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 let the storm begin (mina, fst.)

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Laura Hardy
Laura Hardy

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SUR TH DEPUIS : 10/04/2016
MessageSujet: let the storm begin (mina, fst.)   let the storm begin (mina, fst.) Icon_minitimeLun 10 Oct 2016 - 10:18

the trouble with you is the trouble with me
and a quick fix never comes easily

trouble@onetwo

Tu ne sais pas trop ce que tu fais là. Tu ne sais pas non plus ce qui t’a pris. Parce que la dernière fois que tu as voulu en apprendre plus sur ta famille, la dernière fois que tu as eu un quelconque contact avec quelqu’un avec qui tu partages un bagage génétique, tu as fini la rencontre avec un couteau sur la gorge et une colère noire. Et pourtant, la curiosité, elle te parle fort. Beaucoup trop fort. Elle chuchote à ton oreille que tu as besoin de plus, que maintenant que tu as ouvert la porte, tu es aussi bien de plonger tête première dans ce gros bordel. Ça n’explique toujours pas ce que tu fais là, et pourtant. La porte est devant toi. Grande et imposante, comme le bureau d’avocats derrière tu imagines. Tu n’oses même pas imaginer comment Jake réagirait s’il savait que tu avais repris ses recherches, mais tu t’en fiches. Parce que ce n’est pas sa famille. Fuck, ce n’est même pas de ses affaires, de savoir pour toi qui tu es et d’où tu viens et toutes ses shits. C’est avec cette idée en tête que tu passes la grande porte, te rendant jusqu’à un bureau que tu devines être l’accueil. Tu penses à faire demi-tour, prétendre que tu n’es jamais venue. Repartir et faire semblant de rien, parce que ce serait tellement plus simple que de devoir faire face aux potentielles informations que tu pourrais trouver au sujet de ton paternel. Dans le dossier que Jake t’a ramené, il n’y avait rien de plus que père inconnu, mais tu te dis que c’est peut-être voulu. Que peut-être, il y a plus à savoir et que l’homme voulait te couper de ta réalité, ne serait-ce qu’un peu plus. « Je, j’suis là pour voir Mme Barnes. Mina Barnes. » La secrétaire qui te fait face ne t’offre aucun mot, plutôt, elle te pointe un peu maladroitement et peu précisément quel chemin prendre pour te rendre au bureau de la jeune avocate. Du moins, tu présumes qu’elle est avocate, ou quelque chose dans ces lignes pour que Jake ait été en mesure de trouver de l’information auprès d’elle. Tu suis le long couloir que t’as pointé la secrétaire et lorsque tu arrives au bureau du fond, tu te retrouves face au bureau d’un certain Maître Munroe, mais c’est une jolie rousse que tu aperçois dans un coin de la salle. « Mina Barnes? » Elle lève la tête et tu ne peux empêcher un sourire de se placer inconsciemment sur tes lèvres. Parce que la femme devant toi, c’est pas du tout l’image que tu t’étais fais du nom. Et franchement, cette image, elle te plaisait vachement plus que ce tu avais pu imaginer. « Je, woah. J’m’attendais pas à ça. À toi. À vous j’veux dire. » Tu t’enfarges dans tes mots, mais tu le fais un peu par exprès, un peu pour être charmante, toi qui est normalement tout sauf charmante. Là, tu te retrouves avec au moins deux raisons d’être charmante. La rousse devant toi étant la première, et la chance d’avoir les informations dont tu as besoin la deuxième. En espérant que ton sourire a encore son effet. Tu l’utilises si peu, il y a des bonnes chances quand même. « Y’à quelqu’un qui est venu vous rencontrer il y a quelques temps au sujet d’informations sur mes parents biologiques. Laura Hardy. » Tu ne sais pas trop si c’est précis ce que tu dis, tu ne sais même pas si légalement, elle a le droit de te donner les informations. Mais tu dois savoir et si elle peut aider, tu comptes bien utiliser chaque avantage que tu possèdes. « J’voulais savoir s’il y avait d’autres informations. Autre chose qui aurait été délaissé la dernière fois. »
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MessageSujet: Re: let the storm begin (mina, fst.)   let the storm begin (mina, fst.) Icon_minitimeJeu 13 Oct 2016 - 21:13

let the storm begin
LAURA & MINA
her radiance rivaled that of the sun with a smile like that, you would never suspect the darkness in her head

