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 let it struggle just a little bit more. (beatrix)

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MessageSujet: let it struggle just a little bit more. (beatrix)   let it struggle just a little bit more. (beatrix) Icon_minitimeDim 6 Sep 2015 - 21:11

shouldn't try to fix it if it keeps getting better,
just let it go, forget it for ever and ever and ever

letitgo@theneighbourhood.

« Non mais ferme ta gueule à la fin. » Ça faisait deux heures que tu ne disais rien. Que tu le laissais parler, encore et encore. De quoi il parlait? Tu n'en avais pas la moindre idée. Tu n'écoutais pas, tu ne faisais même pas semblant de porter la moindre attention à ton coéquipier. Tout ce que tu faisais depuis le début de la nuit, c'est l'avertir de parler moins fort, beaucoup moins fort. Tu te demandais ce qu'il faisait là, mais pire encore, tu te demandais ce que toi tu faisais là. Ça ne faisait que quelques semaines que tu avais rejoins le groupe Insurgency et sérieusement, ça te faisait encore étrange. Tu avais pris cette décision un peu radicalement après ce qui était arrivé la dernière fois que tu avais vu Beatrix Lecter. Même si tu ne voulais pas te l'admettre, elle hantait encore la majorité de tes pensées, un peu malgré toi. Tu sais qu'elle avait tenté de te rejoindre, mais tu étais décidée. Tu n'allais pas lui faire le plaisir de la laisser prendre une place dans ta vie pour mieux pouvoir te planter son couteau dans le dos. Alors tu vivais jour après jour avec cette décision, qui pourtant te brisait le coeur. Tu avais pris la décision d'être fière de ta différence plutôt que de vouloir changer sans cesse ce que la nature a fait de toi. Mais jusqu'à maintenant, tu joues encore le double-jeu. Parce que tu restes une Holgersen et que tu te vois encore très mal te tourner contre ta famille, même s'ils n'ont aucun respect pour ce que tu es réellement. Quand tu t'es décidée à joindre Insurgency, tout le monde a eu des doutes, et franchement, ce n'est pas comme si tu pouvais les blâmer. Ils ignorent s'ils peuvent te faire confiance, si tu as vraiment le bien de tes semblables à coeur, si tu n'es pas vraiment là pour récolter des informations et les donner aux hunters. Tu te dois de leur prouver que ton allégeance est de leur côté, peu importe le prix. Et le prix de cette nuit, ça semble être une mission un peu emmerdante au côté d'un nouveau membre qui ne sait pas quand ni comment fermer sa grande gueule. Tu veux bien croire que les rues semblent plutôt tranquilles ce soir et qu'il n'y a rien de bien passionnant à se promener sans jamais rien faire, mais ça ne veut quand même pas dire que tu es là pour faire la discussion à un niveau sonore qui fait de vous deux des cibles bien que trop faciles. Tu ne sais pas à quel point il maîtrise bien son pouvoir, mais tu sais trop bien que si quelque chose arrive, tu n'es pas encore parfaitement à l'aise. Alors vraiment, s'il pouvait fermé sa gueule pour vous évitez une mésaventure, ce serait vraiment pas mal.

