Salomé Callahan a écrit:

Suffisamment pour qu'elle soit totalement alerte lorsque le message de son père arriva sur son portable, s'enquérant de sa sécurité. Et puis Aspen. Mais pas Noeh. Jamais Noeh. Pourtant, il allait bien, c'était ce qu'Aspen disait dans son message. Et cela suffisait à ranimer la douleur au fond de son ventre, à la simple idée que lui n'en avait probablement plus rien à foutre.

il est impardonnable.

J'étais triste en lisant ça puis j'ai lu ce passage aussi ensuite du coup...

Lorcan Wolstenholme a écrit:

Salomé for the first time a écrit:

Elle venait à peine de se glisser dans sa nuisette [...] elle s'empressa d'ouvrir sans prendre le temps de se changer

Ca commence très bien ce sujet je trouve

Et là toute tristesse s'est envolée
...
...
...

(Et Noeh aurait dérangé s'il l'avait appelée )
(j'imagine trop le truc maintenant Noeh qui ruine tout en appelant au mauvais moment tellement le genre de la maison en plus )

Andy a été quoté, consécration !

Bob a écrit:

-J'te tiens. J'te lâcherai pas et tu vas remonter. Toi et moi, contre le monde. Si c'est ce que ça prend.

Il ne bougea pas d'un pouce, s'assurant simplement que rien ne risquait d'empoisonner l'homme des sable par un inventaire mentale rapide. Il ne s'était jamais senti aussi apaisé et sûre de ce qu'il avait à faire depuis longtemps. Oh, et non, il ne réalisait absolument pas qu'il avait déclaré son amour. Non. Pour lui. Il avait simplement rassuré Seth. Toutes notions de déclaration de flammes étaient encore barrées par un bon gros : « deux garçons ensemble, c'est pas possible, c'est pas comme la nature le veut. » Merci grand frère.

:
JPP JPP JPP JPP
Champaaaaaagne

Robert Baxter a écrit:

Il refusait de lâcher son regard. A l'intérieur, Bob hurlait : « mais vois putain ! Vois que j'suis là pour toi ! Que c'est ce que je veux ! Que j'me saignerai pour que t'aille mieux ! Pour que tu te remettes à sourire. A quoi tu joues ? J'veux pas t'voir crever. J'veux pas te voir devenir quelqu'un que tu vas détester. Laisse moi t'aider ! J'suis sure qu'à nous deux on peut vaincre le monde ! J'te laisserai pas tomber. Allez quoi. ».
Dans la scène où il était capable de parler, dans le monde où il parvenait à se dévoiler à ce point, où il parvenait à se comprendre et à se faire comprendre à ce point. Il hurlait ces mots, il en aurait même peut-être chialer. Il en aurait sûrement pleurer...

   

Robert Baxter a écrit:

Il s'approcha de Seth. Le pas tant redouté avait été franchi sans même qu'il y réfléchisse, sans même que ça lui traverse l'esprit ne serait-ce qu'un peu. Il passa sa main ganté derrière le crâne de Seth et, y appliquant sa main, l'attira à lui avant de le serrer dans ses bras. C'était une première pour lui, de volontairement aller faire un câlin au calédonien et il était serein. Parfaitement calme, détendu. Il avait l'impression que sa tête était une clairière un jour de soleil, juste après la pluie. Tout était paisible et silencieux, agréablement silencieux. Il le garda contre lui, ne ressentant pas la nécessité de s'éloigner.

                           
   
je...

Lorcan Wolstenholme a écrit:

Il avait suffit d’une seconde pour obtenir la certitude qu’il ne voulait pas parler de ça avec elle, et qu’il n’aurait jamais du venir ici. La honte, la peur, le dégoût de tout son être, se mêlaient si intimement qu’il n’avait plus envie de parler à qui que ce soit, encore moins à elle. Pourtant, il voulait la voir, il voulait que ce soit elle qui lui parle, qu’elle sorte de sa tête ses images terrifiantes de son père…

Il me tue pauvre p'tit bébé

Lorcan a écrit:

Il suivit Malachi à l’intérieur, jetant un regard nerveux autour de lui. Comme la toute première fois, il notait les issues de secours, juste au cas où. Ca aussi, c’était complètement con, mais c’était un réflexe. « Je vais pas vous déranger longtemps. » Commença-t-il après avoir eu encore plusieurs secondes d’hésitation. « J’ai besoin d’apprendre à contrôler ma … ma mutation. Et je voulais savoir si votre proposition de m’aider tenait toujours. » Lâcha-t-il, très vite, en fixant un tableau au mur, comme si cette question qu’il venait de poser n’avait pas tant d’importance que ça.

Le moment où Lolo est devenu officiellement un Xmen

Jekyll Stevenson a écrit:

« Okay, alors moi je ne fous pas un pied dehors avec la réincarnation de Lindsay Lohan.  » Ce n'était pas, un compliment, du tout.

