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| (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Mer 5 Nov 2014 - 19:19 | |
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Spencer Payton Hamilton chick flicks say protect those who cannot protect themselves ≈ NOM : Hamilton (anciennement Hastings.) ≈ PRÉNOM : Spencer Payton (Payton est son véritable prénom, mais il a inversé ses deux prénoms quand il s'est exilé en Oregon.) ≈ ÂGE : 32 ans. ≈ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Big Spring (Texas), 28 février 1983. ≈ NATIONALITÉ : Américain. ≈ STATUT CIVIL : Célibataire. ≈ EMPLOI : Technicien spécialiste des équipements biomédicaux. ≈ TRAITS DE CARACTÈRE : têtu, loyal, téméraire, impulsif, nostalgique, indécis, campagnard, maladroit, avenant, méfiant, serviable, protecteur. ≈ GROUPE : trust a few, fear the rest (humains). ✤ 01. ancien membre de l’équipe de cross country et de track. ✤ 02. démonte des réveils pour se détendre – ou tout appareil qui lui tombe entre les mains. ✤ 03. déteste conduire. ✤ 04. sait monter à cheval et faire du rodéo (et trouve ces moyens de transport plus commodes que la voiture.) ✤ 05. aurait voulu être cowboy. ✤ 06. possède une arme de poing, mais ne sait même pas s’il serait vraiment capable d’appuyer sur la gachette. ✤ 07 meurt d’envie d’avoir un animal de compagnie mais se contrôle parce qu’il sait qu’il ne trouverait probablement pas le temps de s’en occuper. ✤ 08. a beau avoir été barman le temps d’un été, est toujours incapable de préparer un cocktail correctement même si sa vie en dépendait. ✤ 09. a eu de nombreuses relations de longue durée, mais aucune véritablement sérieuse. ✤ 10. bisexuel avec une préférence pour les hommes, en dépit de la crise cardiaque que la nouvelle provoquerait sans doute chez son traditionnaliste de père. ✤ 11. ses amis l'appellent Spence plutôt que Spencer, mais ceux dont il est vraiment proche utilisent son véritable prénom, Payton, plus intime. ✤ 12. s'est fait tatoué un attrapeur de rêves sur le torse. i. que pensez-vous du mouvement terroriste des hunters ? Les hunters devraient peut-être revoir leur définition du « monstre » et vérifier si leur définition ne s’applique pas davantage à eux. Dans l'histoire de la Terre, ce sont toujours les espèces les plus évoluées qui ont pris le pas sur les autres et qui se sont élevées en haut de la chaîne alimentaire, mais rien de tout cela ne justifie une telle barbarie, une fermeture d'esprit justifiée par rien d'autre qu'une peur primaire, animale, et qui fait d'eux des bêtes sauvages bien plus que ceux qu'ils chassent. Pour être honnête, il meurt d’envie d’aller cogner la crosse de son revolver sur la tempe d’un des auteurs du pire génocide américain.
ii. êtes-vous effrayé par l'apparition des transmutants dans la société ? Pas vraiment. Pour dire la vérité, Spence a été plutôt déçu quand ses tests successifs lui ont confirmé qu’il n’était bien qu’un humain. Les transmutants représentent un nouveau stade de l’évolution mais lui, apparemment, n’en fait pas partie. Il comprend pourquoi d’autres peuvent les détester – ils se sentent menacés car l’histoire de la vie a démontré que les espèces plus évoluées prenaient le pas sur les autres, mais lui a du mal à ressentir autre chose que de la fascination. Même s’il soutient le principe de la résistance, il a cependant ses réserves sur le mouvement, craignant que les mutants ne répondent à la violence des chasseurs par la violence et que le pays sombre dans une guerre civile autodestructrice.
iii. avez-vous déjà fréquenté des mutants ? Il n'y a pas vraiment fait attention, cependant, car l'ADN ne devrait pas être un critère de distinction entre les gens qu'il fréquente et que ce n'en est certainement pas un pour lui. En somme, Spencer n’accorde pas plus d’importance à l’ADN des gens qu’il apprécie qu’à leur sexe ; alors, oui, s'il y réfléchit, il en a déjà côtoyé, et certains ont même été plus proches de lui que des humains lambda. Précisons qu'il éprouve pour eux et les pouvoirs qu'ils ont développé une certaine admiration ; on pourrait même aller jusqu'à dire que sans son insatiable curiosité, il recherche leur compagnie, espérant qu'ils soient de plus dignes représentants de l'espèce humaine que les hunters.
iv. que pensez-vous de l'élection récente de thaddeus lancaster à la tête du comté ?
