|
| (M/LIBRE) AARON TVEIT ≈ only god forgives. | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: (M/LIBRE) AARON TVEIT ≈ only god forgives. Mer 6 Mai 2015 - 22:26 | |
| jack abraham keeler there will be blood in the water, and the sharks will come NOM : keeler. papa ne tardera pas à claquer, et il sera bientôt le dernier du nom. PRÉNOMS : jack, abraham. prénoms américains, prénoms classiques. sa famille n'a jamais cherché à faire particulièrement dans l'original. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix, dans l'année mille neuf cent quatre vingt deux, quelque part aux états-unis. ÂGE : trente-trois ans. ORIGINES : américain. très lointainement danois. il le sait parce que papa conservait l'arbre généalogique de la famille. mais ça remonte au moins à fin 1800. NATIONALITÉ : américain. STATUT CIVIL : au choix. mais je le vois mal avoir une relation stable et durable. ou alors, elle aurait fini par se briser, ce qui est tout à fait plausible. MÉTIER : au choix. mais pareil, je vois difficilement quelque chose de très stables. des contrats de plusieurs mois, par-ci par-là. au plus long, un ou deux ans, mais jamais plus au même endroit. ORIENTATION SEXUELLE : au choix. il peut être hétérosexuel, ou homosexuel (ou même bi si ça vous chante). une attirance pour les hommes expliquerait en un sens sa peur latente de décevoir son père, et son envie de prouver qu'il vaut beaucoup mieux que tout ce qu'on pourrait penser de lui. TRAITS DE CARACTÈRE : rancunier, vindicatif, extrême, violent, intelligent, manipulateur, instable, brisé, prêt à tout pour arriver à ses fins, loyal, torturé, obsédé par ses objectifs lorsqu'il s'en est fixé, consciencieux, réfléchi, rarement impulsif, sauf quand ça touche à son feu frère, calculateur, téméraire, crédule, il se raccroche toujours à quelque grande valeur pour justifier ses actes, ou tenter de ne pas perdre pied. AVATAR : aaron tveit. CRÉDITS : pixshark (bannière) & gentle heart (avatar). | PROTECT THOSE WHO FEAR THEM nothing left to say ≈ 001. jack est né dans une famille modeste, aux états-unis. il n'a que quelques minutes d'écart avec son véritable jumeau, ethan. ethan était l'aîné. s'ils ne sont pas nés à new york, ils y ont du moins emménagé au courant de leur enfance. ≈ 002. les garçons ont toujours été très proches, et n'ont jamais manqué de rien. leur père a toujours été sévère avec eux, et ils ont toujours ressenti un besoin maladif de le rendre fier. ce besoin qui a conduit ethan à sa perte, et qui perdra probablement jack, un jour aussi. ≈ 003. ils ont été élevés dans l'optique qu'il fallait détester les mutants, mais n'ont jamais réellement compris ce qu'ils avaient fait de mal. leur père leur a expliqué que leur arrière-grand-père était mort à cause d'un mutant, mais l'innocence des jumeaux leur a toujours fait voir ça comme un accident. ≈ 004. ils ont progressivement été entraînés pour être des tueurs de mutants, mais n'étaient pas bien efficaces, sûrement à cause de leur hésitation à les considérer comme mauvais. ils n'ont pas tué de mutants avant la moitié de leur vingtaine. jack, à tout le moins. ethan, lui, n'a jamais eu l'occasion d'en tuer aucun. endoctrinés, peut-être, mais pas stupides pour autant. ≈ 005. pourtant, le désir de satisfaire l'ego de leur père a fini par perdre ethan. ethan, considéré comme trop faible par son paternel. un paternel qui remettait toujours en doute sa capacité à détester convenablement les mutants, et à être capable de leur faire la peau. un jour, à la suite d'une très grosse dispute, ethan est parti, bien décidé à trouver un mutant et à le tuer. il a sillonné new york pendant deux jours, avant d'enfin tomber sur un dégénéré, qu'il a vu exercer son don sous ses yeux. il l'a pris en chasse, et a tenté de le tuer. il ignorait cependant que le mutant était en proie à une maladie psychologique, qui l'a poussé à tomber dans une ultraviolence qui a coûté la vie à ethan, à seulement vingt-cinq ans. (voir extrait