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| Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 12:31 | |
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Leopold Warren Callahan « La souffrance a ses limites, pas la peur. » ≈ NOM : Callahan, un nom relativement connu dans la ville et dans les grandes familles des alentours. Les Callahan peuvent tracer leurs origines relativement loin dans l'histoire et ils ont toujours été relativement puissants. ≈ PRÉNOM : Leopold Warren. Il a hérité des prénoms de ses grands-parents évidemment, et si il les a haï pendant son enfance, il a finalement accepté cette marque d'originalité et les porte comme des bijoux dont il est fier. ≈ ÂGE : 58ans. Malgré son « grand » âge, il est encore fort et vif. Il se garde en forme et malgré les rides, il n'a rien perdu de son superbe. ≈ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 25 Juillet 1956 à Radcliff. Il est né dans le manoir familial comme ses frères et sœurs à sa suite. ≈ NATIONALITÉ : Américaine. Il a cependant des origines australiennes et françaises. ≈ STATUT CIVIL : Marié. Il a déjà été marié une fois mais sa femme est morte, tuée par un dégénéré. Il s'est remarié un an après, pressé par le temps et surtout par l'envie de ne pas mourir seul. ≈ EMPLOI : Officiellement il possède une puissante entreprise de sécurité allant de la production d'alarmes et de portes blindées à un service de garde du corps. Tout ceci est une forme de camouflage pour cacher sa véritable activité de Hunter de longue date. Les Callahan ont toujours eu l'intérêt de leurs semblables à l'esprit. ≈ TRAITS DE CARACTÈRE : exigent – discipliné – pince-sans-rire – persévérant – intransigeant – exemplaire – travailleur – endurant – intègre – franc – stratège – réfléchi – intelligent – autoritaire – intimidant – leader – cultivé – croyant – mélancolique. ≈ GROUPE : protecting those who fear them. ✤ 01. Leopold fait un jogging de trente minutes tous les matins à son réveil après avoir bu un verre de thé vert. Ensuite, il savoure des toasts sur le perron du manoir. Il déteste qu'on perturbe son habitude matinale, ça peut le rendre de mauvaise humeur pour le reste de la journée. ✤ 02. Il adore le blues des années 50 et 60. Il en écoute assez régulièrement et n'est pas intéressé par les autres genres de musique. Il a des disques vinyles et des enregistrements de concerts de ses artistes préférés ; de même, il est un grand fan de Buster Keaton et il possède tous les films dans lesquels il a joué et ceux qu'il a réalisé. ✤ 03. Il a gardé toutes les affaires de sa première femme dans une pièce au dernier étage. Les robes, les bijoux, sont triés et nettoyés régulièrement, comme neufs même si leur couleur s'est légèrement terni. ✤ 04. Il chéri particulièrement un petit café dans le centre ville, dans une ruelle assez peu fréquentée où il va boire du thé et manger quelques fois. C'est son petit jardin secret et la patronne de ce café le connaît depuis énormément d'années. ✤ 05. Même si Leopold fait moins de chasse qu'avant, il continue de les superviser et de participer aux recherches. Cette situation le stress étant donné qu'il a peur que leur couverture ne soit révélée, mais il fait confiance à ses enfants pour prendre la relève. ✤ 06. Il fait attention à lui. Le thé sous toutes ses formes sponsorise entièrement sa journée. Il boit peu d'alcool, généralement du whisky ou du rhum en provenance d'Australie. Il a un régime équilibré et léger. ✤ 07 Le manoir possède tout le nécessaire et il arrive que Leopold ne sorte pas de sa résidence pendant plusieurs jours sans manquer de rien. Lors de l'anniversaire de la mort de sa première femme, il reste généralement reclus à l'intérieur pendant une semaine et ne sort que pour déposer des fleurs sur sa tombe.✤ 08. Étant donné la difficulté de son « occupation », il partage tout avec sa nouvelle femme comme il l'a fait avec l'ancienne. Tout, les fautes, les hontes et les décisions difficiles. ✤ 09. Assez peu passionné par la technologie, il n'utilise que très peu les ordinateurs et laisse ses hommes se charger des recherches de dégénérés. Par contre, son entreprise s’intéresse naturellement aux nouvelles découvertes dans le domaine et sait qu'il devra adapter ses chasses à l'arrivée de nouveaux outils. ✤ 10. Relativement croyant, Leopold essaye d'aller à la messe tous les dimanches et donne régulièrement à des associations chrétiennes catholiques avec une préférence pour celles qui sont contre les dégénérés. Ceci, pour garder la face même si il n'est pas un fan de l'idéologie catholique. i. comment êtes-vous entré parmi les hunters? Leopold est né parmi une famille de Hunter et c'est naturellement qu'il s'est retrouvé embrigadé comme ses frères et sœurs. Son père était un individu relativement violent et peu aimable, même pour le Hunter moyen. Ne voyant que la tâche avant de voir ses enfants, il les a entraîné avec une férocité alarmante qui a fortement déplu à Leo. Pourtant, cela ne l'a pas dégoûté de son rôle et ça l'a même conforté dans sa volonté de prendre la place du chef de famille pour inculquer leurs valeurs d'une manière un peu moins violente et un peu plus tolérante. Bien entendu, les Callahan ont beau être une grande famille, le vieux ne s'entend pas forcément avec tout le monde et des batailles de pouvoir s'opèrent souvent au sein de sa propre tribu. Les mentalités changent toujours et certaines personnes voudraient se radicaliser quand d'autres voudraient légèrement calmer le jeu. En fait, les hunters, tous humains, subissent les mêmes pressions au sein de leurs rangs que toutes les autres organisations du monde.