Que pense-t-il de l’élection d’Hitler dans l’Allemagne de 1933 ? A question stupide, réponse stupide. (Des fois que vous soyez obtus, il est contre et trouve cela aberrant que le chef d’un mouvement incitant à la haine génétique soit élu à un poste de pouvoir. Qu’est-ce que cela dit de la mentalité des habitants du comté, ou, peut-être pire ou mieux, de la fiabilité du système électoral local ?) Un tel suffrage ne peut qu'avoir été truqué, ou alors rendre compte de l'intolérance et de l'ignorance crasse des électeurs ; dans tous les cas, rien de bon ne peut sortir de là et il est persuadé que l'élection de Mr Lancaster finira par déboucher sur un bain de sang. ≈ PSEUDO : WaterwickBambi. ≈ PRENOM : Kim. ≈ ÂGE : 22 ans. ≈ PERSONNAGE : inventé. ≈ AVATAR : Jensen Ackles. ≈ CREDITS : addicted tragedy. ≈ COMMENT ES-TU TOMBÉE SUR TH ? : Depuis Bazzart ou PRD. ≈ UNE ULTIME BAFOUILLE ? : BOMBARDEZ-MOI DE MPS !
Dernière édition par Spencer Hamilton le Sam 8 Nov 2014 - 18:21, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Mer 5 Nov 2014 - 19:20 | |
| we're all stories in the end just make it a good one Les humains, les mutants. Le bien, le mal. L’ange, le démon. Le yin, le yang. Autant de concepts qui nous dépeignent un monde en noir et blanc, couleur pastel ou couleur de sang. Dichotomie. Bien plus que la transmutation, c’est elle, le mal du siècle, et dans la famille Hastings, c’est une maladie qui se transmet de génération en génération.
Spencer ne peut pas en vouloir à son père, militaire de métier, qui a perdu son unité et sa jambe dans une explosion générée par un mutant hostile lors d’une campagne pour la légion étrangère. Pour Russell Hastings, farouche chrétien, les mutants, ce sont le mal, une abomination au même titre que les militants contre le droit de porter des armes, les immigrés et les défendeurs des droits des homosexuels. Big Spring, Texas est un bastion républicain par excellence, où la vie se déroule selon les principes de la tradition conservatrice qui fait la fierté des fameux White Anglo-Saxons Protestants. C’est là que Russell et Mary Hastings se marient, dans la petite chapelle de la paroisse, et élèvent, dans leur propriété agricole héritée de la branche maternelle, leurs trois fils. Les deux aînés, les jumeaux Caleb et Preston, savent monter à dos de cheval de trait avant même de pouvoir conduire correctement, et ils n’ont pas douze ans que leur père leur a déjà appris à tirer à la carabine à air comprimé. Payton Spencer, le petit dernier, de trois ans leur cadet, suit les mêmes traces. La ségrégation a beau avoir été abolie il y a plus de cinquante ans, dans le Sud des Etats-Unis où on chantonne parfois Dixie flotte encore un parfum de Ku Klux Klan, à la différence près que les victimes d’alors ne sont plus les victimes d’aujourd’hui.
Payton aime la campagne, l’aspect figé dans le temps de cette existence simple et tranquille, l’odeur de la paille et du grand air, le hamac dans la grange, les balades à cheval à travers champs et les chasses occasionnelles dans un bois voisin. Il s’adapterait parfaitement à cette routine paisible s’il n’y avait les mutants.
Ils ne sont pas nombreux à Big Spring, où les chasseurs gagnent en influence ; Caleb et Preston ont seulement dix-sept ans, mais ils sont déjà la haine du monstre, la tête pleine des discours de leurs parents sur la nature et l’anormalité, et la vocation de Hunter inscrite dans les veines. Payton, lui, n’a que quatorze ans, mais il est fasciné par les exploits de ces individus qui ressemblent tant aux super-héros de ses bandes-dessinées – ses parents ne veulent pas de ces choses à la maison, mais c’est Curtis, un ami de l’école, qui les lui passe à la récréation pour qu’il les cache sous son oreiller et les lise en vitesse avant de les lui rendre le lendemain dans le bus. (Ces petits plaisirs cesseront à l’âge de onze ans, quand il rejoint le Texas Military Institute, le lycée militaire où son père et ses oncles maternels ont fait leurs études et où ses frères et ses cousins se distinguent depuis déjà trois ans.)
Payton est recruté par les chasseurs, évidemment ; il a dix-sept ans et ses frères l’ont convaincu de se joindre à eux pour une rencontre clandestine. On n’infiltre pas si facilement le cercle des chasseurs, mais quand on s’appelle Payton Hastings, que sa mère est membre d’une famille respectée de hunters et que son père et ses frères sont bien connus dans le milieu pour leurs convictions anti-mutants, la démarche est moins malaisée.
