| Sujet: (M/LIBRE) JON BERNTHAL ≈ a kiss away from reality. Jeu 24 Mar 2016 - 3:52 | |
| parrish abraham kane ripped at every edge but you're a masterpiece NOM : kane. un nom que le chasseur à rendu célèbre dans son milieu, qu'il a forgé de ses mains. PRÉNOMS : parrish. un prénom qui sort de l'ordinaire, un peu comme son propriétaire. abraham. un second patronyme qu'il a hérité de son père. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix. il est cependant né et à grandit sur le sol us. ÂGE : trente-six ans. de longues années derrière lui, déjà trop à ses yeux. ORIGINES : au choix. ses parents peuvent avoir des origines autres que américaines. NATIONALITÉ : américain. il est né dans ce pays, et ne l'a quitté que lors de ses déploiements dans le moyen-orient. STATUT CIVIL : théoriquement fiancé. aux dernière nouvelles, il était fiancé à bianca. mais ça, s'était avant qu'il découvre qu'elle s'était servie de lui pour infiltrer les chasseurs, et avant qu'elle prenne la fuite. depuis, il est à sa recherche. MÉTIER : officieusement chasseur. il y consacre la majorité de sa vie, il continue sa guerre, contre les mutants cette fois et plus contre les terroristes. il n'est pas sur de savoir vivre autrement qu'en étant soldat. avant, ça lui suffisait à vivre ; il chassait les mutants pour le compte d'un laboratoire qui le payait généreusement. officiellement au choix. il avait un peu d'argent de côté, et puisqu'il est fraîchement arrivé à radcliff il peut ne pas avoir trouvé de travail pour le moment. ORIENTATION SEXUELLE : au choix. hétérosexuel ou bisexuel, tant qu'il aime les femmes. TRAITS DE CARACTÈRE : rusé ; introverti ; téméraire ; mystérieux ; sérieux ; impulsif ; loyal ; s'attache difficilement, mais énormément ; soldat ; violent ; blagueur ; brisé ; attentionné ; gros nounours bien dissimulé AVATAR : jon bernthal. négociable avec sam claflin. GROUPE : protecting those who fear them. les chasseurs. CRÉDITS : tumblr. | (001), son enfance est libre, de même que sa famille. je vous laisse décider de la partie avant l'armée, de sa vie avant de devenir le chasseur qu'il est à présent. cependant, quand il est revenu de la guerre il n'avait plus rien ni personne ; sa famille peut-être morte, ou il peut simplement être en froid avec elle. (002), il s'engage dans l'armée à sa majorité, c'est une carrière dont il a toujours rêvé. parrish à l'âme du parfait soldat, prêt à tout pour son pays, loyal, téméraire. il aime l'aventure, et il aime la justice, deux ingrédient pour lui assurer un avenir brillant parmi les troupes américaines. il est très vite monté en grade, devenant l'un des plus jeune major de l'us army. (003), parrish aurait pu vouer sa vie à l'armée, pourtant le destin en décida autrement l'année de ses vingt-huit ans. lors d'une mission au moyen-orient, l'opération tourna mal et une bombe explosa près du militaire. il fut plus chanceux que certains de ses collègues, mais écopa de lourdes séquelles. le militaire fut rapatrié d'urgence pour être soigné : blessé au dos, il perdit l'usage temporaire de ses jambes et une bonne partie de son audition dû à la détonation. le chasseur à réussit à soigner quasi totalement sa paralysie, ne nécessitant plus qu'une canne de temps à autre pour diminuer sa boiterie ; il n'eut pas autant de chance pour son ouïe, puisque parrish est totalement sourd du côté droit. pire que tout, le soldat souffre de trouble de stress post-traumatique léger, qui le hante encore aujourd'hui. il revit régulièrement l'explosion et la perte de son équipe, le laissant éveillé la nuit. conséquence aussi, un certain évitement affectif qui le pousse à rejeter le reste du monde et à s'isoler. (004), kane eut du mal à se réhabituer à la vie civile. à cause de ses ptsd, il s'isola du reste du monde et ne savait pas