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 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.

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MessageSujet: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:38

Victoire Léopoldine Caesar
I'm the fear that keeps you awake
I'm the shadows on the wall
I'm the monsters they become
I'm the nightmare in your skull


time for telling tales on me
NOM : Caesar. PRÉNOMS : Victoire Leopoldine DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 14 avril 1968 à Paris ÂGE : 47 ans ORIGINES : Françaises NATIONALITÉ : FrançaiseSTATUT CIVIL : Mariée à Hippolyte Caesar et mère de famille MÉTIER : Pharmacienne, elle gère le business familial avec son mari, tout en prétendant lui laisser le commandement, quitte à passer pour la bonne femme au foyer. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle TRAITS DE CARACTÈRE : Manipulatrice, protectrice, intelligente, déterminée, hypocrite, ambitieuse, implacable, charismatique, écorchée vive, sans scrupule, violente, travailleuse.  AVATAR : Lena Headey. GROUPE : Hunter. CRÉDITS : écrire ici.
nothing left to say
001. Avec du temps et son éducation, Victoire a compris très vite que personne ne ferrait autant confiance à une femme qu'à un homme en matière de présidence d'entreprise. C'est pour cette raison qu'elle s'est très rapidement faite à l'idée de passer au dernier plan et de laisser les gens parler. Elle les écoute, analyse, et sait ainsi parfaitement rebondir pour influencer ce qui fut la boite de son père, mais qui est désormais son fief et celui de son époux. Rien ne lui échappe, de même que personne ne peut l'ignorer ou ignorer ses paroles. C'est un talent qu'elle a développé avec le temps et la pratique.  002.Les nombreux tatouages sur son corps ne sont que des pansements sur toutes les cicatrices laissées par son géniteur. Personne n'y fait attention, mais il suffit de bien observer pour voir la supercherie. 003. Il lui arrive encore dans la salle de bain, quand elle se prépare devant son miroir, de murmurer doucement les ignobles reproches et insultes qu'elle a entendus toute sa vie de la part de celui qui l'a éduqué. Elle entend aussi régulièrement sa voix dans sa tête, et c'est toujours pour être médisant. 004., Victoire met un point d'honneur a toujours être extrêmement compétente physiquement. Elle use de deux à trois punching-balls par, multiplie les pompes, et petits exercices de musculation très régulièrement. Mais sa préférence reste de s'entraîner au combat avec Hippolyte. Victoire n'est plus toute jeune, et elle sait que pour rester en force, et regardable, elle doit multiplier ses efforts. Il suffit qu'elle se déshabille pour qu'on comprenne que Victoire est loin d'être la mondaine chétive que tout le monde pense.   005. Le visage qu'elle montre à la société et celui qu'elle a avec ses proches, et plus particulièrement son mari, sont diamétralement opposés. Il suffit de regarder ses hobbies pour s'en rendre compte: Sa collection de DvD se traduit par un nombre incalculable de films sirupeux pour ménagères, d'histoires d'amour discutables et de comédies pataudes, mais si l'on regarde derrière, on peut voir une hallucinante collection de polar, film d'horreur, d'épouvante, et thrillers à sang froid, et il en va de même pour sa bibliothèque. 006. Les armes a feu n'ont jamais été ses favorites, même si son père a toujours insisté pour qu'elle s'y entraîne quand elle fut très jeune. Si beaucoup de gens pouvaient estimer que son doctorat en pharmacie ne sert à rien, les hunters comprendront vite le contraire en voyant son arsenal de poison d'une qualité rare. Un habile mélange des poisons et armes blanches est très rapidement devenu sa signature et ses objets de prédilection. 007. Protectrice acharnée, peu de gens, pas même ses proches ne peuvent savoir un dixième de ce qu'elle est capable de faire pour son mari et ses fils. Personne ne pourra leur faire du mal sans qu'elle ne réplique au centuple. 008. Malgré son doctorat en pharmacie, peu de personnes savent que c'est une femme qui travaille jour et nuit au bon fonctionnement de l'entreprise de feu son père. Hippolyte ne prend aucune décision sans elle, c'est devenu une habitude. 009. Loin d'être une mélomane, Victoire apprécie pourtant tout particulièrement la musique, et plus principalement, quand son fils joue du violon. Si elle n'a pas pu choisir sa voie, elle aurait voulu que Martial suive la sienne, mais Hippolyte a eu le dernier mot sur cette situation. Elle est néanmoins contente qu'il continue d'en jouer, tout comme elle regarde de loin Marius faire un métier plus discutable. Mais c'est sa voie, et si il est heureux comme ça, elle ne voit pas pourquoi ils devraient y redire quelque chose, contrairement à son mari. C'est d'ailleurs un des rares sujets sur lesquels ils ne seront jamais d'accord. 010. Victoire parle peu. Mais quand elle parle, quiconque ne l'écoute pas le regrette très vite. La chasseuse est un roc, une montagne, qui sait terrifier et se faire obéir quand elle en a besoin. C'est une partie d'elle qu'elle montre peu à cause de son masque de femme superficielle, mais qui est indéniable. 011. Quand elle chasse, Victoire est méconnaissable. Casse-cou, violente, sadique, vive comme l'éclair, souriante, vivante, on dirait qu'elle sort de sa chrysalide à chaque fois.


