|
| Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Ven 1 Aoû 2014 - 16:41 | |
| Why does it feel so good ? Henryk ∞ Sasha En cette charmante journée du solstice d’été, notre cher antagoniste se réveilla tout juste, le corps encore perlé par de nombreux filets de sueur. La nuit n’avait été pas évidente … en même temps, les évènements traumatisants de cette chasse aux mutants avait eu pour effet de réveiller en lui les pires maux de son être. Son hystérie d’antan l’avait mené il y a fort longtemps à commettre des actes insensés, immoraux … et voilà qu’il se retrouvait à nouveau plongé dans ce cercle infernal, lui contre le monde ou plutôt avec cette nouveau variable qui venait de s’ajouter, les siens contre les autres. Son encéphale encore obscurci par les terreurs nocturnes qu’il subissait de façon récurrente se remémora les derniers images de ces dernières … une belle demoiselle qui aurait pu aisément être sa plus jeune soeur, une belle demoiselle avec encore de nombreuses choses à vivre se faisant égorger comme un vulgaire porc. L’ironie fut que ces mêmes hunters se prenant pour des saints étaient corrompus par le mal le plus insidieux qui soit, l’orgueil ; ce même péché les conduirait peu à peu à leur perte, le pécheur était toujours châtié après tout. Sur ces charmantes pensées, il se fit grâce de quelques commodités pour être présentable et surtout cacher autant qu’il le pouvait la blessure par balle qu’il avait, pour les autres marques d’affrontements qu’il avait, notamment au niveau du visage il n’y pouvait rien. Son pauvre minois était traversé par quelques marques de coups et ce dernier se retrouvait recouvert par quelques pansements qui lui donnaient carrément un air de « vilain garçon » avec qui on avait de jouer à l’infirmière. Malheureusement, la prudence du personnel de l’hôpital par rapport à leurs employés rendait la tache beaucoup plus complexe mais pas impossible. Paré pour une longue journée, il chevaucha sa fière bécane … enfin … bicyclette pour rejoindre son lieu de travail. Cette épreuve extrêmement pénible ne fut récompensée non pas par des inquiétudes de par certaines collègues en dépit de ses blessures mais de remontrances ! Oui oui ! Pour son laxisme permanent ! Cette vieille harpie n’en avait que faire qu’un train lui soit passé dessus ou bien qu’il ait sauvé des vies, non, ce qu’elle voulait c’était qu’il soit à l’heure. « Je suis … » « Si ça ne tenait qu’à moi je te renverrai dans ton pays à faire les trottoirs ! » grogna-t-elle en train ses lèvres nécrosées. Cette antiquité aux origines latines l’avaient toujours prises pour un roumain ou un gars de l’est qui avait eu recours à la prostitution pour s’en sortir et qui avait vendu son corps à la directrice de l’établissement pour obtenir un poste ici. « Je … » « Tu comprends quand je te dis de venir à l’heure ? Essaie pas de parler anglais, je ne comprends rien avec ton accent slave ! Hoche la tête si tu as compris ! » haussant un sourcil, il hocha simplement la tête avant que cette écervelée pourtant « attachante » ne parte vaquer à ses occupations en grommelant. Cet acte s’était déroulé sous les yeux ébahis d’un bon nombre d’employés de l’hôpital, bien entendu conscients de la mauvaise humeur constante de leur supérieure. Malgré cet atmosphère de discorde, il partit en sifflotant jusqu’à son bureau, traversant les couloirs devant les yeux de certaines internes l’idéalisant totalement de par sa profession et son côté insaisissable. Ah … la nature humaine ! Quelques instants plus tard, il pénétra dans l’enceinte du bureau qu’on avait daigné lui prêter pour qu’il puisse aider l’hôpital de façon bénévole ou presque. Le brunet toujours la musique dans la peau s’apprêta à s’atteler à ses visites de la matinée jusqu’à ce qu’il ne voit sur le dessus de son bureau, un nombre incalculable et monstrueux de dossiers … un long soupir sortit de sa bouche et quelques jurons dans sa langue natale par la même occasion. Si il ne faisait pas à temps les visites qu’il avait l’obligation de faire, il était certain que sa « chère et tendre » viendrait lui faire regretter d’avoir foulé le sol de cette terre … néanmoins une idée lui en vint en tête et un large sourire se dessina sur son visage. Il y avait de nombreuses jeunes personnes qui aidaient l’hôpital et quoi de mieux que d’en avoir sous la main pour l’aider dans son ingrate tache. Il savait par ailleurs exactement qui demander. D’un geste vif, il saisit son téléphone de service « Oui, c’est Henryk. Tu pourrais m’envoyer un des jeunots qui nous aident pour m’aider ? Si possible envoie moi le petit jeunot, tu sais … qui a l’air un peu perdu. Oui oui c’est lui, merci. »Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Ven 1 Aoû 2014 - 19:21 | |
