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| EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Sam 21 Fév 2015 - 23:26 | |
| EMMETT ALLAN BARNES CE QUE J'AIME, OUTRE UNE BONNE SALADE DE CHAMPIGNONS, C'EST L'INUTILITÉ DU MOT IMPOSSIBLE NOM : Barnes, c’est le nom d’un inconnu au visage immortalisé par une photo de mariage. Emmett n’a jamais connu son père, emporté par la guerre du Vietnam; pourtant, il s’est toujours accroché aux détails que sa mère laissait échapper au compte-gouttes. Il ne lui a jamais reproché sa réserve sur le sujet ; mais a longtemps souffert de l’absence de figure paternelle. PRÉNOMS : Emmett, Allan. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Emmett est né le six janvier 1961, à l’hôpital de Radcliff dans le Kentucky. Il y a passé la majeure partie de sa vie ; la colonne médicale d’un journal régional l’a qualifié de « personnalité locale » à plusieurs reprises. Certains se rappellent encore des évènements de 1996, quand sa femme a été tuée. Ça a fait les gros titres, toujours à grands coups de « notre célébrité locale » qui gonfle les tirages. Il n’a quitté la ville qu’au cours de ses études universitaires, durant lesquelles il vécut à New Haven, dans le Connecticut. ÂGE : 53 ans. ORIGINES : Américaines. NATIONALITÉ : Américaine. STATUT CIVIL : Il est veuf. Sa femme, Ellen, a été tuée en 1996. Il ne s'est jamais réinvesti dans une vie de couple. MÉTIER : Emmett est psychiatre. Class valedictorian de l’année 1979, il décroche une bourse d’études universitaires après avoir impressionné son examinateur en dissertant pendant les deux tiers de l’entretien sur des théories freudiennes. Il entame ses études de psychologie à Yale, dans le Connecticut, et se spécialise en psychiatrie six ans plus tard. Il décroche son diplôme en 1989, et décide de revenir à Radcliff l’année suivante. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. TRAITS DE CARACTÈRE : Intelligent, énergique, obstiné, attentif, perspicace, impliqué, arrogant, ambitieux, cultivé, désordonné, protecteur, réaliste, pacifique, charismatique, espiègle, farfelu, sage, désintéressé du pouvoir, bon cœur, colérique. MUTATION : Mémoire décuplée AVATAR : Peter Capaldi. CRÉDITS : (c) tumblr | THE FUTURE IS HERE nothing left to say≈ 001. Emmett n’a jamais connu son père. Allan Barnes, soldat, a servi pendant la Guerre du Vietnam, et y a trouvé la mort. Emmett a donc grandi dans une famille monoparentale, et a tissé un lien très fort avec sa mère. Il s’est souvent reproché ses migraines, au cours de son adolescence, sachant qu’elle n’avait pas les moyens de couvrir des frais médicaux. Issu d'un milieu modeste, il a gardé les habitudes de son enfance consistant à ne pas faire d'excès inutiles. ≈ 002. Emmett a un demi-frère nommé Bradley Seymour. Né dix ans après lui, ils n’ont jamais réussi à construire une relation de complicité filiale. Dénué du gène X, Brad a toujours vécu dans l’ombre de son frère, et de son intelligence. Il a déménagé en Californie au milieu des années 80 pour poursuivre une carrière d’acteur. Il ne s’est jamais manifesté aux funérailles de leur mère, et Emmett lui en tient une rancune profonde.≈ 003. En bonne tête de classe, Emmett a été tyrannisé par certains de ses camarades pendant la majeure partie de sa scolarité ; jusqu’à ce qu’il termine le lycée, et déménage dans le Connecticut. Il en garde un profond mépris pour les tyrans. ≈ 004. Il vient d’apprendre que Noah Bowers, l’homme qui a tué sa femme, est sorti de prison. ≈ 005. Emmett est un piètre cuisinier. En revanche, il est doté d’un appétit assez impressionnant, qui dénote avec son apparence svelte.