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Isolde Saddler
Isolde Saddler

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MessageSujet: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeVen 26 Aoû 2016 - 17:04

le ctrl+v
le jeu où on te stalke grave.
Comme on est qu'une sale de bande stalkeurs, on créait des jeux exprès pour vous espionner, connaitre tout de votre petite vie, s'insinuer dans vos petits secrets, donc, pour nous aider à vous stalker, parce que vous aimez vous faire stalker, ne mentez pas ! Dans ce jeu, il suffira de faire un collé, du dernier truc que vous avez copié  ☆ le ctrl+v. 2765873474


Dernière édition par Isolde Saddler le Sam 27 Aoû 2016 - 15:49, édité 1 fois
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Faith Cunningham
Faith Cunningham

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 27 Aoû 2016 - 14:40

Nom du personnage : écrire ici
Décision : je le garde / je le supprime / je le modifie (effacer la mention inutile)
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Isolde Saddler
Isolde Saddler

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SUR TH DEPUIS : 15/02/2015
MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 27 Aoû 2016 - 14:40

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Invité

Invité
MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 27 Aoû 2016 - 15:41

Citation :

12:00
INCONNU

Pour faire court, vous êtes ici chez les salopards. C’est admis. On n'a pas des idées bien jojos, et on n’a pas peur de le dire ! On fomente, on renégate, on laisse libre cours à notre fantaisie.


13:13
Mon, January, 19th
INCONNU
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Isolde Saddler
Isolde Saddler

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeSam 27 Aoû 2016 - 15:46

Citation :
Isolde, elle n’avait jamais été une fille bien compliquée, ni trop exigeante, surtout en amour. Elle n’était pas cette fille romantique au possible qui attendait de son compagnon – ou de sa compagne – qu’il fasse les choses en grand. Y avait plus de chance pour qu’un grand geste romantique la fasse rire plutôt qu’il ne la comble d’un bonheur sans fin. Elle-même, elle était incapable de le faire, le grand truc romantique, alors évidemment qu’elle n’allait pas en demander autant à quelqu’un d’autre ce serait franchement pas logique. Isolde, elle aimait les choses simples et la seule personne envers qui elle était vraiment exigeante, c’était elle-même. Au moins, c’était bon signe pour Cesare, elle n’allait jamais lui demandé des trucs complètement fous, pour lui démontrer son amour, elle n’avait pas besoin de plus que de sa présence pour être heureuse de toute façon, alors y avait peu de chance pour qu’elle râle un jour parce qu’il ne l’emmenait pas dîner dans un grand restaurant romantique ou qu’il ne la comblait pas de cadeaux à chaque fois qu’ils se voyaient. Il pouvait aussi oublier la saint valentin – quoi qu’elle ne disait pas non aux chocolats – ou leur anniversaire – dont elle n’était pas sûre de la date – sans que ça ne pose problème. Au moins, il pourrait se dire que de ce côté-là, il n’avait pas trouvé la fille la plus chiante du monde. Elle pouvait facilement l’être dans d’autres domaines, parce qu’elle râlait facilement, pouvait se vexer en un battement de cils et n’avait pas la moindre patience. Personne ne pouvait être parfait de toute façon hein. L’amour rendait aveugle qu’on disait, mais y avait bien certains aspects de sa personnalités que Cesare pourrait voir comme chiants même s’il l’aimait ; mais au moins ça ne concernerait jamais la façon dont ils mettaient en place leur vie de couple, les rendez-vous qu’ils s’organisaient et tout ce qui pouvait aller avec.