quoi faire de cette vie privée de l'armée. tout changea lorsque son ancien instructeur lui rendit visite et lui parla des hunters. l'homme le prit sous son aile, l'aidant à se remettre sur pied et à changer ce soldat en parfait chasseur. à ses côtés, parrish découvrit un monde nouveau, un monde semblable à celui qu'il a été obligé de quitter à cause de ses blessures. il voua sa vie à la cause hunter, trouvant un nouveau rôle dans le monde, remplissant le vide qu'avait laissé l'armée dans son esprit. (005), son mentor l'a fortement influencé, lui retournant le cerveau et faisant passer les mutants pour des monstres à éradiquer. parrish ne se considère pas comme un criminel, mais comme un héro, sauvant la vie des humains sans défense. il possède un code éthique bien à lui, ne faisant pas bien la différence entre le bien et le mal. il n'est pas quelqu'un de foncièrement méchant ou sadique, il a juste une définition de la justice bien à lui, et n'hésite pas à faire couler du sang pour l'appliquer. (006), à première vu, parrish est un homme froid et sanguinaire, peu bavard et impressionnant. un géant taillé dans la pierre, arborant bon nombre de cicatrices et ecchymoses. malgré tout, derrière cette épaisse carapace qu'il arbore comme une armure contre le monde, se cache un homme gentil et attention, simplement brisé par la vie. parrish ne s'ouvre pas à beaucoup de monde, mais il possède malgré tout une poignée d'amis proche qui le connaissent tel qu'il est réellement, outre les ptsd et le détachement dont il fait preuve. au fond, kane est un homme gentil, blagueur et attentionné, qui tient énormément à la poignée de personne qu'il considère comme proche. c'est un ours en peluche caché sous les traits d'un grizzly, difficile à apprivoiser. (007), il y a quatre ans, parrish fut contacté par un laboratoire en périphérie d'atlanta. les scientifiques lui proposèrent un contrat : ils lui fourniraient une liste de pouvoirs susceptibles de les intéresser, et parrish leur ramènerait les mutants qui correspondent à cette description pour une généreuse somme d'argent. il n'entra jamais dans le laboratoire, se contentant d'amener les mutants et de les laisser à l'entrée. il ignore ce que font les scientifiques avec les mutants, ou les conditions dans lesquelles ils sont retenu en captivité ; sans quoi, peut-être qu'il aurait réfléchi à deux fois avant de leur livrer ses victimes. (008), parrish n'avait jamais eu de relation sérieuse avant de rencontrer bianca, n'ayant jamais été très doué avec ces choses là. mais bianca, elle était différente. elle était douce, elle avait quelque chose d'innocent chez elle qui l'a tout de suite attiré. parrish savait qu'elle avait un lourd passé, et qu'il n'avait pas le droit d'en savoir plus ; mais il passa outre ce détail, ayant du mal à parler de son propre passé. le chasseur ne s'attacha à personne autant qu'il s'attacha à bianca, la demandant en mariage après deux ans de relation idyllique. le chasseur la pris sous son aile et l'entraîna pour qu'elle rejoigne elle aussi les chasseurs, ne pouvant être plus ravie qu'elle comprenne ses idéaux. il ne s'attendait pourtant pas, six mois plus tard, à ce qu'elle s'enfuit en révélant qu'il n'avait été qu'un pion dans son complot pour récupérer son fils des griffes des chasseurs. (009), parrish est un enthousiaste des armes à feu, c'est surement sa plus grande passion. il possède une collection énorme, plus ou moins légale, et sait manier ses armes comme personne. il est aussi redoutable au combat au corps à corps, de part sa taille et sa carrure ; il garde cependant quelques séquelles de l'explosion qui le rende moins souple et rapide. c'est malgré tout un redoutable hunter extrêmement réputé dans sa région, qui a réussit à se faire un nom rapidement. (010), parrish à décidé de partir à la recherche de bianca avec deux de ses meilleurs amis à lui : penny et will. il compte bien la retrouver et mettre les points sur les i, et récupérer son fils mutant par la même occasion. il ignore pourtant s'il aura la force de s'en prendre à celle qu'il aime encore, envers et contre tout. |
