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 ☆ le ctrl+v.

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MessageSujet: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 3 Oct 2015 - 15:20

le ctrl+v
c'est le jeu des espions
Comme on est qu'une sale de bande stalkeurs, on créait des jeux exprès pour vous espionner, connaitre tout de votre petite vie, s'insinuer dans vos petits secrets, donc, pour nous aider à vous stalker, parce que vous aimez vous faire stalker, ne mentez pas ! Dans ce jeu, il suffira de faire un collé, du dernier truc que vous avez copié ☆ le ctrl+v. 2765873474

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 3 Oct 2015 - 22:12

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Faith Cunningham
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 3 Oct 2015 - 22:33

Los hijos bastardos de la globalizacion
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Alec Lynch
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 3 Oct 2015 - 22:33

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 1:14

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 1:15

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 6:22

121518
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 11:31

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Artur Kovalainen
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 13:18

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 13:47

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Alec Lynch
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 13:48

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 15:30

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 15:32

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Faith Cunningham
Faith Cunningham

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 18:14

122175
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Cesare DeMaggio
Cesare DeMaggio

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 4 Oct 2015 - 18:35

Citation :
Dans l’océan de son errance, Skylar avait souvent été une île au calme. Le point d’ancrage, le repère ; l’amitié qui lui avait permis de savoir qu’il avait été humain avant tout. Humain avant d’être le bras armé de sa famille, la machine de guerre construite par les années d’entrainement de son père. Skylar avait été la seule, pendant longtemps, à lui faire sentir ça – lui permettre de savoir qu’il était Cesare et non pas uniquement un DeMaggio. Et puis y’avait eu Isolde ; les rares signes d’un attachement vers l’extérieur, de la part du loup solitaire et esseulé qu’il avait si souvent été. Ni fêtard, ni avenant, ni loquace, ni tape à l’œil : simplement une ombre qui avait si souvent erré dans le dos des autres, dévisageant certains de ceux qui gravitaient dans sa vie en se demandant s’ils seraient les prochaines victimes nommées par son paternel. Le devoir familial avait tout le reste ; cet ordre était devenu une mélopée, la ligne de conduite à laquelle il s’était si bien acclimaté – victime bienheureuse d’attirer l’attention (et quelques éclats de fierté dans le regard) de son géniteur. Avec cette nouvelle Skylar – cette Faith – pourraient-ils être ce qu’ils avaient été autrefois ? Devaient-ils forcément retourner là-bas, dans le chaos de leur jadis ? Ils le fuyaient ardemment tous les deux, à vrai dire, alors à quoi bon prétendre ? Il n’était plus qu’un DeMaggio par le nom, et cette épée de Damoclès, menace sur sa vie qui planait dans l’ombre, à chacun de ses mouvements : un geste de travers, un instant d’inattention, et les quelques petites bribes d’existence qu’il avait encore pouvaient s’effondrer. Comme ça, sans crier gare. L’égarement qui le saisissait avec Skylar était sans doute un énième acte coupable ; c’était pourtant la chance inespérée, la chance oubliée depuis bien longtemps, déjà. Il avait appris à éviter la tombe de Skylar tout autant que leurs souvenirs ensemble : ç’avait été sa façon de faire face. Lancer un regard haineux à la pierre tombale, lui tourner le dos et n’jamais plus oser y retourner – la fuite en avant d’un Cesare qui en payait aujourd’hui les conséquences. S’il avait affronté ses parents plutôt que de fuir, Aria n’aurait jamais vécu ce qu’elle avait vécu – n’est-ce pas ? Il n’savait plus – parfois, le chasseur portait le sentiment nouveau d’avoir trop foi en une humanité qui ne le méritait certainement pas. Pas ses parents, en tout cas. Ils les tueraient, aussitôt qu’ils en auraient l’occasion ; Aria et lui, sans même ressasser ces souvenirs qui revenaient si souvent le pourchasser, lui. L’odeur de Faith n’était pas la même que ce qu’il avait gardé de son amie d’enfance, il y avait pourtant quelque chose de familier, à la sentir blottie contre lui. Ils n’avaient été que des gosses, en cet autre temps aux arômes poussiéreux, où ils avaient agi de la sorte l’un avec l’autre : l’ultime accolade qu’ils s’étaient échangée, sans même se rendre compte que tout allait basculer. Et que des années allaient passer, avant qu’ils ne se revoient. Et qu’ils seraient différents, infiniment différents. Y’avait rien d’autre à faire, rien d’autre à faire que d’être désolé : pour le temps qui avait couru dans l’inconscience la plus totale. Pour n’pas avoir vu, n’pas avoir su. Pour avoir fui.