≈ 006. Il prêche souvent le faux pour découvrir le vrai. ≈ 007. Il n'a jamais passé son service militaire. ≈ 008. Emmett est polyglotte: son apprentissage des langues a été extrêmement facilité par son don, évidemment. ≈ 009. Après la mort de sa femme en 1996, Emmett a longuement vécu en reclus, dans la maison qu'ils avaient acheté ensemble. Il a écrit des articles pour des revues médicales, développé des théories, et publier un livre. Ça a suffit à couvrir ses maigres besoins financiers. Il a progressivement repris ses fonctions: en 1998 il commence à accueillir un nombre limité de patients à domicile; puis, en 2005, il commence à travailler en centre hospitalier. ≈ 010. Il ne mange pas de viande rouge. |
Décrivez l'apparition de votre don et la façon dont vous le maitrisez à l'heure actuelle Le don d’Emmett ne s’est pas manifesté « une première fois ». Pour ce qu’il en sait, il en a toujours bénéficié. C’est tout le problème d’une capacité passive, n’est-ce pas ? Plusieurs années se sont écoulées avant qu’il ne réalise que pouvoir retenir théorèmes, poésies, biographies d’une seule lecture était un fait étrange, anormal. Il ne s’est jamais étalé sur le sujet. En revanche, il est venu une période dans son adolescence où son pouvoir lui a causé des migraines infernales. Sa mère n’ayant pas les moyens de couvrir le moindre frais médicaux, Emmett avait pris l’habitude de s’enfermer dans sa chambre, plongé dans le noir, un gant gorgé d’eau fraîche sur le visage, en attendant que la misère passe. Ce n’est qu’après avoir été embauché à la bibliothèque municipale, et avoir participé à un inventaire herculéen que l’idée que sa mémoire puisse fonctionner à la manière d’une pile d’archives s’est imposée à lui. Celle-ci était bien trop abstraite à son goût, néanmoins, et il fût obligé de la laisser tomber. Le concept d’un trop-plein est néanmoins resté, et Emmett s’est souvent demandé s’il avait la capacité d’oublier volontairement certaines connaissances—il n’y ait jamais parvenu. Au final, les migraines ont reflué d’elle-même, à mesure qu’il affutait ses réflexions, et vieillissait tout simplement. Il demeure migraineux aujourd’hui, mais ce n'est rien de comparable. Aujourd'hui, il aime penser à son pouvoir comme une encyclopédie, soigneusement étiquetée et indexée. La plupart du temps, il doit se concentrer de lui-même pour récupérer l'information qui l'intéresse.
avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ? Emmett n’a jamais personnellement été confronté à un hunter—du moins, à sa connaissance. Il se rappelle néanmoins le climat de terreur qui pesait sur les transmutants au milieu des années 90. Ellen et lui s’appliquaient à la discrétion vis-à-vis de leurs propres capacités, et incitaient leurs proches doués du même gène aux mêmes mesures de prudence. Certains d’entre eux sont morts, cette décennie-là, victimes de l’émergence de groupes de chasseurs locaux. Il est inutile de préciser combien Emmett réprouve les activités extrémistes de ces individus.
utilisez-vous beaucoup votre don ? Emmett utilise son don de manière quotidienne. À vrai dire, il n’a pas tellement le choix, ce serait un effort titanesque de faire taire l’information qui surgit spontanément de sa mémoire, même quand celle-ci n’est pas sollicitée. Ce serait un peu comme d’essayer de garder les yeux ouverts en éternuant, ou de ne pas penser à un éléphant quand on vous a strictement ordonné de ne pas penser à un éléphant.