de ma fiche, avec la description du lien) ≈ 006. jack s'est senti incroyablement coupable de la mort de son frère. il en a été complètement brisé, et s'est reproché de ne pas avoir été avec lui, de ne pas avoir tenté de le retrouver. son père l'a alors traité de faible, de déshonorant. un lâche qui ne faisait rien pour venger son jumeau, et qui se contentait de pleurnicher. ≈ 007. piqué au vif, et conscient que culpabiliser n'arrangerait rien, il a décidé de rejeter la faute sur le principal responsable de la mort d'ethan : le mutant qui lui a pris la vie. il a trouvé une véritable raison à vouer de la haine aux dégénérés, et il s'est mis à tuer. tuer des gens sans grand intérêt pour lui. son objectif, c'est lockhart. ≈ 008. après avoir mené sa petite enquête, il a réussi à obtenir une photo de l'agresseur de son frère. mais il n'a pas de nom. alors, il cherche. il a vagabondé durant des années, essayant de remonter la piste de lockhart, brandissant la petite photo qu'il avait à tout va. il a tenté de faire sa vie, par-ci par-là. mais rien n'a plus d'importance à ses yeux que de retrouver le meurtrier d'ethan. ≈ 009. il a coupé les ponts avec son père, le temps de retrouver l'assassin d'ethan. le temps de lui prouver ce qu'il vaut. rendu vivant par son désir de vengeance, animé par le peu qu'il a. poussé aux limites de la raison, le pas à franchir pour tomber dans la folie est si mince qu'il ne se rendra probablement pas compte s'il le fait, un jour. ≈ 010. à louisville, très récemment, il croise quelqu'un qui a l'air de se souvenir de l'homme de la photo. des doutes, certes. de gros doutes. mais il lui dit qu'il est parti. vivre pas très loin, dans ses souvenirs. de tous petits pas qui, au fur et à mesure, vont le pousser à venir emménager à radcliff, dans ce rassurant repère de hunters. pour continuer ses recherches. sans se douter que, ça y est. il l'a trouvé. |
lockhart & jack il n'avait rien. rien, à part une brève description, un formulaire d'admission rempli à la va-vite et avec un faux-nom. il n'avait absolument rien, même après avoir interrogé des médecins ou des infirmiers, le seul témoin à l'avoir vu se traîner jusqu'au bout de la rue. un témoin qui n'avait pas vu le corps, étendu un peu plus loin. le corps d'ethan. ethan, qui n'était rien qu'un obstacle sur le chemin de ce meurtrier. ethan, qui ne faisait que son boulot. traquer les dégénérés, et les tuer. ethan n'avait rien d'un homme innocent, mais il ne méritait pas cette mort. il ne méritait pas ça. pas comme ça. ethan s'était disputé avec son père, et avait décidé de partir seul à la chasse au mutant. partir vagabonder dans new york, en solitaire, trouver une de ces abominations, et le descendre. son père ne le croyait pas assez fort pour venir à bout de quelqu'un malgré l'entraînement. pas assez impliqué dans la haine à vouer aux mutants. peut-être que c'était vrai, après tout. les jumeaux n'avaient jamais vraiment compris les raisons pour lesquelles ils devaient impérativement détester ceux qui étaient si différents. ils avaient suivi la voie familiale sans se poser de questions, mais ils n'étaient pas si haineux que leur père. mais ils ne voulaient pas le décevoir. et ce soir-là, ethan était parti, et avait voulu tout mettre en oeuvre pour le rendre fier. tout ce qu'il avait réussi à faire, c'était tomber sur le mauvais cheval, et y laisser la vie. jack a senti la mort de son frère. il l'a sentie, du plus profond de ses entrailles, sans savoir de quoi il s'agissait, concrètement. il a senti que quelque chose n'allait pas. et il a voulu en avoir le coeur net. appeler ethan. une sonnerie de téléphone dans le vide, un petit appareil caché dans la veste d'un mort. une sonnerie stridente qui attire finalement quelqu'un, et cette personne crie, de toutes ses forces, d'horreur, avant d'appeler la police, sous le choc. et on a appelé les keeler. l'un de leurs fils retrouvé mort. le début de la fin. les premiers temps, jack s'est blâmé. il