Les vides se combleront d’eux-mêmes ; sans doute. Il se retrouvait déjà à esquisser un sourire, mi-amusé, mi-nostalgique aux paroles de sa vis-à-vis. Ouais, il n’aurait jamais pu savoir qu’elle était vivante ; pas alors que sa propre famille en avait été convaincue, et s’en était complètement foutue. Pas alors que les DeMaggio et les Cunningham laissaient le confort d’une distance glaciale s’infiltrer entre eux. Pas alors qu’une poignée de mois plus tard, il découvrait sa dégénérescence à lui, et s’enfermait peu à peu dans l’abandon. Y’aurait pourtant eu quelque chose à faire ; mieux que d’se retourner vers l’avenir. Mieux que de tenter d’y survivre, sans plus. Mieux que de la laisser pourrir six pieds sous terre – ou même dans cette vie désastreuse qu’elle avait connue. Pourquoi ils en étaient là, à la fin ? La question bordait leurs lèvres, mais leur échappait inlassablement. Il ne fallait pas qu’on les voit ensemble ; qui, à la fin ? Ça sentait la fin, une énième fuite qu’il ne se sentait pas la volonté d’accomplir : aujourd’hui, c’était à ça qu’il était réduit. Fuyant ses propres géniteurs, fuyant les vérités que sa sœur retenait au fond de ses entrailles. Fuyant la responsabilité de chacun de ses choix et de ses actes. Fuyant ses démons. Dans la pénombre, il dévisagea la blonde qui lui faisait face ; comment pouvoir retenir celle qui lui avait tant échappé déjà ? Qu’avaient-ils à craindre, maintenant, après tout c’temps, toutes ces opportunités manquées ? Y’avait tant de gens qui voulaient leur mort, ici, là-bas, un peu plus ou un peu moins, c’n’était pas ça qui ferait pencher la balance. Pas pour lui en tout cas. « Arrête un peu… » marmonna-t-il, comme un fin connaisseur, comme un type qui n’avait pas toujours passé son existence à courir pour ne jamais faire face. Comme s’il la blâmait, elle, de le faire. Pas maintenant, pas avec eux. « J’suis un dégénéré qui a passé vingt ans de sa vie à être un chasseur. La seule chose qui retient mes parents d’foutre un prix sur ma tête, c’est la honte que ça leur amènerait, que tout l’monde sache que leurs gosses sont des transmutants. » y avait-il quoique ce soit, qu’elle pourrait faire qui le mettrait encore plus en danger ? Un camp ou l’autre, y’avait des gens qui le détestaient dans chacun d’eux – des gens qui voulaient sa tête sur une pique et qui n’auraient aucun mal à accomplir le sale boulot. Et ce serait tant mieux, sans doute. La seule chose qui en valait la peine, c’était Aria ; il se devait au moins d’assurer, de la protéger enfin, après tant d’échec. Il aurait dû le faire bien plus tôt, quand bien même il n’avait jamais vraiment capté de qui il devait la protéger : sa sœur n’aurait jamais dû foutre les pieds dans l’univers de la chasse. Le monde destructeur qui l’avait réduit à néant, lui ; elle, Skylar cramée jusqu’aux cendres, à tel point que c’était aujourd’hui une nouvelle personne – Faith – qui se devait d’affronter le monde. Etait-ce parce qu’ils transpiraient le désespoir, par chaque pores de leur peau, qu’ils s’étaient retrouvés ? Comme du gibier, errant paniqué ; irrémédiablement guidés l’un vers l’autre. Ils n’pouvaient rien faire d’autre que fuir, dans c’monde-là ; l’évidence était là, c’était ce qui faisait que les enfants DeMaggio vivaient reclus dans une chambre de motel. Et que la nuit était le décor de leurs retrouvailles.