que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles anti-hunters nommé Uprising ? Emmett est un homme de nature pacifiste. Il n’aime pas la violence, et préfèrerait ne pas avoir à se joindre aux luttes qui déchirent Radcliff. Mais il y a vécu la majeure partie de sa vie : d’ailleurs, il connaissait très bien les Hodgins, avant qu’un incendie criminel ne les emporte. Dernièrement, il a l’impression de revivre les années 90, au cours desquelles ces actes de terreur étaient bien plus courants qu’ils ne l’avaient été au cours des dix dernières années. Il ne peut pas dire que ça le surprenne, il le craignait depuis 2012. L’exécution de Hope Hawkins est, à ses yeux, la goutte qui a fait déborder le vase. Emmett est aujourd’hui plus que déterminé à œuvrer pour la coexistence des transmutants, et des humains. Paradoxalement, il craint toutefois le moment où il sera forcé de révéler sa vraie nature à la population locale. Il a néanmoins accepté de travailler avec Crescentia, dans la plus grande discrétion pour le moment, afin de prouver que le gène X n’a aucune influence sur la psychologie d’un transmutant. Les UPRISING ont vu le jour trop récemment pour qu’il puisse se forger une opinion solide. En revanche, il connaît les méthodes des hunters, et il est inutile de préciser combien il réprouve leur extrémisme.
DELTA - MARION - 19 ANS (ET DEMI) PAYS : France. DISPONIBILITÉ : 4/7. VOTRE AVIS SUR TH : J'ai un œil sur le forum depuis l'année dernière en secret haha Et ma foi, il se développe comme un joli pousse ! . COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Il me semble que c'était par PRD, ou Bazzart, ou Facebook, bref, je suis sénile, je ne me rappelle plus . PERSONNAGE : Scénario de Crescentia Spiegelman VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : écrire ici. UN DERNIER MOT ? : Bazinga.
Dernière édition par Emmett Barnes le Ven 27 Fév 2015 - 16:36, édité 14 fois |
| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Sam 21 Fév 2015 - 23:27 | |
| we're all stories in the end just make it a good one Memento| one.July 15th, 1996Personne ne se rappelle le nom des lâches. Cette vérité m’a souvent hanté, moi qui me souviens pourtant de tout. Elle m’a tenu éveillé la nuit jusqu’à des heures indécentes, même quand elle était étendue à ma gauche ; surtout quand elle était étendue à ma gauche, son côté du lit, et qu’elle respirait de cette respiration un peu sifflante qui me tombait toujours dans le creux de l’oreille. Parfois, elle soulevait une paupière, surprenait mon regard scrutateur, et j’opposais instinctivement un sourire candide à son air revêche. Personne ne se rappelle le nom des lâches ; mais moi je me souviens du nom de Noah Bowers. C’était un gamin à l’époque ; il vivait de l’autre côté de Radcliff, et passait son temps à tyranniser la moitié des élèves de sa promotion. Le problème quand on est forcé de se rappeler le moindre détail du pire jour de sa vie, c’est qu’il est impossible de laisser la plaie s’assainir ; au contraire, ça s’envenime, ça glisse sous la peau, et le temps est une arme inefficace contre ce type de venin. Il l’a tuée. Elle avait trente-six ans, la vie devant elle, la vie en elle. On avait même commencé à se disputer sur les prénoms qui conviendraient le mieux à la promesse qui grandissait dans son ventre. « Rose, Rosie, Rosalie… - Et si c’est un garçon, tu feras moins le malin ! - Rosario, R… - T’as vraiment réponse à tout. - Ce n’est pas ma faute, c’est le fardeau des génies. - J’aime Dorothée. - Je t’aime. » On dit que le temps guérit ces choses-là ; mais, la vérité, c’est que je ne veux pas guérir d’elle. C’est mon fardeau. Memento| two.Unknown, 2013« Tu n’as pas besoin d’aller la voir. Elle va s’en aller, de toute manière. Tu n’as pas l’impression de trop t’investir ? - C’est mon job, je te signale. - Non, ton job c’était de l’aider à se remettre en selle. - Et … ? - Et rien du tout. Je sais que tu l’aimes beaucoup, elle est… comme toi, mais… - Mais parce qu’elle a le gène, tu penses que c’est mieux de couper les ponts ? - C’est pas ce que je v… - Je sais ce que tu voulais dire, et tu as tort. Je ne reprocherai à personne d’avoir peur. Mais c’est