse ; elle n'avait peut-être pas envie de vivre seule quand il n'était pas là. « Rien ne nous y oblige, c'est juste... J'y pense depuis un petit moment. Tu pourrais avoir un studio photo,on pourrait même prendre un ou deux... ou trois... de tes chiens... Et tu serais libre de laisser libre cours à tes talents de décoratrice d'intérieur. T'en penses quoi ? »
Invité
Invité
Sujet: Re: (fst, evie) I am hers, and she is mine Mer 14 Sep 2016 - 17:28
I am hers, and she is mine
— adrian & evelyn —
I love you without knowing how, or when, or from where. I love you simply, without problems or pride: I love you in this way because I do not know any other way of loving but this, in which there is no I or you, so intimate that your hand upon my chest is my hand, so intimate that when I fall asleep your eyes close.
La suggestion de partir vivre ensemble fit sourire la jeune fille. Elle rêvait tant d'avoir un petit foyer rien qu'à elle et Adrian. Pour le moment, elle restait avec ses parents pour ne pas avoir à se retrouver toute seule la plupart du temps dans un appartement vide. « J'y pensais aussi. Partir, être que tous les deux. Amelia ne t'en a sûrement pas parlé mais on s'amusait à faire des plans pour cet été. » Avec Amelia, elles s'emballaient souvent. Elles partaient dans des illusions et des rêves éveillés qui n'en finissaient plus. Ça faisait des années qu'elles étaient comme ça. Rêvant du prince charmant, rêvant de leurs boulots idéaux. Pour Evie, son avenir parfait était clair. Son prince parfait... c'était Adrian. Ce grand blond qui lui faisait tourner la tête depuis qu'elle savait à peine compter. La petite fille inconsciente que l'amour l'avait frappé de plein fouet dès ce jeune âge. Elle se voyait, plus vieille, avec une grande famille, Adrian à ses côtés et grande photographe recconue partout dans le monde. Elle en parlait souvent avec Amelia et le fait que son tendre Adrian fasse la suggestion la faisait sourire doucement. Il n'avait aucune idée à quel point elle était d'accord. « On pensait aller visiter une ville. Au Kentucky... Radcliff je crois. Elle a peut-être trouvé un travail là-bas et peut-être qu'on pourrait la suivre. Je sais pas. » Elle se blottit un peu plus contre lui, si heureuse de marier cet homme. Si heureuse que dans quelques temps, ils allaient officiellement passer tout le reste de leur vie ensemble. Cela avait toujours été une évidence pour elle mais maintenant, ce serait réel. Union scellée par un anneau à son doigt. Quand elle allait voir le petit bout d'argent à l'annuaire du jeune homme, ce serait la preuve qu'il l'aimait. Sans dire les mots, ce simple éclat en disait plus que de longues déclarations. Elle se retenait bien de ne pa se lancer dans un monologue passionné pour lui faire savoir à quel point elle était folle de lui. « Et on pourrait y fonder une famille. » Éventuellement. Sourire charmeur sur les lèvres, la jeune femme se glissa doucement contre le corps d'Adrian et se mit à l'embrasser partout. Ses lèvres passant de sa mâchoire jusqu'à ses lèvres qu'elle effleura à peine. Elle l'aimait tellement qu'elle n'arrivait pas à croire à quel point elle était chanceuse de l'avoir trouver. Elle avait tant d'amies qui avait rencontré des hommes horribles... Evie n'y croyait pas d'avoir trouvé l'homme idéal. Le prince charmant tout droit sorti d'un conte de fées. Et ce prince charmant, n'appartenait qu'à elle. Il serait son mari à elle. Evelyn Anderson qui allait devenir Evelyn Blackwood. C'était impossible de pouvoir l'aimer plus et pourtant dès qu'il ouvrait les lèvres, elle sombrait encore plus dans sa folie amoureuse.