| you better work bitch le loup ∞ l'agneau T'as pas dormi de la nuit. T'as passé la nuit à mater des films pour un boulot que t'avais à faire pour la fac. Encore heureux que tu l'aies fini, c'est déjà ça. Tu sais si Loeven t'as entendu pester devant la télé, probablement. En tout cas il n'a rien dit. Ce mec est cool. Encore heureux. Tu t'en serais voulu si tu l'avais dérangé, mais pour le coup tu pouvais pas faire autrement. Il fallait absolument que tu finisses. T'étais déjà en retard pour le rendre. Tes profs étaient sympas avec toi. Ils connaissaient ta situation. Qui depuis, avait changé, mais ça s'était un détail. Ta mère se foutait toujours autant de toi. Le seul point positif c'est que t'avais un logement fixe. Bon point. T'as des valises sous les yeux. On dirait un zombie. Tu bailles et tu te fais un café. T'as grand intérêt à en boire beaucoup étant donné que tu bosses le matin à l'hôpital. T'aimes bosser à l'hôpital. T'aimes bien l'idée d'être un minimum utile aux gens. T'es pas un mutant, t'as pas de pouvoirs pour sauver le monde alors tu l'sauves du mieux que tu peux. Médecin c'est un beau métier. T'aurais pu être médecin, si tu n'avais pas cette passion pour le cinéma. Tu aimes trop le cinéma pour le bouder. C'est une monde imaginaire, si palpable, si malléable. Ton imaginaire d'adolescent bouillonne d'idées de scénario. Peut-être devrais-tu faire un film, un jour. Du moins, essayer. Du coup tu te mets en route pour le boulot. Tu te sens comme dans un vieux couple, t'aurais presque envie d'aller embrasser le front de Loeven pour lui souhaiter une bonne journée, mais non. Ta virilité en prendrait un sacré coup et la sienne aussi. Ca pourrait passer en temps que blague mais peu importe. T'y vas à vélo. T'as pas encore ton permis. Faudrait que tu penses à le passer. Au moins pour avoir un moto. Ca serait tellement plus pratique qu'un vieux vélo. D'autant plus que l'hôpital est assez loin de l'appartement. Mais peu importe, ça fait faire de l’exercice. Tu dors à moitié, encore entrain de purger ton envie incandescente de t'allonger dans un lit bien douillet. Finalement, une fois arrivé à l'hôpital t'enfiles ta tenue d'infirmier et tu vas t'occuper des patients qui arrivent aux urgences. Un petit garçon et sa maman affolée. Parfait. Tu bailles avant de t'approcher d'eux pour les entrainer dans une salle d'examen. Alors que tu t'apprètes à écouter le coeur de l'innocence, ton supérieur arrive en trombe dans la salle en clamant qu'un des médecins veut te voir. Tu fronces les sourcils. Le nom de Mikkelsen est évoqué et tu ne peux t'empêcher de faire la moue. T'as pas vraiment envie de le voir après ce que tu as vu .... D'accord. L'être humain a des besoins, tu le sais bien. Les hommes ont des besoins. Tu le sais encore mieux. Mais le faire au boulot? Surement pas ! Tu soupires, caresses la tête de la tête blonde et tu traverses l'hôpital jusqu'au bureau du docteur. Tu toques et tu passes la porte. Tu le détailles de bas en haut. La situation est incongrue, t'es mal à l'aise. Mais il faut dire que t'es quand même mieux de le voir normal face à toi plutôt qu'entrain de se... " Bonjour monsieur, vous m'avez demandé? J'étais en consultation avec un gamin mais ... Bah m'voilà. J'peux faire quoi pour vous? " Non, tu ne lui prêteras surement pas ta main. T'es bien gentil mais non. Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Sam 2 Aoû 2014 - 12:15 | |
| Why does it feel so good ? Henryk ∞ Sasha Un sourire alternant la perversité la plus fronde et une satisfaction tout aussi malsaine se dessina sur le visage du scandinave. Ô joie ! Malgré quelques fausses notes, cette journée commençait plutôt bien pour lui, pour ce qui était du jeunot qu’il avait décidé de … c’était une toute autre affaire, un jeu vicieux dans lequel il jouait à la perfection son rôle. Le plus amusant dans cette histoire fut qu’il n’avait même pas prévu que leur « relation » ne prenne cette direction, en général, il était le genre de gars qui se contentait des politesses avec les stagiaires et autres sous fifres dans le genre à moins que ces derniers ne lui fassent de la bringue. Sasha semblait bien plus innocent que les internes totalement excitées à