parce qu’il y en a trop qui s’enferment chez eux, et pas assez qui se serrent les coudes, qu’on est dans ce pétrin Danny. » Emmett s’immobilisa à quelques mètres. Elle était assise, lui tournait le dos, et il approuva mentalement qu’elle fasse l’effort de sortir de l’hôpital pour profiter des jardins qui l’entouraient. Lui-même y trouvait refuge aussi souvent que possible—du moins, quand son emploi du temps le lui permettait. Son porte-document dans une main, une fleur dans l’autre, il s’approcha silencieusement. Ce n’est que lorsqu’il se fût installé à côté d’elle que Crescentia ouvrit les yeux. Il lui retourna un sourire baigné de bienveillance. « Comment ça va, gamine ? » Ses lèvres roulèrent machinalement l’une contre l’autre, et il s’efforça de maintenir une expression positive, sinon neutre. Il exerçait son métier depuis plus de vingt ans ; il savait qu’elle n’avait pas besoin de lire l’appréhension sur son visage, encore moins si ça signifiait qu’elle le traduise par des incertitudes. Emmett se rappelait très bien de la jeune femme surmenée, et déboussolée, qui s’était présentée dans son bureau l’année précédente. Il avait cherché à la mettre à l’aise, et avait jeté un tableau par la fenêtre quand ils avaient convenu de son laideur quasi-indécente. Il se réjouissait du chemin qu’elle avait parcouru depuis. « Tiens, c’est pour toi. » Emmett lui tendit le bouton de rose qu’il avait spécialement sélectionné pour elle. Ça n’avait pas été facile, la saison était presque terminée, mais il avait malgré tout réussi à mettre la main dessus grâce à une serre agricole à la périphérie de la ville. Il se délecta du spectacle qu’elle lui offrit lorsque les pétales d’un rouge carmin se révélèrent, pleines de santé. « Maintenant, je sais que tu vas bien. » Et cette vérité le libéra d’un poids démesuré. Emmett s’était attaché à Crescentia, certains ajouteraient qu’il s’impliquait un peu trop avec elle, mais c’était comme ça, et il aurait été incapable de réprimer ce que lui inspirait l’épanouissement de cette fleur. Il y avait eu des jours où elle avait été incapable d’une telle démonstration ; au contraire, il était arrivé qu’elle pousse les plantes, qu’il avait pris l’habitude de disposer dans chaque coin de son bureau en guise de girouette émotionnelle, à se faner. Il savait qu’elle ne lui mentirait pas ; mais il aurait été idiot de l’exempter de cet exercice, même si c’était plus « un truc » entre eux qu’une pratique médicale reconnue. « Encore quelques semaines, quelques tests, et tu pourras sortir. » l’informa-t-il ; c’était l’heure de la décharge, et celle-ci avait un goût doux-amer. Tracassé, Emmett récupéra finalement un stylo dans une poche de son porte-documents, et griffonna ses coordonnées au dos d’un ticket de parking froissé. « C’est possible que je ne sois pas là, le jour où tu quitteras cette maison de fous, » Le terme n’était pas négatif dans sa bouche. « Mais ne prenons pas de risques, d’accord ? Quand tu seras dehors, tu peux me joindre-là. Si tu le souhaites, évidemment. Je ne voudrais pas t’imposer mes parties de Rami du vendredi soir, je te dépouillerai avant que tu ne puisses te coucher. » Il sourit plus largement, rasséréné. Memento| épilogue.October 03rd, 2014« Je m’appelle Emmett Allan Barnes. Je suis né à Radcliff, Kentucky, en 1961. Mon père est mort au Vietnam. J’ai un frère, Bradley, mais nous ne sommes pas en bons termes. Ma femme, Ellen, a été tuée en 1996. Je suis psychiatre. Je crois que je commence à perdre les pédales. » Emmett s’interrompit, attendit une courte seconde, secoua négligemment le menton, puis éteignit le dictaphone dans un clic sonore indiquant que la cassette avait cessé de tourner. C’était un très vieux modèle ; sa mère le lui avait offert lorsqu’il avait terminé ses études à Yale. Ça faisait des années qu’il prenait la poussière dans le tiroir central de son bureau, chez lui. Il n’avait jamais eu besoin de l’utiliser. Il lui était arrivé de le sortir de sa boîte d’origine : par curiosité, ou bien pour enregistrer une session avec un patient, pour cultiver les apparences. Il s’était rapidement lassé de ce simulacre ; de toute manière, personne n’était jamais venu remettre ses capacités en question. Mais sa mémoire commençait à lui jouer des tours. C’était trois fois rien : il avait oublié le nom de son professeur d’école élémentaire, l’endroit où il avait l’habitude de ranger son agrafeuse, et le numéro de téléphone d’un patient qu’il rencontrait toutes les deux semaines. C’était trois fois rien, pour une personne ordinaire. Pour un homme qui était supposé se rappeler le moindre détail de ses cinquante-trois ans d’existence, c’était à la fois curieux, et effrayant. Et s’il finissait par tout oublier ? Il passa une main sur ses lèvres sèches, et se pencha au-dessus de son bureau pour se servir un grand verre d’eau tiède. L’idée d’oublier était séduisante comme l’avait sans doute été le Serpent dans le Jardin d’Éden. Ne serait-ce par un soulagement, de ne plus avoir à se remémorer chaque instant, chaque douleur, chaque joie, qui avait façonné l’homme qu’il était aujourd’hui ? Mais il ne pouvait pas choisir. Il pourrait tout aussi bien oublier le nom de son chat, que celui de sa femme. Sa gorge se noua douloureusement. Au moins, il n’était pas seul, se consola-t-il, mais l’idée n’était pas entièrement réconfortante non plus. Il avait entendu dire que de nombreux transmutants souffraient, ou jouissaient, de troubles dans leurs capacités depuis l’épisode du Dôme. Il n’avait pas besoin d’être un génie pour tisser le lien entre les deux évènements. Rien n’est jamais facile… grommela-t-il mentalement.
Dernière édition par Emmett Barnes le Dim 22 Fév 2015 - 5:16, édité 9 fois |
| | | Faith Cunningham MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 17676
SUR TH DEPUIS : 26/04/2014
| Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 0:04 | |
| Tu vas faire une heureuse avec ce scénario Bienvenue sur le fofo et superbe choix ! |
| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 0:24 | |
| Bienvenue & très bon choix de scénar HOMONYYYYYYME *saute sur l'autre Marion* |
| | | Cesare DeMaggio ADMIN - master of evolution MESSAGES : 45269
SUR TH DEPUIS : 15/02/2015
| Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 0:24 | |
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| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 9:42 | |
| J'aime beaucoup le fait que c'est un homme, pas viril mais pas féminin non plus et que tu écris son texte en rose bonbon x)
En tout cas, bienvenue ici et bon courage pour cette fiche. ;) |
| | | | | | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 11:41 | |
| Super choix de scénario, tu vas pas regretter ! Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fichette. |
| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 12:37 | |
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| | | Salomé Callahan MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 4164
SUR TH DEPUIS : 29/04/2014
| Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 12:55 | |
| Le choix de scénario envoie du lourd, ce personnage est super intéressant ! (et ta manière de rédiger est ) Bienvenue parmi nous |
| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 13:49 | |
| HIIIIIIIIIIIIIIII PAPA CAPALDI *^* bienvenue parmi nous =D |
| | | Elizabeth Barnes ADMIN - master of evolution MESSAGES : 1384
SUR TH DEPUIS : 13/07/2014
| Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 15:00 | |
| MON PSY D'AMOUUUUR le plus swag Bienvenue et bonne chance pour ta fiche si tu as des questions n'hésite pas à me harceler (étant en ce moment malade, je ne garanti pas la rapidité des réponses xD mais je fais de mon mieux, promis ) |
| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 15:29 | |
| Le psy de ma dingue soeur Excellent choix de scénario Bienvenue par ici |
| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 18:15 | |
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| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan Dim 22 Fév 2015 - 19:23 | |
| Welcome, sur le forum |
| | | | Sujet: Re: EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan | |
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| | | | EMMETT ∅ Do what I do. Hold tight and pretend it’s a plan | |
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