Comment êtes-vous entré parmi les hunters ?
Précisément, je n'y suis pas entrée : j'y suis née. Mon père, Richard de Langlois, vient d'une grande famille de hunter, lesquels ont toujours prit avec une grande attention de transmettre leur sang et leur savoir à leurs enfants, pour faire les meilleurs chasseurs possible et d'endiguer la menace rapidement, efficacement, et discrètement. C'est un héritage qu'il faut protéger et chérir. C'est pour cela que je reçois l'arrivée de chasseurs du dimanche avec un haussement de sourcil peu convaincu. Comment de tels amateurs peuvent prétendre arriver, voir surpasser, des centaines d'années d'entrainement et de passation de pouvoir ? Plus qu'une aberration, c'est une insulte.

Avez-vous déjà effectué votre devoir de chasseur ?
Si j'ai tué ? Oh. Souvent.
Mon premier était à l'âge de dix-huit ans, je mentirais en disant qu'il m'a donné du fil à retordre, j'étais très entraînée, et le pauvre avait été une proie facile. Seul, isolé. J'ai connu bien plus compliqué après, mais j'ai toujours accompli mon devoir, sauf une fois, mais j'y reviendrais. Pour être sincère, je ne me sens jamais aussi bien que couverte de sang, avec mes fripes déchirées, contemplant mon ennemi mourant à mes pieds, avec le sentiment d'avoir protégé quelqu'un aujourd'hui. Loin, très loin de mes soirées avec mes robes hors de prix, le plus loin possible. Et si je peux chasser en famille, je suis la plus heureuse du monde.

Que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles nommé Uprising ?
à mi-chemin entre la mascarade et une énième rébellion qui ne mènera nulle part. Je ne suis nullement inquiétée, ni impressionnée, ni même concernée par la situation. S’ils se dressent sur mon chemin, ils subiront le même sort que les transmutants lambda. Je fais mon travail par conscience, parce que l'humanité a besoin de protection. S’ils veulent jouer les hippies, qu'ils fassent de l'écologie, du sauvetage de baleine, ou du recyclage, mais qu'ils ne commencent  pas à m'ennuyer avec leur sauvegarde du genre humain. Il y a des gens à protéger dans cette histoire et le travail est assez lourd sans avoir à subir de l'idéalisme mal placé.

Que pensez-vous des actions de Thaddeus Lancaster à la tête du Comté ?
Un allié de poids, même si son amateurisme me fait parfois mal au coeur. Je suis d'une famille conservatrice, pardonnez mon scepticisme quand des gens affirment prendre des mesures anti mutant alors qu'ils n'y connaissent au final pas grand-chose. Mais je regarde son évolution avec beaucoup d'attention, je suis prête à lui donner mon aide si il en ressent le besoin. Avoir lui en maire de la ville nous donne largement les pleins pouvoirs sur nos actions et nous empêchent de nous inquiéter de potentielles poursuites. Il serait parfait s’il acceptait juste de serrer encore la vis. Les ennemis sont nombreux et puissants, et il n'a pas l'air de le réaliser parfaitement.


Lich - Lich - presque 25

PAYS : Canada DISPONIBILITÉ : étant en plein déménagement, je dirais un petit 3/7 pour le moment (avec risque de ne pas avoir internet pendant quelque temps, mais j'ai des pirouettes pour régler ce soucis.)VOTRE AVIS SUR TH : Pour le moment j'aime beaucoup ! Il se passe beaucoup de choses, c'est assez dur de tout comprendre, tout le monde est super actif. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Ca fait un petit moment qu'Hippo me poke pour que je me ramène, mais il a eu l'argument qu'il fallait cette fois ! PERSONNAGE : scénario, de mes baybay Marius et Martial ! *tire la joue* VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? :  Aucune pour le moment UN DERNIER MOT ? : J'espère que ma maman vous conviendra, malgré les quelques libertés prises !




Dernière édition par Victoire Caesar le Lun 17 Aoû 2015 - 16:35, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:38

we're all stories in the end
just make it a good one


Les De Langlois sont une fière famille de chasseur depuis aussi longtemps que la menace existe. Fiers, disciplinés, robustes, forts, les ainés de la famille ont toujours su préserver ce qu'ils considèrent comme étant la noblesse de la chasse, pour sauvegarder la survie de l'humanité, en éliminant ceux qui pourraient la mettre en péril. Ils eurent différents travail, mais l'idée restait toujours d'être à l'abri du besoin ainsi ils pouvaient dépenser sans compter pour la chasse.

Richard de Langlois y a toujours cru, à ce qu'il considérait être une noble affaire et a été plus que zélé a l'idée de lui aussi pouvoir procréer pour que l'héritage de la famille se transmette sur une nouvelle génération. Il fut comblé quand il y parvint, jusqu'à, en apprenant également que sa femme était morte en couche, qu'il découvre avec horreur un fait imprévu: son héritier était une fille.

