i. êtes-vous originaire de radcliff ?
   Je suis née et j'ai passé les sept premières années de ma vie à la Nouvelle Orléans. Mes parents étaient tout les deux des mutants, à l'époque ma mère se servait de l'ambiance mystique de la Nouvelle Orléans pour gagner un peu d'argent. Sa mutation consister à voir l'avenir, je pourrais presque trouver ce don ironique, elle à entrevue notre accident, mais n'a pas pu l'éviter. Maman et moi nous étions dans la voiture, quand un chauffard nous à percuter de plein fouet. La voiture à pris feu, la seule raison pour laquelle je suis encore vivante est que mon corps c'est recouvert de flamme et de magma et que la chaleur et les flammes de l'incendie n'ont pas eu d'effet sur moi. Les médecins nous ont dit plus tard qu'elle était morte sous le coup. Mon père a alors décider de quitter la Nouvelle Orléans pour Radcliff, car c'était la ville de son enfance.

   ii. avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ?
   Les hunters m'ont pris mon père. Ce n'est pas suffisant pour vous ? A la mort de ma mère, papa a décider de nous emmener Seth et moi dans la petite ville ou il avait passer son enfance. Un coin paumé ou chacun pourrait soigner ses plaies en étant à l'abri de toutes cette folie. La bas, il à retrouver d'anciens amis et même son amour de jeunesse. Il a également retrouver d'anciens rival, l'un d'entre eux étant un hunter. Le pouvoir de mon père était de changer la structure moléculaire des choses, il ne représentait pas une menace, mais il a quand même été tuer. Les tribunaux ont dit que le mobile était une histoire de jalousie, mais c'était faux, c'était juste une histoire de peur irrationnel, de racisme.

   iii. utilisez-vous beaucoup votre don ?
   Pas vraiment parce que c'est assez dangereux, mais il m'arrive de temps à autre de l'utiliser pour ne pas être "rouiller". Mais je ne trouverai pas très prudent de me servir de mes dons au risque de me faire prendre en chasse par un de ses fou d'hunter. Cependant je ressens chaque mouvent sismique que je le veuille ou pas. Mais j'avoue que lorsque je suis seul ou avec mon frère il nous arrivent de nous amuser avec nos dons.

   iv. pensez-vous que les mesures mise en place par le gouvernement sont suffisante ?
   Non, puisque malgré ses mesures des crimes contre les personnes ayant des dons sont toujours commis. Mais d'une certaine façon j'ai envie de dire qu'au moins des dispositions ont été prises pour nous protéger. Mais d'un autre côté je me demande si le peu de disposition prise ne serait pas une ruse du gouvernement pour laisser les bons "citoyens" américains s'occuper des personnes ayant des dons.

Ce ne fut pas une grande surprise pour moi lorsque Seth entra dans l'appartement sans frapper. "Salut p'tite sœur, ça va ?" "T'es obliger de rentrer sans frapper, la dernière fois Jax et moi étions très occuper !" "Oui, je me souviens très bien, j'ai eu envie que tu me brûle les yeux à ce moment là avec tes pouvoirs !" "Ne parle pas aussi fort." "Pourquoi tu n'as toujours rien dit à Jax ?" "Pas tout de suite, ça peut attendre que ça devienne plus sérieux !" "Vous vivez ensemble, tu attends quoi le mariage ?" "Peut-être." "Ce serait le mettre devant le fait accompli et ce serait pas bien !" "Arrête de te mêler de ma vie et qu'est ce que tu es venue faire chez moi ?" "Pff, j'ai pas le droit de rendre visite à ma petite soeur pour le plaisir ?" "Bien sur que oui, petit frère, tu veux boire quelques choses ?" "Une bière." Seth s'installa sur le canapé, ouvrit son portefeuille et fixa la jeune femme sur la photo qui lui souriait. "Tu ressemble de plus en plus à maman." "Et toi à papa." Je m'installa à ses côtés et me mit à songer à la dernière fois ou j'avais vu ma mère.


J'avais le souffle couper et la tête à l'envers, j'avais la sensation d'avoir mal partout. Il me fallut plusieurs secondes pour comprendre que la voiture était sur le toit. Je toussais et avait du mal à respirer. "Maman, maman..." Je n'arrivais pas à me détacher, je me décalais de quelques centimètres et réussit enfin à la voir. Elle saignait abondement à la tête "Maman, s'il te plait, répond moi." Je l'entendit gémir et se mettre à cracher. "Swann, tu vas bien ? Bébé, tu m'entends ?"