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 No woman no cry... ✤ Pandorà & Rayan

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MessageSujet: No woman no cry... ✤ Pandorà & Rayan   No woman no cry... ✤ Pandorà & Rayan Icon_minitimeMar 2 Juil 2013 - 14:23

No woman no cry... ✤ Pandorà & Rayan Tumblr_mp5gmqIj7N1rintjwo1_400
Une fin de semaine plutôt fatigante, je venais de faire des heures supplémentaires étant donné qu'il y avait une forte influence de clients en cette période. Ma mère m'avait dit de revenir tout de même tôt, elle comptait faire une soirée pizza, et c'est toute une histoire dans la famille, si tu arrives trop tard, tu n'as plus rien ! Mais de l'autre, j'ai beaucoup de boulots ! Pour dire, j'avais même eu à faire un peu de « cuisine », même si je vous l'avoue que pour moi, couper du pain et le garnir, c'était pas vraiment de la cuisine, mais ça occupait bien pendant les moments de « pauses » où il y avait beaucoup moins de monde. Mais le tournant de ma soirée, ce fut en fin de journée alors que je comptais fermer boutique. Attendez ! J'ai besoin d'un sandwich s'il vous plaît! me supplia une belle blonde. Évidemment, je ne peux pas lui résister. Alors avec un sourire, je lui rouvre la porte. La blonde rentre et je vais faire mon œuvre. Je suis pressée, j'ai envie de retourner chez moi. J'attrape le pain, le couteau alors que je demandais à la demoiselle ce qu'elle voulait plus exactement dedans . Je l'écoute, je suis distraite par son joli sourire et le drame se met finalement en route. Au lieu de couper seulement le pain, je me coupais toute la main, c'était vraiment douloureux. Très vite, ma patronne appela les secours pendant que je compressais la blessure. Mon dieu que j'avais mal, que je priais pour qu'on m'achève tellement c'était indéfinissablement … douloureux. Les secours arrivent plutôt vite et m'emmène de la même façon jusqu'à l’hôpital. Il est vrai que je pourrais souffrir sur place tellement il y avait du monde mais il était tard et puis je tombais dans une période presque creuse pour les urgentistes. A peine arrivée, déjà dans une salle de consultation. Je pleurais à chaudes larmes, ne supportant vraiment pas la douleur. Pour pouvoir me recoudre, il faut m'endormir alors à l'aide d'une injection, je me retrouvais au pays des rêves.

Plus aucune douleur, plus rien. J'étais dans un bonheur des plus complets, plus rien ne pouvait m'atteindre, pas même cette aiguille qui transperçait ma peau afin de refermer cette plaie qui ne demandait qu'à me faire souffrir dès le réveil. Je ne saurais pas dire combien de temps j'ai passé dans cette salle, endormie vraiment profondément, mais alors que je rêvais que je traversais un champs à hautes herbes et remplis de fleurs, je sentais que j'étais encore plus seule qu'avant. La réalité est que j'étais vraiment seule dans cette chambre à exception près d'une fille. Je ne saurais dire pourquoi je le sais. Peut-être son parfum, peut-être mon envie que ce soit une fille plutôt qu'un homme. Je n'ai jamais vraiment eu  confiance envers les hommes, ils sont tellement imposants, brutes … tout ce qui pouvait amener à la violence, la déception que seule une femme pouvait me conforter. J'espérais qu'elle était de confiance, que ce n'était pas une infirmière qui sortait de la norme comme par exemple : venant d'une famille qui n'appréciait pas les transmutants ? Pourquoi je priais cela ? Je ne maîtrisais pas vraiment mon pouvoir durant mon sommeil, mon esprit se trouve tellement ouvert, libre  qu'une fois allongée sur le coté, le bout de mon tatouage en haut de mon bras tendait à sortir de ma peau pour se matérialiser. Oui, mes ailes tendent à vouloir s'échapper dans mon dos pour voleter afin d'ajouter de la légèreté à mon rêve. Alors elles sortent, et reviennent s'encrer dans ma peau comme ci rien ne s'était passé. Et là, je rêve encore plus … en d'autres termes, je me sens encore mieux dans mes rêves ! Je crois qu'une bonne partie de mes ailes sont sortis de mon dos, cherchant à s'épanouir mais ma blouse d’hôpital empêche toute matérialisation et elles retournent contre mon dos, redevenant alors un simple dessin dans mon dos... C'était vraiment critique comme situation, mais je ne m'en rends pas compte. Je suis trop bien dans ma tête pour comprendre ce que je suis en train de faire... et je ne suis pas... « seule ».
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MessageSujet: Re: No woman no cry... ✤ Pandorà & Rayan   No woman no cry... ✤ Pandorà & Rayan Icon_minitimeJeu 11 Juil 2013 - 18:55


⊱ OH, LA FÉE CLOCHETTE !