ii. avez-vous déjà effectué votre devoir de chasseur ? Plus souvent qu'à son tour, ça c'est sûr. A son époque, on commençait tôt, très tôt, avant même d'être réellement prêt en fait. La première fois de Leopold avait été très brouillonne et s'est terminé dans un bain de sang qui avait été très dur à nettoyer après coup. Pourtant, l'homme a toujours été soigneux et apprécie l'ergonomie plus que tout. Il s'est perfectionné pour que les chasses durent le moins longtemps et fassent le moins de bruit possible. Mine de rien, même si on peut compter sur la discrétion de flics ou de politiciens, moins on fait ça comme un souillon, et moins on laisse de trace et moins il y a de chances qu'on remonte à nous. Après tout, un dégénéré essayant de venger un des siens, ça a toujours existé et avec cette nouvelle loi il est possible que des sympathisants mutants à des positions stratégiques de l'administration fassent du zèle : mieux vaut leur donner le moins de prise possible pour tracer ces morts jusqu'à nous. Récemment, d'ailleurs, j'ai ralenti sur les chasses. Je sens mon corps porter avec lui les traces d'un effort qui a duré très longtemps et je m'occupe principalement de superviser les recherches de mutants et de la supervision des traques. Je garde aussi un œil sur les entraînements des nouvelles recrues.
iii. les mesures du traité de protection des mutants vous font-elles peur ? Pas du tout. Les stratégies politiques ont toujours été des façades utilisées par des hommes puissants pour se dédouaner des mesures sociales et populaires. Dire au monde qu'ils considèrent que les dégénérés doivent être protégés ne veut pas dire qu'ils vont forcément débloquer de gros moyens pour appliquer ce genre de loi. La complicité des pouvoirs en place et des autorités est finalement facile à avoir quand on leur prouve avec raison qu'une société remplies de personnes puissantes sans mérite est vouée à l'échec. Et ça, les politiques le comprennent bien : ils ont mérité leur place de puissant à force de dur labeur, les dégénérés sont nés avec cette force de frappe mortelle et aucun d'eux ne le mérite. C'est simplement une erreur dans tout ce qui a évolué depuis la naissance de l'humanité et il fallait s'attendre à une telle dégénérescence.
iv. que pensez-vous de l'élection récente de thaddeus lancaster à la tête du comté ? Ca va bien aider les affaires c'est sûr. Au moins son élection montre bien que l'action des Hunters n'est pas toujours rencontrée avec résistance par la population et que celle-ci est bien consciente des inégalités biologiques qu'engendre la présence des dégénérés sur cette planète. Aussi, il n'y a pas trop de soucis à se faire à propos du traité de protection quand un homme comme ça peut ralentir les procédures. Leopold va essayer de s'en faire un allié proche histoire d'assurer ses arrières au cas ou. Il est assez cultivé pour savoir que le vent peut, à tout moment, tourné en sa défaveur et lui rendre les affaires compliquées. Ainsi, essayer de se faire des connections avec des gens hauts placés peut aussi l'aider à assurer un futur un peu plus sûr et rassurant pour ses propres enfants. ≈ PSEUDO : nestie luv. ≈ PRENOM : Chloé. ≈ ÂGE : 23ans. ≈ PERSONNAGE : scénario non posté x) ! ≈ AVATAR : Ed Harris. ≈ CREDITS : nestie luv. ≈ COMMENT ES-TU TOMBÉ SUR TH ? : par l'intermédiaire de Bazzart. ≈ UNE ULTIME BAFOUILLE ? : Mortadelle...
