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 Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.)

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MessageSujet: Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.)   Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.) Icon_minitimeJeu 1 Mai 2014 - 18:30

Qui y'a t-il de mieux que de voir la douleur sur un visage que l'on déteste? Il se souviendrait de cette journée jusqu'à son dernier souffle. Mikandir envahissait parfois ses songes. De brefs flash-back. Parfois, de la fois ou l'on fût généreux avec lui. Parfois de la fois ou lui ne l'avait pas été. Il s'était toujours demandé pourquoi son crime fût resté impuni. Non, en faite il le savait bien. Il avait eu tout les droits à une époque. A ses yeux tous cela ressemblait à une notion approximative du "bon vieux temps". Lamech Lockeed le savait , tous ça avait disparu en même temps que la chute de l'empire soviétique, son empire. Cependant une partie de son esprit refusait constamment de l'accepter, il resterait à jamais ce soldat perdu dans l'immense taïga russe, quoiqu'on puisse dire.
Il ouvrit les yeux, jetant un regard à travers sa fenêtre. Il faisait déjà noir. La nuit était son élément, le moment où il se sentait le mieux, le plus redoutable face à ce nouveau monde avec qui il semblait avoir du mal à évoluer. Généralement il s'agissait également du moment propice ou ses vieux démons s'affolaient à nouveau pour lui torturer l'estomac. Un en particulier ce soir-là, une faim de loup. Le kosovar n'avait jamais connu l'amour, et à moins que ce dernier consistait à prendre son camarade de caserne à genoux sur la cuvette des toilettes il en ignorait les aboutissants. Ou peut-être que les relations passionnelles et éphémères avec des demoiselles aux mœurs légères convenait mieux.

Après tout, oui, c'était peut-être ça l'amour.

Derrière son comptoir, il se fît la réflexion que plus personne ne viendrait se fournir en armes auprès de lui pour ce soir. Il était temps de quitter ce cloaque, d'autant plus qu'il ne désirait pas passer sa soirée en compagnie des "cafards" qui occupait sa cave  de temps à autre. Attrapant sa veste il tâta cette dernière pour y sentir son porte-monnaie. Lamech ricana, se maudissant presque d'être encore en vie pour vivre dans un monde qui ressemble à tout ce qu'il déteste. Payer pour du plaisir, idée difficilement acceptable pour le kosovar, sachant qu'il se souvenait du temps ou il suffisait d'être un défenseur de la partie pour avoir le droit à une fille, consentante et gratuite.
Si Radcliff était paisible une fois la nuit tombée le jeune homme ne l'appréciait pas. Trop chaleureuse, trop vivante pour un soldat qui avait vécu dans l'hiver constant et la désuétude des bâtiments soviétiques mourants. Le quartier sud n'était plus qu'à une centaine de mètres, c'était d'ailleurs la première chose qu'il eut repéré lors de son arrivée en ville. Les quartiers chauds ou tout du moins ceux qui donnent chaud.  Nourriture, loisirs, détente. Chaque être humain possède des besoins et sait ou les assouvir, il en allait de même pour le soldat. Devant lui se dessinait la devanture de l'endroit qu'il cherchait à atteindre, guidé par ses envies.

Couleurs criardes, son ultra violent, pas de doute il avait trouvé son trésor. Si l'entrée semblait déserte il n'en était rien, tout les badauds restaient à distance, comme des rôdeurs autour d'une proie. Sauf que ceux-ci avait honte de se rendre dans ce genre de lieu. Foulant le tapis à l'entée, visage découvert il attrapa la porte pour se faufiler dans le club sans vraiment pourquoi les gens refoulaient de cette manière leur comportement. Lui était fier, de tout ce qu'il avait fait et de ce qu'il accomplirait dans le futur. Les gens pouvaient bien dire, il n'en avait plus rien à foutre.

Un rapide coup d’œil.

"Je veux une fille." précisa t-il car le club ne semblait uniquement empli de douces pécheresses. Peu importe la fille. Juste une fille.

"Box 22."

Sans attendre il tourna les talons et se fia aux numéros inscrits au-dessus des cabines, tombant parfois sur des rideaux entrouverts ou son regard se perdait quelques secondes. Il dû s'y reprendre à deux fois pour trouver son box et s'y glisser, refermant les deux bouts de tissus qui garantissait le peu d'intimité dont on pouvait faire preuve ici.

Maintenant il fallait attendre.


