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| I feel safe when I am in your arms (dhanentine) | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: I feel safe when I am in your arms (dhanentine) Mar 18 Oct 2016 - 18:56 | |
| i feel safe when i am in your arms dhan & clémentine Dhan n’osait même pas espérer que son petit laïus ferait son effet, et pourtant… Pourtant cela semblait toucher quelque chose dans le cœur de Clémentine, alors qu’un sourire magnifique, bien que timide, fleurissait sur les lèvres de sa femme comme la première rose du printemps. Comme quoi, il ne devait jamais désespérer ou lâcher le morceau, jamais. Il finissait toujours par réussir à la rassurer, à la faire revenir dans la réalité et à faire taire la marâtre. Ah, elle devait bien pester, la vieille rombière, enfermée à double tour dans un coin de son esprit, et c’était bien fait pour elle, voilà. Pour être tout à fait honnête, Dhan n’avait jamais aimé la mère de Clémentine, sa « belle mère », de son vivant. Il avait toujours trouvé quelque chose de malsain, de déplacé dans le regard qu’elle posait sur sa propre fille. Ce n’était pas le regard que devait avoir une mère sur son enfant, mais ça, il ne l’avait compris qu’en grandissant, comme beaucoup de choses. Mais même enfant, même ado, il s’était toujours méfié d’elle, d’une manière ou une autre, et de l’influence qu’elle avait pu avoir sur Clém’ : c’était peut être pour cela qu’il avait insisté tant de fois pour qu’elle vienne gouter et faire ses devoirs chez lui, puis jouer, ou lire, ou peu importait… Maman Stevens était une vraie mère poule dans la plus grande tradition du cliché : elle avait adoré Clémentine à la seconde même où il la lui avait présenté, alors qu’ils étaient encore tout jeunes, et aujourd’hui encore, elle considérait la femme de son fils comme son propre sang, avec tous les débordements d’affection qui allaient avec le personnage. Dhan trouvait que c’était un mal pour un bien : au moins, Clém’ avait connu l’amour maternelle, même par si ce n’était pas de l’amour purement filiale. C’était toujours ça de pris.
- Exactement, Madame la plus belle du monde, à deux on est plus forts, surtout quand dans le duo il y a quelqu’un d’aussi exceptionnel que toi !
Des compliments, toujours des compliments. S’en lassait-il ? Jamais. Le pensait-il ? Toujours ! il accueillit la jeune femme dans ses bras sans rechigner, parsemant son cou et sa nuque de baiser légers et tendres, la laissant se tortiller contre lui pour finir assis sur ses jambes, son joli petit minois en face du sien. La remarque sur les enfants, il l’avait bien entendu, d’ailleurs son cœur s’était un peu emballé au passage, mais il ne savait pas trop s’il devait relancer là-dessus ou non. Le sujet était tellement délicat pour Clem’ qu’il n’osait pas trop, de peur de la braquer à la moindre parole un peu maladroite. Alors à la place, il lui attrapa lui nez entre le pouce et l’index pour approcher son visage du sien, ses lèvres collées aux siennes alors qu’il roucoulait doucement :
- C’est quand je suis avec toi que je suis au Nirvana, espèce de patate douce. Et tu n’as à avoir peur de rien ni personne parce que tu es super Clém’ avec son super sidekick ultra-Dhan, à partir de là, tout est dit ! Et puis t’inquiète que bébé hunter ou non, si tu le colles jusqu’à sa majorité, il comprendra trèèèèès vite qui est la big boss !
Et c’était elle, bien évidemment. Dhan se tut un instant, à la recherche de la meilleure réponse à la dernière question de sa chère et tendre, avant de lui ranger une mèche derrière l’oreille, l’air particulièrement absorbé dans l’observation du visage de la jeune femme :
- Et bien, si être comme toi signifie que c’est un être unique à la fois fort, brillant, drôle, attentionné, délicat et plein de potentiel, alors oui, j’espère vraiment que nos minis nous seront des mini toi … Bon, avec un peu de moi quand même, faudrait pas qu’ils soient trop parfaits non plus, ils pourraient foutre des complexes aux autres enfants, c’est pas super fair play.