ça m'a trop fait rire c'est pas bien, meuh bon

c'est à cause de toi qu'elle avait l'air de Lindsay Lohan Nono, elle pleurait toutes les larmes de son corps à l'époque (quand t'étais dans le coma, finalement c'est peut-être pire maintenant que tu parles à nouveau. nihiiii, je rigole, c't'ait une petite vengeance mon bro d'amour, viens faire un câlin. )

Citation :

« Tu m'as déjà perdu Bea. J'devrais pas être ici. J'devrais pas revenir vers toi tout le temps. Tu me rends folle Lecter, complètement folle. »  Beatrix l’observait faire semblant de s’arracher les cheveux, et son coeur se réchauffa égoïstement ; elle était heureuse de ne pas être la seule à souffrir. Heureuse, de voir qu’elle aussi perdait la tête, qu’elle n’était pas seule. Heureuse d’être celle qui la faisait souffrir aussi. Pourtant, ça n’avait rien d’heureux ; elle se doutait qu’elle l’avait déjà perdu depuis longtemps, mais de l’entendre à nouveau ça ravivait la douleur. Elle ne voulait pas la perdre, jamais. Beatrix se rapprocha de la belle qui lui tournait le dos, et déposa sa main sur son épaule, une caresse dont elle n’avait plus l’habitude. « Alors pourquoi t’es là, Lykke ? Pourquoi tu reviens à chaque fois foutre le bordel dans ma vie ? » La dureté de ses mots contrastait avec la douceur avec laquelle ses doigts glissaient contre le dos de la belle, avant de se perdre dans ses cheveux blonds. La Lecter ignorait pourquoi elle faisait ça ; elle ne pouvait pas s’en empêcher pourtant. « Qu'est-ce que t'attends de moi ? » La brune étouffa un rire. Elle aura pu lui poser la même question. La main de la chasseuse se fit plus dure, empoignant l’épaule de Lykke et l’obligeant à se retourner. Elle voulait la voir, elle voulait lire la même douleur sur son visage. « Honnêtement, j’en sais foutrement rien. » ironisa Beatrix. « A chaque fois que j'pense avoir tourné la page, t’es là. A chaque fois que les choses se calment, tu reviens, et tu fous la merde. » Beatrix roula les yeux au ciel, battant rapidement des cils pour chasser les larmes. C’était à son tour de s’approcher d’elle, doucement, plongeant sa main dans ses cheveux et attirant son visage contre le sien. La chasseuse posa son front contre celui d’Holgersen, ses doigts toujours perdus dans ses cheveux, ses yeux plongés dans les siens. Il n’y avait plus de rage, plus de colère dans sa voix. Rien que de la fatigue. Elle était fatiguée d’être aussi perdue. « Pourquoi on s'fait ça, Lykke, hein ? Pourquoi on arrête pas de gâcher nos vies comme ça ?

I.. I can't
IT'S WAY TOO EARLY FOR ME TO BE CRYING.
Au secouuuuuuuurs.

ah bah merde ARRÊTEZ

Au moins elle prévient, elle est gentille comme tout.

Bianca a écrit:

C’était naïf, de penser qu’un être aussi monstrueux puisse faire preuve de tant de compassion

... C'est ps gentil ca

Bianca a écrit:

« Qu’est ce que tu veux ? » souffla-t-elle finalement en faisant glisser un menu vers lui.

... Parce qu'elle espère encore qu'il va juste réclamer des oeufs et du Bacon ?

Bianca Castle a écrit:

Sans réfléchir, sa main empoigna discrètement le couteau sur la table ; à quoi bon pourtant, la belle savait qu’elle ne faisait pas le poids face à Parrish. Ses doigts se relâchèrent alors qu’il continua.

elle a bien fait de lâcher ce couteau non mais quand même pauvre Parrish Bianca va lui briser le coeur encore qu'elle lui fasse des bisous plutôt

Lorcan Wolstenholme a écrit:

« Dis-moi que Noeh n’a pas vu ça. » Avant toute chose, il avait besoin qu’elle le lui confirme, un besoin viscéral, soudain. Mais après avoir vu ce qu’il avait vu, il commençait à en douter. Sérieusement. Parce que ça expliquait carrément pourquoi Noeh avait l’air de vouloir le flinguer, la dernière fois. « De tous tes exs et de tous les trucs que t’as fait que Noeh ne devait jamais voir, c’est pas à moi que t’as pensé en premier, hein ? »

qu'il est futé ( ) il devrait être flatté
(il est si mignon avec Sam petit Lorcan je fonds )

Lorcan Wolstenholme a écrit:

Lorcan fronça les sourcils. Pourquoi il repensait à ça maintenant ? Pourquoi est-ce qu’il … se voyait … s’approcher de lui-même pour … s’embrasser ??? L’image était si vivace, et en même temps si étrange, que Lorcan ne parvint pas à penser à quoi que ce soit d’autre. Il n’eut même pas le temps de trouver ça dégueulasse, parce qu’il ressentit en même temps un sentiment bizarre, pas tout à fait étranger mais qui n’était pas le sien, il en était certain.

Sam leur fait quand même vivre de super expériences ils pourront même en parler un jour tous les deux à ce stade

Salomé Callahan a écrit:

« Ouais, c'est chiant mais c'est comme ça, il s'en remettra, c'est pas grave, j'm'en fous. » C'était loin d'être vrai, mais s'ils pouvaient éviter d'en parler ce serait bien, parce qu'à chaque fois c'était le même souvenir de la fête de l'hiver qui lui revenait et il allait falloir que ça s'arrête sérieusement.