bianca castle & parrish kanenothing left to loose Bianca et Parrish, ça avait tout pour être une belle histoire d'amour. Elle apportait toute la douceur du monde à cet homme qui n'avait rien connu de tel depuis des années. La belle avait réussit à l'apprivoiser, doucement mais surement, le faisait sourire à nouveau, rire aussi. Le réparant de ces années d'isolement et violence qui le rongeait. Elle connaissait le sanglant chasseur derrière le soldat brisé, mais elle avait appris à l'accepter ; mieux, elle le supportait, et demandait de se battre à ses côtés. Parrish n'aurait pu rêver mieux, l'entraînant avec tout l'amour du monde, la couvant de ses grands yeux admiratif. Il l'aimait tellement, plus qu'il n'avait jamais aimé personne. Et elle, elle jouait si bien le jeu. Car pour Bianca, ce n'était rien d'autre qu'un jeu. Elle avait apprivoisé le chasseur dans le seul but de se forger une place dans ce milieu, d'en apprendre le plus possible sur ces monstres qui lui avaient enlevé son fils. Ce n'était censé être qu'un stratagème pour intégrer les hunters, pourtant à force de lui dire je t'aime, Bianca commença à y croire. Elle refusait de se l'admettre, mais au fil des baisers, elle commençait réellement à l'aimer son grand méchant chasseur ; ou plutôt, elle aimait l'homme qui se cachait derrière le chasseur. Increvable optimiste, la Castle se convaincu que derrière toute la violence, tout le sang et les larmes se cachait un Parrish brisé mais bon, un Parrish qui pouvait encore être sauvé. Qu'elle pouvait -et devait- sauver des griffes des hunters. Elle aurait voulu lui faire comprendre qu'il valait mieux que ça, qu'il n'avait pas besoin de faire ce qu'il faisait, mais la belle avait peur de compromettre sa couverture ; et son fils passait avant tout, même avant Parrish. Au bout de deux ans et demi d'amour sans tâche, et une bague de fiançailles plus tard, Bianca retrouva la trace de son fils, dans le laboratoire qui employait le chasseur. La belle alla le délivrer, laissant filer les autres mutants détenus avant de mettre le feu à l'établissement. Elle était prête à prendre la fuite avec Oscar, mais Parrish les arrêta. Elle lui expliqua brièvement la situation, jusqu'à ce que le chasseur les laisse filer, amer. Il lui en voulait tellement, pourtant, de voir ce gamin de sept ans dans ses bras, Parrish ne pouvait que se sentir coupable pour le sort d'un si jeune enfant. Depuis son évasion, le chasseur essaie de retrouver sa trace, pour se venger mais surtout pour s'expliquer puisqu'il n'est pas sur de pouvoir blesser la femme qu'il aime encore plus que tout. Il la déteste de s'être servi de lui ainsi, pourtant, il espère qu'elle ne jouait pas entièrement la comédie à ses côtés ; au fond il en est persuadé. Et il a raison, puisque Bianca l'aime encore. Si elle fuit, c'est seulement par peur que le chasseur ne comprenne pas ; que l'homme qu'elle essayait de sauver n'existe pas, et qu'il décide de se venger de la plus sanglante des manière qu'il soit. - extraits de ma fiche:
