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 La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold]

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MessageSujet: La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold]   La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold] Icon_minitimeMer 9 Juil 2014 - 14:47


La soirée des retrouvailles
« La souffrance a ses limites, pas la peur. »


Avec les derniers événements qui venaient d'arriver, Leopold aurait dû être ravi et incroyablement confiant en l'avenir de son clan et de ses idéaux. Au contraire, l'homme ne voyait pas très bien cette stratégie loin d'être subtile et réfléchie. Il avait l'impression que ses confrères voulaient tout passer au rouleau compresseur sans essayer d'éviter les dommages collatéraux et sans essayer de protéger leurs arrières. Car finalement, plus on s'exposer, plus on risquait de finir plus bas que terre, attaqué de tout côté : l'avantage de rester cacher était qu'il était plus difficile de se faire retrouver et chasser éventuellement. Surtout, il avait l'impression que certains Hunters prenaient un plaisir sadique à finir ce qui était nécessaire. Les soldats faisant leur boulot et rien de plus, juste parce qu'ils le devaient, c'était ça un petit peu l'idéal de Leopold Callahan et il avait l'impression que ce monopole lui glissait entre les doigts trop vite. Il avait toujours voulu une politique plus répressive en matière de méta-humains, mais de là à révéler leurs desseins immédiatement et de s'adonner à des tueries ouvertes et à peine cachées, ça non, ce n'était pas sa manière de faire les choses et il n'était pas prêt à conseiller à ses enfants de faire pareil.

Ce soir-là, comme en de trop rares occasions, Leopold avait voulu réunir ses enfants pour un dîner. Bien entendu, Noeh ne serait pas à la table, toujours à l'hôpital récupérant de sa chute, il n'aurait que trop l'occasion d'assister à ces assemblées une fois sorti. Salomé et Matthias cependant, avaient été invité avec une lourde (très lourde) insistance. Avec toutes ces affaires, les études de Salomé et tout ce qui s'était passé ces derniers mois ils s'étaient tous croisés en coup de vent ou téléphonés mais jamais vraiment posés pour papoter tranquillement. Il fallait dire que les affaires Hunters marchaient plutôt bien grâce à la complicités des pouvoirs établis. Les noms de méta-humains arrivaient plus facilement et il était ainsi plus facile de lancer des chasses immédiates. Leopold avait participé à quelques traques ces derniers mois mais il s'était ménagé comme il sentait son corps lentement lui demander de ralentir. Il fallait bien que les vieux loups se reposent de temps en temps. Il n'avait pas envie de finir assassiné, ce serait le pire cadeau qu'il pourrait faire à sa femme ou à ses enfants. A cette occasion, d'ailleurs, notamment à cause de la venue de Matthias, Melissa avait décidé de sortir avec des amies pour la soirée. Leopold n'était pas le genre d'homme à contrôler les membres de sa famille d'une manière obsessive comme son père. Melissa avait des amis et des amies qu'il ne connaissait pas mais il la respectait assez pour ne jamais s'en inquiéter.

Il avait cuisiné quelques pièces de bœufs avec des légumes qui venaient de leurs jardins. Comme pour tout, son père et sa mère l'avaient éduqué pleinement dans tous les domaines. Si il ne pourrait pas réparer une voiture ou retaper une maison, il avait des notions de base en mécanique et électricité. Il en savait un peu sur tout et ce genre de savoir l'avait souvent sortit de la merde. Sept heures arrivait doucement sur l'horloge de la cuisine et il commença à faire chauffer doucement les poivrons, les courgettes et les carottes dans leur sauce. Une petite heure et ça pourrait être servi. Il se dirigea vers un des placards et sortit deux bouteilles de vin qu'il considéra quelques secondes avant d'en reposer une. Il la mit sur la table et partit dans le petit salon où trois verres étaient déjà sortis avec du whisky et du champagne était sortit. Leopold n'avait jamais franchement essayé de dissuader ses enfants de boire. Il préférait encore qu'ils boivent devant lui plutôt que de leur imposer de se cacher. Et en plus, ça lui permettait de les éduquer de ce côté là aussi et de reconnaître la qualité là où elle était. Il attrapa quelques amuses-bouches que Melissa avait préparée avant de sortir. La porte sonna. Il se pressa de mâcher en se dirigeant vers la porte.