Elle n’allait jamais râler parce qu’il se pointait chez elle un peu dépravé, les cheveux en bataille et ses lunettes sur le nez, plutôt qu’en costard cravate, avec une coupe de cheveux impeccable. Elle l’aimait comme il était de toute façon. Qu’il soit l’asocial de Radcliff n’y changeait rien. Elle, elle avait toujours réussi à se faire remarquer à sa façon, même au lycée. Elle était grande gueule, ce n’était pas d’aujourd’hui, mais ça ne voulait pas nécessairement dire qu’elle avait été plus populaire que Cesare. Elle avait eu ses amis, sa bande et ils n’étaient pas les types les plus populaires du lycée, mais ça avait été très bien comme ça dans le fond. Y avait toujours eu des gens pour les emmerder, parce que forcément, dès qu’on rentrait pas correctement dans le moule, le lycée devenait un truc compliqué, alors ouais, y avait peut-être du monde à qui elle serait ravie de montrer qu’elle avait un petit-ami sexy, une fille adorable et un boulot qui lui valait bien quelques honneurs. « Ton potentiel sexy pourrait tout surmonter. » Elle ne le dirait jamais assez qu’il était sexy, qu’elle aimait son corps et que n’avoir que vingt pour cent de toute cette perfection semblait être un drame dans sa vie. Il devait bien le savoir de toute façon tout ça. Ce n’était pas pour rien après tout que son pseudo programme de la soirée avant été chamboulé. Maintenant, qu’ils avaient bien dérivés et qu’ils en avaient bien profité, ils pouvaient y revenir au programme, quitte à dévier de nouveau plus tard, c’était pas comme si elle pourrait s’en plaindre. Elle laissa échapper un léger rire à sa réplique avant d’attraper sa coupe de champagne. « Ça me semble une bonne raison de trinquer ça. » Elle haussa les épaules avant de venir cogner légèrement sa coupe contre la sienne. « À ça et à tes vingt-sept ans. » Parce qu’il ne fallait pas les oublier ses vingt-sept ans après tout. C’était son anniversaire aujourd’hui, alors ça valait bien la peine de trinquer à ça. Une nouvelle année qui commençait pour lui, une année qu’elle essaierait de rendre meilleure que la précédente. Ça ne semblait pas si compliqué que ça, vu tout ce qui avait pu se passer l’an dernier, mais bon, c’était Radcliff, mieux valait éviter de faire ce genre de promesses à long terme ; en tout cas, elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour y parvenir, à la lui rendre meilleure, la vingt-septième année.
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Cesare DeMaggio
Cesare DeMaggio

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SUR TH DEPUIS : 15/02/2015
MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 0:38

Citation :
Peut-être bien que la façon dont la conversation virait s’approchait carrément du ‘fais c’que j’dis, pas c’que j’fais ; parce que tout autant qu’Isolde n’avait jamais été réputée pour sagement rester dans un lit à laisser le temps passer et à attendre que ses blessures soient guéries, Cesare, lui, il n’avait jamais été connu pour être quelqu’un qui prenait tout particulièrement soin d’lui. Prendre du temps pour simplement vivre, ça n’avait jamais fait partie de la philosophie de vie qu’on lui avait inculquée : dans son passé, y’avait eu la cause et rien d’autre. La chasse aux transmutants, autour de quoi aurait dû graviter toute sa vie et chacun de ses choix : si le mariage de ses parents était aussi une histoire de business entre deux familles hunters, y’avait fort à parier que le sien aurait été pareil, s’il ne s’était pas avéré être un fils paria du jour au lendemain. Ç’avait été l’assurance qu’il avait toujours eue, du moins, et la croyance qui l’avait toujours éloigné de chaque murmure d’histoire d’amour qui avait pu se profiler à l’horizon pour lui, à un moment ou un autre. Alors il était probablement la dernière personne pour pouvoir critiquer, ou conseiller à qui que ce soit de prendre du temps pour apprécier la vie, sans s’poser mille questions et sans culpabiliser. A cela près, que lui, il l’aimait Isolde ; et tout c’qu’il voulait, c’était la voir et la savoir heureuse, sans que sur ses épaules ne semble peser tout le poids du monde, juste parce qu’elle prenait une heure, une journée, ou même deux semaines entières, pour profiter de tout ce qui pouvait s’offrir à elle. Et leur couple, et leur fille, et même, à plus vaste échelle, la Radcliff qu’elle luttait tant à sauver : celle à laquelle elle était attachée, la Saddler, parce qu’ici ou là, elle avait de bons souvenirs, des lieux de prédilection, ou quelque chose qui lui rappelait un bon moment de sa vie. Ça n’avait jamais été trop leur possibilité ça, d’apprécier c’qu’ils avaient pour le temps qu’ils l’avaient : combien d’fois étaient-ils restés ensemble, avec dans un coin de leur tête, un chronomètre les rapprochant de l’aube et de la séparation ? Combien de fois s’étaient-ils vus, avaient-ils eu un moment d’insouciance, où soudainement, une pensée triste ou une dure réalité était venue tout bouleverser ? Ouais, c’n’était pas facile de n’pas voir les choses tout en noir, quand on avait une existence écrite de la sorte : d’épreuve en épreuve, avec des courtes heures culpabilisantes pour reprendre de l’air, et finalement une réalité qui revenait, avec son lot de mauvaises nouvelles pour remuer le couteau dans la plaie. Et pourtant-… et pourtant, la réalité était qu’au fond du fond, Cesare, il n’avait pas envie d’se sentir coupable parce que Gabriela s’était impatientée, et avait sauté à la gorge de ses parents alors qu’il avait été à l’autre bout du monde, perdu dans son amour avec Isolde, au point d’en oublier tous ses problèmes. Il n’voulait pas- ne voulait pas culpabiliser pour des erreurs qui, au fond, n’étaient pas que les siennes : tout c’qu’il avait fait, c’était saisir une opportunité qui s’était offerte à lui, comme ça, alors qu’il avait gagné un voyage dans un concours stupide auquel il avait participé, plus en désespoir de cause qu’autre chose. De l’autre côté, ils avaient fini par sauver le fils de Gabriela ; et Isolde et lui, ils n’auraient jamais eu d’autre opportunité d’vivre ce qu’ils avaient vécu à Paris, comme ils l’avaient vécu, au moment où ils l’avaient vécu. Ç’avait été là, maintenant – tout autant quand ils en avaient eu besoin, et la chance de l’faire. Après vingt ans à chasser, et sept ans à s’battre pour la cause des mutants. Alors qui était là pour les juger ? Qui avait quelque chose à redire sur les deux p’tites semaines qu’ils avaient pris, pour saisir à la surface du néant, un bol d’air donc ils avaient eu furieusement besoin, après tout c’qu’ils avaient perdu, et enduré, et subi, et surmonté ?

