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| When she awoke, the world was on fire | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 20:12 | |
| Siobhan Hughes " monsters are real" ◊
"To be redeemed from fire by fire" ✤ NOM(S) : Hughes, on fait difficilement plus commun. Contrasté par une existence atypique, elle est le paradoxe de sa propre nomination : hors des sentiers battus ✤ PRENOM(S) : Siobhan, aussi surnommée Shiv' par les quelques audacieux qui s'y risquent. Elle ne cautionne aucun sobriquets, aussi, épargnez-vous des arias, appelez la Siobhan. ✤ ÂGE : Un incendie de 26 printemps, rongée par les flammes du temps. Jadis, elle espérait se consumer bien avant cet âge. ✤ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : L'an 1987, chambre 89 de l'hôpital nord de Boston. ✤ NATIONALITÉ : Elle est née de parents Américains, sur le sol Américain; Vous avez le droit à une vraie fille de l'Oncle Sam ✤ STATUT CIVIL : Célibataire, comme elle l'a été presque toute sa vie. Autrefois enfermée, enchaînée, bridée. Elle ne s'entiche d'aucun attachement. Ou presque ✤ ORIENTATION SEXUELLE : Aussi indécise qu'indéterminée. Condamnée à s'enflammer au moindre désir, au sens propre du terme, elle n'a connu qu'une seule relation charnelle. Avec une femme. ✤ EMPLOI : Fugitive, elle travaille le plus officieusement possible. Aucune situation stable ✤ TRAIT DE CARACTÈRES : Volcanique ; Indomptable ; Solitaire ; Irascible ; Méfiante ; Bornée ; Explosive ; Hyperactive ; Impétueuse ; Blessée ; Manichéenne ; Franche ; Farouche ; Pugnace ; Instinctive ✤ MUTATION : La pyrogenèse. A différencier de la pyrokinésie. Elle ne contrôle pas le feu, elle est le feu. Aussi nommé cas de 'combustion spontanée' ou encore 'torche humaine' cette mutation est certainement l'une des plus lourdes à porter. Une émotion intense, telle que la colère, la peur, ou même l'euphorie la mue en véritable incendie. Incarnation même de la braise, elle est, en ce sens, insensible à la chaleur et, davantage, un danger de tout instant. Avec modération et dextérité, elle a davantage de maîtrise sur cette malédiction. Elle est désormais capable d'enflammer partiellement un de ses membres, ou de projeter des gerbes de flammes ardentes. Elle a plus de contrôle sur ses propres émotions, et devient un peu plus à même d'empêcher sa propre combustion ✤ GROUPE : dégénérés ✤ AVATAR : Amber Heard ◊ ✤ êtes-vous originaire de radcliff ? Boston, un mot. Boston, 6 lettres. Boston, un souvenir, qui se mue en cauchemar et qui manque de faire rugir les flammes à chaque instant où elle garde les paupières closes. C'est de là-bas qu'elle vient, une ville qui s’imprègne dans son âme, comme un venin qui s'imprime dans ses veines. Boston, c'est l'antre de l'agonie, les bouches de l'enfer. C'est un traumatisme cuisant, une plaie à l'esprit. Elle s'est enfuie, gorgée de volonté et de panique. Traquée, persécutée. Elle ne reste jamais plus d'une année dans une ville. Il y a quelques mois qu'elle a interrompu sa fuite, essoufflée, à Radcliff. Les événements récents devraient la faire repartir, elle le sait. Dès lors son identité révélée, elle risque d'y retourner. Bâillonnée, captive, l'esprit violé et souillé. A défaut d’être sa terre, radcliff est son terrier, sa planque et ses brefs sursauts d'espoir. Et elle devra y renoncer, elle le sait.