C'est ainsi que je vécus la première partie de ma vie. Bridée entre le rêve de grandeur d'une ancienne famille, et la médiocrité qu'attend une vie de femme au foyer. Il faudrait bien me marier pour perdurer le sang familial. Déjà que je ne donnerais jamais le nom des De Langlois, une fille trop intelligente ferait fuir les hommes, ne parlons pas d'une fille qui sait se battre, sans oublier une fille trop belle, qui pourrait effrayer les prétendants.

Je ne fus guère dans le besoin matériel, je dois lui accorder cela. Les jolies robes, les gouvernantes pour m'apprendre les bonnes manières, les soirées mondaines, j'en ai fait des quantités incalculables. Je me souviens avec amertume de mes prétendus amis à l'école qui me disaient que j'avais tellement de chance d'avoir tout ce que je voulais d'un seul claquement de doigts. Je devais me retenir de leur hurler qu'eux, au moins, ils n'avaient pas à regarder un mutant se faire torturer toute la nuit.

Si maintenant c'est pour moi une chose acquise, pendant ma prime jeunesse, j'eus beaucoup de mal avec la violence  gratuite dont mes oncles, mon père et mon grand-père faisaient preuve avec leur proie en pleine chasse. Ils avaient tous décidé que parce que j'étais une fille, je devais y être habituée plus vite, alors ils allaient chercher ensemble un mutant lambda, et le torturaient devant moi. Je fus très vite mise au courant sur la dangerosité des mutants. À force de rabâchage, lecture sur le sujet, ou tout simplement, de gifle si je n'avais pas assez bien compris. Mais assister à une torture, c'était déjà autre chose. Dés que j'essayai de tourner la tête, un de mes oncles ou mon père me forçaient à regarder en me prenant le crane entre leurs mains et m'ouvraient grand les yeux. Un jour, je me suis mise à pleurer, et mon père se mit dans une rage noire, clamant que si je n'étais pas assez forte pour subir ça, à quoi j'allais servir plus tard, mis à part d'être une poule pondeuse à prolétaire ?
Il me ressortit cet argument, cette fois-ci le premier jour de mon entrainement, à douze ans. Il m'avait cassé le bras en moins de temps qu'il ne m'en faut pour le dire, et me disait que si je pleurais pour ça, j'allais crever lors de ma première mission, et entacher ainsi toute la famille.

Je n'avais qu'un seul soutien, le fils d'une autre famille d'hunter. Michel. Michel était 4 ans plus jeunes que moi, et était la seule chose qui ressemblait à un ami pour moi, et la seule personne que mon père m'autoriser à approcher, mis à part les filles de riches qu'il me forçait à fréquenter et à aller aux soirées pyjama pour que je commence à connaître ce qui sera mon monde plus tard : les soirées mondaines où ragots et potins seront mes seules armes. La présence de mon ami, mon seul ami, était le seul endroit où je pouvais souffler, le seul qui voyait mes cicatrices, le seul qui sentait que ce que je subissais n'était pas normal, mais je ne l'ai jamais écoutée. Que voulez-vous faire à 12 ans, face à un père dont toute la haute société ne fait que vanter la gentillesse, le bon goût, et le talent pour gérer sa compagnie ? Si je détestais les soirées mondaines, au moins, je savais que pendant ces moments-là, j'étais à l'abri, il ne ferrait que de dire à quel point j'étais charmante, et qu'il était fier de moi. J'étais endoctrinée, mais pas assez pour ne pas savoir qu'il mentait.

À côté, j'avais une moyenne générale à atteindre absolument à l'école, mais surtout une à ne pas dépasser. Ce fut la première raison pour laquelle je me suis rebellée d'ailleurs. J'en avais marre de rester en arrière, je voulais briller, monter mes capacités. Mes résultats en athlétisme auraient pu me donner une chance pour toucher le podium dans des épreuves officielles, dût à l'entrainement sévère qu'il m'infligeait chaque jour. Et en travaillant tout le temps dès qu'il était l'heure d'aller me coucher, j'avais drastiquement augmenté ma moyenne générale, alors que je venais de rentrer au lycée. Je dois admettre que je ne vis pas le coup de poing qui me cloua au sol alors qu'il lut mes résultats. Il s'était toujours appliqué à ne jamais me toucher le visage ou des parties du corps visible, comme l'arrière de mon crâne : toujours caché par mes cheveux, mon dos ou mes jambes, voire les bras. Mais là j'allais me retrouver avec un beau bleu sur la joue, visible de tous, il cracha : "tu n'auras qu'à dire que tu es tombée par terre, tu es tellement maladroite..." "Je ne suis PAS maladroite !"
Mes mots étaient sortis tout seuls avant que je n'esquive un nouveau coup. Je ne dus pas le croiser les jours suivants, mais il redoubla de sévérité avec moi, une femme qui réponds ne se trouverait jamais un homme, qu'il disait. C'est à ce moment-là que je compris que mon père ne m'aimerait jamais. J'aurais dût le comprendre plus tôt, mais j'étais persuadée qu'en faisant tout ce qu'il souhaiterait, un jour, j'aurais une parole de reconnaissance. Être capable de me battre avec les yeux bandés, faire des saltos arrière à la demande, connaître sur le bout des doigts toutes les meilleures techniques pour faire souffrir quelqu'un. Savoir me défendre contre des dizaines d'hommes armés jusqu'aux dents. Maitriser parfaitement l'épée, la dague, les armes de jet, tout en étant une virtuose du fusil à pompe. Rien n'y fit. Mon père me verrait éternellement comme une moins que rien, et toutes les prières qu'il avait faites pour qu'un jour je me réveille comme étant un garçon ne se réalisèrent jamais.

