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| Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 20:00 | |
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Austin Benoit Haynes Aimer c’est se rendre aveugle au point de se détruire mutuellement. ≈ NOM : Haynes. ≈ PRÉNOM : Austin. ≈ ÂGE : 23 ans. ≈ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 21 Décembre 1990, à Radcliff. ≈ NATIONALITÉ : américain. ≈ STATUT CIVIL : célibataire. ≈ EMPLOI : travaille dans une bibliothèque. ≈ TRAITS DE CARACTÈRE : réservé, froid, autoritaire, borné, susceptible, taquin, intelligent, ouvert d'esprit, attentionné avec ses proches, prudent, patient. ≈ MUTATION : contrôle des organes vitaux (poumons; cœur; reins; foie; pancréas; cerveau). ≈ GROUPE : Les transmutants. ✤ 01. Il aime les tatouages. ✤ 02. Il a tendance à se mordre la lèvre inférieur. ✤ 03. Il aime rester chez lui et lire toute la journée. ✤ 04. Il n'aime pas tout ce qui est bruyant, les gens, la musique trop forte, les cris. ✤ 05. Un jour, quand il en aura les moyens il quittera le Kentucky et ira vivre en Europe, il n'a pas décidé où encore. ✤ 06. Il ne veut plus s'attacher. ✤ 07 Il n'a pas beaucoup de personnes proches de lui, il ne lui reste que peu de famille, seulement le frère de son père et sa fille. ✤ 08. Il a deux petites fossettes qui apparaissent quand il sourit ou rit. ✤ 09. Il est instinctif, il y a des fois où son pouvoir se déclenche sous l'émotion, comme la fois où il se faisait tatouer, il avait très mal et la réaction qu'a eu son don a failli coûter la vie au tatoueur, maintenant Austin a une tache d'encre au bas du dos, car quand le tatoueur est tombé inconscient celui-ci a laissé l'aiguille et l'encre s'est déversée sous la peau du jeune garçon. ✤ 10. La seule personne encore en vie qu'il aime, vraiment, est sa petite cousine. i. êtes-vous originaire de Radcliff ? Oui, je suis né à l’hôpital de Radcliff, j'y ai vécu toute mon enfance, mon adolescence, j'y vis actuellement et j'espère, sincèrement, ne pas finir ma vie ici, je ne sais même pas si je tiendrais jusqu'au trente ans, avec ce qu'il se passe en ce moment. Je ne comprends pas vraiment le fonctionnement de ces personnes, mais je me ferais un plaisir d'arrêter leur système respiratoire et de les entendre gémir de douleurs, eux et leurs croyances.
ii. avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ? Non, pas vraiment, je les ai déjà vu agir, sans que je ne puisse rien faire, mais ils ne m'ont jamais attaqué et j'espère que cela restera comme ça, jusqu'à ce qu'ils soit tous exterminés comme ils veulent que nous le soyons. Ces personnes et leurs idéaux ne méritent pas la moindre compassion.
iii. utilisez-vous beaucoup votre don ? Non, j'évite, ce n'est pas vraiment quelque chose de très utile dans la vie courante, mais par fois il se manifeste involontairement, sous l'émotion ou par défense. J'évite d'aller dans des endroits trop émouvants pour éviter toutes sortes d'accidents, comme les manèges à sensations, ce genre de choses.
iv. pensez-vous que les mesures mise en place par le gouvernement sont suffisante ? Si elles étaient suffisantes, est-ce que ces hunters existeraient ? Je ne pense pas. Je suis reconnaissant envers les mesures que le gouvernement a instauré, mais si les gens savaient qui j'étais vraiment, je ne pense pas que je serais traité aussi bien qu'il y est dit. Je serais sûrement dénoncé et torturé jusqu'à ce que je me donne la mort en arrêtant mon propre cœur. Que c'est beau d'instaurer des mesures, mais si elles ne sont pas appliquées, quel intérêt ? Je ne dis pas que tout le monde ne respecte pas ces règles, mais le fait que des personnes comme les hunters existent, suffit à confirmer mes doutes envers l'efficacité des lois.
≈ PSEUDO : quartz. ≈ PRENOM : anna. ≈ ÂGE : écrire ici. ≈ PERSONNAGE : inventé. ≈ AVATAR : Harry Styles. ≈ CREDITS : pandora, tumblr. ≈ COMMENT ES-TU TOMBÉ SUR TH ? : sur bazzart. ≈ UNE ULTIME BAFOUILLE ? : sdghgsd.
