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(points ajoutés)

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Bonjour,

Sur le trajet du retour, dans le bus, j'ai examiné le détail de mes notes. Je me suis rendu compte d'une petite erreur à propos de l'évaluation sur mon scénario... Je n'ai fait qu'une faute d'orthographe, et j'ai perdu 1,2 point, au lieu des 0,2 que vous aviez indiqué (je vous joins une photo de votre correction). Malheureusement je ne m'en suis rendu compte qu'une fois dans le bus... Je préfère vous adresser ce courriel, dans le doute...

RDV demain CDG 14H, bisous !

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, au milieu des gens

American Oxygen

Je connais pas de médecin personnellement. Mais à mon avis faut appeler une ambulance. Vous savez ce qu'il a exactement ?

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https://www.youtube.com/watch?v=Xa_SnDDNWQo

“ Yo del escritor y el juego de la escritura ”




Caperucita Roja (page 1)
El Enamorado y la muerte (Page 2)
Alice Madness Returns (P3)

Rien ne se crée, tout se transforme dit le dicton. Il est possible d'appliquer cette idée à la littérature et à la culture de manière générale, une oeuvre peut en inspirer une autre et il est rare de voir des oeuvres renouveler le genre littéraire. Il existe des oeuvres fondatrices comme Roméo et Juliette qui se présente comme la première histoire d'amour de l'histoire et qui en inspirera de nombreuses autres. Il en va de même pour les histoires plus classiques, comme pour le premier document qui tire sa source d'inspiration du conte le petit chaperon et qui devient ici une satire de la société en offrant une vision humouristique sur la jeunesse et ses désirs pour le futur. Il s'agit là d'une détournation du but originel pour moderniser une histoire, il s'agit là d'une réécriture. Le second est un texte chanté par les troubadours qui sera finalement transformé en poème pour permettre à celui de ne pas se perdre puisqu'il était chanté au quinzième siècle et qu'il se transmettait exclusivement à l'oral. Le troisième document, est un jeu vidéo dont vous pouvez observer la couverte et qui s'inspire librement d'alice au pays des merveilles de Lewis Carroll pour en faire une oeuvre moderne et l'inclure dans les problèmes de société actuel et en faire un jeu atractif tout en reniant ses origines pour en faire une oeuvre originale et hors des idées reçues du personnage d'origine.






Dossier 1 LELE « Imaginaire »
Documents cours : El minotaure (el labyrinto) & Eldorado
Documents persos : Alice in wonderland
Idée : Les lieux imaginaires

El real se presenta como une notion muy complicada. La imagination demestruan que es possible de crear una otra realidad con otra lugares. Menos aspectos de la literaturia le demuestran, y mas autor crean un mundo differentes del mundo real. En la historia del minotaure, es unicamente un aspecto de la historia : el labyrinto. Por menos personnajes, es un exemplo de la complexidad de la vida. La historian presenta un monstro que mata todos personnajes en el labyrinto, pero en por menos historia, el mundo no se limitan à un aspecto de la historia, pero mas à la historia. Eldorado es la histoire de una cuidad de ojo y alice in wonderland presienta un mundo alternativo que es el principal protagonista de la historia. Los mundos, son une manera de escapar al quotidiano y de presentar los problemas de la sociedad por todos y como una metafora. El mundo de Eldorado es una representacion de la sociedad o todos son iguales, aunque el mundo de alice in wonderland es una representacion de los fantasmos.



“ Imaginario ”




La casa de Asterion (page 1)
El Dorado (Page 2)
Cartel de Wonderland (tim burton) (P3)

L'imaginaire nourrit l'enfance et permet à l'enfant de grandir. L'imagination se nourrit des histoires, des personnages, mais principalement des univers dont sont issues les contes et légendes dont tout le monde parle. L'élèment déclencheur de l'imagination semble néanmoins dans les univers qui consititue l'oeuvre. Le premier document est une oeuvre de Jose Luis Borges, qui compte l'histoire d'un minotaure perdu dans un labyrinthe dont la sortie n'existe pas qui se retrouve alors confronté à la solitude dans cet univers anormal et différent de celui présent pour venir forcer le lecteur à faire intervenir son imagination. Le second document est un mythe latino-americain qui raconte l'histoire d'une cité d'or qui est le symbole de la richesse, ce mythe sera alors approprié par la culture populaire pour en faire une histoire intemporelle au travers de plusieurs films et livres. Le contexte invite à s'évader et la cité d'or représente un idéal de penser et physique, il ouvre les portes d'un monde nouveau et pousse l'individu à réfléchir sur sa réelle position dans le monde. Le troisième document est une image de “ wonderland ” qui est tiré du film de Tim Burton.

