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Auteur | Message |
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Jekyll Stevenson MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 1387
SUR TH DEPUIS : 06/10/2015
| Sujet: Re: Te voilà enfin (hot) Dim 24 Avr 2016 - 2:29 | |
| te voilà enfin But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Le voyeurisme. Une passion humaine, profondément immature qui puisait ses sources dans la nature humaine qui s'abreuvait de la vie des autres pour ne jamais s'ennuyer et se persuader que le vide n'était pas caché sous le lit. Longtemps, le jeune Stevenson fut accusé, d'user de son corps avec abus, de toujours jouer de ses charmes pour réussir ses objectifs et de ne jamais chercher ailleurs, préférant miser sur des mots calculateurs et un marcel plus que sur un véritable débat. Jek' était un homme de blabla pourtant, apte à amadouer les plus crédules et à se jouer des plus faibles en claquant des doigts. Le brun était donc un exhibitionnisme, et il ne s'en cachait pas d'ailleurs, puisque de son point de vue : il fallait des voyeurs pour critiquer un individu qui affichait son corps, et donc, des voyeurs. Le monde était drôlement fait, Jek' trouvait cela passionnant et trouvait toujours plus drôle de s'afficher et de balancer aux gens qu'il s'aimait bien plus que la moyenne. La modestie ? Minable. La fausse-modestie ? Drôle, presque. Le brun aimait coucher, à droite puis à gauche, dans le sens des aiguilles d'une montre et dans tous les sens imaginables. Cela lui convenait plutôt bien, et les voyeurs, étaient des spectateurs, qui refusaient d'admettre qu'ils avaient besoin d'une distraction. Cela expliquait sans doute l'excitation grimpante d'être vu ce soir : l'idée d'être maté et d'être désiré. Qui ne voudrait pas se taper Kelian ? Jek' aimait les individus de son âge, les plus jeunes dans la limite du raisonnable, et ceux qui ne dépassaient pas la trentaine et qui avaient le mérite d'avoir un corps potable. Kelian était jeune, mais son corps était étrangement athlétique. Enfin, à cet instant, la langue du pompier faisait son office et démontrait qu'il musclait tout chez lui. Le psychologue cachant des gémissements et continuant de serrer les poings. Sa remarque fut sans doute un déclencheur, pas assez violente, visiblement.
Kelian donna une réponse, venant glisser des doigts dans l'intimité du psychologue avec une certaine assurance, laissant échapper un gémissement. Le brun esquissa un léger sourire face à la vivacité du pompier qui faisait cela par habitude, naturellement et avec une aisance plus que plaisante. Le brun se laissa faire, se mordant les lèvres avec ardeur tandis que son visage ne se décollait pas de son amant durant plusieurs secondes, un long échange mélangé à de la frustration volontaire et des élans de séduction voués à la disparition le lendemain. Le brun calma ses gémissements, avant de finalement brutalement saisir la main de son amant, la retirer, se retourner pour plaquer Kelian au sol d'un geste qui n'avait rien de délicat. Se retrouvant rapidement installé à califourchon sur lui avec un regard de dominateur – simple retour des choses. Jek' aimait se sentir au-dessus, pourtant, il adorait suer sur la pression d'un corps sur le sien en venant lui arracher l'envie de jouir alors qu'il se faisait pénétrer sans pudeur. Le brun était sur Kelian, installé sur son bas-ventre, il en fallait peu pour conclure l'acte. « J'en veux toujours plus. » Venant finalement épouser parfaitement le torse de son amant pour dévorer ses lèvres et venir caresser sa langue sans pour autant conclure l'union sexuelle. Autant il adorait dominer, mais se faire dominer par un homme en chaleur était encore mieux.
acidbrain |
| | | | Sujet: Re: Te voilà enfin (hot) Dim 24 Avr 2016 - 13:06 | |
| Kelian ne pensait pas à la possibilité d'être vu. Il était concentré sur ce qu'il faisait, sur sa tâche. Pour lui, c'était le plus important. Le reste était relégué à d'autres rangs. Mais, s'il se prenait la peine d'y réfléchir un peu, peut-être que le côté voyeurisme a des chances de l'exciter. On ne sait jamais, il peut être surpris par un collègue tout aussi lubrique que lui, se délectant du show que Rosewood et Jekyll offre.
Mais ce n'était vraiment pas le plus important. Ce n'était vraiment pas ça qui excitait le plus le pompier. Ce qui lui plaisait, là maintenant, c'était d'entendre les gémissement de Jek', de sentir son corps bouger et se déhancher grâce à sa langue puis à ses doigts. Voir son visage se déformer sous le plaisir et revenir dans une attitude plus fermée, digne de Stevenson. Ce qui excitait le pompier, ce sont les réactions de son amant, tout simplement. Le reste importe peu.
Le psychologue répondit qu'il en voulait. Et pour en obtenir plus, il prit lui-même les choses en main. Il repoussa Kelian et le fit s'allonger sur le sol, assez brutalement. Une grimace de douleur apparut sur son visage pendant quelques secondes. Mais elle disparut aussitôt qu'elle était arrivée. Il faut dire que l'aîné vient prendre place à califourchon sur lui. Aussitôt, les mains de Rosewood vinrent se mettre sur les hanches de son partenaire.