Ils étaient revenus, à la fin d’l’histoire. Alors quoi ? Quel crime avaient-ils commis ? Celui d’aller voir ailleurs pour un court temps ? Celui d’voir un autre paysage que celui, trop familier, trop misérable, de Radcliff ? Celui de n’pas être là pour gérer les problèmes des autres à leur place ?! Personne n’avait géré leurs problèmes pour eux, après tout ; ni Gabriela ni aucun membre d’Insurgency n’avait volé au secours d’Aria. Et ni Gabriela ni aucun membre d’Insurgency n’avait volé au secours d’Anthea. Ils n’leur devaient rien, franchement, à tous ceux-là. Il soupira, pourtant, Cesare ; peut-être avait-il parlé trop sèchement, alors même que justement, ils n’avaient fait que ça jusque-là, parler. C’n’était pas comme si elle s’était tuée au travail juste sous son nez, pour mieux prouver c’qu’il disait ; mais il la connaissait, Isolde. Il savait quel genre de dévotion la motivait ; l’genre de dévotion qui faisait qu’elle se retrouvait au cœur des événements alors qu’elle était enceinte jusqu’au cou, qu’elle allait interroger des mecs dans un hôpital pour se faire tirer dans les jambes alors qu’elle était enceinte : alors au fond, volontiers oublier de fêter son anniversaire juste pour mieux bosser et tout ça, parce qu’elle était partie à l’autre bout du monde pendant deux semaines, c’n’était pas si inenvisageable que ça. En plus, même s’il ne savait pas qui avait pris la relève de la blonde pendant leurs vacances, ils avaient fait du bon boulot : Radcliff était toujours là, et à ce qu’il semblait, comme il pouvait le voir juste là, les administrations fonctionnaient toujours bien. Certes, y’avait une bestiole génétiquement modifiée qui se promenait en ville et détruisait des trucs ici ou là ; encore une chose qui prouvait qu’être maire de Radcliff, c’n’était pas être maire de n’importe quelle ville. « J’dis pas que l’temps qu’on prend pour nous est forcément pourri par l’fait qu’on le prenne toujours pour des raisons dramatiques. » il admit, clairement ; au contraire, il gardait tant de souvenirs de la France – tant d’bonnes choses, qui lui avaient si souvent fait oublier comment ils s’étaient retrouvés là, ou toute la lignée d’événements qui avait précédé leur départ. L’inquiétude, la peur, la hargne, tout ça l’avait quitté, là-bas. Alors évidemment c’n’était pas ce qu’il disait. « T’es pas cinglée. » il savait qu’elle avait fait plein d’choses, aidé plein d’gens en vivant comme ça ; en mettant sa vie à elle entre parenthèses au profit de celles d’autres. Mais lui, son job à lui, c’était de n’pas la laisser faire ça – même si c’était dans sa nature, son premier réflexe ; quand ils grattaient la surface des réflexes, quand quelque-chose venait la ramener les pieds sur terre, la Saddler disait clairement que c’n’était pas ce qu’elle voulait de sa vie. Elle le lui avait dit, y’a plusieurs semaines de ça maintenant, quand elle avait été dans ce lit d’hôpital à sa place à lui. « Pourquoi est-c’que tu les prendrais pas, tes cours de cuisine ? Si c’est c’que tu veux faire… c’est quoi ? Un soir par semaine où tu sors de ton boulot à l’heure dite plutôt que trois heures plus tard. » il pinça les lèvres, réalisant trop tard qu’il n’avait pas voulu que cette phrase ait l’allure d’une critique, mais l’avait probablement, dans l’atmosphère de leur conversation. « C’que j’veux dire, Isolde-… t’es heureuse, quand-… par exemple, quand t’es avec Clara, quand tu penses à rien d’autre. Peut-être que-… que c’est pas nécessairement parce qu’on est à l’autre bout du monde, mais parce que-… j’en sais rien, parce que t’es toi. » l’Isolde qui avait survécu à toutes les choses horribles, tous les deuils qu’la vie lui avait imposés, pour une raison particulière ; l’Isolde qui était toujours là, souriante, lumineuse, malgré les erreurs qui l’engouffraient trop souvent. Pas l’Isolde qui s’devait de s’battre, toujours se battre, parce qu’elle n’voyait rien d’autre dans la vie. Au fond, il s’en foutait bien de la tour Eiffel, des rues de Paris, des plages françaises, du bronzage, des macarons ; lui, il gardait en tête Isolde, et lui, eux deux, et Clara. « J’pense que ton père… s’il t’a protégée comme il l’a fait. S’il a essayé d’te tenir loin des hunters pendant tant d’temps comme il l’a fait c’est-… c’est parce qu’il voulait que tu continues d’vivre, malgré tout ça. » parce qu’au fond, sinon, Isolde elle aurait été élevée comme lui, sans anniversaire, sans trêve, sans cadeau ; juste pour une cause plus que pour elle-même. « Au pire, j’te promets, t’auras qu’à me filer la paperasse la plus chiante du vendredi vingt-trois octobre et j’m’en occuperai. » il leva les yeux au ciel, esquissant un sourire ; parce qu’il n’savait pas c’qu’il disait, et que peut-être c’était plus facile d’parler comme ça.
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Isolde Saddler
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SUR TH DEPUIS : 15/02/2015
MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 0:46

