Comment êtes-vous entré parmi les hunters ?
Ma famille est une famille de chasseurs depuis toujours. Ils sont passés du gibier animal, à un gibier beaucoup plus imposant dirons nous... J'ai du subir un rite d'initiation que tous les jeunes ont à surmonter à l'âge de 16 ans. C'est à la fois un choix et une obligation. On peut faire partit des têtes pensantes, de ceux qui organisent et puis il y a les tueurs. Les assoiffés de sang et de vengeance, de pureté. C'est à l'adolescent de choisir ce qu'il préfère, même si il existe des personnes qui nous trahissent, se tournant vers eux, ces dégénérés.

Avez-vous déjà effectué votre devoir de chasseur ?
En effet. Si le rite d'initiation nous apprend comment survivre et comment luter, ce n'est pas dans à ce moment là que l'on tue quelqu'un. C'est à nous même d'en prendre soin et de savoir comment faire et à quel moment le faire. Lors d'une chasse, j'avais environ 17 ans, ma balle a transpercé le corps d'un mutant et a ôté vivement sa vie. Ce n'a été que le début de tout ce qui a pu se passer par la suite.

Que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles nommé Uprising ?
écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes.

Que pensez-vous des actions de Thaddeus Lancaster à la tête du Comté ?
écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes. écrire ici, un minimum de cinq lignes.

PAYS : écrire ici. DISPONIBILITÉ : écrire ici.VOTRE AVIS SUR TH : écrire ici. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : écrire ici. PERSONNAGE : inventé, scénario, si scénario, précisez de qui. VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : écrire ici. UN DERNIER MOT ? : écrire ici.

Un soupir. Des frémissements et la peau marquée par la fraîcheur embrassée par la chaleur de deux corps. L'amour. C'est comme ça qu'on l'appelle, ce sentiment déchirant, qui vous ôte à vous même, qui vous envoute et vous dégoûte. C'est ce mot utilisé pour décrire ce qui se consume. C'est ça qui vous fait perdre la tête, qui vous fait vous oublier. Qui vous rend plus humain. Qui vous permet de vous échapper.
Tu veux tellement la ressentir. Tu veux ressentir. Tu es jeune, innocent, idiot. Tu es tombé amoureux de cette femme. Follement. Comme une claque. Une saleté de claque qui s'est écrasée brillamment sur ta joue rougie par une pseudo candeur qui est coutume d'afficher. Elle était ce soleil qui se couche. Elle était la beauté, la plénitude. Elle était le feu, elle t'attisait. Elle t'attirait, t'envoutait. Et elle t'a brûlé. Avec son amour dévorant, avec sa personnalité fascinante. Elle t'a brûlé, au troisième, quatrième degrés. Elle t'a tué. Elle a prit ton âme, brisé ta conscience, tes règles, tes croyances. Et toi tu l'aimais encore plus. Plus la douleur grandissait, plus ton amour pour elle grandissait. Comme une flamme attisée. Ta fille est née et tu continuais à te consumer. Tu étais heureux. Jamais tu n'avais jamais été plus heureux qu'à cette période là.
C'est pour cela que tu l'as quitté. C'est pour ça que tu as mis fin à cet amour brûlant. Tu n'étais que l'ombre de toi même. Un homme heureux, soucieux de sa famille, de sa femme. Mais le reste? Le reste avait disparu, effacé par les brulures constantes des sentiments. C'était beaucoup trop. Alors tu as tout arrêté. Tu as fuit, comme on fuit lorsque tout se consume autour de nous. Tu as fuit pour ta vie. Parce que tu ne sais faire que ça. Survivre.

Avant l'amour il y avait la haine. La haine constante. Elle t'a donné la force d'avancer. La haine envers les dégénérés, principalement. Du racisme? Probablement pas. C'est justifié. Ce sont des êtres beaucoup trop forts pour nous. Il faut s'en prendre à eux avant qu'ils ne s'en prennent à nous. Ils sont dangereux. Ils veulent nous détruire, au plus profond d'eux même. C'est de la jalousie, aussi un peu. C'est une liberté que tu n'auras probablement jamais. Rêver de la frôler du bout des doigts. Des super héros? Ils ont des pouvoirs. Héros des comics, ils sont bien trop réels. Tu n'as jamais réellement compris pourquoi tu les haïssais autant. Probablement parce que tu as été élevé pour les haïr, sans chercher à les connaître, sans chercher à les comprendre. Ils te dégouttent parce qu'on t'a appris qu'il fallait en être dégouté. Alors tu t'es entêté et tu les as détesté. Par jalousie, par dégoût, par envie. Parce qu'il faut bien haïr quelqu'un et rejeter les fautes sur les plus différents.

Tu aimes les armes. Pour sur que tu les aimes. Tu as toujours été doué avec un flingue dans les mains. Tu vises bien, toujours au bon endroit. Là où ça fait bien mal. Là où ça blesse. Comme pour toi. En plein cœur. Avec les mots et avec les armes. Avec les larmes et avec le sang qui coule. C'est drôle. Triste peinture de ta vie. Ton père t'a initié assez tôt, en pleine campagne italienne. Il avait cette allure de gangster tout droit sortir du Parrain. Après tout, pourquoi les chasseurs n'auraient pas pu construire une immense réseau de mafieux ?