Dernière édition par Lamech Lockeed le Ven 2 Mai 2014 - 17:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.)   Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.) Icon_minitimeVen 2 Mai 2014 - 17:01



Si tu veux quelque chose, prends-le.

Je me retournais vers mon client, le regard noir de colère. Si j'avais bien entendu ce qu'il venait de me demander, j'avais le droit de faire ça. Je le traînais alors en dehors du box par sa cravate à 200 dollars, me retenant de lui foutre mon poing à la figure. Une mauvaise réputation, ce n'était pas bon pour les affaires. « Si c'est une pute que tu cherches ! » Oui, je me permettais de le tutoyer. « Va voir les trottoirs, je suis sûr que tu trouveras ton bonheur ! Et encore, moi-même je ne te prendrais pas ! » Je le dévisageais alors de la tête aux pieds tandis qu'il était allongé à mes pieds. Je le prenais de haut, observant ses joues joufflues, son ventre passant par-dessus sa ceinture et ses petits pieds de hobbit. « Pour oser coucher avec un type comme toi, il faut vraiment être désespéré ou au bord du gouffre ! » Heureusement pour lui, je n'en rajoutais pas, les regards de mes collègues et des autres clients m'arrêtant dans cette action. « Allez dégage, bouffon !! Et que je ne te revois plus ici ! » Mains sur les hanches, je le regardais sortir la queue entre les jambes et j'affichais un petit sourire narquois sur le visage. Oui, cet évènement, bien qu'il m'avait énervé, m'avait donné la pêche. Botté des culs comme ceux-là, il n'y avait rien de mieux pour se requinquer. Ces riches se croyaient tous supérieurs mais je ne me laissais pas pour autant impressionné par la grosseur de leur compte en banque. Riche ou pauvre, homme ou femme. Je ne faisais aucune différence. Le premier qui s'en prenait à moi ou qui m'insultait avait à faire à mes représailles. Le vengeance était un met savoureux.

Je me pavanais alors dans le club, vêtu simplement d'un shorty et de mes chaussures. Ici, la pudeur n'avait pas lieu d'être et que les clients profitent. C'était gratuit. Je m'avançais alors vers l'entrée où la patronne se trouvait comme à son habitude. « Dis-moi, Lou... Tu comptes renvoyer par la peau du cul tous tes clients de la soirée ? » Je posais mon regard sur elle et m'installais sur le tabouret qui prônait à ses côtés. Je restais silencieux et ne prenait même pas la peine de répondre à sa question. Il était inutile de le faire.Elle me connaissait et comprenait très certainement pourquoi je l'avais fais. « Je veux une fille. » Mon regard se tourna vers cet homme abrupte. Au moins, il savait ce qu'il voulait. Je restais à ma place, dévisageant ce nouveau client. Je ne l'avais jamais vu ici et pourtant, il me paraissait familier comme si j'avais déjà croisé son visage quelque part. Je le fixais d'autant plus, espérant qu'une éclairci m'aiderait à comprendre d'où je pouvais le connaître. « Box 22. » Ce fut en entendant ma patronne que le déclic s'engagea. Je me redressais brusquement. Il partait au box qu'on lui donnait. Et j'étais là, planté comme un con dans l'entrée du club à le regarder me faufiler entre les doigts. « Qu'est-ce qui te prends ? T'as vu un fantôme ? » Je partais comme une furie vers les vestiaires, ignorant encore une fois les paroles de ma patronne. J'avais besoin d'un objet spécifique car je ne pouvais pas en rester là. Il était présent, à quelques mètres de moi. Ma vengeance pouvait enfin commencer.

Revenant vers les box, je m'aventurais dans le couloir et passais devant le 18, le 20 pour terminer par le 22. J'écartais les rideaux et me glissait dans la pièce rapidement. Je refermais correctement derrière moi et me retrouvais alors face à face avec lui. Je plongeais mes yeux dans les siens, m'approchant de lui avec une certaine délicatesse. Connaissant son passé, je savais qu'il pouvait être dangereux. Cependant, je n'étais pas du genre à prendre des pincettes... « Désolé pour vous, monsieur Lockeed, mais toutes les filles sont prises. » Mensonge mais l'intéressé n'avait pas à le savoir. « Vous n'aurez que moi et croyez-moi, vous n'en reviendrez pas ! » Lui lançais-je en riant légèrement. S'il savait... Je passais alors ma main sur son torse et me faufilais derrière son dos. Je sortais un couteau de mon sous-vêtement et le lui glissais sous la gorge. « Vous, les soviétiques, vous vous croyez toujours intouchables... »


Dernière édition par Loukàs Romanov le Lun 19 Mai 2014 - 10:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.)   Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.) Icon_minitimeVen 2 Mai 2014 - 23:06

Il attendait, et plus il attendait, plus sa faim s'aggravait. Elle lui tonitruait l'estomac, le rendant plus fébrile, plus susceptible. Et son traitement tant espéré ne fût pas à la hauteur de ses attentes. Un mini-short. Un homme. L'un le perturba plus que l'autre. Malgré un anglais parfaitement maîtrisé, il avait parfois l'impression de parler une autre langue pour demeurer un éternel incompris. Il semblait pourtant s'être clairement exprimé auprès de l'hôtesse d’accueil. Des formes, que diable ! Mais non, il avait là devant lui un éphèbe à vieilles bourgeoises friquées.

"Désolé pour vous, monsieur Lockeed, mais toutes les filles sont prises." Pas de réponse immédiate. Juste cette irrémédiable sourire narquois et supérieur. A peine arrivé, déjà démasqué. Était-il devenu une si piètre espion que cela? Lui ne remettrait pas de nom sur son visage sans plus de précisions.
"Vous n'aurez que moi et croyez-moi, vous n'en reviendrait pas ! "  
"Je ne fait pas les garçons." rétorqua t-il, froidement.  

Tant d'assurance l'aurait fait rire si un détail n'avait pas déporté son attention. Les phalanges sur son torse. Le dernier homme à l'avoir touché l'avait amèrement regretté. Le gigolo l'ignorait, pour l'instant. Lamech n'appréciait pas quand des éléments perturbateurs interféraient dans un plan. Tout devait se passer comme il l'avait écrit et en sentant la lame froide le long de sa gorge, il se doutait que ses plans furent compromis. "Vous, les soviétiques, vous vous croyez toujours intouchables..."  Il fît légèrement basculer sa tête en arrière, allégeant la pression du couteau sur sa peau, le fixant au passage. "En effet. C'est pour compenser les tripotages incessants que vous subissez, vous les putes." Quand ses instructeurs lui signifiait qu'il ne possédait aucun tact, ils devaient être dans le vrai. "Tu es russe." Aucune réponse ne s'avérait nécessaire. Il l'avait entendu et sa colère naissance trahissait sa voix. La question qui se posait désormais était pourquoi un russe souhaitait en blesser un autre. Le soviétique avait causé beaucoup de mal lors de ses "heureuses années" comme il s'amuse à les appeler.

Néanmoins, avait-il vécu jusqu'ici pour se résigner à une mort pareille? Égorger comme un porc par un pédé ou milieu d'un club de strip-tease?
Nah! Mieux l'attendait ailleurs.

La musique gueulait dans ses tympans. Le couteau contre sa gorge ne faisait qu’attiser ce feu qui le rongeait. Celui-là même qu'il avait oublié quelques secondes après ce retournement de situation. Il n y avait qu'une façon de calmer ce brasier. Oui, une seule. "Si tu veux faire ça proprement, appuie plus fort et tranche net." Force. Fais le vite. Que cette lame argentée croise sa peau ou son sang bouillonne. Qu'il soit libéré de sa prison de flammes qui l'empêche de réfléchir, d'avoir les idées en place. Il nécessitait de l'attention. De posséder son réceptacle qui pourrait contenir sa rage du moment. Et pourtant à ce moment précis, dans ce lieu, il semblait être la chose la plus paisible. Pour cela on l'avait déconstruit, fais de lui le monstre qu'il est maintenant. Celui qui refoule le moindre sentiment, le moindre signe qui pourrait le trahir. Un instant, il ferma les yeux alors que tout semblait se mélanger en lui. Tout paraissait confus. La mélodie, cette menace. Sans réfléchir, doucement, ses doigts vinrent attraper son poignet, celui qui tenait peut-être le futur instrument de sa mort.   

"Deux choix. Ta lame. Une fille." Il se stoppa une seconde alors que ses pupilles anthracites se rouvrirent sur sa mâchoire carrée. Le gigolo possédait tout les pouvoirs.

"J'ignore ce que tu me veux et sincèrement, là, tout de suite, je m'en branle. Tu ne trouveras pas homme plus fier de ce qu'il a accompli pour son pays."  Il sourit, moqueur, fixant toujours son visage.

"Et toi? Qu'à tu fais pour ton pays à par offrir ton cul? " 
 
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MessageSujet: Re: Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.)   Si tu veux quelque chose, prends-le. (pv Loukàs.) Icon_minitimeSam 3 Mai 2014 - 19:02


« Je ne fait pas les garçons » Parce qu'il croyait franchement que je faisais les soviétiques ? Il ne savait pas qui il avait à faire et ça se voyait. Quel inconscient... Il se croyait protéger par son ton hautain et froid mais il ne me faisait pas peur. J'avais déjà prévu ce genre de répercussions et Lamech Lockeed n'avait quasiment plus de secrets pour moi. Je m'étais renseigné. J'avais appris bon nombre de chose à son sujet dont la cruauté de ses actes au Kosovo et ces années de perdition après la guerre. Je ne m'enfonçais pas dans la gueule du loup sans connaître ma proie. J'avais tant attendu cet instant. Je m'y étais préparé et pourtant, j'avais toujours cette petite appréhension dans le creux du ventre. Cependant, la vengeance qui m'animait était bien plus grande que cette stupide peur qui me prenait. Je lui glissais alors un couteau sous sa gorge. Il ne bougea pas. Aucun mouvement de panique. Au contraire, il bascula sa tête en arrière. Je le contemplais. Droit dans les yeux. « En effet. C'est pour compenser les tripotages incessants que vous subissez, vous les putes. » Je redressais ma prise serrant mon couteau un peu plus contre son cou et surtout au niveau de sa carotide. Un mouvement brusque de sa part et il pouvait signer son arrêt de mort. « Tu es russe. » Je ne répondis rien. Mon accent me trahissait. C'était un fait et je ne m'en cachais pas. Il y avait les russes et les soviétiques. J'en faisais la distinction car ces derniers étaient cruels, sans pitié et inhumains et j'en avais un sous la main.« Si tu veux faire ça proprement, appuie plus fort et tranche net. » Je le fixais dans les yeux. Son indifférence m'intriguait. Il se jouait de moi. J'en étais certain. « Ne me tentes pas. C'est tout ce que tu mérites. »

J'alternais mon regard entre ma lame et ces yeux d'un froid indescriptible. S'attendait-il à mourir ou, au contraire, savait-il déjà qu'il s'en sortirait sans une seule égratignure ? Il ferma les yeux devant moi. Mon cœur s'emballait. Je n'avais encore jamais tué personne de sang-froid. Je n'avais même jamais tué un être humain. J'étais peut-être un connard mais pas un meurtrier ni même un assassin. Et Lamech avait dû sentir mes doutes car ce dernier m'attrapa le poignet comme s'il savait que j'étais en pleine hésitation. « Deux choix. Ta lame. Une fille. » Je resserrais ma lame. Une perle de sang coula. « Ou un seul choix. Un dernier plaisir avant une mort méritée... » Lui lançais-je finalement. Je pouvais bien lui accorder cette dernière faveur car la mort sonnait déjà à sa porte. « J'ignore ce que tu me veux et sincèrement, là, tout de suite, je m'en branle. Tu ne trouveras pas homme plus fier de ce qu'il a accompli pour son pays. » Fier ? J'aurais craché tripes et boyaux si j'avais pu. Il me dégoutait et son air moqueur m'insupportait. « Et toi ? Qu'as-tu fais pour ton pays à par offrir ton cul ? » Je lui entaillais légèrement la peau avant de m'écarter. « Mon pays... Je n'ai pas de pays ! La Russie m'a tout pris. Et j'ai tout donné pour elle, quitte à perdre sept années de ma vie. » Je jouais avec mon couteau, le retournant entre mes mains tout en fixant Lamech. Je tournais autour de lui et faisais glisser mon arme sur son si beau visage. « Les soviétiques n'ont pas tous les droits. Les soviétiques ne peuvent pas expérimenter les choses qui leur passe par la tête dans des laboratoires secrets. » Je m'énervais, perdant ainsi le contrôle de la situation. Mais cette histoire me révoltait. Je ne m'en étais jamais remis. Qui pourrait s'en remettre ? Personne et je comptais bien crier vengeance pour toutes les âmes en peine à cause de leur méfait. « Ils paieront pour leur crime... Et tu paieras pour celui de tes supérieurs... »
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