✤ avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ? Elle ne sait rien des Hunter, et de leurs missions aussi pugilistiques qu'ignardes. Et quand bien même elle en aurait connaissance, elle ne les craindrait pas tant que ces hommes en blanc. Que ces psychiatres, ces scientifiques, et autres docteurs, assermentés à faire le bien. Et qui l'ont mise au supplice des années durant. Elle préfère mourir que d'être à nouveau enfermée. Soif farouche de liberté, besoin incendiaire de vivre. De se noyer loin de tout. Elle sentira toujours le souffle givré de la peur lui faire frisonner l'échine, poursuivie par les vestiges d'un passé trop lourd, et de ces fantômes qui ont fait de la majorité de sa vie un tourment sans fin. Alors oui, si elle devait être retrouvée, démasquée, elle préférerait clairement faire front à des assassins plutôt qu'à des tortionnaires.
✤ utilisez-vous beaucoup votre don ? Qui aurait l'aliénation de parler de don ? Les flammes qui lèchent sont esprit et qui dansent sur son corps sont un maléfice, une plaie, un châtiment. Elle maudit sa condition, ne souhaitant qu'une simple et frugale existence. Ne pas pouvoir laisser exploser sa colère, s'interdire le moindre sanglot, et brider toute éruption de joie. Contrainte de se faire de glace, de pierre, afin d'éviter de se changer en un ballet d'incandescence. Amère ironie, qu'à l'inverse du feu, elle doit se prémunir contre tout embrasement, toute explosion, qui pourrait mettre en péril la vie de tout ce qui gravite autour d'elle. Elle ne cautionne pas sa différence, sa mutation. Elle ne peut manipuler les esprits, voir l'avenir, se rendre invisible. Non, le destin à voulu qu'elle s'affuble d'une mutation qui lui pèse comme le plus grand des handicap. Elle masque sa différence, son dit 'don'. Elle s'éclipse, s'isole, dès lors qu'elle sent ses veines bouillonner. Elle n'utilise jamais sa faculté, mais sa faculté l'utilise. Et si elle en a davantage la maîtrise elle demeure tout aussi imprévisible que le feu lui-même.
✤ comment avez vous réagi à l'officialisation de votre statut ? Quelle officialisation ? Elle qui n'a été que la cible de tests plus officieux les uns que les autres. Fille du supplice, sœur d'agonie. L'esprit brisé, le corps marqué. Elle n'avait que 12 printemps, et ne voyait rien d'autre que l'aurore avenante d'une vie qu'elle s'imaginait colorée. 10 longues années, alors que les dégénérés n'étaient qu'un souffle, qu'une brise de rumeur. La révélation mutante, c'est elle, c'est tous les autres qui furent livrés comme des animaux à des centres de recherche. Qui furent enchaînés, piqués, drogués. Quant à l'officialisation... Des promesses fumeuses, des mensonges maquillés. Désormais, plus que jamais, ils seront traqués, capturés, torturés. Une humanité ignorée pour assouvir les désirs de la science. Quant au recensement, elle n'y voit que le socle pour une pure et simple éradication.
" let's talk about you and me " ✤ PSEUDO : Yuma ✤ PRÉNOM : Shiv' ✤ ÂGE : 21 pelles, azy ✤ PERSONNAGE : Inventé, kzin' ✤ FRÉQUENCE DE CONNEXION : cinq jours sur sept ✤ COMMENT AS-TU TROUVE LE FORUM ? : Splendide, nyehe ✤ UN DERNIER MOT ? Vous êtes les géniteurs d'un véritable orgasme rpgistique
Dernière édition par Siobhan Hughes le Mar 18 Juin 2013 - 3:09, édité 16 fois |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 20:38 | |
| we're all stories in the end " just make it a good one " ◊
Une simple empreinte, gravée dans une buée éphémère sur la vitre de la voiture familiale. Quelques perles de nacres sur les fauteuils, à l’emplacement exact de là où se trouvait autrefois sa cadette. Elle était arrachée à la vie. Ceinturée, elle tendait ses mains encore boudinées d’enfance et d’innocence vers la voiture qui s’éloignait désormais, sans qu’elle ne la distingue clairement, la vision noyée sous des sanglots déchirants. Cuisante et acide émotion, peine lancinante, elle sentait ses larmes se sécher, bien qu’elle n’ait de cesse de pleurer. Cette sensation, la même qu’il y a 3 nuits. Celle qui avait précédée ce terrible incendie qui avait emporté dans son appétit ravageur le souffle de Vickie, sa sœur. L’étage entier avait été dispersé par le vent, tant il n’en restait que cendres et voutes de fumée. Elle n’expliquait pas qu’elle vive, que Vickie non. Elles qui n’avaient qu’un mètre entre leurs lits respectifs. Elle n’expliquait pas non plus pourquoi ses parents l’avaient déposée ici, entre ces doigts osseux et glacials qui lui serraient le tronc si fort qu’elle suffoquait. Ils étaient désormais disparus, alors que l’aube n’avait que quelques minutes de vie. De la peine naquit la crainte, puis vint la rancune. Ses yeux rougirent, mais plus de larmes. Sa crinière de paille s’agita, s’embrasa. Animée d’une force, et de cette rage libératrice, elle baissa les yeux et ne vit que les flammes du désespoir. Les hommes en blanc l’avaient lâchée, les pupilles écarquillées par un mélange de stupeur, de terreur. Elle aurait pu fuir, du fuir. Mais ses talons vrillèrent. Elle fit volte-face, dévisageant ceux qui allaient devenir ses geôliers.