Tout ça, il y croyait, Dhan, il y croyait dur comme fer. D’ailleurs, pour joindre le geste à la parole, il embrassa avec plus de passion Clémentine, une main dans ses cheveux, la serrant un peu plus contre lui, son éternel sourire collé à la figure ….
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| | | Harvey Sunderland MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 1198
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| Sujet: Re: I feel safe when I am in your arms (dhanentine) Dim 6 Nov 2016 - 10:21 | |
| i feel safe when i am in your arms dhan & clémentineVous vous connaissez depuis toujours. Depuis une éternité. Et pourtant, Dhan a sur toi le même effet qu’aux premières heures, il a sur ton agitation la même influence qu’au tout début, et lorsque tu t’y attends le moins, lorsque je m’y attends le moins, il arrive à te calmer. Ce qui, bien évidemment, est extrêmement agaçant pour moi. Tu l’écoutes avec une attention sans pareille, tu veux croire, du plus profond de ton âme, qu’il a raison. Vous vous disputez sur des broutilles, mais pour les sujets les plus graves, il n’y a que dans une seule direction que ton cœur veut tendre : l’accord. De Dhan, tu n’attends ni discours répétés, ni speech écrit avec un conseiller en communication. De Dhan, tu n’attends ni envolée lyrique soigneusement calibrée, ni élocution mille fois répétée devant un miroir. De Dhan, tout ce que tu attends, c’est son âme pleinement offerte pour que tu puisses puiser dedans tout ce qui te fait défaut, comme ton optimiste, son amour à toute épreuve, sa présence, son intelligence, sa gentillesse, chaque parcelle de ce qui le constitue est une flèche qui se plante dans ton cœur pour y enraciner ce poison que je cherche depuis tout ce temps à éradiquer, cette certitude que, oui, ma Clémentine, tu vaux le coup. L’avenir est aussi radieux pour nous que pour tous les autres, cette phrase te fait sourire et, pire que tout, te donne l’impression de ressortir par rapport à tout le reste, comme enrobée d’un halo de guimauve bien collante et bien niaise. Enfin, ça, c’est mon avis. Ai-je jamais eu l’air aussi niaise dans les bras de ton père ? - Exactement, Madame la plus belle du monde, à deux on est plus forts, surtout quand dans le duo il y a quelqu’un d’aussi exceptionnel que toi ! Tu te pelotonnes contre lui, exigeant même qu’il t’enserre et te protège. « Ah, ça… et tu imagines, un duo où l’homme est le plus gentil, le plus beau et le plus exceptionnel qu’il soit ? Personne ne peut rivaliser avec ça, non ? » Tu ne cherches pas à dire quoique ce soit de plus, pour le moment, que d’affirmer qu’il a raison. Rien de plus, tu en es sûre ? Protégée comme ça, lovée contre lui, tes pensées te dépassent et tu envisages, alors que tu viens d’apprendre qu’on s’en était pris à ton mari, alors qu’un gamin t’a menacée, d’avoir des enfants.
