Matthias a écrit:

« Les mauvaises herbes sont tenaces malheureusement. » Une phrase qui ne laissait planer aucun doute sur son envie de revoir sa belle-mère et il n'allait pas s'arrêter en si bon chemin. « Mais peut-être est-elle blessée, terriblement blessée, si blessée que je ne risque plus de la croiser avant un moment ? »

Matthias a écrit:

Durant tout ce temps, l'homme n'avait accordé aucun regard à Noeh, ne comprenant même pas ce qu'il faisait ici. Il était une épave d'inutilité qui ne désirait pas devenir quelqu'un.

Pas de doute, Matthias est dans la place, yoyoyo

Noeh va avoir envie de rire.
(et est-ce que Sam peut juste entendre ce qui se dit à propos de son jumeau et frapper le méchant Mattou pour lui, genre discrétos pendant que Papa Callahan regarde pas ? )

Tellement de violence chez les callahan

Alec Lynch a écrit:

Alec Lynch, gamin pourri gâté d’Elizabethtown avait décidé de prendre les armes plutôt que de demeurer dans l’indifférence, l’ignorance. Ou même de se noyer, de la tête aux pieds, complètement noyer dans la misère qui avait gagné son cœur juste après le désastre. Juge et juré ; ici-bas, il semblait n’y avoir qu’un seul juge, qu’un seul juré – la conscience imprenable justicière qui apposait son empreinte sur tous ceux qui gravitaient dans ce monde avec une quelconque raison.

Alec Lynch a écrit:

L’ironie criait, l’ironie hurlait – l’ironie pulsait ; ce soir, le transmutant n’était pas en position de force. Et Alec Lynch avait revêtu le visage du juge et du bourreau tout à la fois – oui, une sale besogne probablement. Une tâche ingrate que quelqu’un devait bien accomplir, si cela pouvait empêcher les dégénérés d’agir en toute impunité.

J'ai jamais pris autant de plaisir à sentir qu'un de mes personnages est sur le point de se prendre la raclé de sa vie.

Awwwww, contente qu'il te plaise
(j'aime donner du plaisir aux gens quand ils se prennent une raclée )
j'te l'ai déjà dit, mais j'adore ta plume aussi, huiggu

C'est un pur plaisir de te lire.

(c'est une forme particulière de plaisir... ).

Salomé Callahan a écrit:

Ses bras s'enroulèrent autour de lui parce qu'il ne pouvait en être autrement. Elle l'attira contre elle dans une étreinte qui réveilla ses côtés endolories, mordant ses bras blessés tandis qu'elle acceptait la douleur. Ils étaient en vie.

Salomé Callahan a écrit:

en voulant reculer légèrement son nez effleura le sien, son souffle rencontra le sien, et que ses lèvres épousèrent les siennes dans la précipitation de quelqu'un qui ne réfléchit pas, qui agit, spontanément, sans laisser le temps à son cerveau d'expliquer à son cœur que rien n'est censé se passer de la sorte.

Heure du décès : 21h09

Spoiler:

Mais bon. C'était juste un coup de trop sur la tête. Ça veut rien dire du tout, du touuuut.

On attend des siècles pour qu'il y ait quelque chose, et quand quelque chose arrive, c'est à cause d'un coup sur la tête et ce sera oublié dans la minute, c'est quand même dommage
Lorcan il oubliera pas

Je te promets que quand Noeh lui aura tranché la tête, il oubliera.  

(en vrai, ils sont trop beaux, raaah )

Comment il pourrait oublier le plus beau moment de sa vie en même temps.

Tss, j'attendais la menace Soso. Mais s'il lui coupe la tête elle pourra plus l'embrasser.

Le plus beau moment de sa vie c'est quand son regard a croisé pour la première fois celui de Noeh, non mais.

C'est le but d'une décapitation de Lorcan : que les Salomé ne puissent plus les approcher !
Je rappelle que Noeh ne veut que le bien de sa jumelle.

Le bien de sa jumelle passe par Lorcan faut croire, et le décapiter nuira fortement à l'atteinte de ce but tu sais Et je te rappelle que Nono n'a point subi la décapitation pour l'instant (il le mériterait pourtant ), alors il serait bon qu'il s'en souvienne et qu'il reste loin des objets tranchants, merciii

Citation :

Alec Lynch avait toujours vu sa vie comme quelque chose qui filait à toute allure, quelque chose qu’il devait dominer, posséder coûte que coûte pour ne rien en perdre. Il avait embrassé la prescience de la mort depuis longtemps déjà ; et maintenant, c’était elle qui le fuyait ardemment. Encore cette même ironie. Mais qui pouvait se satisfaire de vivre comme ça ? Il s’était déjà imaginé voir Calista mourir, voir Felix mourir, subir encore et encore le poids de l’abandon qui l’avait glacé de la tête aux pieds, lorsqu’il avait découvert les cadavres de ses parents. Il n’voulait pas d’immortalité, il n’voulait pas de dégénérescence ; plus que tout, il n’avait pas l’intention de rester les bras croisés, spectateur de son monde tout entier qui s’effondrait en miettes.

c'te plume j'ai des feels