Sauf qu'il n'a même pas le temps de te répondre qu'il lâche un petit cri avant de se retrouver sur le sol. Ton coeur s'arrête soudainement et tu cherches rapidement des yeux qui qui vient de blesser, voire même possiblement tuer ton abruti de coéquipier et la prochaine chose que tu sais, c'est que quelqu'un te tient fortement par le coup. Tu n'es pas en mesure de voir de qui il s'agit, mais tu sais que la personne est bien plus grande que toi parce que tes pieds se lèvent du sol alors que son bras serre toujours de plus en plus fort contre ton cou. Tu as de la misère à respirer, mais tu ne te débats pas. Parce que tu vois une deuxième silhouette qui s'approche et t'as envie de rire lorsque tu aperçois le visage de la deuxième assaillante. Ça en est presque ironique que votre première rencontre après tout ce temps se fasse au beau milieu de la nuit. Toi, la mutante un peu perdue, et elle, la chasseuse qui n'accepte pas ce qu'elle est véritablement. Un duo de la mort. Et franchement, ça te ferait presque rire si ça ne t'arrachait pas le coeur. Mais t'es pas en position d'avoir de la peine pour cette fille que tu aurais pu aimé, celle que tu as laissé prendre toute la place dans ton lit, dans ta vie. Parce que ton instinct de survie est plus fort que la stupidité de ton coeur, fort heureusement. Et que tu n'as certainement pas envie de lui faire le plaisir de crever sous ses yeux. « Chasse le naturel et il revient au galop, pas vrai Lecter? » Ta voix est coupée par le bras autour de ton coup et tu le sens qui se resserre, en mode ferme ta gueule sinon tu peux dire adieu à ta jolie gueule. Tu l'as regarde, juste elle, et t'es contente de voir que tu es encore capable de lire le malaise soudain dans ses yeux. « À ce que je vois, tu ne t'attendais pas à tomber sur moi ce soir. Je me trompe? » Tu ricanes, même si ça fait mal tellement le mec derrière sert fort contre ton cou. « Tu sais que je pourrais vous faire exploser tous les deux, là, comme ça, pouf? » Tu bluffes et tu es pas mal certaine que la jeune femme devant toi le sait, mais qu'est-ce que tu perds vraiment a essayé? Tu te doutes qu'en ce moment, t'es morte peu importe ce qui se passe. Même si l'idée de faire du mal a Beatrix te dégoûte, c'est sa vie, ou la tienne. Et le choix malgré toi, il est bien vite fait.
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Beatrix Lecter
Beatrix Lecter

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MessageSujet: Re: let it struggle just a little bit more. (beatrix)   let it struggle just a little bit more. (beatrix) Icon_minitimeSam 12 Sep 2015 - 23:49

All we do is think about the feelings that we hide
Shouldn't try to fix it if it keeps getting better, JUST LET IT GO, forget it for ever and ever and ever. Don't ever resent a letter inside a single word written, A little change can play lanes with the right vision. Couldn't tell what would happen next But as weeks went by look what turned to best. Let it struggle just a little more, Let it struggle just a little bit more. Remember what the people said, When it's said and done, Let it go. / THE NEIGHNOURHOOD

Le silence couvrait la nuit d’un voile pesant. Seuls les pas des deux chasseurs venaient briser cette quiétude à intervalles rythmées, une cadence pressée et attentive. Beatrix menait la marche, effectuant ce soir là sa ronde avec une nouvelle recrue. Le jeune homme, la vingtaine bien entamée, avait rejoins les rangs des hunters pendant le séjour de la brune au Danemark. Elle ne le connaissait pas bien, et ne souhaitait pas réellement en savoir plus. Finn était un gamin arrogant et misogyne, un de ces individus que la jeune Lecter ne pouvait pas supporter. Si elle en avait eu l’occasion, elle ne lui aurait volontiers jamais adressé la parole ; mais on lui avait assigné le garçon comme partenaire pour sa ronde du soir. La belle avait pris sur elle, acceptant à contre-coeur ; après ses « vacances » à l’autre bout du globe, elle n’était plus en position de demander un traitement de faveur. C’était seulement pour la soirée. Du moins elle l’espérait. Les talons de l’uniforme frappaient contre le bitume du trottoir dans des coups secs, se perdant dans l’air froid de ce mois de février. La nuit s’était solidement installée sur Radcliff, et tout semblait gelé. Les pelouses étaient blanchies par le gel, et les sons atténués par le froid. Une atmosphère qui aurait presque pu être apaisante si le chasseur désagréable ne se trouvait pas à ses côtés. Sur son dos, les vêtements qu’avait récupéré Felix pour elle au commissariat : un uniforme à sa taille, et le chaud manteau des policiers de la ville. Ordre de Lancaster : les rondes étaient censées être effectuée par des policiers. Faute de compter assez d’officiers pour sillonner la ville, les hunters revêtaient leur costume de policier pour ne pas attirer l’attention. Même si à présent, bon nombre de citoyens se doutaient de quelque chose ; tant pis, les ordres étaient les ordres. Et Beatrix mettaient un point d’honneur dernière à les respecter. Elle avait enfin rejoins les rangs des chasseurs, reprenant sa place parmi les siens. Elle avait dorénavant acquis une maîtrise basique de son don -de sa malédiction-, assez pour réfréner ses perte de contrôle. Assez pour faire semblant qu’elle n’avait pas de pouvoir. Alors elle avait parlé avec Thaddeus, et avec ses anciens collègues ; Beatrix était une chasseuse efficace et sans merci. On l’avait accueilli à nouveau les bras ouvert, malgré son départ inopportun. La belle tâchait de se convaincre qu’elle avait pris la bonne décision, qu’elle avait enfin retrouvé les siens ; pourtant, au fond d’elle même, quelque chose n’allait pas. Elle avait l’impression de faire quelque chose de mal. Un comble pour la chasseuse.

La soirée était calme, les deux chasseurs n’étaient pas encore tombé sur des fauteurs de trouble pour l’instant. Un soulagement presque pour la jeune Lecter, qui ne trouvait plus autant de fierté dans le travail qu’elle effectuait. Pire, elle jalousait ces mutants qu’on vaccinait à tout va ; elle ne pouvait pas se permettre de se débarrasser de ses pouvoir simplement grâce à un simple vaccin. Mais elle voulait regagner la prestigieuse place qu’elle occupait avant, alors elle s’exécutait sagement. C’était le seul moyen qu’elle avait trouvé pour se sentir normale à nouveau ; elle était née chasseuse, et elle le resterait toute sa vie. Perdue dans ses pensées, c’est Finn qui vint l’arracher de sa rêverie. Il attira son attention vers deux silhouettes qui se déplaçaient dans la nuit. Vu leur allure furtive, ce n’était pas des collègues. Silencieusement, Beatrix mena la charge. Elle s’approcha des deux criminels, mais avant qu’elle n’est pu donner d’ordre à son jeune partenaire, le garçon se lança sur l’une des deux silhouettes et le cloua à terre. La scientifique roula les yeux au ciel. L’incompétence de son collègue la rendait presque malade. Mais la brune n’eut pas le temps de le réprimander, qu’il eut déjà fait de se lancer vers la deuxième silhouette, l’attrapant fermement par le cou. Beatrix rattrapa son partenaire et ses victime d’un pas vif, avant de se stopper net. Elle reconnu immédiatement la blonde prisonnière de l’emprise du chasseur. Son coeur se stoppa, son visage se défit. Lykke. C’était bien la dernière personne qu’elle voulait croiser ce soir, qu’elle voulait croiser tout court. Elle avait tourné cette page en reprenant sa vie d’avant. Elle faisait partie d’un passé que la jeune Lecter avait soigneusement rangé, auquel elle ne voulait plus penser. Son regard se plongea dans celui amer de la danoise. Les larmes aurait presque pu lui monter aux yeux si Beatrix n’était pas si fière. Au lieu de ça, elle la foudroya d’un regard défiant. Après tout, c’était elle qui contrôlait la situation cette fois-ci. « Tu sais que je pourrais vous faire exploser tous les deux, là, comme ça, pouf? » Beatrix resta de glace ; elle n’en attendait pas moins de la part de son ancienne amante. Mais elle ne craquerait pas. Elle essaierait. « Tu la connais ?  » siffla le jeune chasseur en maintenant la pression sur le cou de Lykke. Beatrix les ignora. Tous les deux. Elle ne voulait pas parler, ni maintenant ni plus jamais. Elle voulait faire voeux de silence. « À ce que je vois, tu ne t'attendais pas à tomber sur moi ce soir. Je me trompe? » Finn renforça sa prise autour du cou de la blonde, et le coeur de Beatrix se serra. Elle ne voulait pas qu’il la blesse, elle ne voulait pas que ses sales main effleure la peau qu’elle avait effleurée. Encore une fois, elle ne répondit pas. Le visage impassible, elle se contentait de fixer Lykke dans les yeux, d’un regard plein de colère et de frustration. Tout était flou autour d’elle, il n’y avait rien d’autre que le regard envoutant de la blonde qui lui faisait face, un regard malin planté sur son stupide visage. Ses lèvres bougèrent, mais Beatrix n’écouta pas. A la place, elle s’avança vivement. « Lecter ? » s’interrogea son collègue, en quête de réponses. Chacun de ses pas résonnaient dans l’air froid, et dans sa tête. La brune se planta quelques centimètres du corps prisonnier de Lykke. Elle aurait pu avancer sa tête, et déposer un baiser sur ses lèvres. Au souvenir du bon vieux temps. Mais à la place, son poing vola. De toute sa force, Beatrix frappa le visage encore enfantin de Finn qui s’attendait à tout sauf à ça. Il vola quelques mètres loin où il finit sa chute inconscient. La chasseuse ne lui accorda même pas un regard, ne lâchant pas des yeux la mutante qui lui faisait face. « Qu’est ce que tu fous dehors à cette heure-là Lykke ? » siffla-t-elle, sèchement, ignorant le fait qu’elle venait d’attaquer son propre partenaire.
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MessageSujet: Re: let it struggle just a little bit more. (beatrix)   let it struggle just a little bit more. (beatrix) Icon_minitimeLun 26 Oct 2015 - 5:12

