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| (fst, w/ alexander) ≈ i wouldn't leave you if you'd let me. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: (fst, w/ alexander) ≈ i wouldn't leave you if you'd let me. Ven 3 Juin 2016 - 3:31 | |
| I wouldn't leave you if you'd let me.And I've got my mind, made up this time. Go on and light a cigarette, set a fire in my head. Set a fire in my head, tonight. Would you lie for me? Cross your sorry heart and hope to die for me? Would you pin me to a wall? Would you beg or would you crawl? Stick a needle in your hungry eyes for me? Let's cause a little trouble. Oh, you make me feel so weak. I bet you kiss your knuckles. Right before they touch my cheek. But I've got my mind, made up this time. / trouble, halsey. Le manoir était vide. Fini les rires qui s’échappaient des chambres des jumeaux, fini les railleries de son beau-fils. Tous les enfants avaient quitté la maison à présent, ne restait plus que leur fantôme qui hantaient toutes ces pièces vides. C’était avec un pincement au coeur qu’Adelaïde repensait à ces souvenirs ternis par le temps, de ses enfants qui se chamaillaient dans le salon, des jumeaux Wolstenholme qui déambulaient dans le manoir comme s’il s’agissait de leur propre maison. De tout ces sourires, de la bonne humeur qui baignait le foyer d’un aura rassurant. Des notes de Noeh qui berçaient toutes les pièces. Ca lui paraissait si lointain, insaisissable. Etranger, maintenant que la maison avait été vidée de sa vie. La chasseuse détestait ça. Heureusement pourtant, il y avait Alexander. Comme toujours, elle pouvait compter sur son époux pour surmonter cette ombre qui lui couvrait le coeur. Même quand elle n’avait rien, elle avait Alexander. Et au final, c’était tout ce dont elle avait besoin. La belle savait qu’il serait toujours là pour elle, pour la rassurer de ses craintes, pour l’aider à s’adapter à ce nouveau chapitre de sa vie.
Assise dans l’imposant sofa du salon, la belle était plongée dans sa lecture, profitant d’une après-midi de repos bien méritée. Bercée par la musique qui s’élevait doucement dans la pièce -mais pas aussi mélodieuse que ce que jouait autrefois Noeh-, elle se perdait dans ces vies merveilleuse pour échapper la sienne. Mais pas pour bien longtemps, puisqu’elle eut à peine le temps d’achever son chapitre que l’on sonna à la porte, le bruit strident venant perturber la mélodie dans laquelle elle s’était laissée entraîner. Adelaïde roula des yeux, détestant ceux qui venait la déranger lors de ses jours de repos sans prévenir. La belle jura silencieusement en se levant, avançant doucement vers l’imposante porte d’entrée du manoir. On sonna une seconde foi, impatiemment, lorsque la belle s’empara de la poignée, sa bouche pincée et son regard assassin. En ouvrant la porte, elle découvrit la silhouette en uniforme de l’une des policière de la ville, dont le visage ne lui était pas étranger. Son coeur manqua un bon ; que venait faire la police chez eux, un week-end, sans prévenir ? « Bonjour Madame Callahan, désolée de vous déranger. Inspecteur Jenkins. » lança-t-elle, sérieuse, en présentant son insigne. Pour toute réponse, la belle chasseuse acquiesça sèchement. « Est-ce que je pourrais parler à votre époux s’il vous plait. » Adelaïde la jaugea de haut en bas, laissant filer les secondes avant de daigner répondre. « Je vais voir s’il est disponible. Attendez ici. » souffla-t-elle, sèchement, en fermant la porte au nez de la policière. La Beauchamp fit volte-face, se hâtant pour trouver son mari. « Alex ! » lança-t-elle suffisamment fort pour attirer son attention. Quelques instant plus tard, le chasseur pénétra dans l’élégante entrée du manoir. « Inspecteur Jenkins est là pour te poser quelques questions. » souffla-t-elle calmement, un sourcil arquée plus haut que l’autre. « Je devrais m’inquiéter ? » |
| | | Alexander Callahan ADMIN - master of evolution MESSAGES : 1273
SUR TH DEPUIS : 06/09/2015
| Sujet: Re: (fst, w/ alexander) ≈ i wouldn't leave you if you'd let me. Dim 5 Juin 2016 - 14:27 | |