Dernière édition par Austin Haynes le Lun 9 Juin 2014 - 20:58, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 20:01 | |
| we're all stories in the end just make it a good one 21 Décembre 1990. Il devait être vers les trois heures du matin. Dans une chambre d’hôpital, un médecin et deux sages-femmes sont regroupés autour d’une femme entrain d’accoucher. Dans la pièce, résonnait les grandes prises d’air de la patiente, ainsi que les conseils du médecin pour faciliter l’accouchement. Elle se retenait de pousser un cri face à la douleur, elle faisait de son mieux pour se concentrer sur l’accouchement. Les sages-femmes et le médecin la conseillaient et la rassuraient. Inspirez, Expirez, poussez. Ces trois mots résonnaient à l’intérieur de son crâne, elle faisait de son mieux pour appliquer les demandes du médecin, mais elle perdait de la force. Je vois sa tête, avait dit le médecin, elle n’avait pu que souffler de soulagement, puis un quart de secondes plus tard elle reprenait ses inspirations, expirations et poussait. Encore un peu, l’encourageait une des sages-femmes. Dans un dernier effort, elle poussa de tout le peu de force qui lui restait et une sage-femme récupéra, enfin, l’enfant. Un soupire de soulagement s’échappa des lèvres du personnels. Le nouveau-né semblait en parfaite santé. Une des sages-femmes était parti prévenir le père, qui attendait dans la salle d’attente, au bord de la crise d’angoisse. Quand ils revinrent vers la salle d’accouchement, le sourire qu’arborait le personnel s’était éteint et une moue sérieuse et triste, avait pris place. Je suis désolé, nous n’avons rien pu faire, elle a eu un arrêt cardiaque. Avait annoncé le médecin, votre enfant est en salle d’examen pour vérifier que tout aille bien, j’ai des documents à vous faire remplir, mais nous avons le temps…Toutes mes condoléances. Et sur ces derniers mots le personnel quitta la pièce. L’homme était anéanti, normalement, il aurait dû être heureux, car son fils était né, mais non, il était effondré au chevet de sa femme. Il n’arrivait pas à croire que la personne qu’il aimait le plus au monde, était devant lui, le cœur à jamais éteint. Il ne comprenait pas pourquoi, il était lui-même médecin et ce n’était pas normal. Il essuya les larmes de ses joues et déposa un baisé sur le front de sa femme, avant de quitter la pièce.
Il nomma son fils : Austin, car c’est le prénom que la mère du garçon aurait voulu. Malgré sa peine, il trouva un peu de bonheur dans les yeux de son fils. Il ressemblait à sa mère, alors d’un côté elle serait toujours là, avec eux, à travers son fils.
21 Décembre 2007. C’était le jour de son anniversaire et aussi le jour où Austin pourrait enfin quitter l’hôpital qu’il occupe depuis ses quatre ans. Austin a vécu la majorité de son enfance dans les hôpitaux à cause de problèmes de santé comme asthme, diabète, bradycardie... Mais étrangement, cela faisait depuis sept mois que plus aucunes de ces maladies ne s’étaient manifestées.
Austin se prépara, impatient de retrouver son père, qu’il devait rejoindre à la gare car celui-ci était parti pendant une semaine à Louisville pour une conférence. Il enfila sa veste, empoigna son sac à dos et quitta l’hôpital, il viendra chercher ses autres affaires plus tard dans la soirée. Il salua, joyeusement les infirmières qui s’occupaient de lui et elles n’oublièrent pas de lui souhaiter un joyeux anniversaire. Le bouclé fit signe à un taxi et celui-ci le conduit jusqu’à la gare, il paya et se dirigea vers le quai. Il y avait beaucoup de monde ce jour-là, Austin n’aimait pas vraiment quand il y avait beaucoup de personnes, il se sentait oppressé et il redoutait de faire une crise. Le brun inspira profondément et observa le tableau des arrivées. Le train en provenance de Louisville arriverait dans moins de dix minutes, il s’installa et attendit patiemment, quand quelques minutes plus tard il aperçu le train au loin. Le bouclé se releva brusquement et s’avança vers le bord du quai.