II. Le chasseur déposa un tendre baiser sur son œil ecchymosé, avant de l'attirer un peu plus près de lui en enfouissant son visage dans ses longs cheveux blonds. Bianca ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire malin, le cœur lourd. A force de jouer la comédie, la belle se surprenait à se prendre un peu trop au jeu. A apprécier les baisers, les câlins, les petites attentions. Elle en venait même à la trouver jolie, cette foutue bague accrochée à son doigt, avec son gros diamant. La Castle se sentait coupable, coupable de trouver du plaisir dans les étreintes du monstre avec qui elle partageait son lit. Ce n'était qu'une couverture, rien de plus. L'homme allongé à ses côtés ne signifiait rien pour elle, rien de plus qu'un bon moyen d'infiltrer ces pourritures de hunters et de récupérer son fils. Bianca posa sa tête contre sa poitrine pourtant, se laissant emporter par ce moment de tendresse. Deux ans maintenant qu'elle jouait ce double jeu, deux ans qu'elle avait perdu sa moitié. Deux trop longues années à chercher sa trace, sans réussite. La belle ne s'avouait pas vaincu pourtant. Même si -elle ne préférait pas y penser- les chasseurs avaient tué son fils, elle voulait la preuve. Elle voulait se venger. Elle méritait de savoir ce qui était arrivé à son Oscar, elle méritait une réponse. C'était pour cela qu'elle c'était lancée dans cette croisade folle, et qu'elle avait cherché par tous les moyens de rejoindre les hunters. Pour cela, Bianca avait rencontré Parrish. "Par hasard". Un ancien militaire, blessé de guerre, recruté par son ancien instructeurs, un chasseur influent dans la région. Un homme que la vie n'avait pas épargné, et qui à présent n'épargnait personne. Un monstre, aux yeux de Bianca qui avait pourtant ravalé la peur et qui s'était imposée dans son cœur. Deux ans plus tard, ils vivaient ensemble, ils étaient même fiancés. Les deux tourtereaux coulaient le parfait amour, un peu trop parfait même aux yeux de la Castle qui ne savait plus réellement différencier le mensonge de la réalité. Quand elle lui murmurait je t'aime, jouait-elle réellement le jeu ? Au fils des mois et des baisers, n'en n'était pas réellement venu à l'aimer ? Naïveté peut-être, pourtant Bianca le soupçonnait d'avoir un bon côté, de pouvoir encore être sauvé de toute cette folie. Elle voulait le sauver. Parrish était un homme brisé, perdu, qu'on avait reconstruit après la guerre pour servir les desseins sanglaits des hunters. La jeune femme était persuadée pourtant d'avoir appris à connaitre l'homme, et pas le soldat ; un homme bon, juste, aimant. Un homme qu'elle se sentait capable d'aimer en retour. A cette pensée, elle le serra un peu plus fort contre lui. Increvable optimisme ou espoir désillusoire, elle n'en savait foutrement rien. Tout ce qu'elle savait, c'était que malgré cette culpabilité qui la rongeait, elle ne pouvait s’empêcher d'apprécier les moments passés aux côté du chasseur.
III. Dans ses bras, son Oscar. La Castle le serrait tellement fort qu'il ne pouvait surement plus respirer, mais ça n'avait pas l'air de le déranger. Les joues du garçon étaient trempées, son souffle court entrecoupé de sanglot. Lui qui ne pensait plus jamais revoir sa mère, il avait du mal à se rendre compte de ce qui venait de se passer. Bianca non plus ne se rendait pas réellement compte de ce qu'elle venait de faire. Dans son dos, le brasier fumant de ce qui restait du laboratoire. Un petit bâtiment en périphérie d'Atlanta, qui retenait une dizaine de mutants, dont les scientifique se servait pour essayer de transformer leur pouvoir en arme. Oscar était l'un d'eux, séquestré pendant deux ans et demi dans une petite cellule, isolé du reste du monde. Des conditions presque inhumaine, qui avait arraché le cœur de la blonde quand elle avait réussit à s'infiltrer dans l'établissement. Son pauvre fils ... Mais rien n'importe maintenant, il était là, tout contre elle, dans ses bras. Autour d'eux, les dernières mutants qui étaient restés pour admirer l'explosion prenaient la fuite, un dernier coup d’œil reconnaissant vers cette femme qui était venu les délivrer. Bianca n'en avait pas grand chose à faire, de ces mutants ; elle avait son mutant, son Oscar. C'était tout ce qui importait. Elle brisa finalement