l’idée de passer un moment en tête à tête avec lui à parler de leurs problèmes de libido. Et bien entendu comme à son habitude, il restait de marbre vu la profession qu’il exerçait ; il n’était pas rare que des couples viennent à lui pour parler de leur intimité alors bon. Reposant le combiné à sa place, il se mit à feuilleter les dossiers qu’il avait à sa charge tout en sifflotant. « Hum ? » absorbé par le dossier qu’il était en train de lire et par sa partie de Candy Crush, il décrocha les yeux de ses instruments pour regarder le petit chaperon rouge avec un léger sourire qui se voulait rassurant et plein de bonnes intentions « En consultation ? Je voulais te proposer quelque chose de bien plus intéressant vu que ma stagiaire ne pointe plus le bout de son nez. » pour une fois qu’elle pouvait être utile celle-là … le sosie de sourire d’enfer n’avait que pour effet d’ennuyer suffisamment les patients pour qu’ils demandent à Henryk de s’occuper finalement de leur cas. Du coup, Sasha ne pourrait pas faire pire qu’elle et il était beaucoup plus charmant que sa stagiaire et moins rigide que cette dernière. Néanmoins en dépit de sa nature joueuse, il se refusa mentalement à le choquer davantage à moins que … Avec habileté, il mit la main sur le dossier qu’il voulait traiter en priorité, un dossier lambda or son « protégé » apprendrait sûrement de nombreuses choses avec un ou plutôt une patiente de ce calibre. Une femme avec certains troubles du comportement s’exprimant sous forme de violences et d’une expression particulière de ses envies, son compagnon n’était pas mieux vu qu’il ne faisait rien pour canaliser son épouse totalement hystérique par moment. « Je te propose de venir m’aider à m’occuper de ces deux-là. » se levant de son siège, il s’approcha lentement de lui sans le quitter des yeux, s’arrêtant un moment, lui souriant quelques instants avant de lui tendre le dossier « Je te laisse un moment pour t’imprégner, de mon côté … je vais me préparer. » d’un pas assuré, il se dirigea vers son bureau pour en sortir son carnet de notes. Carnet mythique dans lequel il consignait toutes ses pensées à propos de ses patients et également les leurs. D’un léger coup d’oeil, il détailla son subordonné. Il était simplement vêtu mais sa démarche et son attitude le rendaient totalement … inédit ! A moins que ça ne soit son côté prude ? Il ne savait guère mais le challenge était à la hauteur de ses ambitions. Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Sam 2 Aoû 2014 - 18:56 | |
| you better work bitch le loup ∞ l'agneau Tu penses être quelqu'un de sociable. Le genre de personnes vers qui on peut facilement se tourner. T'as l'impression de dégager une certaine aura de sympathie. T'as pas l'air d'être un psychopathe. T'as pas non plus l'air d'être un gars qui ne sort jamais et dont la timidité le prive de tous les sens. Non, au contraire. T'es avenant. Tu l'as toujours été. Peut-être es-tu lourd parfois? Tu t'en fous. T'es bien comme t'es, tu changeras pas. Probablement que ce n'était que ta douce jeunesse qui te faisait penser de la sorte. Plus tard, tu repenserais à ça en te disant que, grand bien t'en fasses, tu étais bien trop con à l'époque pour te remettre en question. Ouais, t'étais ce genre de personnes à avoir l'imagination assez farfelue pour te projeter dans le futur pour t'engueuler d'être ce que tu es. Peu importe. T'es un gosse. T'es bien, t'es heureux. Pourquoi devrais-tu avoir l'air dépité comme si le monde entier reposait sur tes épaules de simple mortel sans pouvoirs alors que ce n'était pas le cas? Tu n'étais qu'un simple pion. Pas le cavalier, pas la reine, pas le roi. Dans un jeu d'échec, tu étais le plus faible. La vie c'est un jeu d'échec. Disons ça comme ça. Tu n'es pas à l'aise avec ce docteur. Tu n'as jamais rien eu contre lui. D'ordinaire, tu aurais été ravi de bosser avec lui. Comme toutes ces internes qui fondent rien qu'en le voyant. Qu'est ce qu'elles lui trouvent? Certes, il est plutôt pas mal, mais de là à se bousculer pour bosser avec lui, le regardant avec des yeux brillants d'admiration, la bave coulant aux coins des lèvres. T'as rien à lui envier. Tu croises les bras contre ton torse. « En consultation ? Je voulais te proposer quelque chose de bien plus intéressant vu que ma stagiaire ne pointe plus le bout de son nez. » Tu pouvais facilement savoir pourquoi cette pauvre stagiaire fuyait son maître de stage. T'avais pitié pour elle. Que lui avait-il montré comme partie intime de son anatomie? L'avait-il touché? Tu demanderas aux autres infirmières. Elles n'ont pas l'air comme ça, mais elle surveillent tout. Elles savent toujours tout avant tout le monde. C'est presque flippant vu comme ça. Mais peu importe. Tu restais là, dans l'entrée du bureau. Tu le vis attraper un dossier. Tu fronces les sourcils, avançant un peu alors qu'il te tend celui-ci. « Je te propose de venir m’aider à m’occuper de ces deux-là. » Tu sentais son regard sur toi. Tu sentais son esprit en ébullition et tu te sentais presque rougir sous ses prunelles. Il était sur de lui. Chaque mouvement qu'il effectuait le prouver. Même sou souffle témoignait de son self-control. Tu baissas les yeux rapidement sur le dossier, découvrant le nom de la patiente. « Je te laisse un moment pour t’imprégner, de mon côté … je vais me préparer. » Tu ne fis même pas attention à ce qu'il disait. Tu étais déjà plongé dans la lecture de la paperasse médicale. Une femme, ayant des problèmes de contrôle justement. Une folle. Génial. Tu fronçais les sourcils, regardant avec attention ses analyses, toutes les notes prises par Mikkelsen. Tu te grattas la tête, cherchant à comprendre pourquoi il t'avait appelé. T'étais pas du genre à gérer ce genre de choses. Une fois la lecture terminée, tu relevais les yeux vers lui. Tu fermas le dossier que tu gardas dans ta main. Non décidément, tu n'avais aucune idée de ce que tu faisais ici. " Sans vouloir vous offenser, j'pense que j'étais plus utile au gamin aux urgences, je vois pas ce que je vais bien pouvoir apporter à une femme ... Dont les capacités mentales régressent. " C'était probablement à lui que tu pourras apporter satisfaction. Cette pensée te fit grimacer et secouer la tête. Pourquoi te mettais tu à penser ça? " Vous la suivez depuis longtemps? Qu'est ce qu'on doit lui faire? " A vrai dire, t'étais pas rassuré à l'idée de rencontrer une femme avec ce genre de pathologie. Rien que ta mère avec un coup dans le nez savait te faire flipper, alors une femme comme cette patiente... T'étais mal barré. Tu lui lanças un regard inquiet. Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Dim 3 Aoû 2014 - 12:00 | |
| Why does it feel so good ? Henryk ∞ Sasha L’esprit humain était vraiment fascinant, sa psyché offrait à Henryk un terrain de jeu infini qu’il usait de temps à autre pour assouvir des besoins impardonnables, non pas qu’ils abusent physiquement de ses patients or son amour du métier était également lié à un trouble bien plus profond qu’il cachait tant bien que mal, aider autrui était une façon de s’aider lui-même, de faire la paix avec son « ça ». Ce côté animal de sa personnalité avait ressurgi il y a fort longtemps lorsqu’il prit connaissance de sa capacité pour la moins peu commune, lorsqu’il prit conscience qu’il ne serait plus jamais victime des agissements d’autrui. Quelle douce sensation … son beau-père en dépit de tout ce qu’il pouvait dire l’avait forgé de façon à faire de lui un homme capable du pire pour atteindre ses objectifs, un homme qui se perdait parfois dans ses idéaux et prenait un malin plaisir à dominer les gens de toutes les façons possibles. Bien entendu, il ne s’agissait que de la partie sombre et bien enfouie de ce cher Henryk, il n’était pas que colère et frustration, il était aussi un être profondément concerné par le bien être de son entourage et de l’humanité, enfin … plus ou moins. Pour en revenir à ce petit jeunot, il ne semblait pas vraiment ravi de travailler avec lui vu la lueur qui brillait dans son regard et sa gestuelle. Lui en voulait-il encore ? C’était une certitude. Il était vrai qu’il n’y était pas allé de main morte avec lui et qu’il avait pris ce moment « d’égarement » avec une certaine joie quand le regard de Sasha avait croisé … enfin bref ! Il s’en voulait un peu pour le coup, qu’il ait pu voir une partie de lui en dehors d’une relation sexuelle ou d’un flirt coquin. En tout cas, il était évident que le brunet devait ressentir du dégout à son égard néanmoins il était amusant de jouer de la situation pour la tourner à son avantage. Oui oui ! Quelle bonne idée Henryk ! Il pouvait déjà entrevoir leurs ébats sur son bureau, il ne suffisait que d’une erreur, une faille de son nouvel assistant pour qu’il puisse en profiter. « Soit, tu es peut être plus utile dans un domaine que tu connais mais c’est toujours bon de se diversifier, tu ne penses pas ? » question rhétorique, il en connaissait déjà la réponse et même si il avait répondu par la négative, un contre-argument aurait été lancé dans la seconde suivante. En outre, son attirance sexuelle pour lui, il ne semblait pas dépourvu d’intérêts dans les autres domaines et son dynamisme dont il avait eu vent était un élément prouvant de sa motivation. Il aurait été sûrement bien plus utile que sa stagiaire cependant ce n’était pas à lui de décider mais plutôt à sa supérieur dont la haine à son égard n’avait de limite que le vice l’habitant. « Je vais être franc avec toi, normalement ça ne serait pas à moi de la traiter, j’ai fait quelques séances avec lui et ses maux requièrent un suivi … particulier. » légèrement gêné, il se gratta l’arrière de la tête avec un léger sourire désolé « On est un peu en manque d’effectif donc je la prends en charge jusqu’à ce que je ne puisse plus rien faire pour l’aider. » avec de la chance, il pourrait lui venir en aide … ou pas ! Il ne fallait pas trop rêver, cette dame avait besoin de médicaments pour canaliser sa folie dévastatrice. Prêt pour cette nouvelle visite, il fit un pas vers Sasha pour lui tapoter gentiment l’épaule avant de lui faire un clin d’oeil « Ne t’en fais pas, je ne vais pas te laisser tout seul avec elle. » était-ce néanmoins rassurant de le savoir à côté vu ce qu’il était capable de faire ? Après quelques minutes, ils arrivèrent dans la chambre de la patiente dont on entendait déjà le cris de la dégénérée après son mari, de plus, le regard des infirmières en disaient long sur l’ambiance qui régnait de cette chambre … elles avaient l’air presque désolé pour eux. Toquant à trois reprises, il fit son entrée avec Sasha et à peine furent-ils entrés que la sauvageonne hurla des insultes à son mari « Madame … » visiblement elle lui reprochait de voir une autre femme ou une autre connerie dans le même genre « je vous présente … » le regard fou de la patiente croisa celui de Henryk et de l’infirmière à ses côtés qui tentait en vain de la calmer. « TOI AUSSI TU ES DANS LE COUP HEIN ?!!!! » en quelques secondes, elle se jeta sur ce pauvre Sasha pour l’agresser avec une violence inouïe. A coup sûr, elle avait dû consommer quelque chose pour être dans cet état … avec une certaine hâte, le scandinave attrapa les bras de la patiente de façon à l’immobiliser avant de la porter malgré les nombreux coups qu’elle lui donnait jusqu’à son lit, donnant l’occasion à l’infirmière de lui injecter un léger calmant. Quel début de journée ! Retournant sur ses pas, il s’approcha de la nouvelle victime de sa patiente « Ca va ? » avec douceur, il prit son bras pour voir l’étendue des blessures, bon, ça avait l’air superficiel, par contre, il n’était pas certain que Sasha en garde un charmant souvenir. Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Dim 3 Aoû 2014 - 19:31 | |
| you better work bitch le loup ∞ l'agneau « Soit, tu es peut être plus utile dans un domaine que tu connais mais c’est toujours bon de se diversifier, tu ne penses pas ? » Il n'avait pas tord. Ce mec n'était pas con. En même temps il était docteur, comment un docteur pourrait être con? Bonne question. Faudra que tu te penches sur la question plus tard. Tu hochais sagement la tête, ne prenant même pas la peine de répondre. Tu sentais dans l'intonation de sa voix que de toute façon, il n'en attendait pas. Cet homme allait probablement te surprendre, tôt ou tard. Mieux vaut tard que jamais, comme dirait l'autre. Néanmoins, dans ton esprit, il restait toujours cet homme que tu as surpris entrain d'assouvir ses besoins. L'erreur est humaine, bien que se procurer ce genre de choses ne soit pas une erreur, mais pas au boulot, merde ! Tu t'imaginais à sa place, l'espace de quelque seconde. Le cœur affolé par l'excitation d'être surpris, la satisfaction de ne pas être découvert et le malaise malsain si le contraire arrive. Tu soupiras, comprenant bizarrement cette envie étrange. Mais là n'était pas la question. Tu étais là pour bosser, pas pour fantasmer ou autre. Fantasmait-il à cet instant précis? Son regard ne laissait rien paraître. Tant pis. « Je vais être franc avec toi, normalement ça ne serait pas à moi de la traiter, j’ai fait quelques séances avec lui et ses maux requièrent un suivi … particulier. » Tu hoches la tête. Mauvaise chose du coup. T'étais encore moins qualifié que lui pour aider cette femme. Pourquoi t'étais là? Tu pourrais fuir... La porte est juste derrière toi, ce n'est pas vraiment ton patron... Non, mauvaise idée. T'es là pour aider, pas pour fuir devant l'adversité. « On est un peu en manque d’effectif donc je la prends en charge jusqu’à ce que je ne puisse plus rien faire pour l’aider. » Tu comprenais la situation, même si tu n'acceptais pas qu'il s'occupe d'une patiente qu'il ne peut pas aider. Beaucoup d'autres personnes auraient besoin de son aide, même si c'était difficile à accepter. Le médecin s'approcha de toi, te tapota l'épaule, t'affligeant le spectacle d'un clin d'oeil vicieux accompagné de quelques paroles. « Ne t’en fais pas, je ne vais pas te laisser tout seul avec elle. » Tu grimaças, la question existentielle te sautant aux yeux. Etait-ce mieux d'être avec lui plutôt que seul avec une folle? Bonne question. " Prions pour nos vies, alors. " Un léger rire mal à l'aise. Sa main frôlant ton épaule te procura une sensation désagréable. Tu te sentais petit, immensément petit. Tu te mis à suivre ton supérieur jusqu'à la porte de la patiente. Les numéros défilaient et tu t'amusais à te remémorer le noms des patients. Bizarrement, celle qui occupait la chambre 13 possédait un nom qui t'étais inconnu. Par superstition, tu dirais que cela ne s'explique que par le fait qu'elle occupe une chambre maudite. Par pur argument scientifique, tu dirais que tu n'es pas une machine et que tu ne retiens partout. Le docteur toqua trois fois à la porte et entra. Les hurlements raisonnaient dans le couloir et ton échine était parcouru par des frissons de crainte. Jamais tu n'avais entendu tels hurlements. La douleur, la haine, avaient ensemble une chanson funèbre. « Madame … » Elle ne se stoppa pas et les injures fusèrent. « je vous présente … » Le regard de la patiente se fixa sur le médecin et tu ne pus t'empêcher de frémir encore une fois. Tu lanças un regard inquiet à Henryk, cherchant à comprendre réellement pourquoi ils étaient là. « TOI AUSSI TU ES DANS LE COUP HEIN ?!!!! » " Mada... " Alors tes lèvres s'entrouvraient pour laisser échapper ta voix, la patiente folle furieuse se jeta sur toi, te griffant sur le visage et les bras. Tu lâchas un cri de surprise, tentant de te défaire d'elle sans la blesser. Son pieds s'envola jusqu'à tes parties intimes et rapidement les larmes te montaient aux yeux. La garce savait viser, même dans l'excitation de l'action. Évidemment, le médecin t'aida. Tu te relevas, tremblant légèrement. Ton regard se posa sur la patiente qui était désormais endormie par le sédatif proscrit par l'infirmière. " Sale folle... " Que tu lui murmures. Finalement, Mikkelsen t'entraîna dehors. Tu tremblais encore, ton visage rougit par les griffes peu acérées de la louve en colère. « Ca va ? » Avec une infinie douceur, il saisissait tes bras pour les examiner rapidement. Tu hoches la tête avant de te frotter la tête. " Ouais, ça brûle un peu, mais ça va... C'est une putain de guerrière cette femme, faut au moins l'avouer... Elle sait faire mal." Tu te mis à rire, plaçant rapidement ta main sur la zone de ton entre-jambe qui te lançait. " Je crois que je pourrais pas avoir d'enfants, malheureuse... " Tes membres furent secouer d'un hoquet de douleurs mêlé à un rire nerveux. " Les risques du métier... " Après tout, après avoir faillit mourir pour avoir aider une inconnue avec une balle dans le bras, la logique voulait qu'une patiente folle te castre. Tout était logique. On était pas vendredi 13 par le pur des hasards? Non, probablement pas. Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Mer 13 Aoû 2014 - 21:04 | |
| Why does it feel so good ? Henryk ∞ Sasha Devrait-il se sentir désolé pour cet évènement pour le moins logique ? Non du tout. Il savait très bien que sa patiente avait quelques troubles mentaux qui l’handicapaient fortement et de ce fait, il était normal qu’elle identifie Sasha comme un ennemi vu qu’elle ne l’avait jamais vu de sa vie. Néanmoins, il ne s’était pas attendu à ce qu’elle l’identifie comme une partie de sa propre histoire, à qui l’avait-elle identifié ? L’amant de son mari ? Ou une autre aberration dans le même genre ? Elle avait eu le droit à sa minute d’hystérie et de faire sentir sa « joie » au pauvre adolescent. Ce round serait le seul que Henryk lui accorderait … dans le cas contraire, il userait sans problème de son don pour faire passer sa patiente d’un état hystérique la rendant toute puissante à un état végétatif mêlé à une agonie éternelle pour ne pas suivre les règles qu’il avait fixé. Le scandinave prit soin d’examiner pendant un bref instant son assistant, son regard caressant la moindre parcelle de son corps … comment avait-elle osé esquinter son protégé ?! Finalement, il se sentit désolé pour lui d’avoir mis en danger sa proie pour des broutilles, il saurait beaucoup moins attrayant avec un bras cassé … quoique … il était certain que même dans une posture désavantageuse, il saurait faire preuve d’imagination. « Ta première expérience en ma compagnie te marquera un bon moment je pense … » pas exactement vu qu’il avait déjà surpris à faire joujou avec sa baguette magique, baguette qui pourrait faire des étincelles en sa compagnie mais c’était une autre affaire « Désolé. » se contenta-t-il de dire en se frottant l’arrière de la tête avec un sourire presque gêné. L’infirmière revint vers eux avec une moue légèrement boudeuse … vu la situation, elle avait tous les droits de ne pas être d’humeur. Cette patiente était vraiment une épine à son pied, l’achever paraissait être la chose la plus maligne à faire or il ne voulait pas avoir à alerter toutes les personnes de l’hôpital. Comme disait Sasha, les risques du métier. « Après ce fâcheux moment, je t’invite manger. » lui annonça-t-il avec un sourire rayonnant, il était certain qu’il accepterait, dans le cas contraire, il trouverait toujours un moyen toujours plus ingénieux pour arriver à ses machiavéliques fins. Prenant une longue inspiration, il ouvrit à nouveau la porte et laissa l’infirmière et Sasha reprendre leur place d’origine tandis qu’il fit quelques pas vers la patiente en train de cogiter entre deux mondes. Le calmant qu’on lui avait administré devait être confectionné pour mettre hors d’état de nuire les hystériques de son genre, cependant, il avait besoin d’elle éveillé et de ce fait … Sous le regard inquiet du mari de cette pauvre femme, il mit simplement sa main au niveau de l’avant bras de sa patiente faisant mine de prendre son pouls. La réalité était toute autre. Le corps du scandinave se mit à fabriquer avec rapidité un virus mutant, un virus qui ne serait pas trop violent - tout du moins l’espérait-il - pour cette femme. Ce court contact suffit pour faire sortir la patiente de sa transe « J’ai chaud … il se passe quoi ici … ? » le virus n’était pas contagieux par chance et il n’était là que pour contrer pendant l’espace d’un instant les effets « nocifs » du calmant « Bon … elle ne semble pas un état de faire quoique ce soit … » déçu par l’efficacité de son virus, il reprit son derrière et ressentit comme un long frisson le traverser avant de se tourner vers le mari de la patiente « Retournez à l’accueil et demandez leur de vous passer une de mes confrères psychanalystes pour votre femme, je ne crains ne pas d’être d’un grand secours. ». Légèrement dépité de ne pas avoir pu faire ce qu’il voulait à propos de sa patiente, il ouvrit de nouveau la porte pour que son petit brunet ne sorte avant de se tourner vers lui avec un large sourire « Alors … ? » se contenta-t-il de dire dans un premier temps avant de lui faire un petit sourire signifiant des choses plus ou moins positives à son égard « A vrai dire, je n’ai pas eu le temps de manger ce matin et mon invitation de tout à l’heure tient toujours, ça te dit ? » le ton utilisé vers la fin laissait plus penser à une certaine forme de drague qu’à un discours provenant de son supérieur. Ah sacré Henryk ! Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha Dim 17 Aoû 2014 - 19:30 | |
| you better work bitch le loup ∞ l'agneau T'avais quand même sacrément mal à l'entre-jambe. Ouais, elle t'avait pas loupé la garce. Tu te retenais de te frotter pour tenter de faire passer la douleur. Si tu l'avais vu répondre à ses plus primitifs désirs, tu n'allais pas non plus te tripoter devant lui. Il fallait être plus intelligents que ça. Ou peut-être mieux éduqué. Ou les deux, allez savoir. Tu voyais néanmoins dans les yeux du docteur qu'il était désolé de t'avoir infliger ça. Mais bon, tu lui en voulais pas. Malgré sa connaissance de la patiente, il ne pouvait pas prédire qu'elle se jetterait sur toi en jouant les chats enragés à te griffer dans tous les sens. « Ta première expérience en ma compagnie te marquera un bon moment je pense … » Un rire s'échappa de tes lèvres. Tout dépendait évidemment de la première expérience. Parlait-il d'aujourd'hui ou de cette fois où tu l'as vu faire jou-jou? Allez savoir. Mais il te faisait sourire, dans l'immédiat c'était le mieux qu'il pouvait faire. « Désolé. » T'esquissais un sourire. Tu lui en voulais pas. C'était pas sa faute après tout.