Austin a tout vu, il n’a pas raté un seul instant, il a vu le train arriver à toute vitesse, il a entendu les roues grincer sur les rails, il a vu le train se renverser sur le coté droit, il a tout vu. Il a entendu les cris des gens dans les wagons, il a vu les visages des personnes sur le quai. Le bouclé serrait les poings, il n’y croyait pas, cela ne pouvait pas être possible, son père, sa seule famille était dans le train. Il s’enfonçait presque les ongles dans la peau, il refusait l’idée de perdre son père, il avait déjà perdu quelqu’un, si son père mourrait, que ferait-il ? Il serait seul, abandonné, il retournerait à l’hôpital ou pire encore il irait dans un centre pour les orphelins jusqu’à ses dix-huit ans. Il refusait, il ne voulait pas retourner dans cet hôpital et encore moins dans une maison pour orphelin, son père n’allait pas mourir, il était vivant. Il le savait, il se forçait à croire que son père sortirait miraculeusement du train. Les policiers faisaient évacuer les personnes et les passagers encore vivants. Tout ce monde passait à côté du jeune garçon, encore sous le choque de ce qu’il venait de se passer, les gens le bousculaient, marchaient sur ses pieds, l’entraînaient vers la sortie, mais il restait de marbre, son esprit était parti. Il gardait le regard fixe sur le lieu du crime, sur la queue de survivants qui se créait, mais il ne voyait pas son père, son père n’apparaissait pas. Il le chercha du regard, il n’était nulle part, avant qu’il ne voit au loin des sauveteurs portant un corps hors du wagon. L’adrénaline le traversant, il s’élança vers l’équipe de sauveteurs, poussant les gens autours de lui. Il criait son père, il l’appelait, il cherchait à le faire réagir, il n’espérait qu’un signe de sa part, rien. Austin arriva à la hauteur du corps et ses yeux s’embuèrent, les larmes l’empêchait de voir clairement. Les sauveteurs essayaient de le repousser, mais il se débattait, criant que c’était son père, de ne pas l’emmener, qu’il était encore vivant. Un des sauveteurs, lui criait qu’il était mort, que c’était fini, Austin refusait de l’écouter, il secouait la tête, essayant d’enlever cette vérité absolue. Il était mort. Son père était mort. Il attrapa la main de son géniteur et la serra fort contre son cœur, papa, papa, soufflait-il, désespérément. Les larmes dégoulinaient le long de ses joues, il était tellement pathétique, mais il s’en fichait. Il voulait son père, il avait besoin de lui. Son père ne pouvait pas le quitter, pas aujourd’hui, pas maintenant, il n’avait pas le droit. Une pression se fit ressentir sur la main qui tenait celle de son père, il ouvrit, subitement les yeux et ceux-ci croisèrent le regard faible de son père, la lueur qui les avait toujours accompagné avait disparu. Il entendait les sauveteurs à ses côtés, murmurer des « mais il était mort » « ce n’est pas possible » « incroyable » « il était pourtant bien mort, il a fait une crise cardiaque ». Austin n’y faisait pas, réellement, attention, il avait le regard posé sur son père qui lui souriait, tendrement. Papa, avait-il, murmuré. Son père lui avait lancé un regard rempli de compassion, les derniers mots de son père, avant de se redormir à jamais, furent « je t’aime ». Le bouclé ne comprenait plus rien, il était de nouveau en pleurs, les policiers étaient venus pour l’évacuer et il avait été incapable de les repousser, il n’avait plus de force, désormais. A quoi bon cela servait-il de se débattre, alors qu’il n’y avait plus de but, il se faisait à l’idée, son père était mort, il ne reviendrait plus jamais à la vie. Il se demandait d’ailleurs comment cela avait-il été possible, que son père revienne subitement à la vie. Ce jour là, il ne rentra pas à l’hôpital. Il n’y retournera, d’ailleurs, plus jamais.