Citation :
Si y avait des choses qui allaient mieux dans sa vie en ce moment, y en avaient d’autres que Calista ne savait pas trop comment gérer. Elle avait fini par se dire qu’il fallait mieux s’occuper de chaque chose en son temps. Peut-être que ça pouvait avoir l’air un peu égoïste, mais la première chose dont elle avait voulu s’occuper, ça avait été elle-même. Elle avait passé trois mois à s’enfoncer chaque jour un peu plus, dans ce genre de dépression qui l’avait poussée à se murer dans le silence et se désintéresser d’à peu près tout ce qui avait fait sa vie auparavant. Puis, elle avait récupéré ses jambes. Ça n’avait pas tout réglé d’un coup, mais ça avait été le premier pas vers quelque chose de mieux dans sa vie, vers le retour à une stabilité rassurante qui l’avait quittée alors qu’elle s’était retrouvée paralysée. Y avait eu cette histoire avec Aspen et la preuve qu’à Radcliff, la vie était faite d’épreuves toujours compliquées. Calista, elle avait beaucoup réfléchi du coup, pour finalement arriver à la conclusion que si y avait toujours des trucs merdiques qui devaient se précipiter dans sa vie parce que c’était comme ça, même pas de sa faute à elle, rendant les choses complètement incontrôlable, elle pouvait au moins essayer de compenser en se donnant les moyens d’avoir aussi des choses cools dans sa vie. Peut-être bien que version Calista, les trucs cools, ça ressemblait à des places pour l’avant-première du prochain star wars qui sortait en fin d’années, qu’elle avait obtenues et tenues comme s’il s’agissait du bien le plus précieux qu’elle puisse posséder dans ce monde. C’était pas seulement ça sans doute – même si elle pourrait facilement jurer que ces places, étaient les plus belles choses de sa vie – elle avait aussi décidé de faire ce qu’elle voulait de sa vie, ou au moins d’essayer, parce que ça valait toujours la peine de tenter le coup, plutôt que de partir défaitiste.