s'en voulait d'avoir laissé ethan partir seul. il s'en voulait vraiment. mais après une courte période, il s'est rendu compte que la culpabilité le mènerait droit dans la tombe, et lui ôterait toute fierté paternelle. alors, il a rejeté la faute sur le seul véritable responsable de la mort d'ethan : lockhart. un homme dont il ne connaît pas le nom, mais dont il a réussi à trouver le visage, avec le temps. il a voyagé, écumé le pays à sa recherche, présenté la photo. il est déterminé à le retrouver. le retrouver pour le tuer, oui. mais avant de le tuer, il prendra son temps. il rouvrira la plaie que son jumeau avait taillé dans le ventre de lockhart, et il le regardera saigner. il le regardera souffrir. avant de le tuer, il prendra tout le temps qu'il lui faut pour le torturer, et lui faire regretter d'avoir traversé un jour le cours de l'existence des keeler. - précisions :
vous l'aurez donc compris, jack veut la peau de lockhart, sans vraiment connaître son nom. tout ce qu'il a pu trouver, c'est une photo, qu'il garde précieusement sur lui, pour montrer tout autour de lui. il a réussi à se faufiler dans des réseaux d'informations, mais locki est discret. très discret. le gros problème de jack, c'est qu'il n'a pas son nom. et quand il aura son nom, il prendra son temps. pour se renseigner sur lui — car il ne connaît même pas son don, et refuse de se faire avoir comme son frère —, trouver tous ses points faibles. le détruire, psychologiquement, avant de le faire tomber physiquement. il prendra absolument tout le temps qu'il lui faudra pour ça. il a peur d'échouer. mais ça ne le rend que plus fort. pour que vous voyiez un peu mieux la mort d'ethan, voici l'extrait de ma fiche. le nom d'ethan n'y est pas cité, mais le vilain hunter qui s'en prend à locki, c'est bien lui. ≈ the hunting. J’ai vingt-sept ans, et je fuis. Je sais que je ne devrais pas faire ça, que ce n’est pas prudent. Mais il faut que je repasse chez moi. Pas le temps de décrocher toutes mes affiches, pas le temps d’enlever les étoiles au plafond. Mais je dois récupérer la photo d’Abi’ et moi, accrochée à côté de mon lit. Je dois récupérer les économies planquées sous mon matelas, et de quoi me tirer d’ici à grande vitesse. Il le faut. Je ne peux pas m’arrêter pour prendre un taxi. Il aurait le temps de me rattraper. Le temps de m’attraper. Je connais ce coin de la ville comme ma poche. Alors je cours. Tout ça parce qu’il a fallu que j’aie le réflexe d’aider quelqu’un. Tout ça parce que la mauvaise personne était présente au mauvais moment. Un homme qui se précipite sur la chaussée pour rattraper une femme, à une dizaine de mètres de moi, et une voiture qui arrive. Un réflexe de merde, et un clone qui l’empêche de se précipiter vers une mort certaine. Un passant, un témoin. Le mauvais. Et lorsque j’ai vu la manière dont il me regardait, je ne me suis pas posé plus de questions. Et j’ai fui. J’ignore s’il m’a suivi, mais j’ai peur. Beaucoup trop peur pour prendre le risque. J’ignore s’il s’agissait du choc, ou s’il se demandait s’il devait tirer en pleine rue, devant deux témoins. J’ai entendu parler de pas mal d’incidents. Trop, sûrement. Les gens les croient isolés, mais j’ai toujours des contacts avec la bande qui m’a aidé à m’installer. Je sais que toutes ces victimes sont des nôtres. Et je sais, et je sens que, ce soir, je peux tout à fait être la prochaine. Dans deux rues, je suis chez moi. Il n’y a plus grand-monde dehors, à cette heure-là. J’étais sorti boire un coup avec une collègue du laboratoire. Tout allait bien. Elle était rentrée chez elle. Je m’apprêtais à faire de même. Je songe un instant qu’elle est peut-être l’une des dernières personnes qui m’aura vu en vie, si je n’arrive pas très rapidement à semer mon poursuivant. Mon agresseur que je devine, que je sens me suivre. Pendant quelques minutes, je crois l’avoir semé. J’ai un point de côté, j’ai l’impression que je n’arriverai jamais au bout. Mais je sais aussi que je ne