Aspen et Lorcan sont jumeaux. Unis depuis leur naissance, ils se considèrent comme les deux moitiés d’une même âme, inséparables et complémentaires. Ils se sont toujours très bien entendus, se comprenant à demi-mots et devinant toujours ce que l’autre avait en tête. Durant les vingt premières années de leur vie, ils n’ont pas été séparés plus de quelques jours, et s’arrangeaient toujours pour se parler quotidiennement au téléphone quand ils ne pouvaient pas se voir physiquement.

Quand leur mère s’est suicidée, Aspen a été effondrée. En apprenant, des années plus tard, que c’était à cause de sa mutation qu’elle s’était donné la mort, Aspen a retourné toute sa souffrance sur les dégénérés qu’elle tient pour responsables, indirectement, de sa mort. C’est à ce moment là que les jumeaux ont vu naître leur premier désaccord majeur, Lorcan ne comprenant pas ce suicide, tandis qu’Aspen semblait parfaitement d’accord avec sa mère. Pour Lorcan, le problème était plus profond : il avait peur que la mutation ne se soit transmise dans leurs propres gènes, et ne supportait pas l’idée qu’Aspen se suicide elle aussi si elle découvrait qu’elle était une transmutante. Mais rien de tel ne se produisit, et c’est lui qui découvrit qu’il était un dégénéré. Il le cacha immédiatement à sa sœur jumelle, par peur de sa réaction. Il ne voulait pas qu’elle le considère comme les monstres qu’elle haïssait tant, alors que lui-même se dégoûtait au plus haut point. Ce fardeau étant très lourd à porter seul pour lui qui avait toujours eu l’habitude de se confier à sa jumelle, il a souvent envisagé de lui lâcher le morceau, mais n’en a jamais eu le courage.

Aspen suit leur père dans tout ce qu’il entreprend, et elle a suivi sa formation de hunter avec un enthousiasme sans borne, alors que Lorcan semblait beaucoup plus réservé. A présent, elle veut le tirer avec elle pour entrer chez les hunters, et elle ne comprend pas qu’il refuse avec autant de force, alors qu’ils ont toujours tout fait ensemble, et qu’elle ne voit aucune raison à son refus. En réalité, il essaye de cacher à toute sa famille sa condition, mais il sent qu’avec le dépistage qui a eu lien, la vérité finira par éclater, et il ne sera plus en sécurité. Il essaye de trouver un moyen d’annoncer à sa sœur ce qu’il est réellement, tout en craignant qu’elle ne le rejette avec toute la haine dont elle peut faire preuve envers les transmutants. Pourtant, il a besoin d’elle plus que jamais : elle est la seule qui peut le comprendre, et la seule à pouvoir le protéger contre le reste des Wolstenholme.  

Les sœurs Wolstenholme sont très étroitement liées, notamment par leur haine envers les transmutants, et l’envie de les rayer de la surface du globe. Calista a beaucoup appris à Aspen, qui la voit comme son mentor, et elle ressent beaucoup de fierté envers cette petite sœur qui suit ses traces chez les hunters, tout en ayant dépassé – de loin – le maître. Mais ce n’est pas la seule chose qui les lie, Calista étant cette figure féminine qui a toujours manqué à Aspen, et avec qui elle peut enfin être elle-même. Elles se retrouvent très souvent pour regarder des films le soir, ou pour partager un repas quand Lorcan les ignore si ostensiblement. Depuis l’attaque, Aspen se fait un devoir de soutenir Calista, et de lui redonner confiance en elle, pour qu’elle accepte de sortir à nouveau. La jeune fille veut utiliser sa haine des mutants pour faire d’elle une véritable chasseuse, et espère bien lui faire surmonter sa peur et son dégoût des armes pour qu’elle accepte de faire face à ses craintes. Pour Aspen, il n’y a pas de meilleur remède au mal de sa sœur que d’aller tuer quelques mutants ensemble …

Depuis des décennies, Wolstenholmes et Callahans se sont liés d'amitié. C'est par le biais de leurs parents que les enfants se sont rencontrés, à l'image de leurs pères avant eux. Ils auraient très bien pu se croiser dans les couloirs du collège, dans les rues de Radcliff. Cependant, leurs premiers mots s'échangèrent sur le terrain, au cours d'entraînements dont seuls leurs paternels avaient le secret. La brune et la rouquine. Les jumelles. Les bébés hunters. Presque tous les week ends, les activités s'enchaînaient. Enfants, les quatre mômes avaient commencé par se regarder comme des bêtes curieuses. Essentiellement parce qu'à cet âge, chaque duo de jumeaux s'imaginait unique. Trouver devant eux deux gamins prétendument jumeaux eux aussi les intriguait. Les filles se pensaient également invincibles, de par l'éducation de leurs pères respectifs. Chacune n'imaginait pas qu'à quelques rues de la sienne, une autre petite fille s'entraînait avec autant d'acharnement qu'elle-même.