Deux ans plus tard, je rencontrai Alexandre. Alexandre n'a jamais rien su de ma vraie personnalité. Je l'avais choisi... je ne sais pas très bien pourquoi moi-même en vérité. Je crois qu'il était naturellement gentil, et j'avais besoin de ça, de cette idée illusoire qu'il m'aimait. Je savais que c'était parfaitement faux, il s'était attaché à une image de moi, mais pas à ce que j'étais réellement. Avant que je ne comprenne comment, les instructions de mon père sur sa vision de la femme niaise et dévouée, si parfaite, arrivèrent à mon cerveau. Je me détestais pour ça, mais me sentit incapable d'aller contre cette éducation qui m'avait été infligée à grand coup de gifle et d'horreur témoignées et infligée. Je commençais mon travail de chasseuse alors que je rentrais à l'université, après avoir eu une mention au bac, mais surtout pas la mention très bien, et qu'Alexandre s'était entiché de moi rapidement. Mon père était ravi, Alexandre était riche, d'une famille respectable, mais surtout très peu futé, assez pour que je puisse le manipuler plus tard. N'ayant eu que très peu de rapports avec d'autres hommes, je pense que je finis aussi par tomber amoureuse de lui. Que ne fut pas ma détresse d'avoir découvert qu'il était un mutant.

Tout mon être me disait que je devais le tuer, et ma conscience ne me dit pas le contraire. J'abattis donc mon premier fiancé à 19 ans, sans comprendre pourquoi je me mis à pleurer sur le coup. Ma tristesse dura des jours, durant lesquelles je ne bougeai pas de chez moi. Je n'avais plus pleuré depuis mes 12 ans, et ce fut l'ultime fois où cela m'arriva. Je me jurai de ne plus m'attacher à quelqu'un de cette façon, alors que je savais très bien que si Alexandre avait vu un semblant de ce que j'étais, son affection pour moi aurait fondu comme neige au soleil. J'étais persuadée que j'allais y arriver, mon deuil était fini, et j'étais fin prête à reprendre ma vie à l'université et mon travail de chasseuse, à devenir ce que mon père voulait que je sois, vu que c'était la seule chose dont je semblais capable.

Et quelle ne fut pas ma surprise de voir un certain Hippolyte Caesar -le seul moyen d'être plus cliché aurait été de s'appeler Jesus Seigneur ou Caligula Tyran- s'approcher de moi en roulant des mécaniques. J'avais manipulé des gens toute ma vie, j'étais née pour ça, depuis toute gosse j'avais été forcée de lire tous les bouquins de sociologie et psychologie possible pour développer cet art. J'étais imbattable, alors je le vis arriver gros comme une maison, cet employé de mon père aux dents longues qui sentait celui qui voulait être calife à la place du calife. Il était ni le premier ni le dernier à tenter sa chance pour choper la fille du patron et régner sur l'empire, mais celui-là avait quelque chose en plus : l'intelligence, le talent, et surtout il n’était pas méchant à regarder. Alors je retournai l'arme contre lui, et nous avons joué au même jeu pendant des mois. Et je ne saurais pas expliquer pourquoi nous avons baissé les armes, et surtout pas pourquoi nous avons fini par tomber amoureux. Je crois que c'est arrivé plus tôt que nous le pensons, mais je n'ai jamais été aussi heureuse de voir mon père furieux de voir que je lui ai ramené un fils de rien à la maison. Hippolyte était un élément trop important pour lui, pour le mettre à la porte, alors il laissa faire, à condition que je ne me marie pas sur le champ. Dommage pour lui, je terminais mon doctorat, enceinte jusqu'aux yeux, et de jumeau de surcroit. Il me fallut quelques années de plus pour avoir une parfaite confiance en Hippolyte, mais j'avais abattu toutes mes cartes devant lui, lui avait montré qui j'étais, et il m'avait montré la même chose. C'était pour cette raison que je n'eus pas l'ombre d'une peur quand je lui parlai de chasse, et j'eus raison, car il me crut, et qu'il fut très désireux d'en apprendre plus. Je lui ai donc apprit tout ce que je savais de la chasse, des mutants, et assez pour qu'il puisse se défendre, traquer, et abattre.

