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 revenge is the only thing that matters, now (pv Alistair)

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Harvey Sunderland
Harvey Sunderland

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SUR TH DEPUIS : 01/03/2015
MessageSujet: revenge is the only thing that matters, now (pv Alistair)   revenge is the only thing that matters, now (pv Alistair) Icon_minitimeSam 3 Oct 2015 - 14:22

Revenge is the only thing that matters, now
Alistair & Marko



La douleur. Elle m’étouffe. Elle m’aveugle. Tous les aliments ont un goût de cendre, le peu d’eau que je bois glisse comme de l’acide dans ma trachée, le moindre de mes mouvements déchire mes muscles et brise mes articulations. Le temps se disperse en secondes et moi j’étouffe. De douleur. En sanglots. Ils secouent ma cage thoracique, je reste recroquevillé, les bras enserrant ma poitrine, les larmes ravageant mes joues, s’engluant dans ma barbe, se perdant dans mon cou. Un nouveau sanglot, je me mords la main pour assourdir un hurlement. En vain. Je m’étrangle, tente de respirer, tente d’ouvrir les yeux. Le déni. Une semaine. Un déni violent, un déni colérique, un déni agressif. J’ai craché sur ceux qui me l’ont dit, j’ai donné des coups, j’ai hurlé, j’ai crié, j’ai répondu calmement que c’était impossible. J’ai démoli son appartement, j’ai récupéré sa veste, je l’ai appelée, sourd aux vibrations de son portable à côté de moi. Au déni n’a succédé ni la colère, ni le marchandage mais belle et bien la dépression. Profonde. Elle me tire vers le bas, m’écrase, m’empêche de vivre. Une semaine. Une éternité. La culpabilité est aussi forte que l’horreur et que l’égarement. Depuis vingt ans, vingt ans bon sang, je ne vivais que pour elle, que par elle, que pour sa survie et par sa vie. Je n’ai plus rien, si ce n’est son absence.

Et la colère. Je relève brutalement la tête, recommence à respirer. La colère. Les phases du deuil se mélangent, j’entends marchander sa mort avec cette colère qui se répand dans mes veines comme une drogue. Plus aveuglante que la douleur, plus étouffante, elle me donne une raison de cesser de penser et surtout, elle me donne un nouvel objectif, une nouvelle raison de vivre. Je vais venger ma sœur. La vengeance… que je lui ai toujours refusée. Que j’ai toujours considéré d’un œil noir, lui préférant la justice et la non-violence, comprenant qu’elle n’allait mener à rien et risquait de tout nous faire perdre. Mais que me reste-t-il à perdre au final ? Ils me l’ont prise. Alors qu’elle leur faisait confiance, ils me l’ont prise, m’ont détruit, ont piétiné ses restes et craché sur son cadavre. Mon poing se serre, je me lève d’un bond, ignorant la protestation de mes muscles, les cris d’agonie de mon corps qui ne comprend pas ce revirement de situation. Pas question d’aller travailler : mon patron m’a offert deux semaines pour faire le point. Et bien… le point est fait.

Il est là. Caché sous mon oreiller, hors de vue, longtemps délaissé, réapprivoisé. Il est là, logé dans le creux de ma main, aussi glacée que la mort qu’il répand, aussi brûlant que l’explosion qu’il produit. Mon arme. Offert par mes parents. Portant la brûlure de leur agonie et la culpabilité de leur mort. Un SIG Sauer, de bonne facture, aux rouages parfaits et à la précision idéale, qui a vu mourir de son fait la première de mes victimes. Cadeau pour féliciter l’achèvement d’un entraînement Hunter, rangé, caché, des années plus tôt avec la promesse de ne plus jamais tuer, avec la conviction qu’il ne sera utilisé qu’en cas d’extrême nécessité. Il pèse dans ma main, je serre les dents, n’hésite qu’une fraction de seconde avant de caler dans mon dos, avec le naturel d’une habitude presque perdue. Ma veste retombe, masque la forme, mes clés sont jetées dans ma poche tout comme mon portable et je m’enfuis de mon appartement. Je sais ce que je dois faire. Je sais ce qu’il y a à faire. Les retrouver. Les tuer. Les torturer, ces enfoirés qui ont tué ma sœur. Je sais que ce n’est pas une solution, que ce n’est pas moi, que ce n’est pas ce en quoi je crois, mais c’est la seule solution que je voie qui puisse me faire continuer à vivre maintenant.