L'infirmière revint à vous et, à sa moue boudeuse, tu répondis par une mine désolée. Tu pouvais pas faire mieux. T'étais la pauvre victime dans l'histoire. Pour une patiente malade, elle avait pas mal d'énergie à revendre. Là était peut-être le gros de son problème. Trop de colère à évacuer. Pourquoi les gens étaient-ils encore si énervés de nos jours? A quoi bon? « Après ce fâcheux moment, je t’invite manger. » Tu hochais la tête en signe de réponse. C'était une bonne idée, d'autant plus que t'avais plutôt faim. Mais t'as toujours faim, t'es un estomac sur pâtes. Comment ta mère pouvait-elle accepter de te nourrir vu la quantité de bouffe que tu pouvais ingurgiter en un seul repas? Le pauvre docteur ne savait pas à quoi s'attendre.
Finalement vous étiez de retour dans la chambre du dragon. Tu t'es éloigné, néanmoins, restant près de Henryk, cherchant un peu de renfort du côté du médecin. Tu dévisageais ce dragon qui semblait essoufflée par les hurlements qu'elle infligeait à tout le monde. Tu le regardas faire, ne sachant pas vraiment ce qu'il était entrain de faire. Mais tant pis. T'étais pas un docteur, t'avais pas les connaissances nécessaires pour ça. Toi t'es un cinéaste, pas un foutu docteur. Alors t'es resté dans ton coin, badant les murs tristes de l'hopital, jetant un coup d'oeil au pauvre mari qui semblait avoir le visage humide des larmes qui avaient probablement coulées à cause de sa femme complètement folle. A croire que l'amour tient au delà de la maladie. Mais l'aimait-il encore? Là était toute la question. Il pouvait être à son chevet et ne ressentir à son égard qu'un immense dégoût. Dans tous les cas, il semblait faire face. Probablement parce qu'il n'avait pas le choix. « Retournez à l’accueil et demandez leur de vous passer une de mes confrères psychanalystes pour votre femme, je ne crains ne pas d’être d’un grand secours. ». Tu fronçais les sourcils, à la fois triste et surpris du diagnostic. Mais c'était probablement la meilleure solution. Il fallait l'enfermer ce dragon, ou son feu finirait par consumer son mari. Le pauvre.
Finalement vous vous extirpez de la pièce. La tristesse de ce moment était désormais évaporé. Ton coeur rata un battement quand la voix du médecin, s'étant soudainement radoucit, s'adressa à toi. « Alors … ? » Tu esquissais un léger sourire, ne sachant pas trop quoi dire, encore un peu sonné par les évènements. « A vrai dire, je n’ai pas eu le temps de manger ce matin et mon invitation de tout à l’heure tient toujours, ça te dit ? » Tu passes ta main sur ta nuque. Ton coeur était toujours serré. T'étais triste et mal à l'aise. Mais c'est le métier qui veut ça, et même si tu voulais faire tout ton possible pour les patients, parfois, c'est impossible.
" J'ai d'la peine pour son mari... Il avait l'air de l'aimer, et de tenir à elle, ça doit être horrible de capter que sa femme est ... Dingue." Tu fronçais les sourcils à ce mot qui semblait comme une injure dans ta bouche. C'était négatif, dans tous les cas. La folie n'est jamais vraiment positive, surtout lorsqu'elle se manifeste dans le moindre de nos mouvements, dans nos paroles. T'espérais ne jamais devenir fou. Peut-être l'étais-tu déjà et t'en savais rien? Ca expliquerait beaucoup de choses. " Je veux bien aller manger ouais, j'ai ma pause normalement maintenant, et j'préfère manger accompagné plutôt que seul." C'était la réalité et il n'y avait aucun sous-entendu sous ses paroles. Après tout, ça pouvait pas te faire de mal de manger avec un mec plutôt que l'une de ses infirmières qui se racontent des ragots pendant les pauses déjeuners. " J'avoue avoir totalement envie d'une bière aussi. Mais j'ai pas encore fini mon service, ça serait pas bien." Tu te mis à rire, allant tripoter ta poche, cherchant tes clopes. Tu pouvais fumer, à la place. Mais non, ce serait mal poli. Alors t'attends et t'affiches un grand sourire à ton supérieur. Code by Silver Lungs |
| | | | Sujet: Re: Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha | |
| |
| | | | Muscu, abdos, fessiers, mon cul je l'ai mérité - ft. Sasha | |
|
Sujets similaires | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |