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| ( leméon ) Elle l'avait remercié d'un beau sourire insaisissable, pareil à une rafale de vent glacial. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: ( leméon ) Elle l'avait remercié d'un beau sourire insaisissable, pareil à une rafale de vent glacial. Dim 4 Mai 2014 - 16:08 | |
| « Il y avait entre eux un espace commun dont les confins n'était pas bien tracés, où rien ne semblait manquer et où l'air paraissait inerte, tranquille. » Elle en sait pas dire non à Siméon, comme toujours. Surtout quand elle se trouve avec Andréa sur le dos pour une remarque désobligeante faite à son père. Leon ressent parfois l'envie de lui mettre son poing dans la figure. Exaspérant ce bout de son passé qui la suit partout, et Andréa se comporte parfois plus comment un copain que comme un ami, de qui la rendre assez folle pour lui faire payer un baiser voler, à force d'user de son pouvoir. Il se retrouve souvent avec une douleur au lèvres qui l'a fait bien rire, principalement quand il arrive par surprise du côté gauche, et qu'il se trouve assez discret pour qu'elle ne l'entend pas arriver. Comme ce matin. De quoi appeler vite fait Siméon, pour passer la nuit chez lui. Une solution pour mieux fuir. Elle ne veut pas qu'Andréa connaisse son ami rencontré au détour d'un café bar. Non pas par jalousie, parce qu'elle sait qu'il sera du genre à s'incruster dans chaque sortie qu'elle fera avec lui, et sans qu'elle sache pourquoi, elle veut garder Siméon, dans une bulle à elle. Elle n'est pas amoureuse, trop tôt, trop vite. Prendre un risque qu'elle considère inutile n'est pas son genre. Elle a juste envie de ne partager avec personne d'autres ces moments là. Juste un petit caprice qu'elle s'autorise avec lui. Tant qu'elle ne tombe dans ses bras à la moindre occasion. L'échec Andréa reste marquant, et elle préfère se perdre dans des relations d'un soir qu'avec un ami qu'elle risque de perdre. Mais aujourd'hui, elle a juste envie de ne plus penser à ce qu'il se passe autour d'elle. Juste un rapide coup de file pour savoir si oui ou non, il est disponible, et même si c'était un nom, elle aurait quand même été le voir sans qu'il en soit forcément au courant. Elle reste un moment dans son lit, de quoi descendre pour midi, déjeuner et filer à la douche juste après. Elle effectue le même rituel que la vielle, elle applique le bandage autour de sa poitrine avec une patience d'ange, et des gestes souples. Si avant, elle n'en avait pas besoin, elle se trouve avec assez de poitrine, ou presque, pour se balader avec un bandage. C'est toujours son père qui le mettait, jusqu'à ce qu'elle devienne assez grande pour le faire seule. C'est presque devenu un moment privilégié, intime avec elle-même. Elle sait que ce n'est pas ce qu'il y a de mieux, qu'elle a droit à une autre vie, mais dans le fond ça lui plait, cette situation. Sans qu'elle sache pourquoi, elle n'essaie pas de chercher plus loin que le bout de son nez. Elle s'en fout après tout, c'est une façon d'être protéger du monde, une autre façon de faire sa vie, c'est tout. Elle s'en fiche, pour le reste, elle se fiche à force de ne pas mettre de robes, de jupes, de talons. Que dans les galas de papa pour ses livres, elle porte un costume trois pièce qu'une robe en dos nu et au décolté plongeant. De toute façon, elle n'a pas assez de poitrine pour qu'elle puisse mettre un décolté. Elle cherche vite un sac à dos, de quoi mettre une tenue de rechange pour le lendemain, et autres choses utiles, sait-on jamais, que les mains sont un peu trop baladeuses. Pour ce qui est prévenir son père et sa mère, elle laisse un mot griffonné, en trouvant l'excuse qu'elle se rend chez des amis, elle précise un nom au hasard assez loin de chez eux, une heure ou deux, pour que son père ne la fasse pas chercher, et elle fausse compagnie à Andréa. Libre, elle appelle un taxi. Avec son oeil mort, elle ne peut se permettre de conduire. Visibilité réduite de moitié, elle ne verrait pas ce qu'il se passe à gauche. Quitte à dépenser des sous inutilement, autant le faire pour qu'elle ne finit pas dans une boite en bois. Un sourire en coin des lèvres, elle erre un peu dans la rue marchande, après avoir fait arrêter le taxi, elle a envie de glace, et il est trop tôt pour qu'elle aille chez Siméon. Elle erre dans la rue, et trouve vite un cd qui pourrait plaire à son ami, tout comme un petit chat errant, trop jeune pour pouvoir vivre seul. Elle a vite pris le chemin inverse, et a appelé un autre taxi. Elle s'est rendue Siméon, sans un mot au chauffeur, qu'elle a du convaincre de garder la boule de poil dans la voiture. Quand elle est arrivée chez lui, elle est entrée une fois que la sonnette a indiqué sa présence. Elle n'a pas attendu d'entrée ou autres, si jamais il avait quelqu'un, elle voulait voir de quoi il s'agit. Jalouse ? Juste un peu, juste ce qu'il faut, même si pour elle, c'est modéré, ça peut paraître légèrement excessif. Quand il apparaît dans son champs de vision, elle lui donne le chat, en expliquant qu'il serait plus heureux chez lui, et qu'il fallait juste le nourrir au biberon, et au CD, elle trouve l'excuse qu'il trainait dans sa chambre, et qu'elle ne l'aimait, autant qu'il fasse et plaisir, et elle pensait que ça lui plairait. Juste une parade pour pas dire que le CD avait été acheté, tout comme le chat prit dans la pure intention qu'il ne soit pas vraiment seul. Un mensonge sans conséquence, avant de partir dans un bar. C'est assez loin pour qu'elle appelle un taxi, elle sait qu'il ne prend pas la moto quand c'est loin de chez lui. Et puis, au moins, elle sait ne pas y trouver Andréa. D'une, le bar est trop loin de ses endroits à lui, de deux, elle n'en a jamais parlé, donc il ne la cherchera pas de ce côté là, et de trois, c'est un bar gay, et Andy est tout, sauf gay. Quelques verres, deux trois réflexions sur la sexualité de chaque personne présente, et Leon est légèrement soul, assez pour y voler un baiser, ou deux, pendant la soirée, assez aussi pour danser un peu trop contre lui. Assez aussi pour être un peu plus proche de lui que d'habitude. Elle en est consciente, mais elle n'arrive pas à se modérer, si bien quand lors du retour, elle s'est permise un plus long baiser, plus langoureux aussi, le premier du genre. Première fois aussi qu'elle a envie de tout lui dire, première fois aussi qu'elle laisse les mains de Siméon essayaient de passer sous son t-shirt. Mais le raclement de la gorge, du chauffeur la fait reculer, et se trouve légèrement rouge sur ses joues. Elle ne sait pas où se mettre, et choppe le téléphone de Siméon sans rien dire ni demander, elle ne va pas voir ses messages, il est juste a côté, elle trouve de quoi s'amuser, un jeu tout con, mais qui permet juste à Leon de ne pas montrer qu'elle est un peu rouge, même si avec l'alcool but lors de la soirée, elle n'est pas sur que ça se voit tant que ça. Concentrée dans le jeu, elle laisse échappé le téléphone, qui atterrit entre ses jambes. Elle l'attrape, sans se rendre réellement compte qu'elle est un peu plus proche de la tige de Siméon qu'elle ne le pensait. C'est quand elle se rend compte, elle lâche un léger rire, pour ne pas montrer qu'elle est légèrement mal à l'aise et troublée, et trouve une excuse aussi pitoyable que son rire peut convainquant.
