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 I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec]

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MessageSujet: I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec]   I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec] Icon_minitimeDim 13 Sep 2015 - 13:45


I might need you, but I still don't like you!
Alec & Absalon

Il  y’a cinq mois un incendie à fait trois mort, un couple, les Hodgins et leurs bébé. Cette famille aurait pu être la mienne, à la différence que je ne suis pas humain. A l’époque le maire avait refusé que je dirige l’enquête, il ne me fait pas confiance, il faut dire que je ne fais pas parti de ses chiens de garde. Je n’avais rien pu faire au risque de me faire démasquer, surtout que nous savons tous, au fond, que celui qui a orchestré se meurtre, c’est lui, les preuves ont été dissimulés, et si quiconque avait osé le dire, il serait probablement mort à l’heure qu’il est. Cette affaire trottait toujours dans un coin de ma tête, elle avait beau être classée, une jeune femme était tout de même morte, Hope Hawking avait été froidement assassinée par Thaddeus, qui avait convaincu les gens qu’elle était responsable de l’incendie. Tout ce que j’avais pu faire, était de me taire. Il fallait que je pense à protéger ma famille, à l’époque ma compagne était enceinte, et ma fille se droguait, il fallait que je pense d’abord à elles. Tout ça me rongeait de l’intérieur, je voulais pouvoir faire quelque chose, me battre contre les hunters, ramener la paix. La paix. C’était pour ça que j’étais devenu flic, c’était ce qui m’avait poussé à entrer au FBI, j’ai vite découvert que pour avoir la paix, il fallait faire la guerre, se battre contre l’intolérance des hunters, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle je suis entré chez Insurgency.

Mon boulot de sheriff me prend énormément de temps c’est un fait, plus Insurgency on peut dire que je suis content quand je vois ma famille. Être sheriff à Radcliff n’est pas de tout repos, surtout quand on est laissé dans le noir, et qu’il faut faire attention à chacun de nos faits et geste pour ne pas attirer le regard des hunters, d’autant plus que mon poste de police en est infesté. A une époque je faisais partit du FBI, j’avais une femme, et une fille, on était heureux, mais tout ça s’est terminé lorsque j’ai dû emmener ma fille et fuir loin de ma femme, maintenant je suis relayé à la paperasse, au moins je suis autant payé que si je faisais le boulot qui m’est dû, au moins côté famille je suis de nouveau heureux avec ma compagne et mes deux filles.  La seule chose qui me chiffonne, c’est que je m’ennuie. Être assis à mon bureau, à signer des papiers que j’ai cessé de lire il y’a bien longtemps, on ne peut pas dire que c’est la joie. J’ai souvent envie de tout balancer, mais ma position me permet d’aider certains mutants, ce qui sont enfermé pour de petits délits, je peux les faire sortir de prison facilement. Aujourd’hui encore j’ai le cul cloué à mon bureau, je n’ai même pas d’affaire minime, genre un vol de sac à main ou un truc dans le genre.

Et puis merde, je m'ennuie trop. Je vais aller faire un tour du coté des archives, rouvrir le dossier de l’incendie de la maison des Hodgins. Personne ne m'en voudra de faire mon boulot, et si le maire me demande pourquoi je rouvre l'affaire, je pourrais toujours dire que je pense qu'elle n'était pas la seule mutante impliquée dans l'affaire. J’inventerais une excuse, mais j’ai besoin de faire quelque chose qui ait du sens. C’est chiant d’être surveillé à la loupe, mais si je ne fait rien mes nerfs vont lâcher. Et ça m’étonnerait, mais si je pouvais trouver quelque chose contre Thaddeus, qui pourrait l’inculper, l’envoyer au trou, quelque chose que même lui ne pourrait pas nier. Une preuve que même le gouvernement, qui laisse faire les hunters, ne pourrait pas cacher. Direction les archives, je récupère le dossier, et je fais mon possible pour éviter mes employés, je suis conscient qu'il y a des hunters parmi eux et je ne voudrais pas qu'ils me prennent pour une cible potentielle! Je retourne donc à mon bureau, et commence à lire consciencieusement le dossier, il n'y a quasiment rien dedans, tout ce qui est marqué ce sont les résultats d'autopsie, les photos des lieux du crime, qui d'après moi ont été falsifiées, des témoignages qui semblent mal construits, à l'époque j'avais les pieds et mains liées. Thaddeus m'avait formellement interdit d'enquêter sur cette affaire, mais maintenant qu'elle est classée rien ne m'empêche de fouiner un peu.