Invité
Invité
Sujet: Re: (fst, evie) I am hers, and she is mine Dim 25 Sep 2016 - 17:17
I am hers, and she is mine
BLACKWOODS - 10 YEARS AGO. THERE IS NOTHING ON EARTH MORE BEAUTIFUL TO ME THAN YOUR SMILE...NO SOUND SWEETER THAN YOUR LAUGHTER...NO PLEASURE GREATER THAN HOLDING YOU IN MY ARMS. I REALIZED TODAY THAT I COULD NEVER LIVE WITHOUT YOU, STUBBORN LITTLE HELLION THAT YOU ARE. IN THIS LIFE AND THE NEXT, YOU’RE MY ONLY HOPE OF HAPPINESS. TELL ME, DEAREST LOVE...HOW CAN YOU HAVE REACHED SO FAR INSIDE MY HEART?
Adrian et Evie étaient arrivés à cet âge où ils en avaient assez d'être dans les pattes de leurs parents. Quand Adrian rentrait de mission, il ne voulait plus rentrer chez eux, il voulait rentrer chez lui. Un chez lui qu'il partagerait naturellement avec Evie, comme il en rêvait depuis qu'ils étaient adolescents. Alors en fin de compte, ça ne l'étonnait qu'à moitié d'entendre Evie lui dire qu'elle et Amelia avaient fait quelques plans sur la comète. En revanche, la destination à laquelle elles avaient songé le laissait quelque peu... perplexe. « Le Kentucky... ? » Adrian se tortilla un peu pour lancer un regard surpris à Evie. « Je pensais que vous étiez plutôt du genre à rêver de New-York, San Francisco, Los Angeles... Enfin tu vois, quoi. » Toutes ces villes qui faisaient rêver les jeunes. C'était loin, et différent de leur Alaska natale. Radcliff, ça ne lui disait absolument rien, ça devait être une ville du genre de White Mountain, où il ne se passait pas grand chose. « Je crois qu'elle m'a parlé de ce boulot... Ce serait pour un stage dans un cabinet d'avocats, c'est ça ? » Amelia lui en avait parlé quand ils s'étaient retrouvés, mais Adrian avait été trop nerveux pour réellement prêter attention à ce que sa sœur lui disait. Il se rattraperait plus tard, c'était promis. Pour le moment, la seule personne qui comptait à ses yeux, c'était Evie. Il la serra davantage contre lui, et déposa un baiser sur son front. « On ira où tu voudras. Tant qu'on est ensemble, le reste importe peu. » Evie aurait pu lui proposer de déménager sur la lune qu'il n'aurait pas remis l'idée en question, du moment qu'il était avec elle, il se moquait du reste. L'Alaska, le Kentucky... C'était du pareil au même pour le jeune soldat. Il ne rentrait que pour retrouver Evie. Elle voulait fonder une famille, il l'avait toujours su, et n'avait pas du tout l'intention d'aller à l'encontre de ses souhaits. Cependant, il y avait quelque chose à ce sujet qui le dérangeait... « Promis, on fera une ribambelle d'enfants dès que je serai libéré de mes obligations de militaire. » Adrian n'avait pas envie de faire partie de tous ces soldats qui manquaient les naissances de leurs enfants, et qui devaient laisser seules leurs femmes enceintes. Même sans ça, c'était déjà bien assez difficile de laisser Evie derrière lui, alors il n'osait pas imaginer ce que ce serait s'il devait la laisser derrière lui enceinte, ou même s'il était à l'autre bout du monde quand elle mettait au monde leur enfant. Mais pour le moment, il n'était pas question de séparation, et ce ne serait pas le cas avant plusieurs semaines. Alors quand Evie vint l'embrasser, il l'enlaça étroitement contre lui et lui rendit son baiser sans retenue. Il n'y avait plus qu'elle, plus qu'eux, et le reste du monde devrait attendre qu'ils soient décidés à se lâcher.