Seth : *Il fixe la machine et tend le bras vers le socle très doucement, comme pour y poser

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La frontière entre le bien et le mal avait toujours été nette à l’esprit d’Alec ; quelque chose d’immuable, qu’aucun événement n’aurait pu changer : les transmutants avaient été de ceux qui avaient tué sa famille, exterminé son père et sa mère pour des raisons totalement arbitraires. Livré à une existence solitaire, il avait erré, cherchant sa voie dans une destinée qu’il n’aurait jamais cru épouser, mais qui lui avait donné une raison de continuer. Une raison de croire en quelque chose : à Felix et à la chasse, il devait sans doute sa survie, la survie de son intégrité, de son honneur – que serait-il devenu sans les Lecter et leurs enseignements ? Sans son meilleur ami pour l’épauler, et lui donner une cause pour laquelle se battre ? Dans les tréfonds de ses pensées, il trouvait souvent des réponses déplaisantes à ces lancinantes questions, des vérités qui auraient fait de lui un pauvre type, un gosse de riche, héritier de l’empire de sa famille destiné simplement à ruiner l’héritage des Lynch. Il était devenu autre chose, quelque chose de plus ; quelqu’un avec un but, une destination précise, d’un côté bien précis de la frontière tracée à son esprit.

Les mots entendus ce soir par tout Radcliff avaient à peine fait leur chemin jusqu’à son esprit encore ; Alec les fuyait avec la même force et la même volonté qu’il fuyait ces vérités que le Destin avait craché en plein dans son visage. Sa nature de transmutant. De monstre ; il appartenait alors, ironiquement, aux créatures qu’il avait passé treize longues années de sa vie. Et ce soir il se murmurait, quelque part, que les chasseurs eux-mêmes étaient des monstres. Peut-être avait-ce été la force de l’explosion, l’empressement de l’instant, l’inquiétude palpitant sous sa peau, mais Alec avait chassé la voix robotique de son esprit, Lancaster et les morts récentes, ces histoires à des milliers de kilomètres des choses pour lesquelles il se battait. Lancaster était un politicien, et derrière les apparences, Lynch connaissait les politiciens, les hommes comme son père, si aptes et prompts à manipuler, faire leur chemin jusqu’au sommet de la pyramide. Peut-être bien que tout ceci était vrai. Peut-être bien… Loin du regard de Calista, en écho à ses mots, le chasseur laissa le doute glisser sur les traits de son visage, pour une fraction de seconde à peine. « J’en sais rien, Calista. » reconnut-il, d’une voix somme toute, neutre. Ça ne changeait rien pour lui : les transmutants qu’il avait arrêtés pendant ces treize longues années avaient tous eu en eux la graine de tueurs qui l’avait amené à être orphelin aujourd’hui. Il le savait, et il ne pouvait pas perdre ça. Une conviction aussi solide qu’un acier trempé, qui regagna le visage du Lynch au moment où il revint devant la blonde. « Est-ce que c’est important ? » dans la pénombre d’une ruelle presque ignorée par le chaos, il dévisagea un instant Calista, sans laisser les doutes de la jeune femme le gagner à nouveau. « Regarde ce qu’ils ont fait. Regarde-toi. Ce sont des tueurs Calista. Tout ce qu’on a, c’est des paroles : où sont les preuves ? Mais ça- » d’une main ferme il désigna les plaies sur le corps de Calista, sa jambe encore saignante, les brûlures. « Ça, ça prouve qu’on sait pourquoi on fait ça. Tu vas pas me dire que ce qu’ils ont fait ce soir était bon. T’en es sortie vivante, mais combien de gens seront morts demain ? » Et ses mains si promptes à parler pour son énervement, vinrent finalement trouver le visage de la jeune femme, ses joues – il soutint son regard de plus près. « Je sais pas qui a fait ça. Mais ils t’ont blessée. Et ils ont blessé d’autres gens. Et y’a aucun doute sur ça. » et ils paieront. Les derniers mots restèrent piégés dans la gorge du chasseur, qui finit par relâcher la jeune femme, fuir son regard pour avancer vers la voiture et faire signe à Calista de monter, ils n’avaient pas de temps à perdre, pour fuir loin d’ici.