Dernière édition par Leopold Callahan le Sam 21 Juin 2014 - 12:31, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 12:31 | |
| we're all stories in the end just make it a good one 23 mars 1986 Encore un peu euphorique, Leopold leva un verre à ses lèvres et commença à boire un whisky, les doigts légèrement tremblants, encore. Il n'avait jamais été particulièrement fan des traques difficiles et violentes. Il avait toujours été calme, un homme de classe, avec un charme certain et une aura apaisante. Contrairement à certains de ses frères et cousins, la pensée de faire souffrir un mutant entre ses mains ne l'enchantait pas plus que ça. Il avait comprit que les éliminer était un mal nécessaire mais fallait-il forcément s'adonner au sadisme ? Non, Leopold n'avait jamais été un des plus prolifiques en matière de techniques sanguinaires. Il était rapide et souvent sans bavure, mettant fin à une chasse dans une sobriété étudiée. Sa mère avait d'ailleurs toujours été plus clémente à son égard alors que son père, lui, était du genre à s'impatienter devant la méticulosité de son aîné. Pourtant, certains de ses proches s'étaient plusieurs fois félicités d'avoir emporter une personne aussi soigneuse pour nettoyer leurs erreurs après, pour cacher les preuves et éloigner les soupçons de la famille. A cet égard, Alicia était de la même trempe. Calme et presque féline, beaucoup de dégénérés, en voyant son visage, s'imaginaient qu'ils pourraient s'en sortir, qu'une telle beauté ne pouvait que leur être salutaire. Rien n'était plus faut et quelques fois, Leopold avait presque eu peur de l'efficacité de sa propre femme. Comme si, quelque part, dans ses gênes, dans son sang, elle avait été faite pour ça. Depuis un an maintenant, qu'Alicia avait arrêté les chasses le temps de s'occuper de leur fils, Matthias. La tradition familiale aurait voulu que des domestiques s'en occupent pour libérer les bras d'un très bon chasseur, mais qui pouvait sincèrement refuser le privilège d'une mère d'élever elle même son premier né ? Pas lui en tout cas, et certainement pas en sachant qu'une telle femme ne pourrait que faire les bons choix avec Matt. Ils finissaient par passer des nuits entières à parler des dégénérés, des chasses et des stratégies employées. La fatigue de la maternité ne lui avait rien enlevé de son esprit incisif et bien que l'adrénaline des traques lui manquaient, elle compensait en élaborant des plans tous plus parfaits les uns que les autres. Le whisky descendit dans sa gorge, provoquant des petits picotements à cause de la course effrénée qu'il avait effectué à peine une demi heure auparavant. Il ne réussit presque pas à en déterminer le goût et aller reposer son verre quand la main délicate de sa femme glissa contre ses flancs et jusqu'à son ventre. « Matthias dort ? » « Oui... Il se réveille beaucoup les nuits où tu n'es pas là. » Il hocha la tête. Il espérait que ce gosse n'aurait pas trop la bougeotte histoire de pouvoir en faire un chasseur réfléchi, comme son père et sa mère. Toutes les attentions de Leopold, à cette époque, étaient tournées vers son fils, si fragile. Il n'imaginait pas une seule seconde que celle qu'il pensait la plus forte et la plus invincible de tous finirait par mener sa dernière chasse très bientôt. 02 décembre 1998 Salomé et Noeh avaient du mal à dormir. La grande maison grinçante était pleine de bruits qu'ils n'avaient pas dans leur habitation à Louisville. Leopold avait réussi à attraper quelques minutes de répit alors que sa femme essayait de coucher les petits. Matthias n'avait pas besoin de ça, enfin, surtout pas venant de la nouvelle femme de son père. Il avait essayé, au début, de lui expliquer, la solitude, l'amour, le fait que ça tombait sur les gens comme ça... Enfin, il avait abandonné. Matt ne s'en remettrait jamais et d'ailleurs, le père de famille n'arriverait possiblement jamais non plus. Melissa était formidable, presque aussi féroce et envoûtante qu'Alicia, mais... Mais il manquait quelque chose. Un élément qui faisait qu'Alicia rendait tout plus beau, plus tranquille et plus facile. A sa mort, quelques années auparavant, Leopold cru ne jamais pouvoir s'en relever. Et d'ailleurs, si son fils n'avait pas été là, il n'aurait possiblement jamais plus remis les pieds dehors. Melissa avait été une rencontre inattendue et Leo avait calculé qu'il était avantageux d'en faire sa femme. Oui, calculé. Leopold