Nous n'étions pas le couple le plus démonstratif du monde, et cela me mettait plus à l'aise qu'avec Alexandre, avec lequel j'étais incapable de répondre à toutes les déclarations qu'il m'offrait. La complicité que nous avons développée surpasse de très loin ce que j'avais imaginé pouvoir créer avec un être humain. Je n'étais plus une machine, j'étais une femme. Et désormais une mère.

Je n'avais jamais vraiment compris cette histoire d'instinct maternel. Ma mère était morte en couche, et mon père, dont le jeu préféré était de me suspendre au-dessus du vide pour x raisons, n'était guère un bon exemple. Mais voir mes jumeaux pour la première fois me transforma. Je débordais d'amour pour eux, et j'étais prête à faire n'importe quoi pour les protéger. J'ignorais que l'on pouvait ressentir ça, mais cela me fit un bien fou. Sauf quand mon père se réinvita à mon bon souvenir. Il ne m'avait pas eu tout jeune, et je soupçonne que son manque d'enfant soit dût à une impotence particulière. Il finit par contracter un cancer fulgurant, et avec beaucoup d'aprioris, je me déplaçai jusqu'à son lit de mort, piteuse. Je savais que j'étais incapable de me détacher de son emprise. Je regrettai mon geste quand il me dit en souriant tendrement qu'il était heureux que j'eut des fils. Ainsi il n'avait pas totalement raté sa vie avec moi.

Je jouai la fille éplorée le jour de ses funérailles. Mais quand on me laissa seule avec sa tombe, je n'ai jamais autant regretté d'être une femme. Si j'avais été un homme, j'aurais pu lui pisser dessus. Je me contentai d'y cracher, loin des regards indiscrets. Portée par la colère, la haine et la frustration. Frustration car je savais qu'il avait totalement réussi ce qu'il avait entrepris avec moi. J'étais une machine à tuer la nuit, et une femme superficielle et ridicule la journée, semblant ne rien faire de son diplôme. Je le détestai, presque autant que je me déteste de n'avoir jamais pu lutter contre des années d'endoctrinement. Mes tatouages sur mes cicatrices ne sont que des pansements sur une jambe de bois : inutiles. Mon père a pénétré mon cerveau et y a implanté toutes les données possibles.

Et je l'ai détesté encore plus quand je découvris les premières étrangetés de Marius. Je n'ai pas voulu les voir, j'ai cru que c'était la folie, la paranoïa. Je me suis voilé la face des années durant, voulant me persuader que jamais mon fils ne serait comme ça. Martial et lui étaient inséparables, je les surveillais tout le temps tout en aidant Hippolyte à gérer l'affaire de mon père. Alors que mes enfants avaient six ans, mon mari n'était pas à la maison, et c'est la mort dans l'âme que j'ai compris que je devais le faire, maintenant, tout de suite. Je devais tuer Marius, mon fils, un être humain que j'avais enfanté dans la douleur, et que j'aimais avec une rage rarement vue. Je voulais que ça soit rapide, sans douleur. Mais je n'arrivais jamais à me décider. Je ne pouvais pas l'étouffer dans son sommeil, le noyer dans son bain, le frapper derrière la nuque en jouant avec lui. C'est en le serrant fort dans mes bras, sur un balcon de notre appartement que j'eut cette soudaine pulsion. Celle de le jeter. Je le regrettai sur le champ, et sauta à mon tour pour aller le chercher, avec une agilité et une habilité qu'une femme de mon rang n'était pas sensée avoir. Je le récupérai, partagée entre deux émotions violentes, semblables, et pourtant drastiquement différentes : "mon fils est vivant, le ciel soit loué" ainsi que "Mon fils est vivant, il va souffrir toute sa vie, et plus jamais je ne m'autoriserai à faire une chose pareille." J'appelai les secours sous l'œil béat et traumatisé de son frère. Je savais que Martial avait tout vu, et je savais qu'il ne l'oublierait jamais. Moi aussi j'avais vu des choses horribles à son âge, et je sais qu'on ne les oublie jamais, surtout quand c'est notre propre parent qui s'en charge.
Je passai le reste de la soirée à m'insulter devant mon miroir, prenant la voix de mon père qui disait que j'étais une chasseuse de pacotille, et une mère miteuse. J'avais déjà osé enfanté d'un monstre, et maintenant j'étais incapable de le tuer.
J'aurais souhaité être incapable de le tuer, cela ne m'aurait jamais posé problème d'être aussi proche de lui qu'avant. Mais je refusais de me faire confiance. Si j'avais eu cette pulsion, je pouvais en avoir d'autres, le pouvoir de ce que mon père avait fait de moi était trop puissant. Pour épargner Marius, je m'éloignai de lui.