Sans plus attendre, leurs corps épousèrent la forme de chacun. Leurs lèvres revinrent se chercher et se trouver, ainsi que leurs langues. Quand aux mains du pompier, elles se déplacèrent très vite pour venir se mettre sur les fesses de son compagnon. Le cadet avait chaud et était chaud. Il désirait cet homme et voulait lui donner et recevoir du plaisir. Attendre encore un peu ? Jouer avec lui ? Prendre le risque que la situation se retourne à nouveau ?
Le sexe de Kelian se plaça entre les deux globes fessiers de Jekyll. Avec ses mains, Rosewood s'amusa avec les fesses, simulant un mouvement de masturbation sur son pénis avec. Bien sûr, il ne le pénétra pas encore. Il voulait faire monter le désir et voir Jek' se lâcher encore plus, toujours plus. Le baiser ne s'arrêta pas pour autant également.
« Ne te rase jamais ta barbe. » avoua le pompier, entre deux baisers. |
| | | Jekyll Stevenson MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 1387
SUR TH DEPUIS : 06/10/2015
| Sujet: Re: Te voilà enfin (hot) Dim 24 Avr 2016 - 19:47 | |
| te voilà enfin But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Jekyll n'avait pas la délicatesse nécessaire pour la vie à deux. Il n'était pas, de ces amants, qui allait se soucier d'un moment inconscient lors d'un acte physique. Le brun voulait, alors il prenait. L'idée que la chute pourrait entraîner une douleur chez son amant ne lui effleura même pas l'idée : il n'était pas là pour jouer les médecins, il avait déjà bien assez à faire lorsqu'il travaillait. Le psychologue entretenait rarement une relation similaire avec ses amants. Il pouvait citer une ancienne maîtresse : Rhaena, désireuse de tuer Lancaster alors qu'il avait pourtant approuvé le dossier de la demoiselle pour sa propre cible. Dans ce cas-là, il s'agissait simplement d'une affection pour la cause mutante, et par désir de toujours se prétendre précieux. Du point de vue des hommes, la relation était différente : Daniel était devenu Dan, ami autant qu'il était un plan cul. Cette relation pourrait presque s'apparenter à un sex-friends, après tout Dan avait non seulement un joli torse, mais également une conversation agréable. Le plan cul, qui n'en était plus un, serait sans doute Orin. Drôle de bonhomme, totalement opposé aux critères physiques du psychologue. Sans doute le plan cul qui avait le moins de logique lorsqu'on croyait connaître le brun, après tout, il aimait toujours avoir ce qu'il n'avait pas. Il y avait une différence entre les idées et la vérité. Cela était bien évidemment pour mettre en évidence, que Kelian était également une relation différente. Il était jeune, avec de la fougue et il semblait pervers autant qu'il était innocent. C'était sans doute, la relation la plus basée sur la tension sexuelle, celle qui avait le mérite de faire monter l'excitation.
Kelian sembla s’accommoder du sol, disposant ses mains sur les hanches du psychologue à sa guise. Cela ne sembla pas s'éterniser, puisque le pompier trouva le chemin des fesses de son amant, comme une évidence indélicate. Le cadet en profita pour se jouer de la position, de l'accessible et du désir chez le psychologue. Jek' avait une patience de fer, plus que sincère, mais il avait bien reconnu que lorsqu'il était question de sexualité, une fois lancé : il était difficile de dire qu'il était un saint doté de patiences. Le jeune homme le savait, et il en abusait, jouant bien au-delà du tolérable. Jouer avec Jek' était mal, parce qu'il ne perdait pas, donc il ne pouvait pas être un mauvais perdant. Kelian jouait avec son sexe tandis que la tension était toujours palpable pour celle de Jek' qui était collée au torse de son amant. Le brun continuait caressait ardemment les pectoraux de son amant, tandis que ce dernier préférait jouer avec sa propre virilité pour faire grimper les tensions. Il lâcha par la suite une simple phrase qui fit sourire le psychologue : son visage ressemblait à celui d'un prépubère lorsqu'il se rasait, et encore, il était gentil. Plutôt se pendre que de se raser pour le gosse. Jek'ordilla alors la lèvre inférieure de son amant en laissant échapper un soupir. « Je suce avec une barbe, pas sans. » après tout, autant se baser sur l'humour.
Jek' abandonna les lèvres de son amant pour se redresser délicatement sans pour autant détacher les deux torses. « tu devrais savoir, que si cela m'amuse, je pourrais te laisser dans cet état et me rhabiller. Jouer c'est dangereux, surtout quand on connaît les risques. » Pour autant, le brun se redressa simplement, venant saisir la virilité de son amant d'un geste agile pour l'introduire de son intimité. Se retrouvant à glisser sur la verge de son amant, l'introduisant délicatement dans un moment de respiration haletant mêlé à un son de satisfaction. Introduisant intégralement le sexe de son amant, pour se retrouver presque assis, le dos droit pour mater son amant depuis les hauteurs. « Et si cela m'amuse, je peux encore le faire. » Jouer avec jek', était accepté son caractère, et sa satisfaction à baiser autant qu'à frustrer.
acidbrain |
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