Il a dix-huit ans et vient tout juste de décrocher son diplôme d’études secondaires quand il participe à sa première expédition punitive. D’autres jeunes chasseurs lui ont vanté ce moment unique, la première fois qu’on loge une balle mortelle, le sentiment de puissance et de plénitude.
Payton vomit.
La décision de partir, de laisser tout cela derrière lui est à la fois aisée et incroyablement difficile à prendre. Il achète un ticket de bus pour Lubbock, puis Dallas, y change son nom en Spencer Hamilton – chez les chasseurs, on change souvent de nom et c’est une démarche maintenant considérée facile, et même indispensable quand on s’est livré à des actes barbares et qu’on ne veut pas être retrouvé par les forces de l’ordre. Spencer, lui, veut juste sortir de là, démarrer quelque chose de normal. Changer de nom est une échappatoire, une porte de sortie qu’il enfonce d’un coup d’épaule et barricade derrière lui en continuant à fuir vers le Nord. Son dernier train l’amène à Portland, dans l’Oregon, un peu au Sud de la frontière canadienne.
Spencer est serveur de café, ouvreur au cinéma, barman dans les pubs, distribue flyers et journaux aux heures de pointe dans le centre-ville, paie ses droits d’inscription pour entrer l’année suivante au Portland Community College. Etudiant en Ingéniérie des Technologies Biomédicales et employé à mi-temps à l’hôpital Providence, il sort diplômé deux ans plus tard.
A vingt-et-un ans, son diplôme en poche, il reste à Portland, travaille en tant que technicien biomédical dans l’hôpital où il s’est formé. Ca n’a rien d’extraordinaire, de réparer des défibrillateurs et des radioscopes à longueur de journée, de comprendre ce qui cloche sur l’affichage de l’encéphalogramme du patient, de vérifier constamment que les boutons d’urgence fonctionnent, mais travailler avec des machines l’apaise, et ça vaut mieux que d’être garagiste ou tatoueur dans une boutique un peu étrange du centre-ville, n’est-ce pas ? Il mène une vie tranquille ; Portland est une grande ville, elle a quelque chose d’étouffant, mais elle est connue pour son progressisme. Cela fait cinq fois que son dépistage se révèle négatif, mais même pour ceux dont le résultat est différent, Portland reste un environnement mille fois plus sécurisé que Big Spring.
Il rencontre des gens, certains qui le marquent plus que d’autres, certains qu’il aimera plus que d’autres et avec qui il partagera davantage sa vie que son lit. Rien n’est trop frivole ni trop sérieux, un petit bout de chemin partagé, de jolis souvenirs et parfois même un peu de nostalgie. C’est une bonne vie qu’il mène à Portland, elle pourrait presque être celle de quelqu’un d’autre, ou un rêve, tellement il lui semble parfois impossible d’en être arrivé là, tellement elle passe vite.
Evidemment, on ne peut pas tout à fait oublier qui on est. Les années passées à Portland sont marquées par les incidents rapportés dans les journaux télévisés ; à chaque fois, Spencer serre la mâchoire quand les journalistes parlent des chasseurs, et son cœur, aussi, se serre un peu en repensant au Texas, à la ferme, aux chevaux, au bétail, aux plaines, au parfum de terre et à la brûlure du soleil. En dehors de ses heures de service à l’hôpital, Spencer conserve toujours à portée de main son Beretta 9mm, par simple mesure de précaution. Il sait que sa famille doit bien savoir où il se trouve, que son changement de patronyme n’a pas pu tromper grand-monde du milieu expert des chasseurs, et il doute qu’on vienne lui chercher des noises, tout simplement parce qu’ils ne sont pas dans une mauvaise série B et que tant qu’il se tient à carreau, il ne risque pas que les Hastings et le reste de leur bande de copains se donnent la peine de venir le chercher à Portland.
C’est ce qui arrive à Drew qui change tout. Ils sont ensemble depuis un moment, partagent le même appartement, peut-être même les mêmes perspectives d’avenir, Spencer ne le sait pas encore, ne le saura jamais. Ce qu’il sait, c’est qu’il suffit d’un malheureux séjour séparé où Drew rend visite à des amis à Radcliff, Kentucky, pour que tout bascule, pour qu’il voie un soir un flash spécial à la télévision, pour qu’il reçoive un appel de la police locale pour l’informer de la nouvelle.