Je savais qu'il allait souffrir. Je l'ai vu grandir en subissant les remontrances de son père, apprenant sans cesse qu'il était un raté et une déception. Marius n'a jamais su que j'avais vécu la même chose, et que j'étais plus que compréhensive de sa souffrance. Mais j'étais incapable d'agir, de me rapprocher, de le consoler, même si ce n'était pas l'envie qui m'en manquait. Parfois j'osais franchir le seuil de sa chambre alors qu'il dormait, avec la ferme intention de le border. j'avais besoin de cette proximité, c'était mon fils, je l'aimais, et je l'aimerai toujours. Mais je ne pouvais pas l'approcher de trop près. Je savais que je pouvais commettre  à nouveau l'irréparable. Ce fut Martial qui subit mon affection maternelle pour deux. Je culpabilisais beaucoup d'être aussi proche de lui, déjà parce que Marius en souffrait, et également parce que dés qu'il me regardait, je savais qu'il se souvenait de ce que j'avais fait à son frère. Je subis ce regard toute ma vie sans broncher, je le méritais. Et si je devais être détestée pour veiller sur mes enfants, je pouvais le supporter, tant que je savais qu'ils étaient à l'abri.

Marius s'est révélé être insupportable, mais j'ignorais qu'il allait vraiment tout faire pour avoir un semblant de mon attention. Moi qui aurais tué pour que mon père me fiche la paix une pauvre heure, je me retrouvais avec un fils qui cassait, hurlait, volait, juste devant moi, en me jetant des regards à mi-chemin entre le défi et le désespoir. J'étais forgée pour être une coquille vide en apparence, et jamais je ne lui donnais ce qu'il voulait. J'espérais qu'il s'éloigne de moi rapidement, je voulais qu'il se protège, et j'étais incapable de lui dire que je faisais ça pour son bien. Je voyais mon autre fils se diriger vers le violon, et je ne pouvais que l'encourager, alors que l'autre se dirigeait vers le sport. Hippolyte s'en arrachait les cheveux, moi je ne trouvais rien à dire, pour l'un comme pour l'autre, nous n'avions pas le même regard sur la réussite, mais j'étais ravie de voir que mes fils avaient des passions bien à eux. Bien sûr, j'aurais préféré que Marius ne développe pas une cleptomanie aiguë, mais entre ça et le fait qu'il soit mutant, mon choix été vite fait. Manque de chance pour moi, il était les deux. Et je sais que c'était en grande partie de ma faute. Les internats loin de son frère, les vacances séparées, c'est la seule chose que j'ai trouvée pour tenter vainement de faire quelque chose, mais c'était inutile. J'étais un peu jalouse de la verve de mon fils, j'aurais aimé avoir la mienne fasse à mon père. Mes rebellions que je trouvais très courageuses à l'époque n'étaient que du vent face aux siennes.

En suivant la logique de ma famille, c'est Martial qui fut choisi pour prendre le flambeau des chasseurs. Mais de toute façon, je l'aurais jamais pu confier la tâche à Marius. Hippolyte et moi avions tout mit nos espoirs dans notre ainé, mais je détestais être si fière de lui quand il se montra si doué. J'étais devenue comme mon père, et je ne pouvais l'accepter. J'ai tenté de faire sa transition en douceur, avec beaucoup d'application, mais comment voulez-vous être doux quand on parle d'assassiner des gens ? Je sais qu'il l'a mal vécu, mais que mon père fut un parfait salaud n'y change rien, il faut protéger les humains et purger les mutants. Hippolyte était bien plus zélé que moi à l'idée de forger son fils, mais nous étions en tandem pour nous occuper de lui. Ma fierté de mère et de chasseuse était beaucoup plus forte que la culpabilité d'infliger cela à mon fils. Et elle l'est encore. Mes enfants grandissaient, et je ne pouvais pas les protéger de cette façon.

C'est donc pour cela que j'embauchai Michel pour veiller sur Marius. Il était le plus sujet au danger, et je voulais lui offrir ce qu'il y avait de mieux. J'entendais mon père hurler à la mort dans ma tête : confier un mutant à un hunter, cela méritait tous les supplices du monde pour ma famille. Michel me comprit, lui. Et il accepta le rôle avec plaisir, sans même me demander pourquoi je protégeais un mutant, moi qui arguais sans cesse qu'il fallait tous les tuer. Je m'occupai bien évidemment de confier Marital à quelqu'un de compétent également. Hippolyte et moi n'avions pas la meilleure réputation du monde, et je soupçonnais que quelqu'un pouvait s'attaquer à ma famille par simple but de nous faire vaciller. On pouvait s'attaquer à moi sans l'ombre d'un problème, mais toucher à un cheveu de mes enfants ou de mon mari, c'était inenvisageable, et je me savais prête à faire n'importe quoi pour eux.