avait soumit son cœur à la raison pure et simple et en était arrivé à cette conclusion aussi pragmatique que triste bien que, au fil du temps, il apprenait à l'aimer. Une drôle d'alchimie stratégique entourait le couple. Ni l'un ni l'autre ne pensait être dans un idylle et ça les rassurait tous les deux. Ils étaient plus partenaires de crime que mari et femme. Ils jouaient leurs rôles à la perfection et entraînaient leurs enfants selon les mêmes idéologies. Ils avaient décidé de faire d'autres enfants pour continuer de nourrir la famille Callahan de mains sanguinaires et ainsi, perpétrer la tradition. Melissa était impressionnante de pragmatisme : il lui arrivait de largement dépasser son mari dans certains plans et traques et parlait toujours de manière directe et sans détour. C'était ce dont Leo avait besoin. Son histoire avait Alicia avait été trop vive et trop courte pour qu'il puisse supporter quelqu'un prétendant vouloir être comme elle... Les paroles des enfants, à l'étage, attirèrent son attention. Assis sur le canapé de cuir du petit salon qui empestait l'odeur du tabac froid, Leopold songea un instant se lever pour aller aider sa femme. Bien que peu intéressé par les travaux ménagers (comme peu de gens) il s'était toujours impliqué dans la vie de ses enfants. Il était clair qu'il n'était pas de la même trempe que son père. Celui qui venait de crever suite à une bête crise cardiaque et qui avait provoqué le retour de la petite famille à la maison familiale. A vrai dire, Leo n'avait jamais vraiment aimé cette maison. Ces canapés froids et puants, cette décoration trop simple et dépourvue de toute âme... Il changerait tout ça. Et d'ailleurs, il avait déjà entamé le changement. Matthias, son fils, aurait un entraînement rigoureux mais pas inhumain, il y veillerait personnellement, et il en serait de même pour les autres. Ses frères et sœurs avaient déjà remarqué son laxisme, mais il allait user de son privilège d'aîné pour tous les envoyer joyeusement se faire foutre. Si le vieux dans sa boite en sapin avait cru bon de gouverner son clan par la violence et la peur, Leopold allait faire le pari risqué d'essayer de le contrôler par le respect et l'efficacité. Au moins, bien moins de personnes seraient ravis de sa mort... « Papa, tu dors ? » il se tourna, déposant sa tasse de café sur la table basse et découvrit Salomé, à moitié endormie, un coin de sa couette dans ses mains. « Non, je ne dors pas. Mais toi, tu devrais être dans ton lit. Demain on a une longue journée. » La gamine, aussi soucieuse de l'autorité que ses frères, se dandina sur ses pieds d'enfants jusqu'au canapé et le grimpa pour s'enrouler dans sa couverture et contre son père. Fatigué et le cerveau embrumé par la paperasse liée à l'enterrement, il avait abandonné et le duo finit par s'assoupir sur le canapé puant de tabac. 21 avril 2014 Ils l'avaient perdu de vue. D'habitude ça ne l'inquiétait pas particulièrement, sachant que son entraînement avait été bon. Mais, les circonstances l'avaient largement dépassé. Lui qui avait cru protéger ses enfants en ne les forçant pas à suivre leur voie. Il avait pensé s'éloigner des habitudes destructives de son père en le laissant faire sa vie comme il l'entendait et à présent il était à l'hôpital. Il avait été manipulé, blessé par un dégénéré qui l'avait utilisé comme une espèce de pantin. Ca, plus qu'une potentielle mort, l'avait blessé, lui, Leopold. En pensant faire une fleur à ses enfants, il en avait expédié un directement dans un asile. Cependant, la pensée de le savoir manipulé plutôt que fou et suicidaire était un soulagement en quelques sortes. Mais à peine l'un était en sûreté, l'autre se mettait en danger. Pourtant ils avaient établi un plan d'action, mais Salomé n'en avait fait qu'à sa tête et était partie toute seule. Leopold aussi savait ce que la vengeance pouvait faire faire aux autres et c'était tout sauf résonné et prudent. Il en avait déjà fait les frais aux prix de blessures plus profondes que celles de la chair. Le dégénéré qui avait tué sa première femme le hantait toujours lorsque son moral était bas. Et là, il avait l'impression de ressentir sur sa peau et dans sa poitrine, les mêmes sensations du soir où Alicia était morte. Il avait l'impression d'avoir le poids grandissant de la mort sur ses épaules et il n'en pouvait plus. Matthias jurait et s'énervait. Leopold appelait de temps à autres mais