15 Juillet 2010. Papa ! Papa ! Criait la petite Rose. Viens voir, il y a un petit poussin qui bouge plus ! Le grand brun se leva, peu enthousiaste, suivit de son neveu. Ils rejoignirent le poulailler où la petite fille les attendait, impatiente. Quand ils arrivèrent à sa hauteur, elle tendit devant son père, le poussin mort. Le regard, lasse, de son père observa le poussin dans les mains de sa fille, il jeta un regard perplexe à son neveu, puis s’agenouilla devant la petite. Tu sais, ce sont des choses qui arrivent, commença-t-il. Austin observa son oncle parler à sa cousine, essayant de choisir les bons mots pour lui faire le moins de peine. Il prit le poussin dans ses mains et interrompit son oncle. Rose, appela-t-il, j’ai peut-être une solution… La petite fille se retournait d’un bon vers son cousin et le regardait avec de grands yeux, c’est quoi ?! Cria-t-elle. Austin prit une des mains de la petite et la posa au niveau du cœur du poussin. Maintenant, tu inspires, profondément, commença-t-il, puis tu souffles, doucement sur lui et… Et lorsque l’enfant souffla sur le petit oiseau, il se remit sur ses pattes. Le visage ébahi de la fillette, provoqua un sourire sur celui du jeune homme. Il déposa le poussin dans les mains de la petite fille et se releva, imité par son oncle. Celui-ci tapota, amicalement, le dos de son neveu. Tu m’as sauvé, souffla-t-il à l’oreille de son neveu, avant de sourire à sa fille. Rose avait l’air, aussi heureuse que si elle avait reçu le plus beau cadeau de l’année. Ils laissèrent la petite fille et rentrèrent dans la maison. Austin se réinstalla sur son siège et son oncle derrière le bar, il lui servit un verre d'eau, alors que lui prenait une bière. Dis-moi, commença son oncle, tu sais, ton... don ? Tu devrais l'utiliser plus souvent, enfin, je veux dire, va à l'hôpital et va guérir des gens. Austin avait failli s'étouffer avec son eau. Pardon ? S'exclama-t-il. Je ne retournerais jamais dans un hôpital et si on apprend que je contrôle les organes vitaux, je vais me faire tuer ! S'énerva-t-il. Son oncle le regarda avec de grands yeux, comme sa fille, quelques minutes plutôt. Tu fais ça, discrètement. Sous la colère, Austin se souleva du siège et se pencha vers son oncle. Écoute moi, bien, siffla-t-il, alors que son oncle se tordait de douleurs, moi, vivant, tu ne me feras jamais rentrer dans un hôpital, c'est bien clair ? Dit-il, avant de se rassoir sur son siège, essayant de se calmer, il avait passé son enfance dans les hôpitaux, il n'y remettrait plus les pieds. Dans sa colère, le bouclé avait insufflé des douleurs abdominales intenses à son oncle. Comme il partait, il aurait pu lui donner une pancréatite aigüe, avec tout l'alcool qu'il avait dans son sang, mais Austin ne souhaitait pas cela à son oncle, même s'il l'énervait.
Son oncle et lui s'étaient rencontrés à l’enterrement du père d’Austin et c’était lui qui l’avait recueilli jusqu’à ses 18 ans. Le bouclé avait toujours apprécié la compagnie de sa petite cousine, non, il ne l’appréciait pas, il adorait être en présence de sa cousine, elle était la gentillesse, la joie incarnée. Elle avait, constamment, un sourire accroché aux lèvres, elle était magnifique, adorable et elle n’avait que six ans. Il aimait aussi son oncle, il avait toujours cet air lasse sur le visage, qui le faisait rire. Le bouclé était très reconnaissant envers son oncle de l’avoir accueilli et il lui rendait le mieux qu’il pouvait. Quand Austin vivait encore chez son oncle, car il a déménagé en ville, il l’aidait à s’occuper de sa fille ou alors il l’aidait à la maison, car son oncle était seul, sa femme l’ayant quitté.
Dernière édition par Austin Haynes le Mar 10 Juin 2014 - 20:24, édité 6 fois |
| | | | | | | Lorcan Wolstenholme ADMIN - master of evolution MESSAGES : 7339
SUR TH DEPUIS : 25/04/2014
| Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 20:51 | |
| Bienvenue parmi nouuuus Bon courage pour ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 20:57 | |
| Merci beaucoup, c'est gentil, j'avais peur que le pouvoir soit trop grand ou quoi. J'hésiterais pas à te demander.
Merci de l'accueil. :) |
| | | Faith Cunningham MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 17676
SUR TH DEPUIS : 26/04/2014
| Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 21:31 | |
| Bienvenue misster ! Courage pour la suite de ta fichette |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 21:44 | |
| Bienvenue parmi nous Ton pouvoir est plutôt original, je me demande comment il va se manifester |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 22:05 | |
| Merci :) haha j'ai une idée, mais faut que je travaille ça. |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 22:16 | |
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| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 22:37 | |
| Merci beaucoup, oui c'est sûr. :) |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 23:32 | |
| Bienvenue parmi nous. Ton pouvoir est génial. Il y a énormément de potentiel. J'ai hâte de voir ça à l'oeuvre. Comme ça fait bizarre de voir Harry sur TH mdr ** |
| | | Calista Wolstenholme ADMIN - master of evolution MESSAGES : 14639
SUR TH DEPUIS : 26/04/2014
| Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 23:42 | |
| Bienvenue, bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Dim 8 Juin 2014 - 23:53 | |
| Merci merci. Haha oui c'est sûr que Harry mutant ça doit faire un petit choque, mais moi j'aime bien.
Merci. |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Lun 9 Juin 2014 - 0:00 | |
| bienvenue et bonne chance pour ta fichette le bouclé ! |
| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." Lun 9 Juin 2014 - 8:32 | |
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| | | | Sujet: Re: Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." | |
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| | | | Haynes - "J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine." | |
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