C’était la leçon importante qu’elle avait retenue de tout ça. Calista, elle avait toujours été optimiste, dynamique, du genre à croire en l’impossible et une blessure, une trahison, trois loin mois de difficulté et elle avait perdu tout ça. Au bout du compte, alors qu’elle avait guéri d’une blessure impossible à soigner, parce qu’Alec lui, il n’avait pas baissé les bras, alors, il semblait bien maintenant que croire en l’impossible n’était pas si idiot que ça. Si elle avait compris ça plus tôt, au moins, elle se serait éviter des problèmes de couple, parce que depuis ce jour-là, y avait des trucs qui n’allaient pas avec Alec, des problèmes qu’elle avait jugé bon de s’occuper après. D’abord elle-même et le reste on verrait après, pas que ce soit plus important, pas qu’elle soit définitivement égoïste et peu soucieuse de ce que pouvait ressentir Alec, mais parce que parfois, y avait bien besoin d’un peu de temps pour faire le tri, mettre de l’ordre pour mieux pouvoir repartir. Elle en avait eu besoin elle, alors, elle avait jugé qu’Alec aussi, il pouvait en avoir besoin. Elle était pas franchement le genre de petite amie lourde qui voulait pousser son conjoint aux longues confidences, elle n’était pas psy non plus, mais elle avait tendance à penser que de toute façon, fallait que ça vienne naturellement plutôt que parce qu’y aurait quelqu’un derrière pour pousser les choses. Il était toujours là et elle avait bien du mal à penser que c’était juste parce qu’il avait besoin d’un toit. Si ça avait été trop compliqué, il serait parti. Peut-être que le temps, il agrandissait aussi le fossé au passage, elle ne savait pas trop Calista, mais de ce côté-là aussi, elle restait optimiste et elle espérait quand même que, quoi qu’il puisse y avoir dans la tête d’Alec, il savait qu’il pouvait lui parler, même si c’était compliqué, même si elle n’avait pas été au top ces derniers temps. Elle, elle savait qu’elle pouvait le faire, parler de ses problèmes, elle l’avait toujours su, même si elle ne l’avait pas toujours fait. Maintenant, elle le faisait en tout cas, avant qu’il ne soit trop tard, parce qu’elle aurait été idiote de commettre deux fois la même erreur et qu’elle n’avait jamais douté d’Alec, même au fond du désespoir, le problème, ça avait toujours été elle. « Oui, oui ça va. Je vais bien. Tout va bien. » Son entrée en matière avait été vraiment nulle, mais vraiment ça allait. Pour le moment en tout cas, au moins, ce n’était pas la peine de tourner autour du pot, Alec avait compris que malgré tout y avait quelque chose qui clochait. « C’est juste que j’ai parlé à Aspen, à propos de ce qui lui était arrivé. » Elle tournait toujours autour du pot, en même temps ‘je crois qu’une folle veut me tuer, aide moi’ c’était un peu moyen comme entrée en matière. « Et elle m’a dit que cette fille était genre une tueuse de hunters tu vois … » C’était pas nouveau ça, elle l’avait dit à l’hôpital quand elle s’était réveillée et elle, forcément elle l’avait répété à Alec en rentrant. « Et apparemment elle avait des trucs sur moi, alors, j’veux pas être complètement parano, mais je suis pas très rassurée. » Elle n’était pas réduite à se planquée de nouveau dans son appartement, les volets baissés comme elle avait déjà pu le faire, parce que merde, tant qu’elle était encore en vie autant vivre ; c’était devenu sa nouvelle philosophie ces derniers temps, mais, c’était pas franchement rassurant non plus, parce que franchement, mourir ne faisait pas partie de ses plans.
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 1:10

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Isolde Saddler
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 2:13