Invité
Invité
Sujet: Re: (fst, evie) I am hers, and she is mine Mar 18 Oct 2016 - 20:45
I am hers, and she is mine
— adrian & evelyn —
I love you without knowing how, or when, or from where. I love you simply, without problems or pride: I love you in this way because I do not know any other way of loving but this, in which there is no I or you, so intimate that your hand upon my chest is my hand, so intimate that when I fall asleep your eyes close.
La jeune femme ignorait à quel point Radcliff allait changer sa vie. Pour le moment, ainsi blottie dans les bras d'Adrian à imaginer l'avenir, tout ce qu'elle pouvait penser c'était à quel point elle désirait être avec lui en permanence. Que ce soit au Kentucky ou dans le froid de leur Alaska, elle s'en fichait. C'était vrai que l'inconnu que Radcliff l'attirait. L'aspect de nouvelle vie, de nouveau départ. Et partir juste après s'être marié, c'était encore plus attrayant. Lentement, elle quittait l'enfance pour se faire sa propre vie. La surprise de son prince n'était pas sans fondement mais comme Evie comptait suivre Amelia peu importe où elle irait, au final, il devait probablement s'y attendre. Puis, comme il le disait, c'était bien pour un stage, la mutante se contenta d'hocher de la tête pour confirmer. Bien souvent, elle n'avait pas besoin de dire un mot pour qu'Adrian comprenne. Il arrivait à lire en elle comme dans un livre ouvert, tout comme l'inverse était vrai. « On ira où tu voudras. Tant qu'on est ensemble, le reste importe peu. » Son sourire s'agrandit sur les lèvres d'Evie. Les mots doux d'Adrian arrivaient toujours à la faire tomber plus sous son charme. Chaque fois qu'elle le retrouvait, elle réalisait à quel point il était l'homme le plus beau, le plus parfait sur cette planète entière. Chaque fois qu'il la complimentait et lui répétait qu'il l'aimait, c'était comme la première fois et elle ne pouvait s'empêcher de rougir comme une simple adolescente. « Promis, on fera une ribambelle d'enfants dès que je serai libéré de mes obligations de militaire. » Elle ne s'imaginait pas ce que cela pouvait signifier pour Adrian. Evie, elle pensait à des enfants surtout pour combler l'absence de l'être aimé. Elle n'avait jamais imaginé qu'Adrian ne veuille pas immédiatement des enfants. Elle avait oublié le risque qu'il soit absent à la naissance et elle ne pouvait pas lui en vouloir d'être plutôt réticent pour le moment. Le baiser qu'ils s'échangèrent fut long car même l'éternité n'aurait pas suffit à la brune pour consumer tout l'amour qu'elle avait à lui donner. Elle l'embrassait avec passion, encouragée par ses bras imposants qui la serrait étroitement. Finalement, elle sépara ses lèvres des siennes avec regret, collant son front au sien et refusant d'éloigner son visage du sien. « J'ai hâte que tu en sois libéré alors. Mais je vais attendre. Toute la vie s'il le faut. » Evie voulait des enfants... mais elle voulait des enfants avec Adrian. Elle ne pouvait pas imaginer sa vie et son avenir autrement. Elle ferait absolument tout pour lui. Il pouvait lui demander ce qu'il désirait et elle ne se voyait pas lui dire non. Puis de toute façon, Adrian n'était pas très difficile. Bien souvent, c'était lui qui se pliait en quatre pour elle. À endurer quand elle brisait des verres par accident à cause de son don. Ou endurer les plans de merde qu'elle faisait sur la comète avec Amelia. Une des nombreuses raisons pour laquelle elle ne pouvait se passer de lui. Son souffle se mélangeant au sien, elle ajouta dans un murmure délicat. « Je t'aime tellement. »
Invité
Invité
Sujet: Re: (fst, evie) I am hers, and she is mine Lun 21 Nov 2016 - 20:17
I am hers, and she is mine
BLACKWOODS - 10 YEARS AGO. THERE IS NOTHING ON EARTH MORE BEAUTIFUL TO ME THAN YOUR SMILE...NO SOUND SWEETER THAN YOUR LAUGHTER...NO PLEASURE GREATER THAN HOLDING YOU IN MY ARMS. I REALIZED TODAY THAT I COULD NEVER LIVE WITHOUT YOU, STUBBORN LITTLE HELLION THAT YOU ARE. IN THIS LIFE AND THE NEXT, YOU’RE MY ONLY HOPE OF HAPPINESS. TELL ME, DEAREST LOVE...HOW CAN YOU HAVE REACHED SO FAR INSIDE MY HEART?