Il y a une chose embêtante dans le fait d’être encore en internat à l’hôpital. On nous envoie souvent aux urgences ou à la mine comme ils le disent souvent. L’endroit des traumas parfois ou des petits bobos qui vous donnes envie d’aller dormir tellement vous en avez marre de voir des idiots pleurer pour une griffe de chat.  Pour n’importe qui, cela passe souvent pour un caprice de docteur mais supportez ça aussi souvent qu’un interne ou une infirmière, vous serez lassée aussi enfin là, j’avais eue de la chance car je n’avais pas eue vraiment de petit bobo en une heure. Pas encore en fait. Je n’avais pas vraiment eue de patient assez lourd. J’en avais eu trois qui étaient déjà parti mais je n’apprenais rien en fait. Pas vraiment facile de devenir qui je voulais devenir dans ces conditions. Enfin, on fait avec et cela fait partie de mon acharnement pour mon avenir. Acharnée, oui. Je bossais bien trop et je dépassais bien souvent les heures par semaines qui m’étaient permises mais je m’en fichais bien à vrai dire. Et c’est là qu’arrivèrent une patiente enfin… un cas qui me donnait envie de m’en occuper car bon, elle était bien arrangée à la main mine de rien. Je riais un peu nerveusement quand elle semblait avoir mal car je voulais l’aider et je ne savais pas comment. Je suivais alors mon résident dans l’idée de l’endormir pour mieux faire et la laissant aller au pays des rêves. Elle me semblait jeune, un peu comme moi ou moins enfin je ne savais pas vraiment. Je n’avais eu que son nom et son prénom de l’ambulancier. Et alors qu’elle était recousue, je devais surveiller son réveil dans une chambre ou elle était seule. J’étais simplement assise sur une chaise à attendre sagement. Je ne faisais que ça.  Attendre son réveil pour pouvoir m’en occuper. Je commençais cependant un peu à m’endormir alors que je veillais. Il fallait avouer que je bossais trop entre le bar et l’hôpital ou même ma mère adoptive malade. Ça craint assez.  Et c’est là qu’un bruit se fit entendre, un bruit de draps ou de tissus enfin je ne savais pas vraiment expliquer mais cela venait du lit. Je me levais en retirant le plaid de mes genoux. Venir bosser en short, c’est peu pratique mes amis. Je le posais en approchant et regardant… mais là, arrivais encore un autre phénomène car il semblait y avoir un petit souci sous sa robe d’hôpital. Sous l’attache du dos, des ailes semblaient se débattre à sortir. Je ne savais que faire en faire, je reculais un peu, surprise. Je regardais la jeune femme  attentivement, ses ailes… tout. Je ne la quittais pas du regard en buguant un peu alors qu’elle rentrait à nouveau. Je me tournais vers les stores à moitié ouvert et même la porte qui était ouverte. Sur le coup… en ayant déjà vu des histoires types, j’allais les fermer. Porte et stores. Aussi vite que possible en fait. Je riais un peu nerveusement en approchant, allant du côté de son visage pour toucher son poignet et prendre son pouls pour voir si son cœur battait bien. Une simple routine du réveil en fait surtout qu’elle n’était pas branchée à un moniteur. Je grimaçais doucement en regardant vers la porte et ne sachant que faire car je ne savais pas si c’était un signe de réveil ou non. Je regardais rapidement les gouttes d’antidouleur qui tombait en le réglant pour les intensifier un peu. Les réveils sont souvent plus douloureux. Je ne savais pas quoi faire, vraiment pas. Je faisais une moue en regardant rapidement vers elle et reculant. Je regardais à nouveau vers la porte, j’avais peur. Peur pour elle en fait mais aussi un peu pour moi car si elle sait ce que je sais ? Comment le prendrait-elle ? Je retournais vers son dossier en le lisant à nouveau. Il n’y avait rien du fait qu’elle soit une mutante enfin pas que je sache. Je soupirais doucement en le reposant et levant mon regard en posant les mains contre les barreaux du lit sans trop savoir quoi faire. Je levais le regard vers le plafond en allant vers la fenêtre qui donnait une vue sur l’extérieur de l’hôpital. Il pleuvait à torrent. Je n’aimais pas trop ça. Je n’avais jamais aimée ça en fait. J’adorais le soleil et seulement le soleil. Je n’y pouvais rien, j’étais ainsi. J’avais besoin de soleil. Je faisais une moue en me demandant s’il fallait que je réveille cette jeune femme ou non. Je baissais doucement le regard en inspirant légèrement. « Qu’est-ce que tu vas faire Pandorà ? », soufflais-je pour moi-même en ne sachant pas vraiment quoi faire. J’inspirais doucement en penchant la tête.  Merde, il fallait que je fasse un truc. Mais j’hésitais tellement. J’avais la main qui tremblait légèrement en voyant même mon résident pas loin mais il n’aimait pas du tout les transmutants. Il en avait horreur car je le savais, c’est mon fiancé, je ne peux que le savoir puisque c’est aussi un hunter. Je ne savais que faire. Vraiment pas. J’avais peur qu’il ne vienne et se retrouve à savoir ce qui se passe chez cette jeune femme. J’hésitais réellement à la réveiller. C’est un peu sur le coup d’une hésitation que j’approchais du lit, définitivement certaine ou si peu. Je posais la main sur son épaule, la trémoussant avec délicatesse, vraiment beaucoup. Je suis une personne tendre qui ne ferait même pas de mal à une mouche donc. Je souriais doucement. « Rayan ! », soufflais-je doucement. Utiliser le prénom de la personne m’aidait à me sentir un peu plus humaine avec les patients. C’était un mal mais c’était bien mieux pour ma spécialisation surtout que voilà enfin c’était comme ça et bien que l’on m’engueule souvent pour me lier d’amitié avec certains patients. Je m’en fichais. Je me sentais plus proche. « Réveillez-vous, je vous en supplie ! », demandais-je à nouveau sans savoir si elle était proche du réveil mais il fallait que je sache qui faire et que je puisse savoir comment l’aider. J’avais peur que ses ailes refassent encore une sortie pour nous faire coucou.
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