S'il y avait bien une chose que Mina Barnes détestait, c'était la paperasse. Mais en tant qu'assistante, c'était son travail à elle de faciliter celui des avocats du cabinet. Alors quand on lui donnait une pile de dossiers à trier et à classer, elle le faisait sans se plaindre. De toute façon, tout métier avait ses activités ennuyeuses, non ? Elle s'était donc collée à la corvée, et à la fin de la matinée, chaque avocat du cabinet avait eu droit à sa petite pile de documents triés parfaitement sur un coin de leur bureau. Satisfaite de son travail, Mina s'apprêtait à quitter le bureau de Caleb quand une voix dans son dos l'appela. Elle se retourna immédiatement, et découvrit une jolie blonde sur le pas de la porte. Le choc fut instantané, son cœur loupa un battement et ses yeux s'écarquillèrent. Cette fille. Cette fille. Elle la connaissait sans la connaître ; elle avait hanté ses ses cauchemars et peuplé ses visions pendant très longtemps. C'était elle, elle en était certaine. Mais ce n'était pas exactement quelque chose que l'on pouvait dire au premier abord, n'est-ce pas ? « C'est moi, oui. » Elle se força à sourire quand la jeune femme s'étonna de son âge. Ce n'était pas la première fois qu'on lui faisait la remarque, c'était à croire que personne ne s'attendait à ce qu'un cabinet d'avocats embauche une étudiante pour donner un coup de main. « Ne vous en faites pas. Je suis jeune, pas incompétente. Je peux faire quelque chose pour vous ? » Si la secrétaire la lui avait envoyée, c'était forcément le cas. Mais c'était le genre de demande polie qui plaisait à tout le monde. « Ah oui, je me souviens. Venez avec moi, je vais vous donner le dossier. » Jusque là, elle ne connaissait pas le nom de la jeune femme, alors quand les documents s'étaient retrouvés entre ses mains, elle s'était contentée de demander à Caleb si tout était en ordre avant de sceller l'enveloppe contenant les précieuses informations. Légalement, il n'y avait que Laura qui avait le droit de l'ouvrir, puisque c'était à elle qu'ils étaient destinés. Ne pas savoir d'où l'on venait ça ne devait vraiment pas être facile. D'une certaine façon, Mina comprenait, car elle aussi avec perdu son père le jour où il avait été vacciné, alors que son esprit présent était en conflit avec celui du passé. Il était toujours là, mais c'était comme si elle n'avait jamais existé pour lui. C'était difficile, plus qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Mina conduisit Laura dans une pièce du cabinet qui servait à ce genre d'entretien, et pendant qu'elle s'y installait, elle alla chercher le dossier qui contenait sans doute beaucoup de réponses à ses questions. Elle prit ensuite place en face d'elle, et lui tendit un formulaire ainsi qu'un stylo. « C'est simplement une décharge, il faut que vous la signiez pour affirmer que vous avez bien récupéré ces documents, pour décharger le cabinet de toute responsabilité ensuite, si vous les perdez, ou si ces informations sont erronées... Dans votre cas, nous faisons simplement office d'intermédiaires. Ce n'est rien de plus qu'une formalité. » Une fois le papier signé, Mina le rangea dans le classeur où étaient placées ce genre de documents. Et enfin, elle tendit l'enveloppe à Laura. Elle ne pouvait s'empêcher de la regarder, une partie d'elle-même avait envie de lui dire ce qu'elle savait à son sujet, ce qui lui arriverait un jour. Elle le savait, elle n'avait pas le droit d'interférer ainsi dans la vie des gens, c'était trop... cruel. Sans compter que Laura la prendrait pour une folle. « Voilà. J'espère que vous trouverez là dedans tout ce que vous voulez. Je peux vous laisser seule, si vous préférez. »

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Laura Hardy
Laura Hardy

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MessageSujet: Re: let the storm begin (mina, fst.)   let the storm begin (mina, fst.) Icon_minitimeDim 20 Nov 2016 - 5:43