sens plus sa présence derrière moi. J’ignore si c’est bon signe ou non. Alors je continue. Je croise un clochard qui pousse son caddie en chantant une chanson paillarde. Je le bouscule, m’excuse et passe mon chemin, le plus rapidement possible. Le stress me dévore, mais j’arrive à rester moi-même. J’arrive à me contrôler. J’ignore pour combien de temps encore, mais il faut y croire. Il faut y croire. Je jette un coup d’œil derrière moi, rapidement. Et soudain, la douleur me perfore le ventre, et me coupe net dans ma lancée. Je tombe au sol sans comprendre ce qui m’arrive, tandis que mon agresseur retire son couteau de mon abdomen. Je veux crier, mais il enserre ma gorge. J’ai l’impression de ressentir la même chose que des années auparavant, lorsque mon père me brutalisait. La peur me dévore de l’intérieur. Je ne veux pas mourir. Je ne suis pas prêt. Pas maintenant. Par pitié.Rupture.Et soudain, ta main attrape la gorge de l’homme, pour l’étrangler à ton tour. Tes autres doigts se saisissent du poignet avec lequel il s’apprêtait à te poignarder, à nouveau. Et tu serres. Tu serres, tu tords. Jusqu’à ce qu’il cède, en un grognement, reculant légèrement. Il tente d’attraper le revolver dans son manteau, reste sur toi. Mais tu n’en as pas fini avec lui. Alors qu’il sort son arme, tu attrapes son poignet pour le forcer à la pointer ailleurs. Un double apparaît derrière lui, en position de force, et le contraint à basculer sur le côté. Tu lui tords le poignet pour le forcer à lâcher son arme à feu, et tu t’en saisis. La douleur pourrait te tordre en deux, mais tu fais comme si de rien n’était. Lorsque l’adrénaline sera retombée, tu pourras te tortiller et souffrir. Mais pour l’instant, tu as des comptes à régler. Et comme toujours lorsque tu as ta petite vengeance personnelle à faire passer, il risque d’y avoir beaucoup de sang. Tu veux voir du sang. Ton clone s’est penché pour récupérer le couteau, et tu n’y as pas prêté attention. Tu n’aimes pas contrôler ces choses-là. Tu t’en sers juste pour être certain d’avoir l’ascendant sur tes proies. Tu t’en sers comme d’un appui à ton contrôle, comme d’esclaves sans volonté propre. Tu n’as jamais compris que si tu ne prenais pas le soin de leur dicter leur conduite, ils improvisaient d’eux-mêmes. Et soudain, alors que tu vas pour glisser le chargeur de l’arme à feu dans la poche de ta veste, le double se retrouve projeté au sol. Ton agresseur se saisit du couteau, et l’égorge sans plus de cérémonie, avant de se redresser pour se jeter sur toi. Tu lâches involontairement le revolver lorsqu’il te percute. Il ne tombe pas bien loin, mais tu ne peux pas l’attraper. Tu sens la lame entailler ta chair, et tu te retiens de crier. Parce que tu ne cries pas, Ripper. Tu n’es pas un faible, comme Oliver ou moi. Toi, tu ne pleures pas. Tu ne cries pas. On dirait que c’est à peine si tu ressens la douleur, au bout du compte. Et déjà tu enfonces tes doigts dans les yeux de l’homme pour riposter. Il hurle à la mort, lui. Le sang coule sur tes doigts. Je crois que tu les lui as crevés. Tu lui attrapes sa main, et tu uses de toute ta force pour le contraindre à ressortir le couteau de ton abdomen, non sans un grognement sonore. Tu as plus de force que lui. Parce que tu es Ripper. Et tu le sens qui lâche. Tu le fais s'enfoncer brutalement la lame dans le ventre. Il la lâche, tu la retires. Et tu roules sur le côté en te tenant le ventre. Tu enfonces le couteau dans sa trachée sans te poser la moindre question. Il ne crie plus. Tu le ressors. Le plantes dans sa carotide. Le sang t’asperge. Tu laisses ton arme là. Tu rampes jusqu’au revolver. Tu réussis à remettre le chargeur, et tu te relèves en titubant, te tenant le ventre à une main, soutenant l’arme à feu de l’autre. Tu tires. Trois balles, dans la tête. Tu veux être sûr qu’il est bien mort. Bien mort, avant de te laisser tomber dans les bras du clone qui vient d’apparaître derrière toi. Tu es irresponsable, mais tu sais que tu