Le problème c'est que les faits ce sont déroulés il y a cinq mois, je ne suis pas sûr de trouver plus d'éléments, mais qui ne tente rien n'a rien. Je continuais donc ma lecture jusqu'à ce que l'un de mes employés vienne me déranger. Génial, il ne manquait plus que ça. ''Entrez!'' Dis-je avant de me rendre compte que le dossier sur les Hodgins était toujours ouvert sur mon bureau. Au pire quoi qu'il me dise, ici l'autorité c'est moi, et vu que le gardien des archives ne tient jamais sa langue ça ne m'étonnerait pas qu'une bonne partie du poste sache que j'ai ce dossier en ma possession.
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Alec Lynch
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MessageSujet: Re: I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec]   I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec] Icon_minitimeVen 18 Sep 2015 - 20:40


for a long year, stole many a man's soul to waste
please allow me to introduce myself, i'm a man of wealth and taste. and i was 'round when jesus christ had his moment of doubt and pain. made damn sure that pilate washed his hands and sealed his fate. hope you guess my name. but what's puzzling you is the nature of my game w/absalon castellanos & alec lynch.

Il avait embarqué les trouvailles de Calista, les lui arrachant presque des mains sans discuter. Alec les avait lues ; en boucle pendant toute une soirée, puis encore et encore au fil des jours. Son choix avait été simple, et il n’avait pas fait état de cause lorsqu’il avait vu la blonde le dévisager le matin où il avait passé le seuil du poste de police, l’air de rien. Alec Lynch avait repris du service, presque quelque chose dont on avait parlé pendant des heures, tapant sur l’épaule du chasseur pour l’accueillir – d’autres, s’étaient montrés plus réservés ; l’habituel fonctionnement du commissariat de Radcliff, partagé entre les chasseurs qu’on masquait à peine, et les autres. A sa grande surprise, bien peu de soupçons semblaient trainer sur sa personne (ou ses collègues niaient très bien l’évidence) ; si bien que le Lynch avait rapidement repris ses bonnes habitudes. Ce job, aussi désuet et inintéressant était-il, lui avait manqué – curieusement – c’était presque un repère dans cette ville qui partait en vrille, quelque chose dont il avait eu plus besoin qu’il ne l’aurait cru, par le passé. Chasser était sa motivation cependant, il le savait et voulait encore y croire, malgré tout ce qui se bousculait dans sa tête désormais : malgré les vérités et la réalité que Calista lui avait offert, juste sous ses yeux, le soir où elle était venue le voir dans son appartement. Ouais, Lancaster était sans aucun doute impliqué dans ce qui était arrivé aux Hodgins – et si les dossiers de police sur cette affaire étaient désespérément vides, ça n’avait pas été le cas de ceux conservés soigneusement dans les archives de la mairie, sous la tutelle de Lancaster lui-même. Etait-ce un excès de mégalomanie, que de conserver les preuves accablantes de sa culpabilité en plein milieu de la ville ? Le truc stupide étant, que l’attentat au centre-ville n’avait fait que détruire les preuves matérielles – à croire que c’était le maire lui aussi, qui avait projeté cet attentat. Non. C’était autre chose ça, un incident sur lequel le chasseur avait déjà amassé nombre de ses soupçons – car tout autant qu’il avait plongé son nez dans les preuves apportées par la Wolstenholme, il n’en perdait pas son objectif principal de vue. Quelqu’un avait fait péter l’hôtel de ville – ce bâtiment en flammes duquel il avait sorti Calista in extremis. Quelqu’un devait payer pour ça. Au milieu des pages et des pages, pourtant, le nom qui était sorti l’avait frappé de plein fouet : Lecter – comme Felix, comme Beatrix. Comme cette famille qu’il connaissait depuis des décennies déjà : sur le chemin de cette histoire, il y avait eu une trahison quelque part. Felix avait été au courant de cette histoire, et avait délibérément laissé son meilleur ami, son partenaire de toujours, dans le noir. Etait-ce préférable ? Quelque part, mentir à la jeune femme aurait été une épreuve bien difficile, après tout ce qu’ils avaient traversé – pourtant, le Lynch avait l’âpre sentiment que c’était toute sa légitimité de chasseur qui avait été remise en question. Et ça lui foutait un coup à l’orgueil.

Force était de constater qu’aujourd’hui, on le regardait presque comme un héros, pour avoir foutu une balle entre les deux yeux du transmutant qui avait menacé de tuer tout le monde à la fête foraine : ça ne recollait en rien les morceaux. Presque autant que lui, Felix paraissait être aux abonnés absents, ce qui eut tôt fait d’éveiller la méfiance du chasseur. La solitude, encore une fois, était sa meilleure compagne : il savait, pourtant, que la menace de tout cela planait surtout sur Calista. Calista qui avait elle-même fouillé dans les archives de la mairie. Calista qui, trop imprudemment, émettait à haute voix ses doutes sur Thaddeus Lancaster. Calista qui multipliait les visites nocturnes à son appartement pour lui apporter de nouvelles preuves accablantes sur la responsabilité du maire et d’un petit groupe de hunters dans l’incendie qui avait coûté cinq vies. Cinq vies… juste cinq vies, pour lesquelles la Wolstenholme était prête à prendre des risques inconsidérables. Pourquoi eux ? Pourquoi maintenant ? Ce n’était pas pour les Hodgins qu’il était là, assis à son bureau, penché sur une montagne de paperasse qui lui servait de couverture – c’était pour Calista : parce que malgré l’imprudence de la chasseuse, malgré la façon dont elle agissait, il fallait que quelqu’un couvre ses traces. Et il le ferait ; parce qu’elle était sa partenaire, d’une certaine manière, sa moitié – celle qu’il n’était que trop peu enclin à accepter dans son quotidien, mais celle sans laquelle il ne pouvait guère envisager de continuer, comme si de rien n’était. Etait-elle devenue un genre de conscience, murmurant dans un coin de son esprit des vérités qu’il ne voulait guère entendre, en temps normal ? Qu’étaient-ils, à vrai dire ? Le cul entre deux chaises, se battant pour le camp des hunters mais fouinant comme l’avait fait cette terroriste, accusant Lancaster d’être un tueur alors même que la menace qu’ils considéraient comme la plus dangereuse de toutes, était encore dehors ? Sur bien des points, Lynch et Wolstenholme ne s’accordaient pas, niant des évidences criantes : aujourd’hui, Alec mettait leurs différends de côté pour passer à l’action – quelqu’un allait devoir porter le chapeau à la place de Calista ; et dans ses jours d’errance, le chasseur avait savamment construit ses plans. Au poste de police, ceux qui posaient des questions, ou se montraient réticents à s’engager dans le chemin tout tracé par le maire de la ville, étaient si rares qu’ils étaient déjà tous identifiés. Il y avait Isolde qui se montrait toujours comme affichant le plus d’animosité à l’égard de ceux qui ne pensaient pas comme elle – trop récalcitrante, somme toute, pour être le dindon de la farce. Et d’autres noms, on ne peut plus insignifiants, sur lesquels le Lynch n’avait guère décidé d’attarder son attention. Non, l’opportunité se présenta à lui d’elle-même, presque, lorsque, au détour d’un couloir, les murmures atteignirent ses oreilles. Ça en inquiétait certains, que le shérif soit allé lui-même aux archives pour ressortir le dossier quasiment oublié des Hodgins. Comme un coup de pouce du destin, frappant exactement au bon moment.

L’hésitation fut de courte durée : il n’y avait que peu de personnes, dans ce commissariat, qu’il pouvait moins saquer que le shérif de Radcliff – et l’inutilité de celui-ci grandissait chaque journée. Ce qui devait s’avérer frustrant, pour n’importe quelle personne désireuse de changer le monde. Mais qui de mieux pour porter le chapeau à la place de Calista ? Personne n’était à l’horizon – sans doute était-ce la pause déjeuner, ou l’heure du café habituel entre collègues – lorsqu’Alec récupéra les paperasses amoncelées par la Wolstenholme, et rangées dans un dossier qui ne payait pas de mine. Elle en avait trouvées, pourtant, des informations compromettantes : un précieux trésor avec lequel le Lynch se promenait bien rarement, peu désireux d’être rattaché un tant soit peu à cette histoire. Il n’avait pas foutu le feu dans cette baraque, c’était une certitude ; quelqu’un l’avait fait, certaines personnes portant le nom de Lecter. Peut-être Lancaster, quelque part : y avait-il un quelconque moyen de connecter le maire à cette histoire ? Qu’importe. En frappant à la porte du bureau du shérif, il avait pris sa décision – et il serait celui qui gérerait les imprévus. C’était toujours mieux que de laisser toute la responsabilité à Calista : Calista et sa soif de justice, de vérité qui la rendait totalement imprudente. « Entrez ! » et c’était peut-être le premier ordre de son supérieur auquel il obéissait sans rechigner : le chasseur referma la porte derrière lui, sans tenir compte du moindre signe de protestation de l’homme en face de lui – s’il y avait bien une évidence inutile à souligner, c’était qu’aucun des deux n’appréciait la compagnie de l’autre. Encore un point dans la colonne bonus, s’il fallait que Castellanos tombe à la place de Calista. Presque immédiatement, d’une œillade, il trouva le dossier des Hodgins, là, vautré au milieu du bureau – et dire que n’importe qui d’autre aurait pu se trouver là. Quel abruti allait enquêter sur les actes du maire quelques semaines après l’attentat de la fête des Fondateurs, alors même que son job reposait sur la nécessité de ne pas se faire remarquer ? Il était le pigeon idéal, il foncerait tête baissée à la première opportunité. « Je croyais que l’affaire Hodgins avait été close. Monsieur. » et sa rigidité, l’impériosité de sa phrase avait de quoi donner le ton : y avait-il un quelconque flic dans ce poste qui craignait encore l’autorité du shérif ? Sans attendre de réponse de son vis-à-vis, Alec désigna le gros paquet qu’il avait en main, le déposant devant son supérieur. « De la paperasse à vérifier. » et toujours aucune politesse, aucun respect dans la voix – rien, si ce n’est un discret regard appuyé : il fallait être complètement fou pour penser que les faits et gestes de chacun n’étaient pas soigneusement étudiés, ici. « Je pense que ça a tout pour être prioritaire. Je suis sûr que les vieilles affaires sorties des archives peuvent attendre. » ou les dossiers vides de sens, alors même qu’il y avait une véritable mine d’informations juste sous son nez. Merci Calista – et son subit désir de collaborer avec ces terroristes sortis de nulle part. Sans doute qu’Absalon Castellanos avait une meilleure explication à tout ça – à pourquoi ça valait encore la peine, de se soulever contre une machine bien huilée, désormais.
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MessageSujet: Re: I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec]   I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec] Icon_minitimeSam 19 Sep 2015 - 14:52


I might need you, but I still don't like you!
Alec & Absalon

J’avais un certain goût pour le danger apparemment, rouvrir l’enquête sur les Hodgins pouvait me coûter cher mais bon tant pis. J’avais donc étudié le dossier, quasiment vide, de long en large. Un de mes employés était venu me déranger, l’inspecteur Lynch, un de mes nombreux employés que je n’appréciais guère. Il faut dire que dans cette ville, il ya beaucoup de gens que je n’aimais, et une bonne partie d’entre eux étaient mes collègues. Il entra et jeta un coup d’œil à mon bureau, où le dossier des Hodgins était grand ouvert.

"Je croyais que l’affaire Hodgins avait été close. Monsieur."

Le ton qu’avait pris l’agent en disant  « monsieur » ne me plaisait pas, s’il avait quelque chose qui ne lui plaisait pas chez moi tant pis pour lui, je suis tout de même son supérieur, il n’avait pas d’autre choix que de me supporter, comme moi je devais subir sa présence ici. Et que le dossier soit clos ou non, si je voulais le rouvrir c’était mon choix pas le siens. Il déposa tout un tas de papiers sur la pile qui commençait à être bien haute pour un seul homme.

« De la paperasse à vérifier. »

C’est qu’il me prenait pour son chien celui-là ? Manquer autant de respect à son supérieur… Il y’a des limites à respecter. Il faut dire qu’il n’était malheureusement pas le seul à agir ainsi, mon autorité dans ce commissariat laissait à désirer, mais je ne pouvais pas faire autrement, j’ai des personne à protéger moi, et ce n’est pas en me mettant le maire à dos que je pourrais aider les miens, je devais donc faire des sacrifices.

« Il l’est, mais j’ai l’intuition qu’on a loupé quelque chose, je pense que la jeune femme qui a commis ces atrocités n’a pas agis seule. »

C’était un mensonge ce que je disais là, mais bon, encore une fois je préfère éviter de me faire démasquer, je suis très bien dans mon coin sans qu’aucun hunter vienne me courser. C’était bon d’ici quelques minutes tout le monde saurais que j’ai le dossier des Hodgins entre les mains.

« Je pense que ça a tout pour être prioritaire. Je suis sûr que les vieilles affaires sorties des archives peuvent attendre. »

Qu’est-ce qu’il en savait ? Je déteste vraiment ce gars, non mais sérieusement ! Il se prend pour qui… C’est pourtant moi ici qui suis supposé donner les ordres. Dieu sait que mon boulot au FBI me manquait. Bon ! je prenais le premier dossier que Lynch venait de poser sur la pile, si ça lui faisait plaisir et qu’il s’en allait, ça m’arrangerait. J’eus probablement un air bien surpris en lisant ce que j’avais entre les mains, des infos sur l’incendie, où est-ce qu’il avait bien pu aller chercher ça ?  Finalement, cet agent pouvait être un peu utile, je pouvais peut-être lui demander de m’aider, sans pour autant lui révéler mes véritables intentions.

« Vous savez, il y’a des gens bien plus dangereux qu’on ne croit dehors, je tient vraiment à les arrêter, quelque soit le moyen nécessaire ! Vous semblez en savoir un paquet sur l’incendie, plus que ce qu’on a ici ! Comment vous avez obtenus ces infos ? »

Je voulais vraiment savoir où il avait été cherché tout ça ! Et  aussi pourquoi ! Il était peut-être un enfoiré mais ce n’est pas pour autant qu’il était débile, du moins pas à ma connaissance, alors aller à contre-sens des souhaits du maire était dangereux, c’était un chemin  plein d’embûche… Peut-être qu’il pouvait m’aider à en trouver plus.

« Ça vous direz un partenariat pour cette enquête ? »

Je ne voulais pas vraiment bosser avec lui, il m’exaspérait vraiment avec son air superieur. Mais bon, ai-je le choix ? J’ai besoin de lui, et je déteste ça !
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Alec Lynch
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MessageSujet: Re: I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec]   I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec] Icon_minitimeLun 21 Sep 2015 - 19:31


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Coopérer avec le shérif. Même se pointer dans son bureau, au nez et à la barbe de tous ; ouais, il savait quelque part, que c’était de la folie pure et dure. Il était là, pourtant, fermement posé sur ses deux pieds, dévisageant l’homme avec lequel il aurait cru ne jamais avoir à collaborer – si seulement. Travailler en équipe n’avait jamais été son fort, il n’y avait qu’avec Felix, ou auprès de Calista, qu’Alec parvenait à faire preuve d’une bonne volonté quelconque ; mais là, ce serait sans doute pire que tout. Cette conversation donnait le ton, quand bien même les apparences étaient polies à l’excès, les regards parlaient plus encore que les mots : ils se dévisageaient, comme bien souvent à chaque fois qu’ils se retrouvaient l’un en face de l’autre. Ils s’abhorraient profondément, c’était indéniable, et personne ici-bas n’aurait un jour pu parier sur un partenariat entre ces deux hommes : Alec, le chasseur convaincu, jusqu’à la plus infime des fibres de son corps, et Absalon Castellanos, celui qu’on soupçonnait presque d’être un dégénéré, et qui leur portait un amour incommensurable. Assez pour être de ces parasites desquels le maire rêvait de se débarrasser : aussi rarement qu’il avait accompli la besogne de Thaddeus Lancaster dans sa carrière de chasseur, ce n’était pas pour ça qu’il était là, aujourd’hui. Bien le contraire : à choisir, il préférait largement voir tomber le saint patron des chasseurs que Calista elle-même – certes, c’était pas lui qui avait commis le pas décisif, leur faisant frôler les frontières du danger. Il avait pourtant promis à la Wolstenholme qu’il l’aiderait, d’une quelconque manière : et c’était comme ça, qu’il avait décidé de prendre les choses en main. Couvrir leurs traces était un devoir qu’ils allaient devoir accomplir à chaque tournant de cette enquête et le shérif si détesté déjà, était un parfait bouc-émissaire. Pas question de baisser sa garde pourtant, et le temps que l’homme en face de lui avait passé à observer les papiers qu’il lui avait si gentiment confiés, le regard du chasseur avait déjà fait le tour de la pièce. Ici et là, pour dévisager chaque petit détail du paysage, y chercher une faille, un indice, quelque chose qui indiquerait que ce bureau était truffé de micros, ou autres mouchards à même de réduire leurs efforts à néant. Et l’homme en face de lui serait stupide de penser que ce n’était pas le cas ; il avait la preuve sous le nez, après tout, que Thaddeus Lancaster était prêt à tous les extrêmes pour se débarrasser de ceux qui le gênaient un peu trop. Et qu’il en avait largement les moyens. Le nom Lecter, était d’ailleurs associé à ces fameux moyens et cette simple idée lui retournait les tripes : livrer la famille de son meilleur ami en pâture, ceux qui l’avaient aidé pendant ces treize dernières années, ou laisser Calista se faire coincer à un moment donné ? Il était évident que le shérif ne pourrait rien faire contre des noms aussi reconnus dans le monde de la chasse ; c’était sur ça que pariait à l’heure actuelle le Lynch, au moment d’observer attentivement les réactions de son supérieur.

« Vous savez, il y’a des gens bien plus dangereux qu’on ne croit dehors, je tiens vraiment à les arrêter, quel que soit le moyen nécessaire ! Vous semblez en savoir un paquet sur l’incendie, plus que ce qu’on a ici ! Comment vous avez obtenus ces infos ? » l’entrée en matière était on ne peut plus explicite et claire ; il savait dans quoi il avait marché, au moment de passer cette porte. Et quitte à ce que sa mutation lui serve à quelque chose, autant que ce soit pour être lui aussi un bouc-émissaire, pourquoi pas la vile taupe qui était elle-même allée chercher les informations droit dans le cœur des secrets de Lancaster. C’était Calista qui avait fait tout ça, Calista qui savait bidouiller les ordinateurs comme un rien, Calista qui travaillait à la mairie et s’attirait trop souvent les confidences du maire. Mais il n’était pas prêt à la vendre elle aussi au premier venu ; c’est donc avec ce qu’il s’efforça d’être la plus grande expression obséquieuse, qu’Alec haussa les sourcils, un vague sourire narquois passant sur ses lèvres, comme une ombre qui offrait déjà une réponse aux questionnements soudains du shérif. « Je me les suis procurées, c’est tout. Monsieur. Et si vous doutez de leur véracité, vous pouvez toujours les rendre, et passer à autre chose. Ou vous contenter de c’qu’il y a ici. » le ton était donné ; ici, il n’était plus question de shérif et de subordonné, plus question de chasseur ou de transmutant. Alec Lynch faisait face à Absalon Castellanos, et toutes les questions qu’il jugerait trop indiscrètes, demeureraient sans réponse, si tant est qu’il préfère bosser en équipe plutôt que seul, paumé dans le néant d’informations des dossiers de la police. Parce que oui, il était évident que le shérif passif et récalcitrant face aux chasseurs, n’avait pas rouvert le dossier Hodgins pour tenter de chercher un complice à celle qui avait été jugée, abattue sur la place publique pour ce crime. Il cherchait autre chose ; la vérité, la vérité pure et dure dont dégoulinaient ces dossiers. Et aucune séance d’interrogatoire poussée ou non, ne lui ferait cracher le morceau ; encore une évidence, qu’il serait stupide d’ignorer – chipoter sur des détails ne leur ferait que perdre un temps précieux. Car aussitôt qu’ils plongeraient trop attentivement leur nez dans cette histoire, les autres le sauraient. Lancaster le saurait. Et tout s’effriterait au fil des jours : il était même fort probable, que ces données doivent être conservées plus précieusement que jamais, comme seules et uniques preuves possibles et imaginables qu’ils ne trouveraient jamais. La maison des Hodgins, était après tout, partie en cendres, et le maire s’attaquait déjà à un projet de reconstruction « novateur » pour effacer toutes ses traces. Des témoins, si tant est qu’il y en ait eu, un jour, autres que les chasseurs qui avaient provoqué l’incident – ils n’en trouveraient plus à l’heure actuelle. Et les preuves matérielles, où qu’elles puissent être, pourraient être embarquées ou détruites en un claquement de doigts. Tout, il avait absolument déjà tout passé en revue dans son esprit, connaissait les épais dossiers devant le shérif, par cœur, et était prêt à poursuivre une chimère de vérité qu’il aurait préféré fuir. Tout ça pour Calista. Parce que pour une raison stupide, déraisonnée et qui lui échappait totalement, elle avait besoin de savoir la vérité.

« Ça vous dirait un partenariat pour cette enquête ? » il soupira, comme s’il cherchait à gagner du temps, ou à trier ses pensées. Du fond d’une de ses poches, il sortit un petit appareil, qu’on aurait pu confondre avec un téléphone portable – heureusement pour lui, il était beaucoup plus doué avec ce genre de trucs (pour les manipuler constamment avec la police) qu’avec son propre téléphone portable. Il lui suffit d’appuyer sur un bouton, pour savoir qu’il était libre désormais de parler comme il le voulait ; on n’est jamais trop prudent. Comme pour l’affaire Hodgins, Alec ne faisait pas partie de ces chanceux directement placés sous la botte de Lancaster ; il ne savait donc pas ce que le maire avait prévu, comme mesures, contre le shérif. Tout ce qu’il savait, c’était que Castellanos était plus gênant qu’il ne l’imaginait, et qu’il avait indéniablement une cible dessinée sur le front. « Vous devriez savoir que les gens dangereux, ne sont pas forcément dehors, je parierai presque sur le fait qu’il serait plus prudent de discuter de ça au café du coin qu’ici. » non, il n’avait pourtant rien d’un conspirationniste ; mais lui, contrairement à son supérieur, il pouvait regarder un de ses collègues en connaissant parfaitement ses intentions : chasseur ou non. Et les non-chasseurs étaient aussi rares dans ce commissariat que de l’eau en plein milieu d’un désert. « Je suis venu ici pour un partenariat, en effet. Mais ça veut dire que j’aurai pas à répondre à vos questions. Ça fait un moment que vous n’êtes plus le shérif ici, vous devriez le savoir. » jusque-là immobile, posé sur ses pieds tout près de l’entrée, Alec s’approcha finalement, son regard se fixant partout, sur chaque détail plutôt que sur son nouveau coéquipier en heures supplémentaires. « On pourrait construire tous les scénarios possibles et imaginables, on sait tous les deux qu’il est impossible d’aller voir sur le terrain, tout ce qu’on aura, ce sera ça. » il désigna le dossier qu’il avait lui-même amené. « Il semblerait que des combustibles aient été utilisés pour propager le feu – et pas du carburant, le feu est beaucoup trop instable avec ça. Je dirais du solvant, quelque chose de ce genre-là, ils n’auraient eu aucun moyen d’en sortir vivants, leurs voies respiratoires auraient été détruites bien avant qu’ils ne comprennent ce qu’il se passe. » et il parlait de ça, comme s’il parlait de la chose la plus normale du monde : l’usure, sans doute ; la chimie en soit, ça avait presque été le seul truc qui l’avait intéressé, dans ses années de lycée et les quelques mois qu’il avait passés à la faculté. Et il était un chasseur, un tueur d’une certaine manière, quand bien même il n’avait jamais touché à cette affaire de près ou de loin, il savait encore ce qu’il faisait. Ce que les gens comme lui, faisaient.
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MessageSujet: Re: I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec]   I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec] Icon_minitimeMer 23 Sep 2015 - 10:28


I might need you, but I still don't like you!
Alec & Absalon

Si jamais il y a quelqu’un là haut qui s’amuse à tout contrôler…Il doit vraiment, mais alors vraiment pas m’apprécier. Je devais vraiment prendre sur moi pour devoir bosser avec Monsieur Lynch compte de « je me crois au dessus de tout le monde. » et seigneur de « le respect je ne sais pas ce que c’est ! », je me dis que je mériterais vraiment une médaille, et je commençais à regretter mes actions. Pourquoi avait il fallu que j’aille chercher ce dossier aux archives ? Ah ! Oui c’est vrai, la paperasse me faisait chier. Mais là je risquais gros ! Et pour être franc, je mettais moi-même lancé sur un champ de mine, jouant à sauter partout et attendant que l’une d’entre elles m’explose à la gueule. Je n’avais aucune idée de comment m’en sortir pour le coup. Il allait être temps pour moi de rédiger un testament, les chiens du maire n’allaient pas tarder à me sauter dessus. Enfin passons, on verra bien ce qui va se passer. J’avais demandé à l’officier Lynch où il avait trouvé les infos, et il m’avait complètement envoyé bouler, ne montrant aucun respect, et après ça je lui avais proposé un partenariat. C’était à contre cœur évidement, mais je me prenais quand même pour un fou.

« Vous devriez savoir que les gens dangereux, ne sont pas forcément dehors, je parierai presque sur le fait qu’il serait plus prudent de discuter de ça au café du coin qu’ici. »

Oh mais je le sais…et je suis même intimement convaincu que l’homme en face de moi en faisait partis. J’étais parfaitement au courant que les hunters grouillaient dans le commissariat tel des cafards! Après tout, y’a-t-il une meilleure couverture que la police ? C’est plutôt ironique d’ailleurs….n’étaient-ils pas supposées servir et protéger la population, peu importe la couleur de peau, les croyances, ou l’ADN ? C’était du joli tout ça. C’est à cause de gens comme eux qu’il y’a des guerres. Je me levais, en rassemblant les dossiers qu’il m’avait amené.

« Bien…je vous suit »

parler avec cet homme me tuait à petit feu, je me détestais de faire ça, travailler avec quelqu’un en qui je n’ai absolument aucune confiance ne me plaisait pas du tout.

« Je suis venu ici pour un partenariat, en effet. Mais ça veut dire que j’aurai pas à répondre à vos questions. Ça fait un moment que vous n’êtes plus le shérif ici, vous devriez le savoir. »

Il est venu « pour un partenariat » ? Oui c’est ça, et mon cul c’est du poulet ! Il avait bien d’autres idées en tête j’en suis certains. Lui vouloir bosser avec moi ? la bonne blague, c’est aussi fout que l’inverse. Le menteur ! Et merci j'avais remarquer que l'autorité ne m'appartenait plus! Mon dieu, je me damnerais pour pouvoir lui encastrer la tête dans un mur! je hais ce mec, c'est fou! je ne répondais pas, à quoi bon?

« On pourrait construire tous les scénarios possibles et imaginables, on sait tous les deux qu’il est impossible d’aller voir sur le terrain, tout ce qu’on aura, ce sera ça. »

Merci captain obvious, je pensais vraiment qu’après cinq moi et un incendie on trouverait encore des preuves. On n’est pas dans cold case ici, c’est la vraie vie, pas une série télé !

« Il semblerait que des combustibles aient été utilisés pour propager le feu – et pas du carburant, le feu est beaucoup trop instable avec ça. Je dirais du solvant, quelque chose de ce genre-là, ils n’auraient eu aucun moyen d’en sortir vivants, leurs voies respiratoires auraient été détruites bien avant qu’ils ne comprennent ce qu’il se passe. »

C’est qu’il semblait s’y connaître ! Je m’approchais de la sortie de mon bureau après avoir rassemblé mes affaires.

« et si on y allait à ce café ? »

C’est lui qui avait peur des micros, et il commençait déjà à parler avant même d’être sortit ? Une fois en dehors de commissariat, il faut dire ce qui est, le froid me frappa, je n’aime pas cette saison.

« Bon ! Au moins soyons francs…on est d’accord sur le fait que Hope Hawking n’a jamais tué cette famille, et que le maire à les deux pieds dans le pot sur cette affaire ! »

Je regardais mon nouveau coéquipier dans les yeux. Si ce mec était un hunter, il était un peu stupide, il venait quand même de m’apporter des preuves sur la responsabilité du maire dans le meurtre des Hodgins.

« Dites moi ce que vous savez d’autre sur ça ! »

Je veux tout savoir, il est clair que je ne pourrais probablement pas en faire grand-chose sans que l’équipe de cerbères du maire ne vienne pour me faire taire, mais je trouverais bien un moyen pour m’en servir…ne serait-ce que pour me protéger, moi et ma famille. Après si je trouve un moyen pour utiliser ces dossier pour envoyer le maire croupir derrière des barreaux, je ne me gênerais pas.
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I might need you, but I still don't like you! [ft. Alec]

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