« Je voulais voir si tu étais prêt pour le saut à la perche. »
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| | | | Sujet: Re: ( leméon ) Elle l'avait remercié d'un beau sourire insaisissable, pareil à une rafale de vent glacial. Dim 4 Mai 2014 - 20:55 | |
| Accepter de sortir avec Leon, il aurait dû refuser. C’est trop de surprise en une fois pour une soirée. Il ne nie pas avoir toujours voulu un petit animal mais vu son studio, ce n’était pas forcément une bonne idée. Et pourtant il ne peut dire non. Prendre soin d’un petit être blessé ça le soulagera bien. Il aime bien, ça fait oublier les problèmes. Et puis c’est son p’tit gars qui le lui apporte et il ne veut pas apercevoir sa moue triste lorsqu’il déclinera son cadeau. Il a simplement pris les présents avec un bisou sur le crâne en guise de remerciement. Il sait bien que son ami refusera s’il veut lui voler un baiser. Il a tenté assez souvent en se prenant un vent. Alors il préfère être sage. Il attrape seulement sa veste en cuir qu’il passe au-dessus de son t-shirt noir. Il n’aime pas devoir descendre pour attendre un taxi même si le temps passe vite accompagné. La moto a de loin sa préférence. Plus rapide mais plus dangereux pour rentrer surtout. Il ne veut pas se crasher avec le mec qu’il essaie de mettre dans son lit depuis un mois, car il ne compte pas s’empêcher de boire ou se restreindre. Il aime bien enchainer les verres lorsqu’il sort, ça donne un prétexte pour ne pas passer totalement pour l’ivrogne de service. Même si ça s’enchaine, aussi vite que les mecs qui passent sous ses yeux. Ses lèvres bougent plus rapidement que son cerveau ne fonctionne et il arrive à poser des questions aussi conne que tu crois vraiment qu’il est gay. Sait-on jamais, certain font assez hétéro à ses yeux pour que ce ne soit qu’un test d’une nuit. A côté de Leon, il ne peut pas passer que pour le gay de service. Enfin, lui passe plutôt pour l’accompagnateur du gamin aux cheveux roses, qui lui fait vraiment gay. Et puis il s’en fout de ses propos. Les paroles sont dites, il est trop tard pour faire marche arrière et les aspirés au lieu de les expirer. À l’intérieur de sa bouche pour que personne n’ait rien entendu. Il oublie ses bêtises en buvant d’autre verre. Les alcools sont variés et s’enchainent facilement. Son cerveau ne suit plus le chemin depuis longtemps, il a dû mal à nager hors de l’océan alcoolisé dans lequel il flotte. Et puis l’ambiance lui donne juste envie de poser son corps contre celui de Leon et d’apprendre à le découvrir. Il y a bien la piste de danse qui satisfait en partie ses envies mais qui lui en donne de nouvelle par la même occasion. Il a envie de passer sous son t-shirt : griffer son torse, mordre ses tétons, lécher son ventre pour arriver jusqu’à la preuve de sa masculinité et lui offrir une petit gâterie à laquelle il aura une réponse similaire,... Alcoolisé, Siméon est câlin et il a surtout la folle idée de laisser parler ses désirs qu’il tait de son mieux dans de petits baisers volés. Pas besoin de parler, pas le temps quand il préfère échanger sa salive contre celle du désiré. Il n’en a pas eut assez au bar, le taximan en a la preuve. Il peut les voir aisément dans le rétro. Le journaliste ne se contente plus que la bouche. Dans sa tête, ils se retrouvent ailleurs, à deux. Il cherche son cou dans lequel il dépose quelques léchouilles avant de mordiller amoureusement. Ses mains sur le ventre plat et pas musclé de Leon. Il ressemble à une femme de ce côté. C’est plaisant d’avoir les qualités des deux sexes. Car ses lèvres aussi étaient plus durs et rêche, liés à ses souvenirs d’hommes. Et s’il s’étonne de ne pas se faire arrêter dans ses manœuvres, ça ne dure pas longtemps. Il entend le raclement de gorge avant que tout reprenne la routine morne et ennuyante. Sa tête se tourne sur le paysage qui défile à la fenêtre, alors qu’il en aperçoit à peine les contours. Le chauffeur a trouvé comment le faire râler comme un gosse. Il a même eut droit à un petit « T’as pas de femmes peut-être ? ». L’envie des bras de Leon est forte ce soir. Rien ne l’empêchera de râler quand il pensait enfin avoir atteint son but. Sa peau a juste pris des reflet violet dû à la frustration. Son gsm s’est fait la malle sans qu’il ne le sente, du moins jusqu’à ce que des mains malhabile viennent se poser près de son sexe. Lui aussi il a envie des bras du jeune homme pour gonfler de plaisir. Ses yeux viennent se poser sur l’appareil pour voir le jeu. Un sourire pervers peint sur les lèvres, un rire sans discrétion s’abat dans la voiture. Il glisse ses lèvres jusqu’à l’oreille de son p’tit gars.
« Si tu veux on pourra dire que t’es un prisonnier et on jouera à un autre genre de tetris. »
Avoir les journaux sous les yeux en quasi permanence, c’est bien pour connaitre les différents noms du sexe. Il se souvient bien de celui qui parlait de tetris pour désigner les hommes trouvé en train de faire mumuse en cellule. Il devrait se trouver une place là-bas, il devrait sûrement moins attendre qu’avec le rose. Peut-être qu’il aurait même un gardien assez cool ou pervers pour les regarder faire et les laisser finir leur partie. Heureusement que la maison n’est pas loin pour le faire cesser les idées obscures. Il paye difficilement le chauffeur. Avant de se tirer de la voiture et de prendre la main de Leon pour l’aider à se hisser hors du véhicule. Il n’a pas lâché sa main pour arriver devant l’entrée. Il y a des risques qu’il arrive encore à se perdre en chemin le petit. Il ne veut pas le voir fuir. Déjà que le pass pour ouvrir la porte d’en bas lui fait la tête et le laisse dans les problèmes une bonne minute. Epreuve de patience, réussis avec presque brio. Il entraine son compagnon dans la longue série d’escalier avant de le coincer en plein milieu. Il vole un baiser, les mains ancré sur la base de son t-shirt avec l’envie de le retirer. Il prend les airs des plus grands bandits de film policier.
« T’ont coffré pour quoi, toi ? »
Il vient poser son front contre celui de son prisonnier, les yeux rivés d’une étrange manières sur ses lèvres. Il en a envie, il se fout qu’il rentre dans son jeu ou non. Il vient poser ses lèvres sur leur paire, avant de les laisser les frôler. Il ne compte pas libérer Leon sans réponse de sa part. |
| | | | Sujet: Re: ( leméon ) Elle l'avait remercié d'un beau sourire insaisissable, pareil à une rafale de vent glacial. Ven 9 Mai 2014 - 10:03 | |
| « Il y avait entre eux un espace commun dont les confins n'était pas bien tracés, où rien ne semblait manquer et où l'air paraissait inerte, tranquille. » Trouver dans le regard d'un autre ce qu'on semble avoir perdu, c'est un peu ce que Leon ressent quand ses yeux croisent ceux de Siméon, sans savoir ce qu'elle recherche. C'est une question qui a occupé dix minutes son esprit avant le premier verre, et le second, et puis tout les autres. Question idiote qu'elle a laissé courir et dont la réponse fait peur, assez pour qu'elle oublie pour le reste de la soirée, et des moments qu'elle passera après de Siméon. Et l'alcool aidant, elle se libère un peu plus, elle laisse franchir des limites qu'elle ne laisserait pas en temps normalement. Ca l'aide, dans tout les cas, à montrer un peu plus d'affection à Siméon. Après tout, malgré son secret, elle peut lui faire ce genre de cadeau, ce ne sont que des baisers, ça ne peut pas être plus. Juste assez pour satisfaire sa curiosité, sans prendre de réels risques. Elle sait qu'elle doit rester ce que papa lui a demandé d'être, mais l'homme avec qui elle danse en ce moment mérite qu'on lui dise la vérité. Elle a envie de voir juste ce qu'il veut réellement, et qu'elle ne fonce pas tête baisser dans le mur, mais le sang dilué par l'alcool et sa réflexion égale à celle d'un oiseau, elle ne va pas trop loin, elle ne va pas plus loin. Son corps contre celui de Siméon éveille de légères sensations, quelque chose qu'elle cherche perpétuellement à cacher. Elle ne veut pas céder à ce qu'elle ressent, c'est prendre le risque de le perdre. Elle ne veut pas. Juste qu'elle ne veut pas le voir partir pour une connerie du genre. Elle trouve vite les lèvres pour faire partir ses pensées, elle aurait presque l'alcool triste. Ce qu'elle cherche à fuir, elle ne veut pas se mettre à pleurer devant lui, comme une folle. Même si c'est ce qu'elle, elle ne veut pas que ça se sache, trop facile comme découverte. Elle passe au-dessus, elle laisse ses lèvres contre les siennes, qu'elle quitte que pour trouver place dans le taxi, avant de trouver à nouveau celle-ci. Elle ne veut pas le quitter, elle ne veut pas qu'il s'en aille loin, un peu trop loin. Ses lèvres contre les siennes, elle laisse un baiser langoureux, tendre. On pourrait presque croire qu'elle y met un peu d'amour. Il ne faut pas y croire, c'est réel. Sans qu'elle se rend compte, elle ouvre la porte à tout ses secrets, mais ce qu'elle a bu aide fortement, comme toujours. Elle assume mieux le secret de papa, elle assume mieux le fait de se faire passer pour un garçon. Mais dans ce taxi, à ce moment précis, elle ne sait plus qui elle est. Ses lèvres se sont retrouvés séparées de leur jumelles, elle en était presque déçue, jusqu'à qu'elle sente Siméon dans son cou, elle frissonne longuement, et l'envie de nouer jambes autour de ses fesses est fortement présente. Elle ne peut rien faire, dans tout les cas, elle laisse doucement son corps tomber dans les bras de la luxure, jusqu'à ce qu'elle entende le raclement de gorge du chauffeur, elle vire doucement aux rouges, comme toujours. Elle se perd vite dans un jeu trouver quand elle a emprunté le téléphone de son ami. Juste de quoi faire passer le temps, et aussi de voir sa capacité de réflexion, elle entend à peine Siméon râler, ça lui arrache quand même un léger sourire, mais elle ne sait pas quoi faire, elle ne sait pas quoi dire, elle est juste perdue, assez pour laisser tomber le téléphone entre ses jambes, elle le récupère, légèrement rouge, elle espérait qu'il ne remarque rien, qu'il laisse tomber ou s'il le voit, qu'il ne fasse aucune réflexion, mais son rire la laisse encore un peu plus rouge sur les joues. La jeune femme reprend sa place, avec la phrase qui trouve le chemin de son cerveau, elle esquisse un léger sourire, elle doit paraître bien prude mais elle veut juste garder son secret.
« Ce n'est pas vraiment mon jeu préféré, tu sais. A ce rythme, autant jouer au gendarme et au voleur. »
Elle sait que ça doit être lié à son métier, mais elle ,ne comprend pas trop sa référence Mais son coeur bat un peu plus vite, ce qu'elle essaie de faire terre, ce qu'elle essaie de ne pas montrer. Amoureuse ? Non, c'est juste à cause à l'alcool, c'est juste ça. Elle ne peut pas mettre amour dans sa relation avec lui, elle peut pas prendre le risque de se perdre, une nouvelle fois, et elle ne veut pas. Prendre le risque de le perdre, ce n'est pas ce qu'elle veut, ce n'est pas ce qu'elle pourra supporter. Ce n'est pas Andréa, il ne reviendra pas en courant lui. Décidemment, l'alcool la rend triste. Ce n'est qu'une fois sortie qu'elle sent la main de Siméon dans la sienne, elle la serre doucement et laisse trainer comme une voleuse, comme s'ils avaient braquer une banque. Elle rit quand elle le voit légèrement galérer avec. Elle se laisse trainer dans un dédale d'escaliers, elle a l'impression d'être en fuite, de fuir avec lui. Qu'au bout du chemin, ils auront une place à deux, un endroit à eux, elle a envie de courir, encore. Mais bien vite, elle s'arrête avec lui, ses lèvres dans les siennes. Elle répond, jusqu'à sentir son dos contre le mur, elle le regarde, avec un air de victime. Elle entre dans son jeu, l'alcool aide. Peut-être aussi son coeur qui laisse diriger.
« Parait que tomber amoureux d'un voleur est un crime. »
Un sourire, ses lèvres contre les siennes, elle ne l'arrête pas, elle ne sait pas ce qu'il passe dans son corps et dans sa tête. Elle laisse faire, à croire que c'est le moment, c'est trop tôt pour tant, mais ce qu'elle veut, elle veut lui dire. Elle veut lui dire, il est temps. Son coeur bat un peu plus vite. Elle se laisse encore avoir dans la spirale amoureuse. Ca la prend encore. Encore, elle laisse le sadique amoureux prendre place dans sa vie, et ses lèvres dans les siennes, elle cherche son contact une fois, deux fois, trois fois. Elle ne lâche plus ses lèvres.
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| | | | Sujet: Re: ( leméon ) Elle l'avait remercié d'un beau sourire insaisissable, pareil à une rafale de vent glacial. Jeu 15 Mai 2014 - 11:43 | |
| Le chauffeur ne peut que se faire balayer de ses pensées lorsque le gsm tombe entre ses cuisses. Il a tellement envie de voir ce dont ces mains sont capable lorsqu’aucun tissus ne les sépare de la peau, et encore plus à ce niveau-là. Il a envie de mesurer son niveau de dextérité, la facilité avec laquelle il atteindra sa virilité pour la faire monter comme la tour Eiffel. Eiffel, ça lui fait penser à érection. Erection ça sonne… Ca sonne.. Enviable ! Plus que de ne pas en avoir. Il a envie de trouver de la chaleur dans les bras nus de Leon. Son p’tit gars lui donne envie, à moins que tout ne soit qu’à mettre sur l’alcool. Ca ne doit pas qu’être ça, il a assez attendu. Il n’est plus assez patient. Il aurait dû tenter sa chance et passer à autre chose en voyant que ça ne menait à rien. Leon est dur à mettre dans le lit dès la première nuit ou la seconde, et toutes celles qui ont suivis. Il aurait dû se rabattre sur un gars plus facile. Seulement à force de lui laisser voir des ouvertures dans la braguette du jeune homme, il a réussis à le fidéliser un peu. A la recherche du sexe de Leon, même s’il est micro ou qu’il ne sait pas s’en servir, ce n’est pas important. C’est lui qui profitera de sa chaleur dans ce cas-là. Il a juste envie de voir autre chose que ses vêtements trop larges. Ses pensées se mêlent entre son sexe et celui de Leon, ses pensées sont parties se réfugier sur les chairs nues. Et toute leur métaphore le fait surement autant rire que le jeu auquel s’amuse son p’tit gars. Il n’a pas dû lui expliquer avant où il a oublié, il ne sait plus. C’est trop intellectuel pour s’en rappeler. Ca ne leur colle pas au corps comme un post-it alors il s’en fout. Par contre, ça lui permet d’approcher la bouche de son oreille.