« Comment va aujourd’hui, poupée ? ». Son regard vide ne rencontra rien, figé sur le carrelage aseptisé, immaculé de ce centre psychiatrique. Tandis que l’homme en blouse lui ouvrait délicatement la chemise, un rictus narquois lui scindant le visage telle une cicatrice. Elle se retrouvait nue et soumise, quotidiennement. Droguée, afin qu’elle soit docile. L’homme la toucha du regard, d’où transpirait clairement des idées malsaines. Il passa un doigt froid sur sa poitrine, et s’arrêta, la dévorant des yeux, comme un fauve devant une proie à sa merci. La lueur démente qui allumait ses iris eut suffit à inquiéter même la plus vaillante des femmes. « Quel dommage. Il me plairait de jouir de ce corps à ma guise. Tu es devenue une femme séduisante, ma petite. » Il s’éloigna, pour revenir armé d’un gant et d’un sceau. L’heure de la douche. L’instant où il lui était rappelé que sa dignité n’était plus qu’une illusion. Anesthésiée, on ne trouvait dans ses prunelles que le néant. Elle était consciente, de tout ; à chaque instant. Mais son corps n’était plus que le pantin des chercheurs, des toubibs, et autres assermentés. On la piquait, comme une bête, la douchait comme un bébé. Elle était âgée de 21 ans. Et avait passé la majeure partie de sa vie dans cette chambre à l’éclairage blanc, au mobilier d’inox. Ses espoirs, ses envies s’étaient brisés contre ces plinthes aux allures de barreaux. L’eau était froide, elle pouvait encore en sentir la morsure. Elle ruisselait sur elle, chaque goutte étant comme une plaie qui la déchirait lentement. Et il la regardait dans les yeux, appréciant de passer la main sur des courbes aussi bien dessinées.
L’infirmier Myles était un homme aux mœurs douteuses, à la morale inexistante. Il avait été marié, autrefois, mais, les dents longues, il travaillait bien trop pour garder un semblant de vie de famille. En ce jour, il devait être seul depuis trop longtemps. Il balança un regard en direction de la porte, qu’il verrouilla quelques secondes plus tard. Ses pas le portèrent vers elle, alors qu’il se frottait les mains en un reflexe angoissant. En cet instant, plus que jamais, il empruntait ses traits à un prédateur, dont lèvres carnassières se tordaient en un rictus satisfait. Que risquait-il ? Devait-il penser. La jolie petite Hughes était sans cesse sous anesthésiant, histoire qu’elle ne fasse pas tout flamber au moindre cauchemar. Jamais personne n’aurait vent de ce petit plaisir solitaire. Il se pencha sur elle. Sans qu’il n’entende les hurlements intérieurs de sa victime, puis lui vola un baiser acide. Siobhan était d’un stoïcisme forcé, une inertie en plein contraste avec la tempête qu’elle couvait. Le cœur battant, la colère lui battait les veines, la révolte fit naître l’étincelle. « Il parait que t’es chaude, chérie. J’vais approfondir tout ça ». De sa main, il la fit sienne, parcourant son corps tout en la couvrant de baiser qui arrachèrent chacun un hoquet de dégout muet. Puis ses mains se portèrent à sa ceinture, qu’il déboucla d’un geste conquérant, avant de se coucher sur elle. Il était à quelques centimètres de ce qu’il désirait, à une pincée de seconde de la cristallisation de sa perversion…
Les poumons de Shiv’ respirèrent à nouveau en un hurlement qui fit trembler les vitres. L’instant suivant, la pièce entière dansait au rythme du feu. Myles trébucha, s’écrasant contre la porte, le souffle court, le sexe à l’air, le visage vermillon de chaleur. Sa patiente, du moins ce qu’il en restait, se dressait devant lui. Il n’en restait qu’une forme humanoïde, un golem de flamme. Il distingua ses prunelles, deux braises affolées. Il leva les mains, tentant de tempérer la panique de la jeune femme, quelques secondes avant que l’entièreté de la pièce ne soit annihilée par un souffle de flamme. Siobhan se souvient de ce jour, comme celui de sa liberté. Une seconde naissance. Sa fuite, sa vie. Une course impitoyable, sempiternelle, mais à la saveur d’indépendance. La fin d'une captivité de 9 ans.