the trouble with you is the trouble with me
and a quick fix never comes easily

trouble@onetwo

Tu savais que Jake serait fâché, s’il savait que tu faisais ses démarches dans son dos. Mais tu ne pouvais t’empêcher de croire qu’il y avait quelque chose qu’il ne te disait pas au sujet de ta famille. Tu ne pouvais t’empêcher de te demander s’il n’y avait pas quelqu’un d’autre dans ton arbre, peut-être quelqu’un de plus doux et de plus jovial que Valentina Sandrelli, dont les traits n’avaient pas quitté ton esprit depuis votre première et dernière rencontre. Mais lorsque tes yeux se posèrent sur la jeune Barnes, tu savais que les traits de la rousse hanterait ton esprit dans les jours à venir, mais pas pour les mêmes raisons, fort heureusement. « C’est moi, oui. » Tu te contentes de lui offrir un sourire alors que tu te sens soudainement scrutée. Normalement, quand quelqu’un t’analyse ainsi, tu l’envoies chier ou tu lui demandes de regarder ailleurs, mais puisque tu étais littéralement en train de faire la même chose avec la rousse devant toi, ça t’aurait sembler un peu déplacée. Même qu’au contraire, tu étais contente de savoir que tu n’étais pas la seule à apprécier la vue. Il y avait longtemps qu’une fille ne t’étais pas tombée dans l’oeil aussi facilement, radicalement et tu n’étais pas en mesure d’expliquer qu’est-ce que Mina avait de si particulier, mais tu ne pouvais pas regarder ailleurs. C’était peut-être le roux de ses cheveux, si flamboyants, ou le bleu si pâle de ses yeux qui rendaient toute cette interaction plus facile et plus difficile en même temps. « Ne vous en faites pas. Je suis jeune, pas incompétente. Je peux faire quelque chose pour vous? » Ta réponse est du tac au tac, sans même prendre le temps de réfléchir. « Pas me vouvoyer serait déjà un bon début. » Après tout, tu n’étais pas bien plus vieille qu’elle et si tu voulais pouvoir flirter avec elle comme tu avais bien l’intention de le faire, le vouvoiement serait définitivement de trop. Comme une marque de respect que tu ne voulais pas, une distance professionnelle que tu avais envie de briser dès les premiers moments. Tu laisses quelques secondes filer, ne répondant pas directement à la demande de la jeune femme et tu lui offres un sourire avant de demander à avoir accès à ton dossier. « Ah oui, je me souviens. Venez avec moi, je vais vous donner le dossier. » Elle te fait signe de la suivre, ce que tu fais alors qu’elle prend place devant toi. Ton regard se fait encore indécent alors que tes yeux se posent inconsciemment sur le derrière de la jeune femme moulée dans une jupe ajustée et tu ne peux empêcher des pensées indésirables de faire leur place dans ton esprit. Tu n’as jamais été une femme charmante de toute façon. Plutôt bestiale, primaire. Ça ne plaît pas, la majorité du temps, mais tu t’en fiches. Y’a personne pour lire dans tes pensées de toute façon. Une fois dans la petite pièce, elle te tend des papiers et tu ne prends même pas la peine de lire ce qui y est écrit, ton regard toujours posé dans celui de la jeune Barnes. « C’est simplement une décharge, il faut simplement que vous la signez pour affirmer que vous avez bien récupéré ces documents, pour décharger le cabinet de toute responsabilité ensuite, si vous les perdez, ou si ces informations sont erronées.. Dans votre cas, nous faisons simplement office d’intermédiaires. Ce n’est rien de plus qu’une formalité. » Tu échappes un léger soupir, survolant les nombreux écrits sur la dite décharge, mais tu n’es pas en mesure de te concentrer assez pour véritablement lire ce que tu es sur le point de signer. À la place, tu préfères faire des commentaires plus au moins appropriées, sans trop savoir ce que ça va vraiment t’apporter. « C’est ce que j’étais pour eux aussi. Pour mes parents j’veux dire. Une belle formalité qu’on tasse avec quelques signatures. » Tu signes machinalement les papiers, les tendant à la jeune avocate en devenir avec un sourire. C’est la vérité après tout. Tu ne connais pas tous les détails derrière les raisons qui ont poussé tes parents a t’abandonner – quoique tu en connais déjà un peu plus après ta visite chez Valentina – mais au bout du compte, la décision s’est prise telle une formalité, quelques papiers signés et hop, on a plus aucune responsabilité, plus aucune attache. Si facile. « Pas que j’m’en plaigne ou quoique ce soit. » Après tout, t’as jamais voulu de famille. Du moins, c’est ce que tu essayes encore de te faire croire alors que tu prends des risques à chercher des informations avec lesquelles tu ne sauras pas quoi faire ensuite. Tu aimes te compliquer la vie Laura, plus que tu ne veux l’admettre. « Voilà. J’espère que vous trouverez là dedans tout ce que vous voulez. Je peux vous laisser seule, si vous préférez. » « Non. Reste, s’il-te-plaît. » Le dossier dans les mains, tu tends toutefois le bras, dans un mouvement qui se veut convaincant. Tu n’as pas envie d’être toute seule pour faire face aux réalités qui se cachent dans ses feuilles. Et puis il faut l’avouer, la compagnie n’est pas tout à fait désagréable non plus. « C’est pas sentimental ou rien. Juste des réponses. Des noms à mettre sur la raison de mon existence. J’veux juste être certaine que j’ai toutes les informations dont j’ai besoin. » Sauf que tu n’arrives pas à ouvrir le document. Alors tu t’assois sur une des chaises dans la petite pièce, place le document sur la table devant toi. Tu devrais l’ouvrir, tu sais que tu es là pour ça, mais tu n’y arrives pas. Alors en un soupir, tu détaches tes yeux des feuilles et les posent à nouveau sur la rousse. N’importe quoi pour retarder l’inévitable. « Mais parle-moi de toi. Tu serais super gentille de me distraire de tout ce bordel, Mina. S’il-te-plaît.»
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MessageSujet: Re: let the storm begin (mina, fst.)   let the storm begin (mina, fst.) Icon_minitimeMar 6 Déc 2016 - 18:13

let the storm begin
LAURA & MINA
her radiance rivaled that of the sun with a smile like that, you would never suspect the darkness in her head