ne dois pas perdre connaissance. Et de nous cinq, tu es peut-être le seul à être capable de rester éveillé, même dans cet état. Un clone te soutient, et tu halètes. Un autre s’empresse d’appeler les urgences avec le téléphone au fond de la poche de ta veste. Dès qu’il l’a fait, il disparaît. Tu as déjà du mal à en gérer un. Tu n’arriveras pas à t'occuper des deux. Tu es un enfoiré de première, et tu mérites ta réputation. Tu mérites ton surnom du Diable, et ton appellation du démon. Mais malgré ça, il y a bien des situations où sans toi, nous n’existerions plus. Et tu as réussi à t’éloigner. Tu as réussi, tant bien que mal, à te faire traîner au bout de la rue, un peu plus loin. Le clone était faible, mais un passant l’a finalement aidé. Il a prétendu être ton frère jumeau, et l’homme l’a cru. De toute manière, le sang l’a alerté. Alors il a aidé, sans apercevoir le cadavre, une vingtaine de mètres plus loin, caché dans l’ombre d’une ruelle. Et dès que les secours sont apparus au bout de la rue, il leur a fait signe. Lorsqu’il s’était retourné, le clone avait disparu. Un événement étrange et extraordinaire qu’il ne pourra peut-être jamais expliquer à sa femme. J’espère qu’il n’est pas devenu fou. Mais personne ne peut t’en vouloir. Car tu avais finalement lâché prise, au son des sirènes. Et nous avions tous sombré.
|
| | | | Sujet: Re: (M/LIBRE) AARON TVEIT ≈ only god forgives. Mer 6 Mai 2015 - 22:37 | |
| scénario libre & terminé viens, on va m'faire saigner. salut, jeune cornichon en guimauve. tout d'abord, si tu est en train de lire ça parce que mon scénario t'intéresse, merci infiniment à toi. ensuite, comme tu t'en doutes, v'là quelques précisions pour toi. (l'avatar) ≈ l'avatar est négociable. j'aime bien aaron tveit, j'ai créé le rôle pour lui, mais si vous imaginez quelqu'un d'autre dans la peau du personnage, faites-vous plaisir. (le pseudo) ≈ il est négociable aussi. j'ai mis ça histoire d'avoir un pseudo, pis j'avoue que j'aime beaucoup. mais je n'ai jamais mentionné aucun nom dans ma fiche, donc faites-vous plaisir. j'aimerais juste un truc pas trop extravagant, si possible. pas trop le genre de la famille. (le personnage) ≈ il est assez libre. j'ai créé toutes ces grandes pistes pour que vous ayez matière à faire si vous n'avez pas envie de vous casser la tête, mais en réalité c'est très libre. vous pouvez même changer les grandes lignes de son caractère, bref, comme vous le voulez. je tiens juste à l'aspect assez faible de la personnalité de jack. c'est un garçon qui a l'air fort, et qui mise tout sur la vengeance, dans sa vie. mais en réalité, il est juste complètement perdu, et c'est la seule chose qui lui permet de garder la tête hors de l'eau, et d'avoir des objectifs. à proprement parler, il veut bien sûr tuer lockhart, mais c'est surtout un garçon qui se cherche, et qui s'est donné ce but ultime pour se donner une raison de vivre. (ouais, il est un peu pathétique, mais j'aime terriblement ce genre de personnage ) en bref, j'aimerais que vous gardiez cet aspect, je n'ai pas envie d'un type super badass qui veuille juste coller une balle entre les deux yeux de locki et passer son chemin. j'veux pas d'un type fort et sans failles, vraiment pas. mais pour le reste, amusez-vous. (le lien) ≈ le lien n'est pas négociable. ce qui est discutable, bien entendu, c'est ce qui va se passer une fois que jack aura retrouvé locki. mais ça, je me garde le soin d'en parler avec vous. (le reste) ≈ je suis pas très exigeante, si sur la présence ni sur la longueur des rps. j'estime juste qu'il faut que vous vous investissiez un peu, donc me plantez pas directement, vous voyez. pour le reste, je m'adapte à tout, et j'aime tout le monde. voilà voilà. et si vous avez la moindre question, surtout n'hésitez pas, je suis toute disponible, et je serais ravie de pouvoir y répondre. |
| | | | (M/LIBRE) AARON TVEIT ≈ only god forgives. | |
|
Sujets similaires | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |