i. comment êtes-vous entré parmi les hunters?
.Mon intégration parmi les « Hunters » s’est faite de façon assez naturelle en fin de compte. J’étais surement né pour combattre et quand je souhaite quelque chose je l’obtiens souvent. Depuis petite, comme vous le lirez dans mon histoire qui va suivre. J’avais eu cette altercation à l’école avec ce mutant dégoûtant, que j’aurais tué sans hésiter, et j’ai été repéré par un des administrateurs du réseau là où j’étais au Texas. Ni une ni deux, il m’a demandé un rendez-vous, avec mes parents, et après avoir répondu aux multiples tests j’ai intégré leurs réseaux. Pour ma part j’en suis très fière. Pour moi faire disparaître tous les mutants, est devenu une vocation, ma raison de vivre. Je n’ai ni l’envie ni le besoin des autres pour savoir qu’ils sont néfastes pour l’humanité, et qu’un jour ou l’autre on va devoir mener un combat sanglant, ou seul nous, les hunters tous unis contre eux, pourront faire le poids et pouvoir s’en débarrasser une bonne fois pour toute. Tout simplement.

ii. avez-vous déjà effectué votre devoir de chasseur ?
Plus d’une fois pour être honnête. A vrai dire j’aime tuer, c’est ma deuxième vocation. La première étant de faire chier le monde, et d’être une emmerdeuse qui sait ce qu’elle veut et qui l’obtient, à n’importe quel prix. J’ai intégré les Hunters depuis très jeune, j’ai donc vu passer beaucoup de mutants, l’un après l’autre. Je ne dis pas que pour certains, les tuer est simple j’ai quand même un cœur, bon à vrai dire il est très très bien caché, mais il existe. Pourtant ma haine envers eux ne fait qu’accroître de jours en jours et je ne saurais même pas vous expliquer pourquoi. Simplement ils me répugnent. Ce n’est même pas de la jalousie, car jamais je ne voudrais être comme eux. Etant protestante et croyante pour moi ils sont une abomination de Satan. Je crois bien que ça doit être ce qui me fais le plus les détester jour après jours, heures après heures chaque fois un peu plus.

iii. les mesures du traité de protection des mutants vous font-elles peur ?
Je n’ai peur de rien ni de personne partant de là, je réponds déjà à votre question. Concernant ce traité pour protéger les mutants, elle ne nous engage en rien, et qui plus est actuellement nous avons à notre tête un chef, qui apparemment compte bien protéger les gens de ces monstres, alors non je n’ai pas eu peur. Il est vrai que j’ai été choqué, que certains veuille les aider et les protéger, mais après tout il faut de tout pour faire un monde n’est-ce pas ? Cependant je l’annonce rien ne m’empêchera de les traquer un à un. Femme, enfants, homme, tous ce sont des monstres qu’il faut tuer, tous jusqu’au dernier. Ni traité, ni réforme. Quitte à y laisser ma peau, je m’en fiche. Au moins je mourrais en sachant que j’aurais donné ma vie pour combattre ce fléau.

iv. que pensez-vous de l'élection récente de thaddeus lancaster à la tête du comté ?
Je n’ai jamais aimé la politique, ni les politiciens. Honnêtement que ça soit ce nouveau-là, comment s’appelle-t-il déjà, ah oui, Thaddeus Lancaster ou un autre cela ne changeras jamais ma vision de la politique qui est au stade -50 depuis cette histoire avec ce politicien qui lui, était contre nous. Pourtant cet homme veut faire la différence, et apparemment il y croit dur comme fer alors ma foi. Pourquoi ne pas lui donner sa chance ? Tout d’abord il prône un refus pour les mutants, et en ça pour ma part il a sa place. J’ai été de celles qui l’ont acclamé, et qui ont voté pour lui. Nous sommes là pour faire régner l’ordre et la discipline, nous les chasseurs mais avec un peu d’aide politique, les choses pourraient peut-être encore plus avancer…n’est-ce pas ? Bien que je reste sur mes gardes, ne faisant confiance à rien ni personne je me méfie quand même de lui. Je prône ce qu’il propose, mais je le surveille, de loin.

Bon alors voilà aujourd’hui je me suis dit que j’allais écrire un peu les événements importants de ma vie, un défi de Jehro, ou plutôt un pari pour être plus exacte, alors moi étant bonne joueuse et détestant perdre vous allez devoir me supporter le temps de la lecture. Vous êtes assis ? Parfait, on commence, même si vous ne l’êtes pas d’ailleurs car vous allez vite comprendre, que c’est moi qui décide.
23 Juillet 1983 – Une date pour le moins intéressant vu que c’est ma naissance. Donc forcément un jour béni par les Dieux. Ce matin donc Jehro m’a demandé de tenir un journal intime, chose que j’ai donc bien entendu fait, foutaises il me l’a pas demandé j’ai juste trouvé intéressant de mettre par écrit ma vie, qui est juste P-A-R-F-A-I-T-E voilà tout.
Alors je me présente je m’appelle Calipso Dunham mais tout le monde m’appelle ‘Cali’ et ils ont d’ailleurs plutôt intérêt parce que je deviens méchante, voir dangereuse, avec ceux ou celles qui me provoquent. J’ai un sacré caractère de cochon, en fait personne ne m’apprécie vraiment, non. On me craint, eh oui faire partie des chasseurs valorise certains côtés. Toujours est-t-il que je suis bien dans ma peau dans mon corps et surtout j’aime la vie (peut-être trop, quoique !!). Je me prends la tête avec tous ceux qui m’entoure, et je déteste avoir tort. Petit topo de comment je suis, mais vous le découvrirez bien assez tôt.
Alors commençons par le début, ma naissance. Très joyeuse, mes parents étaient parfaits avec moi depuis petite, c’est simple tout ce que je voulais je l’avais apporté sur un plateau d’argent, car je suis fille unique et pourrie gâtée. Mais c’est tout, je n’ai jamais eu d’amour à proprement parlé, et surtout tous les gens autour de moi étaient soit hypocrites, soit pire car ils étaient gentils juste pour essayer de m’amadouer et avoir mon argent. Quels fous. Ceux qui me connaissent, et encore c’est beaucoup dire car personne ne me connais vraiment, savent qu’il ne vaut mieux pas essayer de m’amadouer, ni même d’avoir cette idée en tête car je suis très maligne et ceux qui veulent jouer avec moi sont pris à leurs propres piège. C’est la vie, il y’a des gens qui sont nés pour être des suiveurs et des gens qui sont nés pour être des leadeur, comme moi. En me lisant vous vous direz surement que je suis quelqu’un de très egocentrique, et vous aurez parfaitement raison. Pourquoi ? Car la vie m’a appris à l’être et parce que je n’ai jamais eu le choix. Je suis née au Texas, comté des cow boy, et de la boue de ceux qui travaillent d’arrache-pied pour s’en sortir et où les sentiments et les ‘bisounours’ n’ont pas leurs places, alors oui je suis quelqu’un de très dure envers les autres, et surtout envers moi-même. Mais je m’égare je parlais donc de ma naissance, je vais continuer avec mon enfance qui elle aussi fut tout autant joyeuse, je ne manquais vraiment de rien, appart d’amour mais ça avec le temps je m’y étais faites. Je suis quelqu’un de très revêche et solitaire alors comprenez que je n’ai besoin de personne, je me suffis à moi-même enfin ça c’est que je pensais dur comme fer mais dans la suite de mon histoire vous comprendrez également que c’est faux et qu’un homme entreras dans ma vie et va la chambouler.

13 Septembre 1997

Une date importante car c’est là que j’ai compris ce que j’allais devenir, et surtout pourquoi. J’étais à l’école et alors âgé de 14 ans dans la cour d’école, tout le monde se disputaient, ou se bagarraient moi je les laissais faire tant qu’on ne venait pas m’importuner. Plus tard je serais avocate je l’avais décidé et j’aurais une spécialité, je ne m’occuperais que de gens riches et intéressants, les autres je ne voudrais même pas savoir comment ils sont, ni comment ils vont niet.
Tout en les observant mon regard se posa sur un groupe de jeunes, retirés des autres et clairement étranges on les appelait les ‘transmutants’, mes parents m’avaient beaucoup parlé d’eux en fait et en observant les informations au quotidien j’avais voué une haine terrible à leurs égards. Bon certes je n’aimais pas grand monde, mais eux si je pouvais les éradiquer je le ferais, à mon sens ils n’ont pas leurs places avec nous ou chez nous. Ce sont des monstres. Je me rappellerais toujours de ce jour, car c’était la première fois que j’avais cette envie de ‘tuer’. Alors que j’étais tranquille, je vis au loin un garçon tout à fait banale qui se faisais agresser sous mes yeux par l’un de ces ‘monstres’ alors ni une ni deux je pris le couteau que j’avais dans mon sac et j’allais vers eux
« Tu le lâche tout de suite ou je te saigne » le transmutants me regardait avec ses yeux jaunes, je compris que j’étais dans la merde, mais pour autant je ne le quittais pas du regard, il voulait jouer on n’allait danser, pas de problèmes. Et alors qu’il se ruait vers le garçon, qui semblait terrifié et surtout dépasser par les événements, violement, je fis une parade et je me retrouvais sur ce monstre, le couteau contre son cou « J’ai dit, tu le lâche. Tu veux que je te le dise en quelle langue ? ».
L’histoire aurait pu très mal tourné, si la directrice n’était pas intervenue, et d’ailleurs c’était la première fois également que mes parents avait eu un intérêt pour moi, oui parce que mine de rien ils avaient dû me chercher dans le bureau de la dame que je m’amusais à appeler ‘Miss Grossenunuche’, me demandez pas pourquoi je ne pouvais pas me la piffer du coup j’l’aimais pas et elle avait droit aux surnoms adorables que je réservais pour ces gens-là. Je me souviens encore des propos de mon ‘père’ dans la voiture « Tu aurais pu te blesser Calipso », je détestais qu’on m’appelle comme ça, mon père le savait parfaitement alors je le laissais parler, mettant ma musique à fond les ballons, qu’il aille se faire voir après tout, qu’ils aillent tous au Diable, et voir si j’y suis. Un parallèle très rigolo, c’est mon prénom Calipso. En grec ancien ça voulait dire "celle qui dissimule" et ça s’écrit ainsi ‘Καλυψώ’ alors je me disais vraiment que mes parents n’avaient vraiment rien dans le crâne à ma naissance, et en général d’ailleurs pour m’appeler ainsi. Bref. Revenons à nos moutons j’étais donc rentré chez moi ce jour là, en claquant la porte de ma chambre, j’avais, et j’ai toujours un puching-ball , alors je frappais dedans quand mon téléphone sonna. Un numéro inconnu, je trouvais ça très étrange mais par curiosité je répondis. « Bonjour, Calipso. Je suis Mr.Hunt. Je vous aient vu toute à l’heure. Très belle performance. Cela vous dirais de me rencontrer disons dans 1h devant votre école ? ». Et là le gros bug, à 14 ans un inconnu qui vous demandes de le rencontrer, ça la fous mal quand même et alors il m’a rajouté « Venez avec vos parents, je dois de toute façon leurs parler également du projet et du bel avenir qui vous attends. A tout à l’heure ». A ce moment-là je ne me doutais pas du tout que j’allais être mise en relation avec des gens qui allaient changé ma vie pour toujours, déjà dès petite je me sentais différente et totalement décalé des autres mais là, tout allait prendre un sens, une connexion, une logique. La personne que j’avais eu au téléphone n’était autre que l’un des administrateurs des ‘Hunter’ de la ville, ou plutôt des chasseurs, eux qui pourchassaient les mutants, et les tuaient un à un. De rage, par vengeance par haine plus forte que tout, ils étaient les meilleurs dans leurs domaines. L’intégration était longues, et laborieuse tel un entrainement de militaire, je me levais tôt, et me couchait souvent très tard. Mais je prenais un goût différent à la vie, tous les matins je me levais avec une envie, je me souviens comme si c’était hier, tuer ces monstres encore et encore jusqu’à ce que tous les humains, et les autres soient en sécurité. A l’époque je pensais vraiment qu’ils n’étaient pas partout, j’avais tort. Et ma famille avait décidé de se rallier à eux, en me mettant bien entendu en avant et en évidence. J’étais un peu devenue leurs perles, beaucoup me craignait même à l’école en fait même si j’ai toujours été discrète, tel un félin. C’est d’ailleurs l’animal que j’aurais été en condition féline. Ma famille était protestante, et croyante conclu on collait parfaitement au type qu’ils recherchaient. Honnêtement ? J’étais juste heureuse.
23 Octobre 2008