Mina n'avait pas l'habitude d'être seule avec un client. Généralement, il y avait toujours Caleb ou un autre avocat avec elle, pour l'assister, s'assurer qu'elle ne fasse pas de bêtise... Mais pour une simple signature, Mina n'avait pas besoin d'aide, alors c'était seule qu'elle s'occupait du cas de Laura Hardy. Elle avait son nom, elle se débrouillerait pour la retrouver ensuite et... Elle tenterait de lui expliquer qu'elle était en danger ? Qu'elle risquait de mourir ? Ce serait compliqué, mais il en fallait davantage pour effrayer Mina. En attendant, elle allait faire de son mieux pour se comporter comme si de rien n'était, comme si c'était la première fois – et en fin de compte, ça l'était – qu'elle la voyait. Laura semblait être du même genre que Mina, un caractère orageux derrière un visage de poupée. Alors forcément, le courant passant plutôt bien entre elle, de façon assez naturelle. « Oh, euh, désolée... » Si elle avait des difficultés avec ses parents, au moins ils étaient là, ses parents. C'était compliqué, mais elle était certaine qu'ils l'aimaient – et même si Silas ne se souvenait pas d'elle, elle savait qu'il l'aimait, elle le sentait. Les lèvres figées en un demi sourire, Mina avait récupéré les document signés par Laura et lui avait tendu l'enveloppe qui contenait les informations confidentielles à son sujet. Elle allait la laisser seule, mais puisqu'elle lui demanda de rester, Mina se laissa tomber un peu bêtement sur la chaise en face d'elle. « Oui, oui, je comprends. » Juste des réponses... Mais elle pouvait sentir la nervosité de Laura, quand bien même elle n'en dit rien. Mina comprenait que ça ne devait pas être facile, de voir sa vie résumée par quelques bouts de papier. Alors elle espérait sincèrement que Laura obtiendrait les réponses qu'elle devait attendre depuis longtemps, même si elle se doutait que ces réponses ne seraient pas forcément plaisantes à lire. Mina fut surprise lorsque Laura lui demanda de lui parler d'elle pour la distraire, et dut faire une drôle de tête. « Euh, d'accord, si vous voulez... Hm... » Parler d'elle... Ce n'était pas ce que Mina préférait faire, mais Laura semblait sincèrement avoir besoin d'un petit coup de main pour supporter ces révélations, alors elle allait faire un effort. Elle prit une profonde inspiration, passa nerveusement une main dans ses mèches cuivrées. « Je m'appelle Mina, Mina Barnes. J'ai vingt ans, je suis étudiante en Droit... Clairement... » Elle n'était pas très douée, elle avait toujours préféré écouter que parler. « Je suis danseuse... Danseuse de ballet, ballerine quoi. Depuis toute petite, c'est ma passion. Et, euh... Je déteste le café et le thé. Je ne bois que du chocolat chaud. Ça craint un peu, parce que ça fait gamine et que c'est riche en calories, mais je m'en fous un peu, en fait. Chacun ses vices, hein. » Un petit rire nerveux lui échappa, et elle capta le regard de Laura. Elle était vraiment, vraiment jolie comme fille. Mina avait beau rester professionnelle, c'était impossible de ne pas le remarquer. Si elle n'avait pas été attirée par les femmes, peut-être qu'elle serait passée à côté de sa beauté froide... Mais Laura, c'était le genre de fille qu'elle aurait pu tenter de séduire, si le contexte avait été tout autre. Là, il n'en était simplement pas question. Cependant, elle se risqua à prendre sa main, un geste qui se voulait rassurant. « Je veux bien vous parler de moi pendant des heures, mais ça ne vous aidera pas... Peut-être que vous devriez prendre ces documents, et les lire tranquillement chez vous, au calme... Avec un proche ? Je ne peux pas prétendre que je comprends ce que vous traversez, mais je me doute que ça doit être un peu compliqué, dans une pièce un peu froide et impersonnelle... » La pièce avait beau être décorée avec goût, elle n'en restait pas moins prévue pour recevoir des inconnus, censés n'être que de passage. Rien à voir avec le bureau de Caleb, par exemple. « Vous voulez boire quelque chose, peut-être ? Un café, un thé ? » C'était un peu bête comme proposition, mais ça suffisait parfois à détendre les gens, à les faire se sentir un peu plus à l'aise.  

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