Et c'est précisément ce que j'ai fait. Malaria. Le fait d'y penser est même prohibé sous notre toit. Hippolyte a très mal vécu le scandale qui a tourné autour de la compagnie, et donc autour de la famille. Nous étions tout les deux responsables de ce désastre, et j'ai fait jouer de mon talent pour tenter d'étouffer l'affaire de mon mieux. Cela eut de l'effet, mais pas autant que je l'aurais voulu. Des centaines de décès ne peuvent pas passer inaperçu et encore moins aux yeux des familles qui hurlaient à qui l'entendait que nous étions les responsables. Hippolyte était tout aussi abattu que moi par toute cette histoire, nous avons perdu beaucoup, mais nous avons une nouvelle fois travaillé de concert pour sauver ce qui était encore possible de l'être. La fuite organisée vers les USA était une bonne stratégie, nous n'étions plus à ça près pour survivre après un crash pareil.
Il fallait tout délocaliser et reconstruire, changer de plan stratégique et faire attention à ne plus subir ce genre de défaite. Mon époux mettait du cœur à l'ouvrage, alors que j'ai recommencé à jouer de mon talent de persuasion et de manipulation pour asseoir notre patte dans ce nouvel endroit. Ce fut plus facile que je ne le crus, mais les Américains ont une vision bien différente de la nôtre. Notre cachet familial n'avait aucune importance ici, de même que notre passé, nous étions là, et nous avions tout à refaire. Je foulais ainsi des traditions familiales françaises centenaires, mais si je ne pouvais nier mon sang et ce qu'il avait fait de moi, j'avais encore la satisfaction pathétique de pouvoir faire ce que je voulais avec ce qu'il restait de son travail.

Notre complicité avec Hippolyte n'en fut que renforcée après cette dure épreuve, et c'est plus proche que jamais que nous avions décidé d'affronter plus durement les mutants d'ici, bien plus nombreux qu'à Paris et ses environs. Et c'est alors que Martial choisit la voie du droit, à la plus grande joie de son père. Je le soutenais également dans cette épreuve, mais je le savais déçu de laisser ses rêves de violons derrière lui. Je l'encourageais à continuer, ce serait-ce que pour le plaisir. Il avait du talent, tous ses professeurs lui avaient dit, et il serait stupide de le nier. J'aurais aimé qu'il en fasse son métier, mais mon pragmatisme me disait que c'était surement mieux pour lui. Je ne dis rien, une nouvelle fois, quand Marius partit en claquant la porte, privé de tout frais par Hippolyte, alors qu'il nous annonçait son plan de carrière.


Pourtant, j'étais contente pour lui. Sincèrement. Je me reconnaissais terriblement dans cet enfant, il avait eu le courage que je n'ai jamais eu, celui d'avoir osé dire non. Je ne peux pas me mettre à sa place, notre vie a été différente, et je ne peux nier qu'il y a tout de même une déception à entacher notre beau pédigrée. Mais la gamine que j'étais, celle qui subissait des claques, coups de ceintures et autres sans broncher, celle qui n'a que très rarement haussé la voix, celle qui voulait briller par elle-même, montrer des capacités, développé sa propre voie, celle qui a été étouffée dans l'œuf, elle, elle lui dit bravo, et merci.
À vrai dire, mes deux fils me ressemblent à leur façon. On n’apprend pas au vieux singe à faire la grimace, et je vois bien que Martial a prit mon habitude de mentir et manipuler. C'est probablement sa seule défense, et aussi bien, je ne le relève pas, et je le laisse me dissimuler ce qu'il veut bien. La mutation de son frère, probablement. Il me suffirait de le travailler pour en savoir plus, mais je ne veux pas. Si je dois le faire tous les jours, j'aimerais laisser ma famille et mes enfants en dehors de cela.

Alors quand Hippolyte vint me voir, déboussolé et perdu, me parlant de la fiancée de mon ainé, une mutante, je fus aussi dévasté que lui. Je m'opposai à la vaccination, par habitude, par principe, parce que je refusais de faire une chose pareille. Mais Hippolyte me supplia de le laisser faire, juste pour cette fois. Cette jeune fille rendait véritablement notre fils heureux, je comprenais, et malgré tout mon instinct de chasseur, je finis par céder. Je n'en dormis pas, la voix de mon père m'insulta pendant des jours. Mais Martial était amoureux, et moi-même, j'avais perdu Alexandre. Avec le recul, il aurait probablement disparu de ma vie dès qu'Hippolyte y serait rentré, mais je ne pouvais pas oublier la douleur, et j'aurais aimé qu'on m'épargne tout cela.
Hippolyte s'exécuta donc, sachant très bien que je ne pouvais pas participer à cela. Je le vis rentré encore plus mal qu'avant, et il ne fut pas lent à me dire la vérité. Cette jeune femme, Lexie, portait un enfant, et le vaccin lui prit la vie. Lexie, elle s'était enfuie.
Il n'y avait pas de mot pour dire ce que je ressentais à l'instant. Si ce n'est qu'Hippolyte était d'accord pour dire que j'avais raison. Mon père dans mon crâne en fut ravi, moi mon esprit s'est éteint un moment. Je ne savais plus quoi faire, je ne savais même pas si j'étais contente d'avoir eu raison.