Combien de chances pour que la personne qui ait abattu Drew soit quelqu’un dont il a un jour croisé le chemin par hasard, au cours d’un de ces meetings d’extrémistes auquel Preston et Caleb le traînaient ? Ils étaient loin d’être fiancés, n’étaient peut-être même pas encore amoureux, mais plus que la souffrance, c’est de l’indignation qui tord les entrailles de Spencer. Tout ça, tout ce gâchis, tout ça pour un pauvre don. Pas seulement pour Drew, mais aussi tous les autres ; une injustice qui ronge l’Amérique hypocrite, un génocide auquel il faut s’opposer. Cela commencera à Radcliff pour Spence, parce qu’il faut bien à toute chose un point de départ et qu’il n’a pas encore le courage de retourner à Big Spring pour voir ce qu’il y retrouvera.
Spencer ne dit pas qu’il ne croit plus à la dichotomie du bien et du mal. La différence, c’est qu’il ne pense pas que ce soit une question d’ADN. On ne chasse pas un chasseur, et Spence n’est pas le genre à se lancer dans une vendetta personnelle, mais arrivé à Radcliff, place forte des chasseurs de la région,
On a toujours besoin d’un bon électricien, pas vrai ? Il paraît que le complexe hospitalier chercherait des techniciens de maintenance pour le tout nouveau matériel dont il vient de faire l’acquisition…
Dernière édition par Spencer Hamilton le Mer 5 Nov 2014 - 20:45, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Mer 5 Nov 2014 - 19:20 | |
| Et +2 pour vous dire de m'envoyer plein de MPs et de me harceler parce que j'adore ça |
| | | Faith Cunningham MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 17676
SUR TH DEPUIS : 26/04/2014
| | | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Mer 5 Nov 2014 - 19:45 | |
| Bah, je me dois de te dire que Jensen est une petite bombe. :° Bonne chance et bienvenue. ^^ |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Mer 5 Nov 2014 - 20:45 | |
| Merci à vous deux |
| | | Octavia Lovecraft MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 1346
SUR TH DEPUIS : 11/10/2014
| Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Mer 5 Nov 2014 - 20:46 | |
| BIENVENUE OFFICIELLEMENT ! |
| | | Lorcan Wolstenholme ADMIN - master of evolution MESSAGES : 7339
SUR TH DEPUIS : 25/04/2014
| Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Mer 5 Nov 2014 - 21:07 | |
| Yay yay yay bienvenue !! J'aime l'idée qu'il chasse les chasseurs, c'est bon ça Bon courage pour la suite / la fin de ta fiche, et si tu as des questions, n'hésite pas ! |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Jeu 6 Nov 2014 - 4:44 | |
| bienvenue officiellement parmi nous c'est vraiment chouette que tu ais cédé je vais probab te mpotter pour un lien bientôt bonne rédaction, et si tu as des questions n'hésite pas |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Jeu 6 Nov 2014 - 9:02 | |
| ABHACBAJHADLJFKF. Bienvenue, j'attends la suite de ta fiche avec impatience! |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Sam 8 Nov 2014 - 1:01 | |
| Jensen en chasseur de chasseurs. Toi je t'aime déjà. Bienvenue parmi nous du coup et bon courage pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Sam 8 Nov 2014 - 16:22 | |
| coucou avant de te valider, il faudra juste que tu rallonges un petit peu les réponses aux questions un et trois - nous demandons un minimum de cinq lignes après ça, je pourrai te valider sans problème, ta fiche est super |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Sam 8 Nov 2014 - 18:23 | |
| Oupsie, j'avais pas compté les lignes, tellement excitée comme une puce que j'étais de commencer la rédaction de l'histoire ! Normalement, c'est réglé, s'il reste encore des détails à revoir, n'hésite pas, je le ferai avec plaisir |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves Sam 8 Nov 2014 - 19:29 | |
| pas de problème, ça se comprends et c'était pas très grave je te valide avec plaisir maintenant, très belle fiche, garde moi un lien félicitation jeune mutant te voila validé ! Te voilà validé, félicitation Avant de commencer à jouer, n'oublie pas d'aller faire un tour dans la partie administrative si ce n'est pas déjà fait pour prendre connaissance du contexte, des différentes intrigues et des annexes. L'intrigue en cours est ouverte et tu peux la rejoindre dès maintenant. Tu peux dès à présent commencer à rp, mais pense également à créer une fiche de liens pour que ton personnage ne se retrouve pas tout seul. Une envie de relation particulière ? N'hésite pas à poster un scénario ou même dans la partie banque de personnage si tu préfères poster des créer des mini-pvs N'oublie pas de faire un tour dans le flood et de passer par les jeux pour se détendre entre deux rp, sans oublier de voter pour le forum toutes les deux heures Encore une fois bienvenue sur TH, et bon jeu parmi nous |
| | | | Sujet: Re: (spence) chick flicks say protect those who cannot protect themselves | |
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