Citation :
A presque vingt-six ans, si Isolde devait faire le bilan des choses qu’elle avait eue envie de faire un jour, rien que pour elle-même, loin des buts plus grands qui visaient toujours à venir en aide aux autres, elle remarquerait bien vite qu’y avait plein de choses qu’elle n’avait pas faites. Elle n’avait peut-être même rien fait de toutes ces choses qu’elle avait pu avoir en tête quand elle avait été plus jeune. Mais quand elle y repensait maintenant, ça avait juste l’air d’appartenir à une autre vie tout ça. Parce qu’elle avait grandi et qu’un beau jour, son monde avait radicalement changé. Elle avait été épargnée de l’horreur pendant tellement d’années, que quand elle lui était tombée sur le coin du nez, tout semblait avoir changé dans sa vie. Si elle avait grandi sans sa mère, ce n’était pas parce qu’un hunter était passé par là pour la lui arracher, mais parce qu’elle était morte en couche et ça semblait quand même changer beaucoup de choses. Parce qu’indéniablement, si elle avait été tuée par les hunters, ça aurait marqué sa vie dès son plus jeune âge, son père aurait sans doute eu peur d’eux, peut-être qu’il aurait voulu se venger, elle n’en savait rien, mais y avait quand même fort à parier que sa vie aurait été différente, si sa mère avait été tuée. Au lieu de ça, les hunters avaient été un mystère pour elle avant que son père n’en parle, vite fait, comme une menace lointaine, trop lointaine pour qu’une Isolde de seize ans ne s’en préoccupe vraiment. Mais, elle avait fini par comprendre que c’était pas une bonne idée de prendre ça a la légère, parce qu’ils avaient tué son père. Depuis, ils étaient devenus cette menace contre laquelle elle voulait lutter, alors elle était loin, vraiment très loin, l’insouciance de sa jeunesse, l’innocence, qui l’avait poussée à dresser tout un tas de rêves qu’elle ne s’était finalement même pas donné la peine de réaliser.

C’était un triste constat sans doute à vingt-six ans, elle avait eu sa chance pourtant elle, contrairement à Cesare qui avait eu une vie gâchée dès son commencement par des parents complètement timbrés. Elle, son père, il lui avait tout donné pour qu’elle puisse réaliser ses rêves et avoir une belle vie et elle avait jeté tout ça en l’air pour faire ce qu’elle avait fait. Elle avait fait des choses biens et elle essayait d’en faire et elle savait qu’elle avait aidé du monde et qu’elle n’aurait peut-être pas réussi si elle n’avait pas été aussi dévouée à son travail, mais peut-être qu’au final, il manquait un truc à sa vie. Elle avait connu la torture, avant de connaitre l’évasion d’un voyage à l’étranger – elle était bien partie étant enfant, mais les souvenirs avaient fini par s’estomper. Clairement, ce n’était pas ce qu’elle avait voulu, quand elle avait été plus jeune et pourtant, maintenant, elle était tellement habituée à fonctionner comme ça qu’elle avait bien du mal à envisager les choses autrement. Y avait pas que Cesare dans leur histoire qui devait changer des choses pour se construire une vie meilleure. Ça n’avait pas sonné comme une évidence pour elle, parce qu’elle n’avait pas été élevée par des timbrés l’entrainant à devenir une psychopathe, elle avait toujours prétendu avoir eu une vie équilibré et c’était peut-être pas le cas en fait, pas depuis que son père était mort. Elle ne savait plus trop où elle en était maintenant, entre la torture, les vacances et Cesare à l’hôpital, c’était un peu le bordel dans sa tête là. Elle savait ce qu’elle voulait pour Radcliff, ce qui l’avait ramenée ici, mais à côté de ça, y avait trop de trucs auxquels elle n’avait jamais réfléchi, parce qu’elle n’avait pas envisagé d’être mère ou d’être en couple un jour. » J’sais pas. » Elle haussa les épaules. Non, elle savait pas pourquoi elle ne prenait pas ces fameux cours de cuisine, parce que dans le fond, la réponse évidence à cette question, aurait été de dire qu’elle n’avait pas le temps, mais il avait bien souligné le fait qu’elle en aurait déjà plus si elle ne faisait pas des heures supplémentaires tous les jours. C’était peut-être pas pour rien qu’y avait certains de ces collègues qui faisaient rien dans le fond, c’était qu’elle faisait tout toute seule. Une autre habitude dont elle n’arrivait pas à se défaire. Elle n’était pas toute seule, malgré ce qu’elle avait trop souvent tendance à penser. « Ouais, je suis heureuse avec elle et avec toi, même ici. » Même si ça semblait plus facile ailleurs. Mais tout ce qui était difficile, peut-être que ça l’avait toujours été plus à cause d’eux, qu’à cause du reste du monde qu’ils s’étaient efforcés de fuir quand ils avaient été tous les deux. « Sûrement. C’était plus facile quand il était là. » Tout avait été plus facile quand son père était encore de ce monde et y avait des moments comme ça où elle avait l’impression qu’il lui manquait plus que d’habitude. Malgré la peine que ça lui imposait, elle laissa échapper un léger rire à sa réplique. « Je croyais que tu faisais pas dans la politique. » C’était lui qui l’avait dit après tout. « Je serais curieuse de te voir gérer les problèmes de Radcliff. » Elle se releva finalement pour retirer sa veste et revenir vers lui, retrouvant sa place sur un coin du lit pour se blottir contre lui. « Qu’est-ce que tu ferais, si pendant la journée où tu t’occupais de la paperasse de la mairie, y avait une pétition pour réclamer des lits plus grands à l’hôpital ? » Ce serait une bonne idée après tout. » Peut-être que c’est genre une taille standard nationale et du coup, faut écrire au président ? » Elle plaisantait, mais les lits étaient quand même trop petits, elle avait juste envie de s’allonger à côté de lui elle, et de s’endormir à ses côtés, mais ça semblait compliqué vu la taille du lit.
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Alec Lynch
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 3:31