| 'Cause we could be immortals. — adelaïde callahan & alexander callahan — They say we are what we are But we don't have to be. I'm bad behavior but I do it in the best way. I'll be the watcher of the eternal flame. I'll be the guard dog of all your fever dreams. I am the sand in the bottom half of the hourglass. I try to picture me without you but I can't. 'Cause we could be immortals, immortals Just not for long, for long. And live with me forever now, You pull the blackout curtains down Just not for long, for long. — immortals. Depuis que Lancaster n’était plus à la tête de la mairie, les choses commençaient lentement mais sûrement à se compliquer. Alexander aurait pu mettre sa main à couper que si quelqu’un s’opposait à Lancaster, ça finirait comme ça. Parce que les habitants de Radcliff n’étaient pas cons, ils voyaient bien que leur maire faisait absolument n’importe quoi et mettait en péril leur sécurité. Y avait même pas de bonnes justifications aux actions de ce type. Il faisait juste n’importe quoi et le but qu’il visait commençait de plus en plus à sembler flou aux yeux d’Alexander. Sans doute qu’il ne faisait que poursuivre le pouvoir et qu’il sentait que c’était une bonne chose de l’imposer par la force. Le fait était, que lui, il avait toujours su que Lancaster perdrait ses élections, ce n’était pas pour rien qu’il avait imposé un séjour forcé au manoir, à la fille qui s’était présentée contre lui lors des dernières élections. Il n’avait pas pu prévoir qu’une autre allait prendre sa place et de toute façon, il n’allait pas kidnapper tout le monde pour protéger les fesses d’un type en qui il ne croyait pas vraiment. Il avait préféré quand Lancaster avait été au pouvoir, parce que les hunters avaient plus de libertés, plus de facilité à accomplir leur devoir, mais c’était un bon retour de bâton pour Thaddeus de se faire détrôner, par une nana de vingt-cinq ans qui ne connaissait rien à la politique. C’était dire à quel point les gens n’avaient plus foi en ce type. Ils étaient prêts à voter pour la première venue juste pour ne pas revoir Lancaster à la tête de la mairie. Il pouvait les comprendre, s’il n’avait pas fait de ceux profitant des avantages que la place de Lancaster avait apportés, il n’avait pas de mal à s’imaginer voter pour la petite blonde inexpérimentée plutôt que pour le vieux type qui avait fait ça toute sa vie, qui qui le faisait mal.
Mais la Saddler, elle n’avait pas la même souplesse que Lancaster et les actions des hunters n’étaient définitivement plus vues de la même façon. Elle se trompait aussi la gamine, elle idéalisait le monde dans lequel elle vivait et on ne pouvait pas le lui reprocher, elle était encore bien jeune, trop jeune pour comprendre peut-être. Ce monde avait besoin des hunters, sans quoi il partirait à feu et à sang à cause des transmutants, c’était une chose dont il était persuadé. Mais il avait cette très nette impression que ça allait lui attiré des problèmes ces affaires. Ouais, elle parlait ouvertement de justice la gamine et l’avocat n’était pas encore assez stupide pour ne pas savoir qu’elle ne parlait pas de la même justice que celle qu’il servait. En entendant la voix de son épouse, il était sorti de son bureau pour la rejoindre dans le hall, un sourcil arqué et sa réplique lui arracha un soupire. « Je m’en occupe. » Il n’avait rien à dire à la police tant qu’on ne cherchait pas à l’accuser haut et fort de quelque chose. Si on avait quelque chose à lui reprocher, faudrait venir avec des preuves et pour qu’il parle, faudrait lui passer les menottes aux poignets, et encore, il faisait partie de ceux qui n’ouvriraient pas la bouche sans la présence de son avocat. Alors il ouvrit la porte pour se retrouver en face de la policière. La salua poliment avec un sourire courtois sur le visage, la laissant refaire son introduction et demander s’il voulait bien répondre à quelques questions. « Inspecteur Jenkins hein ? A moins d’être accusé de quelque chose, je n’ai rien à dire à la police. Rentrez donc chez vous et passez une bonne journée. Au revoir. » Pas besoin d’en dire plus avant de lui refermer la porte au nez dans un soupire. « Voilà c’est réglé. Pour le moment. » Pour le moment, c’était important de le signaler. Il savait déjà qu’il avait ce type du FBI qui enquêtait sur son entreprise, il était prêt à parier que depuis l’élection de Saddler, il n’était plus tout seul, alors ouais, tant qu’y avait rien pour le mettre en état d’arrestation. |
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