A mes 25 ans j’étais alors jeune avocate je m’occupais de pas mal de cas intéressants, vraiment. J’étais adulé de tous, tout en continuant ma "double vie" et surtout j’étais également très belle, apparemment trop car c’est à cette date-là que j’ai rencontré ce politicien qui avait failli ruiner ma vie. Il était beau et riche il s’appelait Landon. Il était vraiment mon type, bronzé bruns les yeux verts non vraiment très beau, oui sauf que il était beaucoup trop insistant également. Ce soir-là, je rappelle que j’avais toujours une arme sur moi au cas-où, nous étions allé manger dans un très beau restaurant italien, tout était vraiment parfait jusqu’à ce qu’il me ramène et commence à m’embrasser et alors que je le repoussais et le giflait, cet idiot me répondit « Oh j’aime quand une femme me résiste !! ». C’était assez drôle je me souviens de le voir continuer à m’embrasser malgré tout, sauf que là, le drame alors qu’il continuait il découvrait également mon arme ainsi que différents papiers, qu'il devait surement avoir déjà vu. Ce qu'il fallait savoir également c'est que lui traquait les gens comme moi, mais que ça à l'époque je n'en savais rien non plus, je l'aurais descendu sans attendre si j'avais su, tout en douceur et en finesse bien entendu. « Quoi ?? Tu fais partie de ces terroristes ?? Je le savais… ! Tout le monde va être au courant, gamine ! Je vais faire de ta vie un Enfer » , et alors qu’il pris mon arme, et qu’il croyait prendre le dessus, pour ma part j’avais sorti mon arme de secours (oui à vrai dire pour être honnête j’ai tout un attirail …) et la, mauvaise, je pointais l’arme sur lui « Je serais toi j’éviterais si tu ne veux pas finir sur le bas-côté de la route, Landon ». Et là ni une ni deux, tentant de prendre l’avantage le coup partit seul, le politicien mourut sur le coup. C’était bien la première fois que j’avais tué un homme, qui n’était pas censé mourir après est-ce que j’avais des remords, pas vraiment pas du tout même pour être honnête mais toujours était-il que j’étais dans la grosse merdasse. Heureusement mes parents on réussit à étouffer l’affaire, mais je devais déménager dans un autre comté, une autre ville. Cherchant calmement où m’expatrier je trouvais donc cette ville, Radcliff, parfait pour un nouveau départ loin de tout ce merdier.