Citation :
Ils avaient beau s’être souvent disputés, Isolde et lui, et avoir aisément tendance à s’emporter quand les mots commençaient à devenir lourds de sens, ils pouvaient au moins se dire qu’ils ne s’étaient jamais disputés pour rien. Ça n’avait jamais été parce que l’un d’eux avait oublié une date spéciale, parce que Cesare avait oublié d’aller la chercher quand elle le lui avait demandé – les occasions étaient si rares, et si idéales, qu’il n’oublierait jamais, pour sûr – ou parce qu’ils ne s’accordaient pas sur quelle robe ou quel tee-shirt mettre à Clara. Peut-être était-ce un aspect proche à leur relation, qui demeurerait inchangé, où qu’ils vivent et quoiqu’ils deviennent avec les années. Ou peut-être était-ce un trait de leurs caractères respectifs qu’ils forçaient ces derniers temps, parce qu’ils avaient si peu la chance de passer du temps ensemble, qu’ils n’pensaient certainement pas à regarder de haut chaque moment en compagnie l’un de l’autre, ou à s’emporter parce qu’une soirée au restaurant aurait été préférable que c’qu’ils avaient eu. Mais peut-être que ça, ce serait quelque chose qui n’évoluerait jamais en Cesare : il n’avait jamais eu vraiment l’habitude de sortir comme ça, s’exposer au grand-jour en compagnie de qui que ce soit, juste pour manger. Certes, peut-être que la cuisine d’un chef serait meilleure que toute celle qu’il ferait l’effort de cuisiner un jour ; mais qui sait, peut-être bien qu’Isolde préférerait qu’il se donne la peine d’essayer au moins, de s’mettre derrière les fourneaux plutôt qu’il n’se contente de sortir quelques billets pour payer quelqu’un d’autre. Après tout, le deal pour qu’ils se marient – soi-disant – c’était qu’il cuisine des lasagnes meilleures que celles que faisait le père de la jeune femme, et non pas qu’il trouve quelqu’un capable d’en faire des meilleures. Irrémédiablement, le DeMaggio aurait, d’toute manière, toujours plus le réflexe de mettre la main à la patte que de chercher une bonne adresse pour résoudre tous les problèmes culinaires qu’ils pourraient avoir. Et… et tant pis s’il échouait, non ? Ça, c’n’était pas la mentalité dans laquelle il avait été élevé – bien l’opposé – mais depuis le temps, le brun savait bien maintenant, qu’les attentes de ses parents avaient été si exigeantes, qu’il était désormais un condamné à mort survivant uniquement par leur volonté, juste parce qu’il avait développé des gènes que ses géniteurs lui avaient eux-mêmes transmis. Où était le mensonge, après tout ? Si Aria et lui étaient tous les deux devenus des transmutants, c’était bien que c’était génétique et non pas une question d’choix, l’idée d’être juste des parias et une honte pour leur si noble famille. M’enfin, essayer d’raisonner comme ça, ce serait comme essayer d’expliquer les maths aux deux chiens qui tournaient dans le jardin à nouveau, s’embêtant l’un l’autre comme s’ils n’avaient rien de mieux à faire.