Les années passaient, et les premières impressions se dissipaient. Rivalités amicales ou plus mordantes, fous rires et confidences, compétitions entre elles et leurs jumeaux. Là où elles auraient facilement pu glisser vers la jalousie et la défiance, leurs caractères respectifs se retrouvèrent l'un dans l'autre, créant une certaine émulation entre elles. Un lien se tissait petit à petit entre Aspen et Salomé, ainsi qu'entre chacune d'elle et les garçons. Si bien que l'adolescence arrivée, tous les quatre prirent l'habitude de sortir ensemble, suite aux entraînements familiaux. Filant expérimenter leurs premières cigarettes, leurs premiers verres. Passant des soirées entières à rire jusqu'à n'en plus pouvoir respirer. Baignés dans des années heureuses qu'ils seraient destinés à regretter avec nostalgie, une fois l'âge adulte atteint. Aspen a fini par devenir ce qui se rapprochait le plus d'une meilleure amie pour Salomé. Peu avenante envers les autres filles, qu'elle jugeait pour la plus part inintéressantes ou futiles, Salomé a fini par réellement s'attacher à la jolie rousse. Lorsque la brune découvrit récemment sa mutation, elle ne put cependant s'empêcher de s'éloigner imperceptiblement. Elle connaît trop son amie, bien trop pour ne pas craindre sa réaction. Et elle s'en veut, de la soumettre à cet abandon. Alors, Salomé se tait, et Aspen ne comprend pas.

Il a fallut du temps avant qu’Aspen ne s’entende bien avec le second jumeau Callahan. C’est du moins ce que leur entourage pense, très naïvement, et c’est ce qu’elle-même a cru très longtemps. Ils se connaissent depuis l’enfance, ont quasiment été élevés ensemble, et très vite, ils se sont mis à se chamailler. Si ce n’était pas Noeh qui cherchait Aspen, c’était elle qui l’asticotait sans cesse. Ils se connaissaient très bien, et s’amusaient à repousser toujours plus loin les limites de la susceptibilité de l’autre. Aspen était celle qui se donnait à 200% dans son entraînement de hunter, tandis que Noeh prenait beaucoup de recul face à tout ça, ils n’étaient jamais d’accord dans leurs choix et le faisaient savoir – très bruyamment. Mais peu à peu, de ces chamailleries a fini par naître une certaine attirance. Ils se tournaient autour pour mieux se repousser, refusant de reconnaître se qui se trouvait juste devant leur nez. Ces deux là se plaisaient, se désiraient, mais ils ont eu bien du mal à franchir le pas.

Leur relation, même amoureuse, a été très houleuse. Ils prenaient chacun un chemin différent, avaient un caractère bien différent, et une dispute plus violente que les autre a fini par les écarter l’un de l’autre, Noeh ayant prononcé les mots de trop et Aspen n’ayant pas digéré l’affront. Noeh quitta ensuite la ville pour s’installer à l’université en colocation, et Aspen cessa de prendre de ses nouvelles, espérant lui faire ressentir le même manque dont elle-même souffrait. Mais ce fut le silence radio le plus total et elle fulmina seule dans son coin, jusqu’à ce qu’elle apprenne, très récemment, que Noeh venait de se jeter de la fenêtre de son appartement. Le choc fut brutal, et la jeune fille en oublia ses griefs pour se précipiter à son chevet. Pour l’instant, elle ignore que cette tentative de suicide est due à un mutant, elle attend seulement que Noeh aille mieux pour qu’il lui raconte … Mais au fond d’elle, elle sait que si quiconque est responsable de son geste désespéré, elle le lui fera payer. Cet incident a réveillé tout ses sentiments pour lui, et elle s’en veut énormément d’avoir été absente quand il avait besoin d’elle.

+ Personne n’est au courant qu’Aspen et Noeh ont vécu quelque chose ensemble, surtout pas Lorcan et Salomé, leurs jumeaux respectifs. Ils ont gardé soigneusement ce secret loin d’eux, craignant de provoquer crises de jalousie et explosion de leur quatuor infernal.  

Tout d’abord, merci d’être arrivé jusqu’ici !   Aspen est très (très très) importante pour Lorcan, et je vous bâtirai un temple en cookies débordant de Nutella si vous la prenez    

Le prénom est négociable, même si j’aime beaucoup Aspen. Je me réserve quand même un petit droit de véto.
Pour l’avatar, il n’est pas négociable, je suis désolée. Dylan et Holland ont une alchimie absolument magique et je veux retrouver ça entre Aspen et Lorcan  

Son caractère est laissé à peu près libre, vous pouvez faire ce que vous voulez d’elle, tant que vous respectez les grandes lignes. Si vous voulez modifier quelque chose, je suis tout à fait ouverte et on peut en discuter ! J’aime quand il y a des étincelles, des relations compliquées au possible, des cris et des larmes !   Il faut savoir que j’ai une tendance maso sur les bords, donc faire souffrir mon personnage ne me dérange pas du tout, et j’espère que vous serez partant pour qu’on torture ces deux là ensemble. J’ai plein plein d’idées pour faire évoluer les jumeaux et j’ai vraiment hâte d’avoir quelqu’un avec qui jouer, donc si vous êtes tenté n’hésitez pas ! Et surtout sachez que je suis très ouverte si vous avez le moindre souci avec quoi que ce soit dans ce scénario.

Pour ce qui est du niveau demandé, je suis assez souple, une page word par rp me convient, tout comme deux ou trois … Je m’adapterais à votre niveau ! Je demande juste une bonne syntaxe et pas une faute tous les deux mots … Et s’il vous plaît, je veux quelqu’un de motivé, prêt à faire évoluer nos deux personnages. Si vous comptez abandonner le rôle, s’il vous plaît, passez votre chemin, ce n’est pas franchement agréable de commencer quelque chose pour l’abandonner au bout de deux jours … Et pour les faux espoirs, j’ai assez donné.  

Voilà, je pense avoir tout dit ! Merci de vous intéresser à ma jumelle chérie, n’hésitez pas à m’inonder de questions, de suggestions et de propositions indécentes  Je vous en serais éternellement reconnaissante