23 Mai 2011

Là je vous met toute les dates qui ont marqué mon existence, et celle-ci plus que toutes les autres, était importante car c’était ma rencontre avec l’homme qui allait changer ma vie, du tout au tout et pour lequel j’allais tombé folle amoureuse, mais sans jamais lui dire mes sentiments, plutôt crevé que de me rabaisser à ça. Les "cucul praline" très peu pour moi. [Ce passage là je pense que je vais clairement le brûler, imaginez si Jehro le lisait, ça non alors..!]
Jehro Burtham, ou le diable en personne. J’avais été engagée par un haut membre des hunters qui voyait en Jehro un énorme potentiel, et un symbole pour la cause des hunters, lui qui s’était retrouvé enfermé à cause d’un mutant. Il m’avait donc payé pour que je représente le jeune taulard, et je me souviens que j’avais dû faire preuve de (beaucoup) de patience avant d’enfin se faire accepter par le jeune homme. Je devais plaider en sa faveur, prouvant qu’il n’avait pas commis le meurtre pour lequel il venait déjà de faire douze ans de prison. Déjà je savais que ça allait être compliqué surtout quand je me souviens de notre première rencontre, il avait les pieds sur la table et ce regard arrogant qui me déplaisait et que j’adorais tant « Bonjour, Mr Burtham. Je suis Calipso Dunham. C’est moi qui vais vous représenter. Je suis votre nouvelle avocate. » Mon ton était froid et sec, et Jehro devait trouver ça amusant parce que d’un ton hautain il m’avait répliqué « Ouhla t’est plutôt canon pour une avocate, chérie ! Sérieusement, c’est toi qui va me représenter ? Ça risque d’être compliqué pour moi d’être concentré » . A cet instant, tout simplement, mon instinct de tueuse voulait lui écraser le crâne, là tout de suite, mais mon métier d’avocate m’en empêchait, et je me souvenais des paroles de mon supérieur "Il est important de le rallier à notre cause. Je suis certains que vous saurait comment être et le prendre. Je vous fais confiance, Cali" et donc je lui répliquais de façon poser, ce qui aura donc enclenché ce petit jeu de ‘je t’aime moi non plus’ qui nous corresponds si bien. En le regardant droit dans les yeux je lui répliquais « Ecoutez , Mr. Dunham soit vous collaborez et on avance soit je vous laisses dans votre situation. Ça me fais autant plaisir qu’à vous d’être ici. Mais pour plusieurs raisons, je dois vous représentez, et je suis également la seule à pouvoir vous faire gagner ce procès. Si vous décidez de collaborer je pourrais même vous aidez à vous construire une nouvelle vie, et à vous vengez de ces mutants, que je combats au quotidien moi ici. Sinon je vous laisse dans votre trou à rat et à votre misérable vie, honnêtement j’en n’ai totalement rien à cirer, c’est vous qui voyez, les cartes sont dans vos mains».
Je crois me souvenir qu’il avait répondu un "Ok" assez froid, mais qui en n’avais dit longs sur sa collaboration. C’était comme ça entres nous on se détestait, et en même temps on ne pouvait pas vivre l’un sans l’autres. Un peu comme des âmes-sœurs terribles, il avait un caractère de chien, mon Jehro mais j’étais pire que lui, des deux c’était moi la plus terrible la plus chiante et celle qui avais le plus ce qu’elle désirait.
Notre relation aujourd’hui après 3 ans presque maintenant, était clairement étrange mais pour autant moi je m’y accrochais parce que il me faisait rire et en même temps il m’intriguait. Notre quotidien depuis cette plaidoirie et sa libération, était truffés d’insultes et de disputes. Je le traitais d’ ‘enfoiré et de petit con’ et lui ‘d’insupportable salope’. Deux autres personnes n’y comprendraient rien mais pour autant nous voilà ici après 3 ans de disputes quotidiennes. Notre lute reste la même, et j’adore ma vie. Aujourd’hui j’ai 31 ans je suis une chasseuse, et je vais m’arrêter là pour l’écriture de ma "vie" car mon bras est engourdie. Mais je reviendrais, très vite. Dailleurs je suis toujours quelque part, il suffit juste de tourner la tête et…BANG !