Au moins, même s’il avait tout un lot de misère à ressasser, et que c’était la date idéale pour le faire, Cesare n’en était pas encore à envier les bestioles à quatre pattes qui, elles, n’avaient rien d’mieux à faire de leur journée que bouffer leurs croquettes et dormir confortablement. Si son passé n’avait rien de flatteur, il espérait d’toute l’énergie de sa raison et de sa déraison, que son avenir se profilait sous de meilleures auspices. Peut-être faudrait-il commencer par définitivement se défaire de l’emprise de ses parents ; un jour. Bientôt, il l’espérait. Les choses avançaient infiniment plus vite qu’il ne l’aurait imaginé, quelques poignées de semaines plus tôt, alors autant n’jamais dire jamais. Alors peut-être bien qu’il avait mal interprété les signes que ses camarades de lycée lui avaient envoyé pendant des années ; peut-être n’était-il pas si asocial que ça. Ou peut-être que quand même, dix ans après, on n’lui en tiendrait pas rigueur : ces gamineries stupides s’arrêtaient, une fois sortis des couloirs du lycée, non ? D’toute manière, les anciens frimeurs qu’ils devraient croiser à Radcliff, feraient partie des losers qui étaient restés dans le coin – pas d’quoi être fier. Au moins, Isolde et lui, ils étaient restés dans les parages pour des raisons qui leur étaient propres, certes, mais des raisons qui avaient leur importance. « J’aime ta façon d’penser. » il sourit donc, à ses paroles, récompensant celles-ci d’un tendre baiser juste offert au bout de ses lèvres. « Du coup, ça m’tenterait presque de revoir les autres, si ça marche comme ça. » et son rictus s’étendit sur ses lèvres, goguenard, comme s’il se plairait volontiers à se faire flatter dès qu’il croiserait un visage un tant soit peu familier. Parce que fallait avouer, que les autres lui avaient probablement accordé plus d’attention qu’il ne le leur en avait accordé ; force d’habitude, Cesare avait fait partie de ces asociaux qui n’faisaient même pas le choix d’essayer de s’intégrer, comme s’il avait aimé nager dans son statut de gros solitaire. Il avait été obligé d’vivre comme ça plus qu’autre chose, ses pensées tournées d’façon à c’que, parfois, il croyait que s’il s’mettait à adresser la parole à qui que ce soit, il risquait de dire un truc compromettant qui mettrait toute sa famille en danger. Heureusement pour eux deux et leur histoire, il avait développé au moins une minuscule capacité à être un peu plus avenant, d’ici à ce qu’ils se rencontrent : ils n’en seraient sûrement pas là, si ça n’avait pas été le cas. « Est-c’que j’suis censé flipper parce que j’approche de la trentaine ? » se moqua-t-il, pinçant les lèvres dans une moue faussement inquiète. A l’époque où il avait été un hunter pleinement converti, vieillir avait été un exploit duquel il valait mieux être fier, plutôt que craintif. Evidemment, cette façon-là de penser s’était inversée, dès le jour où il s’était découvert être transmutant : de là, Cesare avait été persuadé que chaque jour de sa vie avait été un jour de survie, et un déshonneur pour sa famille, qu’ils le sachent ou non. Probablement que cette pensée vint le titiller un peu, assombrissant son regard pour un instant, alors qu’il n’avait toujours pas levé la coupe de champagne pour boire un coup à ce qu’ils avaient trinqué. En fin d’compte, ses parents avaient obtenu ce qu’ils voulaient – au moins pour Aria ; Aria n’avait pas vécu bien longtemps pour leur faire honte, et il n’osait pas imaginer combien d’temps il pouvait lui rester sur la sellette, à lui. « Au fait, en parlant d’anniversaire… » il se rappela à l’ordre, haussant les sourcils en direction d’Isolde. Il repartit en direction de la pièce principale où il avait stationné à son arrivée, attrapant son trousseau de clés avant de revenir. A celles-ci, il en récupéra une, pour la tendre à Isolde ; qu’au moins, ce soit plus un échange, qu’un cadeau à sens unique. « J’l’avais faite faire, à l’époque où on s’voyait pas… » ce fameux temps dont ils n’aimaient pas parler, et qui avait rendu la clé de son appartement à elle totalement inutile. « Au moins, ça évitera que tu démontes ma poignée à nouveau. Tu sais combien ça coûte à refaire ce truc ? » il ricana, évidemment qu’il plaisantait ; « Et-… et maintenant que j’ai un chien, hein. Je sais pas si je pourrai m’en occuper tous les jours, tous les soirs. Comme ça, tu pourras lui rendre visite. » et peut-être lui rendre visite à lui aussi, selon les circonstances, selon la chance et le hasard, ou les signes qu’ils s’enverraient. Il avait officiellement un coin de placard chez elle maintenant, certes, mais y’avait quand même tout un tas de trucs qui restaient dans son appartement à lui. Le chien, il n’tiendrait pas dans le placard, lui, par exemple.
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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 3:46

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 4:29

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 4:30

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MessageSujet: Re: ☆ le ctrl+v.   ☆ le ctrl+v. Icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 4:32

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