essayait d'écouter et d'observer en tentant de ne pas laisser sa panique de père l'emportait. Il ne traquait plus le dégénéré mais sa propre fille. Un seul de ses enfants était blessé et potentiellement traumatisé et ça lui suffisait largement, il n'avait pas envie de visiter deux lit à l'hôpital ou une tombe dans les mois à venir. L'énervement, l'urgence et la panique lui rendait les mains tremblantes et la voix de ses frères et cousins qui s'étaient tous joints à la traque pour nettoyer le nom des Callahan essayaient de s'organiser en groupes de recherche pour couvrir plus de terrains. Leopold hurla quelques ordres, les yeux toujours rivés entre les troncs des arbres, cherchant une silhouette familière. Finalement, Matthias, comme une flèche, perça à travers les arbres et s'arrêta brutalement, observant la scène qu'il avait devant lui. Leopold arriva quelques secondes après, essoufflé, la pluie tambourinant sur son crâne. Salomé se relève et il baisse un instant les yeux pour observer le cadavre carrément déchiqueté du mutant en traque. C'est sale et désordonné, il lui avait apprit mieux que ça mais l'émotion d'avoir failli perdre son jumeaux avait potentiellement pu la troubler au moment d'achever sa victime. Elle même semble un peu choquée et perturbée, très certainement épuisée de ces mots de recherches. « Allez on rentre. » Ils étaient tous trempés, fatigués et avaient certainement les nerfs en bloc. Une bonne nuit de sommeil, ou une journée de sommeil, leur remettrait les idées en place. Inutile de parler de tout ça maintenant. « On ira à l'hôpital demain. » Dit-il finalement avant de faire signe à ses deux enfants de venir. Il enleva son manteau en cuir totalement trempé et le posa sur les épaules de sa fille encore pleine de sang et entoura ses épaules de son bras, la poussant doucement dans la direction. Il y avait assez eu d'émotions ces derniers mois, il fallait qu'il reprenne tout en main très vite. Ce serait la dernière fois qu'on s'en prendrait aussi impunément à ses enfants.
Dernière édition par Leopold Callahan le Dim 29 Juin 2014 - 15:39, édité 6 fois |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 12:50 | |
| Oh, waouh. Le choix d'avatar. Bienvenue parmi nous en tout cas et bon courage pour la suite de ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 13:17 | |
| Merci beaucoup Olivia !! |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 13:20 | |
| bienvenue |
| | | Salomé Callahan MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 4164
SUR TH DEPUIS : 29/04/2014
| Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 13:22 | |
| Toi, toi, toi J'aime beaucoup le début de ta fiche, c'est juste parfait. Et puis l'avatar, la classe à l'état pur. Je ne te l'ai pas dit officiellement alors, BIENVENUE. Callahans will rule the universe |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 13:55 | |
| Merci beaucoup à vous deux !! Salomé : cool que le début te plaise, j'attend plus que sur tes frères pour faire l'histoire (rha ce qu'ils sont lents ces garçons !!) |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 14:37 | |
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| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 14:39 | |
| Super choix d'avatar ! Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 15:01 | |
| Merci Nora et merci Philip ! Tient un compagnon de sagesse ! Faudra qu'on se trouve un lien du tonnerre entre seniors XD ! |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 16:13 | |
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| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 18:08 | |
| Bienvenue ! Bonne chance pour ta fiche ^^ |
| | | Lorcan Wolstenholme ADMIN - master of evolution MESSAGES : 7339
SUR TH DEPUIS : 25/04/2014
| Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Sam 21 Juin 2014 - 19:01 | |
| Bienvenue papa Callahan Il nous faudra un lien !! Même si ton avatar fait déjà peur d'avance Bon courage pour ta fiche |
| | | Thaddeus Lancaster ADMIN - master of evolution MESSAGES : 839
SUR TH DEPUIS : 15/04/2013
| | | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. Dim 22 Juin 2014 - 23:14 | |
| bienvenue, bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. | |
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| | | | Leopold Callahan - La souffrance a ses limites, pas la peur. | |
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