« J’espérais que tu l’aimerais autant que moi. Certains gardiens de prison utilisent ça quand ils tombent sur deux types en train de s’amuser. Je voulais jouer avec toi. »
Ses phrases pleines d’envie sont ponctué par de petit baiser le long de la mâchoire. Il ne devrait pas lui faire un dessin, même si il ne comprend pas la signification de ses propos. Et dans tous les cas, il n’y a pas le temps de trouver une feuille et un crayon, la voiture vient de s’arrêter devant son appartement. Siméon a dû sortir aussi rapidement que le billet l’a fait de sa poche. Il est pressé de se retrouver seul. Sans oublier l’objet de ce désir qu’il saisit par la main pour l’entrainer jusqu’à l’intérieur de l’immeuble. C’était sans compter sur la porte d’entrée et sa fameuse clé anti-voleur, qui vaut un regard contrarié au rose. Il ne le blâme pas assez pour l’oublier là. Au contraire, il l’entraine dans sa monté quatre à quatre des escaliers. Il vient plaquer son compagnon d’évasion contre un mur. Ses lèvres proches de leurs jumelles, avides de leur contact, patientent douloureusement. La raison de son séjour ne peut que devenir flou sous les baisers. Il en oublier les paroles trop innocente, trop vide d’importance. Il répond simplement aux baisers, sans vouloir s’arrêter. Il laisse une main filer sur le ventre du jeune homme, alors que la seconde vient chercher ses clés.
« Je te rends pas ton cœur, mais t’as droit à mes clés. »
Il glisse le trousseau entre les doigts de Leon. Il a pu se moquer tantôt mais c’est à son tour cette fois. En plus, il fait presque tout noir, alors il préfère le laisser gérer. Foutue lumière, ils auraient bien pu éclairer tout l’immeuble pareil au lieu de dépenser juste une fortune pour les extérieurs. Il a pas envie de le faire en plein milieu des escaliers, c’est trop précaire quand les marches ne tiennent pas correctement seules. Faudrait le signaler ça, que le building se prend pour Poudlard et bouge seul les marches. Peut-être qu’une fois le chemin repris ils n’atterriront même pas au bon étage. Sa main est sortie du t-shirt pour reprendre celle de son p’tit gars, l’entrainant sur le bon palier. Et une fois à plat, il n’hésite pas à passer derrière pour serrer le p’tit gars contre son torse, en le laissant décidé de leur chemin.
« J’espère que tu te souviens, c’est lequel mon appartement. »
Impatient mais joueur. Il tente de le lui faire croire en tout cas. Il ne voit pas bien dans la pénombre de l’étage. Il distingue à peine les différentes portes. Ce n’est pas jouer qu’il veut faire mais bien retrouver son appartement sans sonner chez les autres par mégarde. Il se contente de le distraire avec de petits baisers le long de ses joues, de sa mâchoire ou de son cou. Il ne faut pas lui rendre la tache trop aisé, au cas où le tirer n’était pas suffisant.
« Si tu veux un indice : y a mon nom sur la sonnette. »
Son rire s’échappe de ses lèvres. Il ne peut que l’imaginer en train de regarder à toutes les portes. Saloperie de mutation. Est-ce qu’il l’es aussi Leon ? Il ne peut pas le sortir comme ça de but en blanc. Faut pas faire fuir le petit. Il lui demandera demain car là il a juste envie de savoir en combien de temps il peut le déshabiller. |
| | | | Sujet: Re: ( leméon ) Elle l'avait remercié d'un beau sourire insaisissable, pareil à une rafale de vent glacial. | |
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| | | | ( leméon ) Elle l'avait remercié d'un beau sourire insaisissable, pareil à une rafale de vent glacial. | |
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