Ce soir, pas de domestiques. Ils avaient été congédiés. Ce n'était pas rare et Leopold n'avait pas particulièrement besoin de services tous les jours. Le jardin et la taille de la maison imposaient par contre un entretient permanent qu'il ne pouvait assurer. Mais une journée sans avoir une femme de ménage qui dépoussiérait les meubles ne conduirait pas la maisonnée à sa perte... Il ouvrit la porte pour accueillir un de ses enfants, la plus ponctuelle. « Bonsoir, entre entre ! » Il se décala pour faire enter Salomé. Cela faisait bien quelques semaines qu'il ne l'avait pas vu. Il ne savait pas si c'était ses études ou une raison plus personnelle qui l'avait amené à se tenir éloignée du cercle familial. Loin de vouloir l'étouffer avec ses inquiétudes de pères, il était cependant assez curieux de savoir ce qui se passait bien dans sa vie ces derniers temps... Peut être un amoureux ?

HRP : Dit voir Salomé, tu veux que je mette des pensées de Leopold quelques fois pour que tu puisses utiliser (sans faire exprès) ton pouvoir ?
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Salomé Callahan
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MessageSujet: Re: La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold]   La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold] Icon_minitimeMer 16 Juil 2014 - 15:45

La soirée des retrouvailles
The Callahans



Salomé gonfla sa cage thoracique d’une grande bouffée d’air, redressa son dos, réarrangea ses mèches brunes, et tenta de dégainer son plus beau regard impénétrable à son miroir. Le reflet qu’il lui renvoyait aurait pu être convainquant, si elle n’avait pas eu les yeux si cernés, et les joues si creusées. La jeune femme s’empara d’un geste rapide de son nécessaire à maquillage, tentant de se donner une mine à peu près convenable. Malgré le fait qu’elle se soit lavé les cheveux une heure plus tôt, elle attrapa machinalement une boucle entre ses doigts, vérifiant que celle-ci ne portait pas l’odeur des nombreuses cigarettes qu’elle avait fumées dans l’après-midi. Salomé connaissait l’aversion de son père envers l’odeur du tabac, et également son aversion envers l’idée que l’un de ses enfants fume. Elle se comportait comme une gamine qui aurait fait une bêtise. La même fille surprise par son père une dizaine d’années plus tôt, en train d’apprendre à rouler des cigarettes dans sa chambre, accompagnée de son jumeau qui faisait alors office de professeur. Son estomac se serra à ce souvenir. Vérifier dix fois que ses cheveux ne la trahiraient pas, préoccupation bien futile ce soir. Manière de se détourner du véritable problème. La brune se dirigea vers son armoire, n’y trouvant que du noir. Tous ses vêtements colorés étaient en désordre au fond, et elle ne les avait plus regardés depuis longtemps.

L’été était désormais bien installé sur Radcliff. La soirée approchait, mais les températures demeuraient plus qu’agréables. Jetant sa serviette de bain sur le dossier d’une chaise, tout en veillant à ce que le pervers d’en face ne soit pas installé à sa fenêtre, la belle finit par enfiler une robe. C’était simple, c’était léger une robe. Peut-être ferait-elle illusion, après tout. Peut-être donnerait-elle le change. Si Salomé avait été amenée à croiser son aîné au cours de ce dernier mois, elle n’avait en revanche presque pas revu son père depuis ce fameux soir. Elle revoyait encore son regard, lorsqu’il était arrivé à sa hauteur, s’arrêtant face au spectacle que lui avait servi sa fille avec ce mutant. Il lui manquait. Et elle était bien consciente du caractère désagréable de cet éloignement. Un an auparavant, malgré les hauts et les bas entre sa mère et Matthias, les Callahan étaient unis. Les repas de ce genre n’avaient jamais eu ce côté pesant. Salomé attrapa son sac machinalement, avant de jeter un dernier regard à son reflet, tout en fourrant dans une poche une plaquette de comprimés censés apaiser les migraines. Une manière de conjurer le mauvais sort, et de ne pas révéler l’abomination ce soir.