Il soupira finalement, cillant enfin ; abdiquant, d’une certaine manière, à mi-chemin entre sa raison et ses tripes. « Si mes parents savaient que t’es vivante. » ajouta-t-il, presque à mi-voix ; l’effroi s’était insinué quelque part sous sa peau, battant dans ses veines au rythme de son cœur épuisé. Lassé. Finira-t-il par perdre Skylar sur l’autel de sa dévotion passée à la cause des chasseurs, comme il l’avait fait avec Isolde ? Se plongeant dans les prunelles de sa vis-à-vis, espérant y trouver une réponse à tout ça, Cesare la relâcha. Ses mains, qui avaient jusque-là retenu Skylar par les bras, retrouvèrent le vide de la solitude criante qui l’avait exilé du reste du monde. Sa pénitence, d’une certaine manière ; la lourde conséquence de se retrouver à mi-chemin, à changer de camp sans crier gare. A faire un bilan sur sa vie et se rendre compte qu’elle n’avait été que carnage. « J’crois que c’est trop tard, pour qu’on s’protège l’un l’autre. » finit-il par reconnaître, ses yeux noirs, hagards, scrutant tout ce qui les entourait. C’était trop tard pour préserver leur vie d’une quelconque manière : elles n’valaient plus grand-chose. Ils étaient des tueurs, des monstres – comme il avait si souvent entendu le mot. Elle terroriste au nom des mutants ; lui, assassin pour le compte de ses parents pendant tant d’années. C’était ça, la vie ; c’était pas juste – l’effet dévastateur et meurtrier d’une destinée qui jouait avec eux comme avec des pantins. N’auraient-ils pas été mieux, s’ils ne s’étaient jamais recroisés ? Il avait fallu que Radcliff, lieu de leur fin, soit aussi le piège qui se refermerait sur eux. Ils se croyaient si différents – et pourtant, regards fichés l’un dans l’autre, ligne de vie accolée l’un à l’autre –ils étaient les mêmes. Porteurs du sang des autres, l’incarnation d’un cauchemar pour quelqu’un. L’illustration parfaite d’une coquille vide – qui avait perdu toute sa substance pour servir les autres ; une cause qui les avait lavés, lessivés. Réduits en charpies. D’une de ses poches, il sortit une boule de papier – sans doute un dollar roulé, qu’il déplia pour y inscrire rapidement la suite de numéros qui leur permettrait de garder contact ; peut-être, s’ils le voulaient. Y’avait plus rien, plus aucune autorité choisissant leur vie, à même de leur dicter quoi faire, quoi penser ; aucun mensonge, aucune mort immuable qui les séparait. En fichant le papier dans la main de Skylar, il la dévisagea – probablement pour inscrire chaque trait de son visage profondément dans sa mémoire ; ne jamais la perdre, même pas un peu. « S’te plais, disparais-pas Sky’. » ajouta-t-il, désespéré probablement ; le froid, le temps, la nuit n’avaient plus de prise sur lui ; il n’y avait désormais plus rien, sauf les yeux clairs de l’autrefois revenu – et les doigts de Skylar, pris entre les siens, qu’il serra doucement. Le cri d’agonie d’un adieu qu’il ne voulait pas.
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