leur étreinte, agrippant son visage de l'enfant entre ses mains pour le regarder. Il avait grandit, en plus de deux ans. Il n'avait plus rien du bambin qu'il était la dernière fois qu'elle l'avait vu ; il était maigre aussi, beaucoup trop maigre. « Oscar, mon Oscar ... » souffla-t-elle, un large sourire sur le visage. Ses yeux étaient rouge écarlate, à force de pleurer, pourtant elle n'était pas triste. Pas maintenant qu'il était là. « Tu m'as tellement manqué. » Bianca allait déposer un baiser sur son front lorsqu'elle entendit le clic familier d'un revolver en train d'être chargé. Elle sursauta. Instinctivement, elle serra Oscar contre elle, refusant de le laisser lui échapper une nouvelle fois. Lorsqu'elle releva le visage, son cœur se serra. « Parrish ... » Le chasseur se tenait là, en face d'elle, son arme pointée vers elle. Son visage était vide d'expression, loin des grands yeux amoureux qu'elle avait connu. Bianca se releva, portant toujours son fils dans ses bras. Ses yeux humides cherchaient la flamme dans le regard de son fiancé, mais elle ne trouva rien d'autre que cette impassibilité qu'il portait comme un masque, lors de leur chasse. Les secondes filèrent, personne ne bougea ; les deux amants se contentaient de se regarder, figés. Au loin, des coups de feu retentissaient ; les chasseurs devaient tâcher de récupérer les fugitifs. « Par- » « Comment t'as pu faire ça Bianca ? Comment t'as pu ME faire ça ? » La jeune femme sentait ses jambes trembler, pourtant elle devait rester forte. Pour Oscar. « J'suis désolée. Tout c'que j'ai fait, j'l'ai fait pour lui. » souffla-t-elle tout simplement en désignant Oscar du menton, froidement, le regard noir. Face à elle, Parrish essayait de remettre le puzzle en ordre, se demandant surement qui était cet enfant dans ses bras. « Ils ont pris mon fils, Par'. Il avait quatre ans quand ils sont venu l'chercher. Regarde c'qu'ils lui ont fait, c'est qu'un gosse. C'est ... » Bianca se laissa emporter par l'émotion, laissant sortir toutes ces pensées qu'elle avait depuis quelques temps. Essayant le tout pour le tout. « C'est mal c'qu'ils font, même toi tu dois l'avouer Par'. C'est qu'un gosse. » La belle attira sont fils un peu plus près d'elle. « J'suis désolée de t'avoir fait ça, vraiment. Je sais qu'au fond, t'es un mec bien Kane, s'il te plait. Tu dois comprendre, tu ... » souffla-t-elle les larmes aux yeux, sa voix se brisant avant qu'elle ait pu finir sa phrase. Face à elle, le chasseur avait les yeux brillant ; du moins elle le pensait, elle l'espérait, n'arrivant pas bien à distinguer son visage dans la nuit noire. Ce qu'elle voyait, c'était ce revolver, toujours pointé sur elle ; tremblant. « S'il te plait. » répéta-t-elle, un murmure désespérée cette fois. Des voix se firent entendre, se rapprochant de plus en plus des débris fumant du laboratoire. Bientôt, d'autres hunters allaient arriver ; bientôt, ce serait fini pour, et pour Oscar. Le regard suppliant, elle fit un peu en avant mais se stoppa en voyant Parrish renforcer sa prise autour du revolver. « J'suis désolé. » souffla Parrish, un murmure à peine audible. Le coeur de Bianca s'accéléra, ne sachant pas à quoi s'attendre. De quoi était-il désolé ? De ce qu'il allait faire, du coup de feu qu'il allait laisser filer jusque dans son cerveau ? Ou bien s'excusait-il au nom des hunters, de ce qu'ils avaient pu faire à son fils ? La belle lui lança un regard confus, alors qu'il leva son bras au ciel ; le coup de feu parti dans les airs, et Bianca n'attendit pas plus longtemps. Elle pris ses jambes à son cou, s'enfonçant profondément dans l'épaisse forêt, courant encore et encore pour fuir cette ville. Pour fuir cette vie. Oscar était là à présent, et tout allait bien aller.
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