La cadence de ses pas avait commencé à ralentir lorsque le manoir s’était dessiné sur la colline. Son cœur avait bondit dans sa poitrine, et elle avait du marquer une brève pause, le temps que se dissipe son étourdissement. Quelle idiote. Si la simple vue de sa maison la faisait tressaillir, comment supporterait-elle d’y mettre ne serait-ce qu’un pied ? Elle aurait été tentée de tout annuler, d’appeler son père, là, tout de suite. De prétexter des maux de tête insoutenable. Il la connaissait assez bien pour savoir à quel point ceux-ci pouvaient la terrasser en quelques minutes. Nouveau frisson le long de son échine dorsale. Non, il ne la connaissait pas. Ces migraines n’avaient jamais rien eu de naturel. Salomé en était désormais bien consciente. Quand bien même sa période de déni ne fut-elle pas encore totalement passée, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de faire le lien entre sa mutation merdique et ces céphalées qui la détruisaient depuis son plus jeune âge. Sa main avait glissé vers son sac, prête à saisir son portable. Mais soudain, elle se stoppa. L’appréhension avait commencé à se dissiper, pour laisser place à de toutes autres émotions. Des semaines qu’elle ne s’était plus engagée sur ce chemin, qu’elle n’avait pas gravi la colline. Qu’elle ne s’était pas retournée sur la ville avec ce sentiment de toute-puissance, qu’elle ne ressentait que lorsqu’elle était chez elle. Tellement de souvenirs dans cette maison que les rires de Noeh semblaient encore lui parvenir depuis le parc, ricochant contre les arbres, et venant faire résonner quelque chose dans son cœur. Voilà qu’à présent, c’était sa gorge qui se serrait. Mais merde, Salomé, reprends toi !

Elle actionna la sonnette dans un geste familier. Elle ne savait pas réellement où elle venait de trouver la force de terminer sa route, mais elle y était parvenue. La porte s’ouvrit sur son père, et la brune ne put retenir un grand sourire en le voyant, son regard venant s’animer de la même lueur que lorsqu’elle n’était qu’une gamine. Elle avait toujours eu beaucoup de tendresse pour lui, et c’était finalement ce qui rendait ce moment bien plus simple qu’elle ne l’aurait cru. « Bonsoir papa.. » La voilà qui à trop s’émouvoir, risquait également de paraître suspecte. C’est qu’enfermée dans ses idées noires, la brune avait tout de même songé quelques fois qu’elle ne le reverrait peut être plus. Mais ce n’était pas le moment de se laisser aller. Elle ne s’épancha donc pas ne gestes d’affections autant qu’elle l’aurait souhaité sur l’instant, et entra à l’intérieur. Le doux parfum de la cuisine de son père vint lui chatouiller les narines. Elle, qui n’avait plus qu’un appétit d’oiseau, ne résistait tout de même pas aux mets qu’il pouvait préparer. « Oh, ça sent bon dis moi ! ... Maman n’est pas là ? » Elle venait de balayer le grand salon du regard, tout en tendant l’oreille pour déceler une quelconque présence. Posant son sac et sa veste, Salomé se retourna vers son père, inclinant légèrement la tête d’un air interrogateur. Retrouvant ses marques en moins de quinze secondes. Et Matthias. Était-il là ? Elle pinça ses lèvres pour se retenir. Bien sûr que Matthias serait de la partie. C’était certainement la raison pour laquelle sa mère avait quitté le domicile pour la soirée. Et c’était certainement pour le mieux. Elle vint s’asseoir sur le dossier du canapé, et eut un sourire en songeant à quelque point sa mère la réprimanderait si elle la voyait faire. Tu vas abîmer le dossier Sam... Sa voix résonna en écho à cette pensée, tandis que la brune souriait de plus belle, se sentant enfin à la maison.


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MessageSujet: Re: La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold]   La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold] Icon_minitimeMar 29 Juil 2014 - 21:57

La soirée des retrouvailles
The Callahans



Il entendait encore la voix de son père perçant le combiné de téléphone avec véhémence. Après les événements qui avaient bouleversé la famille et ceux qui avaient chamboulés la ville, une réunion de famille s'imposait. Noeh était sorti de l'hôpital, la soirée aurait donc des allures de retrouvailles. Il se demandait quand quel état il allait retrouver son frère ce soir. Sa main se serra sur le dossier de sa chaise alors que l'image du jeune homme dans son lit d'hôpital, allongé comme un condamné, s'incrusta dans son esprit.

La porte de son bâtiment grinça sur ses pas. Il traversa les rues de Radcliff les mains dans les poches, les idées occupées par son obligation. Il ne réfléchissait plus à ce qu'il faisait, ses jambes l'avaient conduit par habitude jusqu'au manoir. Sa foulée était moins rapide que d'ordinaire. Il appréhendait cette soirée, déjà depuis des jours. Il devait agir ce soir comme l'ainé et endosser un rôle de grand frère et il ne savait absolument pas comment faire avec un frère convalescent. Déjà que d'ordinaire il n'avait jamais été très doué avec les jumeaux, d'une part parce qu'il ne le voulait pas et d'autre part parce que pour lui, Noeh à l'instar de Salomé n'avait jamais rien montré de bien intéressant pour qu'il s'y intéresse convenablement. Mais, à l'heure actuelle il se sentait obligé d'intervenir, peut-être que s'il s'était montré plus insistant comme avec Salomé son frère n'aurait jamais vécu cette chute. Nerveusement il passa une main derrière sa nuque.

Mais il ne se blâmait pas. Noeh avait une erreur lourde de conséquence qu'il avait dû payer. Malheureusement, son frère en ayant décidé de s'éloigner de tout ça, s'était rapproché tout de même du conflit, y pénétrant même complètement en son sein. Il espérait aujourd'hui que son cadet comprendrait que les Callahan dans leur guerre, dans leurs chasses et dans leurs meurtres, œuvraient pour un avenir paisible, plus sain et plus juste.

Le bruit de ses pas se grattant contre le gravier de l'allée le ramena rapidement à la réalité. Son regard retrouva de son brillant. Il souffla un coup et tapa assez fort sur la porte. Son père l'accueilli, il le salua d'un bref coup de tête en essuyant ses pieds sur le paillasson. Il lui était reconnaissant d'avoir congédié sa femme pour lui, l'absence d'une voiture dans l'allée n'avait manifestement pas échappé au garçon. Cependant, cette gratitude resterait silencieuse, il ne voulait pas s'épancher sur le sujet ce soir.

Il rejoignit sa sœur dans le salon. La présence de Salomé ne le dérangeait pas plus que ça malgré le goût amer qu'avait laissé leur dernière entrevue. Ils y avaient été un peu fort tous les deux et autant lui, qu'elle ne se repentirait sur les faits.

- Bonsoir Salomé. Ses yeux balayèrent les lieux, Noeh n'était pas encore présent. Il alla s'installer en face de sa sœur. Il laissa tapoter ses doigts sur le dossier de la chaise laissant courir un bruit dans le silence du salon. Ses yeux se perdirent vers une fenêtre. Il était venu jusqu'au manoir sans vraiment se rendre compte de la beauté de cette soirée. Puis de nouveau, son regard se posa sur sa sœur. Elle aussi ne semblait pas réellement à l'aise, bien que le territoire se prêtait mieux à son aisance cette fois-ci.

Matthias n'attendit pas que son père vienne les rejoindre pour établir un semblant de conversation, il se leva tout aussi vite qu'il s'était assis pour rejoindre la cuisine et ses bonnes odeurs. Il se balada les mains dans le dos devant les plats du patriarche tel un petit garçon fouineur qui cherchait à donner son propre sel pour le repas. Puis il revint dans le séjour et s'adossa contre un meuble qui semblait avoir beaucoup d'importance pour l'autre.

Il semblait désinvolte, bien que ses yeux trahissaient que trop bien sa nervosité. Matthias sentait déjà la colère gronder en lui rien qu'en pensant au cadet. Les graines du sablier semblaient s'être enraillées tellement les secondes s'écoulaient lentement à ses yeux. Il n'aimait pas trop ça, les repas de famille et encore moins quand c'était dans ce genre de circonstances. Vraiment, il n'arrivait pas à se réjouir, pour lui les mutants avaient été trop loin en s'en prenant à un nouveau membre de sa famille. Il espérait que Léopold prendrait une décision qui servirait à resserrer les vis et à augmenter toutes les traques.

Ce soir on lui demandait silencieusement de faire bonne figure, de ne pas se laisser emporter et il savait également que ce soir, son silence habituel serait malvenu.

Il ne pensait pas qu'un tel événement puisse prendre autant de place dans son esprit. Noeh et lui n'avait jamais été proche, loin de là. Son frère était pour lui personne bien trop abstraite. Mais, ce coup qu'on lui avait porté, il ne pourrait jamais le pardonner aux dégénérés. C'était son frère et qu'il le veuille ou non c'était son sang, tout comme Salomé. Ses yeux vrillèrent sur la jeune fille rapidement dans un soupir.

Ils allaient bientôt être de nouveau au complet.



( Ps : Salomé, oui je t'ai piqué ton code, je l'avoue je le trouve juste trop approprié au rp et je trouve que ça fait trop mignon si les enfants Callahan on le même  La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold] 243543726 Ok Noeh ? Je mettrai les pensées de Matthias dans mon prochain poste c'est promis  La soirée des retrouvailles [Salomé & Matthias & Leopold] 1838896285 )
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