Un nom. Une adresse. Résultat de mes observations et de ma méfiance constante, j’ai réussi à identifier un certain nombre de Hunter depuis huit ans que je suis à Radcliff à veiller sur ma sœur. J’ai réussi à identifier des Hunter et plus encore ceux qui pourraient avoir au mieux les noms de ces bâtards qui l’ont tuée, au pire les moyens de les retrouver pour que j’aie la satisfaction de les voir étaler à mes pieds. Morts. La colère. Pire que la douleur, elle ravage mes convictions et supplante l’horreur de la réalité. Mon poing se fracasse contre la porte. N’attend que de justesse une réponse pour l’ouvrir, franchir les mètres, parvenir devant un nouveau bureau et un homme. Ma voix, rauque de n’avoir pas servi ces derniers jours, se teinte de mon accent de l’Est lorsque je vais droit au but. « Vous êtes un Hunter. » Ma main se saisit de la porte pour la claquer dans mon dos et nous isoler du reste du bâtiment. « Aidez-moi à retrouver les fils de pute qui ont tué ma sœur. » Une entrée en matière brutale : je suis et je reste un Kovalenko, patience et maîtrise de soi ne sont là en général que pour faire bonne figure. Je prends ma respiration. « Je m’appelle Marko Kovalenko, des dégénérés ont tué ma sœur, il y a une semaine. Parmi les Hunters que j’ai repérés, vous êtes le seul qui ait les moyens de retrouver les bâtards qui ont fait ça. Votre prix sera le mien, quel qu’il soit. »


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MessageSujet: Re: revenge is the only thing that matters, now (pv Alistair)   revenge is the only thing that matters, now (pv Alistair) Icon_minitimeJeu 12 Nov 2015 - 20:31


REVENGE IS THE ONLY THING THAT MATTERS NOW
ALISTAIR & MARKO



L’avantage du travail d’Alistair était qu’il s’agissait d’un travail de bureau, et donc il pouvait officier tranquillement en ville sans avoir besoin de se perdre dans il ne savait quelle structure compliquée. Son officine se trouvait en centre-ville, non loin du cabinet d’avocats qui servait de quartier général aux hunters. De fait, il pouvait se plonger tout entier dans ses analyses, calculs et suppositions tout en étant prêt à répondre présent si une urgence devait se déclarer.
Et des urgences, il y en avait eu un certain nombre depuis quelques mois. A croire que les mutants avaient tous décidé de venir mettre le chaos en ville en même temps. Pourtant, ce n’était pas faute d’essayer de les supprimer rapidement ; mais les méthodes de Lancaster étaient, aux yeux du trader, beaucoup trop classiques, beaucoup trop flagrantes. Ce que le maire faisait, c’était créer une petite armée personnelle pour enrayer la menace des dégénérés ; le problème, c’était que les dégénérés en question arrivaient à s’organiser en retour, si bien qu’au final, les résultats n’étaient pas forcément plus concluants que ça. Certes, il y avait eu beaucoup de vaccinés et presque autant de tués, mais ça ne réglait pas le fond de l’affaire. Les mutants qu’ils voulaient attraper en priorité savaient se cacher, se terrer comme les rats qu’ils étaient, quitte à laisser leurs camarades moins doués et plus visibles se faire prendre à leur place. Les altercations entre humains et possesseurs du gène X se faisaient de plus en plus nombreuses, si bien qu’il y avait commencé à avoir des dommages collatéraux. Et ça, c’était une très mauvaise nouvelle. Ce n’était pas tant la perte de ces vies innocentes qui chagrinait le père Wolstenholme ; c’était plutôt la perte de popularité qu’elles entraineraient. Tant que Thaddeus était à la tête de Radcliff, les chasseurs pourraient continuer d’officier en toute quiétude. Mais s’il venait à être destitué, d’une manière ou d’une autre, il n’y aurait plus qu’à prier pour que son remplaçant embrasse la même cause, quitte à ce qu’il emploie des méthodes moins physiques et plus discrètes. Contrairement à ce que certains pouvaient penser, ce n’était pas un concours de qui aurait le plus de trophée : c’était une guerre, purement et simplement, une guerre civile telle que la ville vivait en autarcie depuis le mois de Novembre, et tant que la population mutante qui grouillait entre ses murs n’aurait pas disparu, les portes ne se rouvriraient pas. Sauf cas exceptionnels, personne n’entrait ou ne sortait de là sans autorisation, et les premiers mécontents avaient déjà commencé à vouloir faire entendre leur voix. Il n’y avait plus qu’à les faire taire rapidement, mais ça, ce n’était pas ses affaires. Lui avait d’autres choses dont il devait s’occuper, aussi laissait-il le soin aux toutous les plus zélés de Lancaster de faire ce qu’ils avaient à faire.

Le nez plongé dans ses papiers, Alistair ne remarqua le remue-ménage à l’extérieur qu’un peu tard. Fronçant les sourcils, il releva la tête et eut juste le temps de plonger la main dans le premier tiroir de son bureau, attrapant son revolver, lorsque la porte de la pièce s’ouvrit toute grande. Un jeune homme y entra, échevelé, le visage ravagé et une lueur féroce dans ses yeux noirs.

- Vous êtes un Hunter.

Sa voix à l’accent typique des pays d’Europe de l’Est claqua en même temps que la porte qu’il refermait derrière lui. Cette remarque ne plut pas spécialement à Alistair qui ne sut pas à quoi s’en tenir. Soit cet homme venait pour le tuer – et il échouerait – soit il venait pour autre chose. Et au nom de la propreté de son tapis, le trader espérait que ce serait la seconde option.

- Aidez-moi à retrouver les fils de pute qui ont tué ma sœur.

Le patriarche Wolstenholme haussa un sourcil et le dévisagea. Il n’était pas encore prêt à lâcher son arme, mais en revanche, il était plus disposé à l’écouter. De toute façon, l’autre ne lui laisserait probablement pas le choix.

- Je m’appelle Marko Kovalenko, des dégénérés ont tué ma sœur, il y a une semaine. Parmi les Hunters que j’ai repérés, vous êtes le seul qui ait les moyens de retrouver les bâtards qui ont fait ça. Votre prix sera le mien, quel qu’il soit.

Le cinquantenaire le regarda encore un moment, puis finit par lâcher son arme et referma son tiroir avant de se lever. Il fit signe au dénommé Marko de s’asseoir dans le fauteuil qui lui faisait face.

- Je suis navré de votre perte. Les mutants nous ont tous beaucoup pris.

Il pensa furtivement à sa femme qui s’était débarrassé de sa mutation d’une balle dans la tête. Il ne souhaitait à personne la peine qu’il avait ressentie en trouvant son cadavre. L’expression de désespoir et de haine furieuse peinte sur les traits du garçon devant lui, il ne la connaissait que trop bien.

- Vous aviez l’air proche de votre sœur. Je veux bien vous aider à la venger, à condition que tout ce que je vous dirai reste strictement entre nous. Ce sont des informations confidentielles, vous vous en doutez bien.

Il ferait très attention à ce qu’il dirait à ce jeune homme, et il surveillerait de près ce qu’il ferait de ces nouvelles données. S’il pouvait lui faire rejoindre la cause des hunters, alors tant mieux. Sinon, au moins, il aurait la certitude que les mutants auraient un partisan de moins.

- Dites-moi comment ces abominations l’ont tuée et où.

Autant commencer par le commencement, quitte à éveiller de douloureux et frais souvenirs chez ce frère endeuillé.


(c) elephant song.
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Harvey Sunderland
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MessageSujet: Re: revenge is the only thing that matters, now (pv Alistair)   revenge is the only thing that matters, now (pv Alistair) Icon_minitimeJeu 19 Nov 2015 - 10:05

Revenge is the only thing that matters, now
Alistair & Marko



Je veux un nom, je veux une adresse, je veux un indice. Je veux une piste à laquelle me raccrocher pour traquer, trouver, venger ma sœur en massacrant un à un ceux qui sont responsables de sa sœur. Je ne vois aucune raison de vivre en dehors de cette résolution prise sur un coup de tête, résolution qui me pousse à m’imposer chez un homme que je ne connais que de nom aux dernières nouvelles. Un trader, un inconnu dont je n’ai que faire. Mais aussi un Hunter et c’est ça, uniquement ça, qui m’amène ici. Dans mon dos, coincé et caché sous mes vêtements, mon Sauer marque de sa présence mon rejet brutal de cette non-violence que je brandissais depuis des années. Combien de fois ai-je reproché à ma sœur sa soif de vengeance, cet aveuglement létal qui la poussait à haïr les Hunters comme une masse indéterminée de psychopathe ? Combien de fois ai-je voulu la mettre en garde contre ce chemin tortueux, contre cette pente aigüe, contre cet engrenage dont il est si difficile de s’extirper une fois un pied coincé dans les premiers rouages ? Je les hais, bon sang que je les hais.

Mon poing se fracasse sur la porte, l’ouvre d’une torsion de poignet. Aucune délicatesse, aucune discrétion, ce sont mes nerfs et ma colère qui parlent, c’est le sang chaud et impulsif des Kovalenko qui se répand dans mes veines et qui bat à mes tempes avec la force et la rage du désespoir furieux. Je suis furieux, je suis brutal. Tout dans mes mouvements le hurle avec conviction, cette porte qui claque dans mon dos en est la preuve. Mon regard noir se fige sur le cinquantenaire. Quatre mots résument une partie de la situation, dans une attaque délibérée, un constat bien plus qu’une question, une accusation déclarative. Vous êtes un Hunter, monsieur Wolsenholme. Vous faites partie de ceux qui ont attiré mon attention pendant mes années de discrétion dans votre ville. Vous ne me connaissez pas, mais vous allez apprendre à me connaître. Mes yeux dérivent sur sa main plongée dans un tiroir. Mon flingue me démange. Mais je ne viens pas pour l’abattre lui, je viens pour qu’il me permette de retrouver ceux qui ont buté ma sœur. C’est ce que je lui dis d’une voix rauque, bourrue, directe. Allons droit au but, Wolstenholme. Votre prix sera le mien. Je n’ai pas d’argent, pas beaucoup plus, du moins, que celui que je gagne chaque mois dans la petite librairie. Mais peu m’importe : si je dois m’endetter à vie pour venger ma sœur, je le ferai. Si je dois m’endetter à vie pour avoir sur les mains le sang de ses meurtriers, je le ferai aussi. Sans hésiter une seule seconde, sans même tenter d’y réfléchir : mon choix est fait depuis que j’ai senti à nouveau le poids de mon arme dans la paume de ma main.

Le silence. L’attente. Mes nerfs et mes poings serrés l’endurent avec douleur, je me retiens à grand peine de lui hurler de me répondre, de le secouer et de le mettre en joue. Un bruit, il se lève et me fait signe de m’asseoir. Je refuse d’un mouvement de tête : je ne compte pas m’attarder ici et je me sens incapable d’être assis sans pouvoir dissiper la tension qui grandit dans chacun de mes muscles. - Je suis navré de votre perte. Les mutants nous ont tous beaucoup pris. La mâchoire crispée, je garde les rétines pointées sur lui avec une violence à peine contenue. Ses mots arrivent à entrer en résonnance avec ma colère. Arriveraient presque à me convaincre et à faire remonter ce que me disaient mes parents. Ma main s’abat sur le fauteuil, je le tire d’un mouvement brusque et m’y laisse finalement tomber, glissant par un vieux réflexe mon Sauer de mon dos à mon côté. - Vous aviez l’air proche de votre sœur. Je veux bien vous aider à la venger, à condition que tout ce que je vous dirai reste strictement entre nous. Ce sont des informations confidentielles, vous vous en doutez bien. Je prends le temps de le regarder fixement dans les yeux, avec une intensité presque impolie. Si je suis venu le voir, c’est pour une seule et bonne raison : il est d’après mes informations le plus à même parmi mes contacts à avoir les moyens non seulement de les retrouver mais de m’aider à les traquer. Retrouver leur piste à partir d’infimes détails. Je n’en ai rien à faire qu’en échange, il me demande de lui servir de larbin, de lui cirer les pompes ou de braquer une banque – pas qu’il en ait besoin de toute manière. Alors garder des informations confidentielles, je peux le faire. « A qui est ce que je pourrai les transmettre de toute manière ? » C’est un grognement davantage qu’une phrase articulée, j’entends ma sœur me faire la remarque que mon attitude n’est actuellement pas très engageante. J’inspire lentement, pour me calmer et surtout pour me forcer à refouler ma colère. Ou du moins à la mettre à mon service. Je peux faire mieux que ça, bon sang.

- Dites-moi comment ces abominations l’ont tuée et où. Il serait faux de dire que la question me prend au dépourvu, mais je ne m’y suis tout de même pas véritablement préparé. Ces abominations. Elle en faisait partie, Luydmila en faisait partie. Je me gifle intérieurement : les abominations, ce sont les dégénérés qui ont trahi sa confiance et qui l’ont abattu. Je ferme les yeux, me remémorant le corps de ma sœur à l’hôpital. « Je vais être franc avec vous : ma sœur était une mutante et à ce que j’en sais, elle faisait partie de ce groupe de terroristes qui se fait appeler Uprising. Elle a été tuée en forêt par ses si chers amis. » Je sors de ma veste un morceau de papier si froissé qu’il se disloque au niveau des plis. « Je n’ai pas beaucoup d’infos, on était en froid ces derniers mois, mais j’ai inscris sur ce papier quelques noms de ses anciens alliés. » Je n’ai aucun scrupule à vendre le nom de ceux d’Uprising que je connais grâce à Mila. Dans cette liste, un peu trop courte, quatre ou cinq noms. Et pas celui de Clarke. J’ai hésité, pourtant. Je lui tends le papier, croisant les doigts pour que mon écriture brouillonne, marquée par mon cyrillique maternel, ne soit pas trop illisible. « Si l’un d’entre eux vous évoque quelque chose, dites le moi. » Je ne rajoute pas de s’il vous plait : je le considère suffisamment implicite pour que l’homme ne puisse l’ignorer.


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