Vraiment, Clémentine ? Des enfants ? Des morveux à ton image ? Penses-tu que le monde pourra s’en remettre, de se voir peuplé de petits fantômes ? Sais-tu, même, si tu pourras en avoir, si tu pourras en porter, si tu pourras… et voilà, une nouvelle fois tu m’ignores pour te perdre dans les yeux de ton mari, chasser ces inquiétudes qui te poursuivent et qui te rongent, te réinstaller à califourchon sur tes jambes, et le maudire si jamais il te fait l’affront de t’abandonner. - C’est quand je suis avec toi que je suis au Nirvana, espèce de patate douce. Et tu n’as à avoir peur de rien ni personne parce que tu es super Clém’ avec son super sidekick ultra-Dhan, à partir de là, tout est dit ! Et puis t’inquiète que bébé hunter ou non, si tu le colles jusqu’à sa majorité, il comprendra trèèèèès vite qui est la big boss ! Tu as un petit rire, à l’idée d’avoir un super pouvoir comme dans ces comics que vous avez toujours dévorés, tous les deux, sans la moindre limite. Si tu as levé le pied de ce côté lorsque ta mutation est devenue réalité tangible au contact de l’apparition officielle de tes pairs dans la société, tu restes sensible à ces univers de super pouvoirs, de super héros et de super héroïnes, tu restes sensible à ce qui aurait peut être dû, à ton humble avis, rester cantonné au sur-réalisme. « Je vais faire comme ça, tu as raison. Mais… mon gros poulet… je rêve où tu viens de me traiter de patate ? » Tu prends ton air sévère, tu sais, celui qui ne te confère aucune crédibilité. C’est toi qui gères ta vie, c’est toi qui gères ta classe, mais pour ce qui est de t’offusquer, tu ne gères strictement rien du tout.
- Et bien, si être comme toi signifie que c’est un être unique à la fois fort, brillant, drôle, attentionné, délicat et plein de potentiel, alors oui, j’espère vraiment que nos minis nous seront des mini toi … Bon, avec un peu de moi quand même, faudrait pas qu’ils soient trop parfaits non plus, ils pourraient foutre des complexes aux autres enfants, c’est pas super fair play. Tu le laisses t’embrasser, te serrer contre lui, tu ne cherches pas à répondre dans l’immédiat, parce que tu préfères largement t’imprégner de sa présence, de son sourire et de ses mots. Ceux-là, tu t’efforces à les croire, sans trop y parvenir pour le moment. Tu partais de loin, en même temps, au début, tu es descendue si bas qu’il vous faudra plus de quatre ans pour remonter la pente. Mais je dois admettre qu’en plus de cela, je ne dois pas beaucoup aider. Fort, brillant, drôle, attentionné, j’espère qu’il compte pour cela que tu le trompes, parce que ce n’est ni chez lui, ni chez toi qu’on peut trouver de telles qualités, non ?
Toi, tu les trouves chez lui, et tu cherches à le croire et plus que tout à lui faire confiance lorsqu’il dit qu’il les voit chez toi. Tes barrières sont en train de s’effondrer, ma Clémentine, ces mêmes barrières qui t’interdisaient d’avoir des enfants, ces mêmes barrières qui te disaient que non, avoir des enfants n’était pas une chose envisageable, pas dans ton état. Tu as envie de tenter le coup, tu as envie de tenir dans tes bras un mini-Dhan. « J’espère qu’ils auront beaucoup, » tu l’embrasses, « beaucoup de toi » Tes doigts glissent le long de sa mâchoire pour se perdre dans sa barbe. « Et là, ils seront parfaits. » Et, pitié, qu’ils ne soient pas mutants. C’est cela que tu sous-entends, ma Clémentine, non ? Pitié, pas de petits mutants, pitié, des Dhan, juste des Dhan, tout ce que tu peux accepter de leur donner, c’est ton nez, tes yeux, tes cheveux, mais surtout, surtout pas tes gènes mutants. « Mais en attendant… je suis crevée. » Et tu as bien des choses à digérer, mine de rien. « Tu as des choses à faire, ce soir, ou bain et star-wars ça te tente ? » Tu n’as pas le moins du monde envie de te plonger dans tes cours, il faut bien se le dire. Alors se faire couler un bain, le partager avec Dhan, passer le reste de la soirée collée tout contre lui, sous un plaid, devant un film et avec une tasse de thé bien chaud à proximité, même ça a tout l’air d’une routine pépère, ça te tente, ça te tente même beaucoup.
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