Boston, Norfolk, Allentown, Quincy, Radcliff. Autant de villes qu’il s’était égrainé d’année depuis sa fuite incendiaire. Elle est en cavale, lionne traquée, fauve apeurée. Sa faune est changeante, éphémère. Egarée, solitaire et silencieuse, elle enchaine les emplois minables avant de s’évaporer, à l’instar d’une brume insaisissable. Radcliff, était une ville différente. Si petite qu’on dirait qu’il est impossible de s’y cacher. Si petite qu’on oublierait presque d’y fouiller. Siobhan y était arrivé, la tête basse, les épaules frôlant les murs. Son cœur battait une chamade incessante et sa méfiance se muait en une démente paranoïa. A bout de souffle, usée de courir pour vivre, les bras fermement tendus vers une quiétude et une sérénité dont elle n’avait jamais humé le doucereux fumet. Oui, Radcliff était une ville différente. Parce qu’enfin, le moindre bruit ne la faisait plus sursauter, parce qu’enfin ses nuits se constellaient. Et par cet apaisement, elle développait une dextérité certaine à brider ses excès, ses brasiers. Ses lèvres ne s’entrouvraient autrefois que pour lâcher quelques palabres aux allures de flammèches, revêches et incisives. Radcliff la faisait sourire. Non, cette fille la faisait sourire.
« T’es étrange quand même ! C’est quoi ton histoire, d’où tu viens, et puis, tu faisais quoi avant ? » L’interpellée détourna rapidement le regard, chassant les songes ternes avenant par un battement frénétique des paupières. Son interlocutrice, brune sulfureuse au charme indéniable, s’illumina d’une demi-lune affectueuse. Puis elle tendit le bras pour lui frapper l’épaule sans ménagement. « Allez quoi, je rigole… Je sais ce que tu es. » Sa mine s’était soudainement durcie, tout comme la couleur de ses mots, nettement plus graves, accusateurs ; Siobhan leva le menton derechef, sentant son cœur marquer un battement si fort qu’elle eu l’impression que sa cage thoracique s’en était fissurée. « T’en es une, hein ? Une dégénérée ? » L’aspect menaçant qui teintait ses palabres inspirèrent à Shiv’ la plus grande hostilité, une animosité palpable. Ses genoux se raidirent, autant de terreur que de conviction. Elle ne cautionnerait pas la moindre velléité impétueuse. Dans le creux de ses paumes dansaient déjà les flammes sauvages de la liberté. Son vis-à-vis se leva, un geste interprété aussitôt comme une agression par la lionne à la crinière de feu. Aussi svelte que farouche, elle se dressa et empoigna son interlocutrice au collier, avant de la plaquer avec véhémence contre le pan de mur le plus proche. Elles échangèrent un regard. De stupeur pour l’une, implacable pour l’autre. Shiv, les crocs serrés lâcha sa phrase en prenant bien soin de tremper chacune de ses palabres dans un écrin acide et redoutable. « Crois moi, tu n’as aucune idée de ce que je suis. »
Le silence avait apposé son règne d’or, dans la seule, alors que l’ambiance torve flirtait avec les nerfs de chacune. Les secondes lui parurent une éternité, puis, de sa moue béate, la brunette fit imploser sa prunelle en un éclat rieur, et sa ganache se fendit d’un sourire qui semblait d’une sincérité désarmante. Désabusée, Shiv’ ne lâchait rien de sa poigne, tenant dans ses griffes l’ombre d’un danger qui l’avait traqué toute sa vie. « Shiv’ ! Je voulais simplement te taquiner un peu » lâcha-t-elle entre deux hoquets de ricanement. Incrédule, la mutante ne fit guère leste de sa hargne. Son