Que mes fils me ressemblent ou pas, je sais qu'ils ne me portent pas dans leur cœur, et si une partie de moi en souffre, je fais volontiers ce sacrifice. Ils sont la seule chose que je défendrais encore bec et ongle, loin de leur regard, dans l'ombre, armée jusqu'aux dents. Je ne peux plus rien faire pour moi. Je n'ai jamais été capable d'affronter mon sang, je n'ai pas eu les armes pour me défendre contre l'endoctrinement. Je suis pour la race humaine, et empilerait jusqu'au ciel les corps sans vie des mutants qui me croiseront, sans l'ombre d'un regret, juste à côté de la pile de ceux qui toucheront à ma famille. Si je dois passer pour une femme superficielle pour mieux leur arracher la nuque, je le ferrai. La seule chose qui sera dure pour moi, c'est de protéger ma famille contre moi-même.


Dernière édition par Victoire Caesar le Lun 17 Aoû 2015 - 16:50, édité 1 fois
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Seth Koraha
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:44

La mamaaaa Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 921491218
Depuis le temps que ta famille t'attendait, et qu'Hippo nous tease sur ton arrivée Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2765873474 Bienvenue dear O3O/
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Hippolyte Caesar
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:45

Mi amoooooooooooooooooooooor !!! Moon of my life ! (Bon ok c'est plutôt Lazz qui a le droit de dire ça...) Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 921491218 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3167136188 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2636227509 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2497508888

Tu sais déjà que je t'aime de tout mon petit coeur et que je te ferai plein d'autres baybayyyyyys !! #love #poney Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 422354165

Et pour avoir déjà lu ta fiche, j'aime ton interprétation de Victoire, tu as du la rendre plus attachante et humaine que je l'imaginais, et ça c'est cool ! I love you

Tu vas voir, on se plaît bien ici, les gens sont extra et un peu fou, et y a de rp de fifous à faire ! 8D

Des bisous sur tes fesses, de l'amour dans ta vie, on va roxxer du poney et être le couple le plus shiny et awesome de la planète ! Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 222075304

Ps : J'espère que les fistons seront d'accord avec moi... Sinon : Privés de dessert ce soir ! Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3865114578


Dernière édition par Hippolyte Caesar le Lun 17 Aoû 2015 - 0:31, édité 1 fois
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Lorcan Wolstenholme
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:46

Haaaaaan une autre maman ! Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 222075304 Pourquoi elles font toutes peur les mamans par ici ? Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3991503307
Bienvenue parmi nous, super choix de scéna Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2765873474
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:50

La famille Caesar au complet, c'est le flip ultime des mutants du coin Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2636227509
Bienvenue la plus belle :keur:
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Marius Caesar
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:58

MA MAMAAAAAN Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3167136188 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 921491218 La plus belle des Maman **

J'aiiiime beaucoup ta fiche et ton interprétation de la Madre est juste Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2636227509 elle est parfaite ce môman **
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeDim 16 Aoû 2015 - 23:59

bienvenue ma belle maman adorée ( ou pas Arrow ) I love you
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Calista Wolstenholme
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeLun 17 Aoû 2015 - 0:03

Lena la plus belle des vilaines reines qu'on déteste facilement Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2497508888
Bienvenue sur le forum I love you Bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 921491218
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Faith Cunningham
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeLun 17 Aoû 2015 - 0:06

Lena Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 243543726 cette actrice possède un charme fou ! Bienvenue Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 243543726
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Alec Lynch
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeLun 17 Aoû 2015 - 0:39

lena Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 1134108285 bienvenuuuuuue Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 1838896285 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2675131757
bonne chance pour la suite Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2605979431
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeLun 17 Aoû 2015 - 3:19

Ohhhh, moman Caesar. Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 222075304
BIENVENUUUUE! Super choix de scénario. Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3589615265
Courage pour ta fichette. Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 1091897475 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3753776951
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeLun 17 Aoû 2015 - 3:55

Merci à tous pour les bienvenues, ça réchauffe mon cœur tout en nougat Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 243543726 (je crois.)

Je suis vraiment contente de passer le pas et j'espère que ma version du scénario vous plaira Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2558279357 (Mais non j'étais pas stressée à l'idée de poster ma fiche, quelle idée... *respire dans un sac en papier* )

*Va faire des bébé à son mari et tire la joue de Marius au passage*
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Ezekiel Blackwell
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeLun 17 Aoû 2015 - 11:56

LENA Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 2636227509 :aw: Elle colle si bien à ce personnage ! Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 475114356
Bienvenue parmi nous, enfin une Mama pour imposer le respect parmi tous les papas Hunters #girlpower #ouaisditavecezekielc'estbizarre Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 222075304 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 978894179 Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 978894179

I love you I love you I love you
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Joren Holgersen
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MessageSujet: Re: Victoire Caesar - Family. Duty. Honor.   Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. Icon_minitimeLun 17 Aoû 2015 - 13:52

Avant de valider il me faudra l'avis du reste de la famille bien entendu Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 243543726

Mais aussi, je vais te demander de corriger les fautes, notamment dans les conjugaisons à la première personne du singulier, que ce soit au passé simple ou à l'imparfait, on ne termine pas les verbes en "a" I love you  c'est "ais" pour l’imparfait et "ai" pour le passé simple du premier groupe  Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3013803170 Il y a aussi pas mal de "er" à des verbes qui devraient être accordés en "é" Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 243543726 Merci de revoir ça Victoire Caesar - Family. Duty. Honor. 3013803170
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