Adrian sait qu'entre Evie et lui, ce sera le classique jusqu'à ce que la mort nous sépare. Et s'il y avait bien un au-delà, ils se retrouveraient, ils se retrouveraient toujours. Il se foutait bien de ce que le reste du monde pouvait penser d'eux, de leur couple. Il ne comprenait pas comment on pouvait douter d'eux alors que cela faisait déjà dix ans qu'ils s'aimaient comme des dingues. Certes, ils étaient jeunes... Mais où était le problème ? On ne lui avait pas dit qu'il était trop jeune lorsqu'il s'était engagé dans l'armée, on ne lui avait pas dit qu'il n'était pas assez mature lorsqu'on l'avait envoyé combattre en Afghanistan. S'il était suffisamment vieux pour faire ces choses potentiellement mortelles, il l'était assez pour épouser la femme qu'il aimait. Et de toute façon, Evie était la seule à avoir son mot à dire dans l'histoire. Puisqu'elle avait accepté de devenir sa femme, ils se marieraient et ceux qui n'étaient pas d'accord avec leur union n'avaient pas à venir à leur mariage, ils ne même pas invités – peu importe qui ils étaient. Faire d'Evie une femme de militaire, ce n'était pas ce qu'il voulait, mais cela ne durerait pas éternellement. Dès qu'il en aurait terminé avec son service, il claquerait la porte de l'armée et tant pis si cela ne convenait pas à son père. Ce dernier en avait suffisamment fait, se mêler de sa vie privée était une chose qu'il ne le laisserait pas faire. « Je ne veux pas que tu aies à avoir à m'attendre à vie, Evie... Je ne veux pas que tu passes la plupart de ta vie de femme mariée sans moi. Alors dès que j'en ai terminé avec les années que je dois à ce foutu pays, je serai tout à toi. » C'était une promesse qu'il lui faisait, et une promesse qu'il tiendrait coûte que coûte. Mourir au combat ? Il n'y pensait même pas, ce n'était pas une option qu'il voulait seulement envisager. Ce serait abandonner Evie, et rien que pour ça il mériterait de passer l'éternité en enfer. Être loin d'elle pendant des semaines était déjà un calvaire, et Adrian savait qu c'était aussi difficile pour elle que pour lui. Il avait hâte, terriblement hâte, d'être enfin libéré de ses chaînes. Toute sa vie, il en voudrait à son père de l'avoir forcé à intégrer l'armée à cause d'une stupide tradition familiale. Ce n'était pas parce que quelque chose était traditionnel que c'était une bonne chose. Quand il serait père à son tour, il ne l'imposerait pas à son fils – s'il en avait un jour un. Il serait libre de faire ce qu'il voudrait de sa vie parce que justement, ce serait sa vie. Sa main glissa sur la joue d'Evie quand elle lui répéta combien elle l'aimait. Cette fois-ci il ne répondit pas, il se contenta de déposer un baiser sur son front. Il n'avait pas besoin de le lui redire. Tout dans son attitude lui démontrait qu'il aurait fait n'importe quoi, absolument n'importe quoi, pour elle.
Accueil 
Sujet: Re: (fst, evie) I am hers, and she is mine 
Sam 13 Aoû 2016 - 22:26