impétuosité l’avait maintenue en vie. « Ecoute, je l’ai deviné. Tu es si mystérieuse à propos de ton passé, si timide à l’idée d’évoquer ta vie d'avant… Ne m’en veut pas de déduire les grandes évidences. » Le spectre du doute sur son visage, de quoi desserrer son étreinte, défaire ses lianes. Puis l’embrasement, différent que celui qu’elle avait toujours connu. Un baiser, volé du bout des lèvres par celle qu’elle tenait à la gorge il y avait encore quelques secondes. Ce fut une nouvelle étreinte, plus douce encore, mais plus intense que le feu lui-même. Elles échangèrent un baiser fulgurant, langoureux. Baiser qui s’alluma d’un brasier de désir. Puis les flammes avides et perverses du pêché charnelle. Elles rebondirent de plinthe en plinthe, étant animées d’un feu nouveau. Et à mesure que le désire la submergeait, elle sentait l’enfer lui venir aux joues, elle s’abandonnait à tout contrôle. « Stop, STOP ! ». Elle repoussa sans aucun ménagement celle qui fut l’objet de son envie la plus primaire. « Nous ne pouvons pas, je pourrais… » Siobhan fut interrompue par l’index de sa presque amante « Je te fais confiance », lâcha-t-elle en un souffle des plus provocateurs.
Dernière édition par Siobhan Hughes le Mar 18 Juin 2013 - 3:24, édité 32 fois |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 20:44 | |
| Amber la plus hot!!!! Bienvenuuue |
| | | | | | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 20:57 | |
| JE VEUX ÊTRE AMI AVEC TON PERSONNAGE j'adore le personnage, je suis sous le charme + heard bienvenue et gardes-moi un lien au chaud. |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 21:10 | |
| Que de belles ganaches Vous êtes canon, damned . Merciiii à tous ! Amber est magnifique, uesh. Leviiii Avec plaisiiir, ravie que ma petite Shiv' te plaise. 'Au chaud', muaha, quel jeu de mot. Si toutefois tu l'as fait exprès, muehe ! |
| | | | | | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 21:26 | |
| je plaide coupable |
| | | Thaddeus Lancaster ADMIN - master of evolution MESSAGES : 839
SUR TH DEPUIS : 15/04/2013
| Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 21:34 | |
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| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 21:49 | |
| Merci, mon Dieu. Nikolaj, dinguerie de choix, honey Kiki en b oah. Il va falloir que je te punisses, uh ? :gniibis: EVEEEY. Oh, merci beaucoup la réservation. Je vais pouvoir faire ma présentation easy . Ton avatar. T'es bonne, uesh. |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 22:00 | |
| Ma coupine pour jouer aux billes *sort* Bienvenue sur TH et bon courage pour ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 22:19 | |
| Ma keupine de cour de récréééé' Merci beaucoup, ma belleeee . |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 22:21 | |
| ça serait quoi, mon châtiment ? |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Sam 15 Juin 2013 - 23:16 | |
| Toi, attaché et nu sur une chaise. Et moi... En train de tricoter, juste sous tes yeux |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire Dim 16 Juin 2013 - 0:43 | |
| Ouuuuh le prénom, j'adore Bienvenue et bon courage pour la suite ! |
| | | | Sujet: Re: When she awoke, the world was on fire | |
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| | | | When she awoke, the world was on fire | |
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