shouldn't try to fix it if it keeps getting better,
just let it go, forget it for ever and ever and ever

letitgo@theneighbourhood.

La nuit est lourde. La nuit est froide. La nuit est longue. C'est ce que tu croyais vraiment. Mais soudainement, ton coéquipier est mort, ou pas bien loin à tes pieds et toi, tu ne te touches plus au sol. Tu te retrouves soulevée du sol, à la recherche de ton souffle. Parler est difficile, mais tu le fais quand même parce que tu n'as pas envie de lui donner la satisfaction de te regarder crever sans rien dire, sans rien essayer. Ça fait tellement mal à l'intérieur de ton être de voir te trouver devant elle et de ne pas pouvoir la toucher. Comme une putain de mauvaise habitude dont tu n'arrives pas à te défaire. Son corps qui appelle le tien, inconsciemment. Tu te souviens trop bien du plaisir que tu pouvais éprouver en sa compagnie, le désir charnel toujours aussi puissant entre vous deux. Mais il y a quelque chose d'encore plus puissant désormais, d'encore plus destructeur qui prend le dessus, qui prend toute la place. Le besoin de survivre. Le besoin de vengeance. Tu as encore sa trahison à travers de la gorge. Tu te revois sur le pas de la porte à Maiken et tu souffres à chaque fois que tu entends sa voix dans ta tête faisant référence à la brune devant toi. T'as été naïve, t'as été conne. De croire que tu pouvais lui faire confiance. De croire que tu pouvais lui dire des choses si proches de toi et qu'elle n'utiliserait pas ses informations à son avantage. Mais encore une fois ce soir, t'as la preuvre que Beatrix Lecter n'est pas celle que tu croyais qu'elle était. Du moins, qu'elle n'est pas ou qu'elle n'est plus la fille à qui tu as fais découvrir une grande partie de toi, ta ville, tes secrets, des parties de toi que tu avais gardé enfoui au fond de ton être depuis tellement longtemps déjà. Si tu le pouvais, tu lui cracherais au visage, mais ça t'est impossible alors tu te contentes d'être vache, d'être cruelle, du mieux que tu le sais. Elle reste impassible toutefois et t'as envie de lui crier de réagir, ne serait-ce qu'un tout petit peu. Mais tu réalises qu'au fond, ce n'est peut-être pas si surprenant. Que la femme qui se trouve devant toi, elle n'a probablement pas de coeur. Pas la moindre once de compassion dans son être. C'est ce que tu voudrais croire du moins.

Jusqu'au moment où tu entends le coup de poing contre ce visage trop près du tien. Tu sens l'emprise qui se défait de ton cou et tu tombes à genoux sur le sol alors que ton assaillant se retrouve complètement K.O., couché à côté de ton coéquipier qui lui ne respire clairement plus. Tu ressens un pincement au coeur à la perte d'un allié, mais tu es trop occupée par toutes les émotions qui t'envahissent à cause de la brune devant toi pour t'attarder plus longtemps sur le cas du jeune homme. Le silence prend toute la place pendant un instant et vous contentez de vous regardez sans rien dire. Les mots te manquent. Il y a tellement de choses que tu voudrais lui dire que tu ne sais même plus par où commencer. Après quelques instants, tu finis par te relever du sol, t'assurant de garder une bonne distance entre la jeune Lecter et toi. T'es pas certaine de comprendre pourquoi elle vient de faire ce qu'elle vient de faire, pas certaine non plus qu'elle ne va pas t'attaquer par la suite. Tu crains pour ta vie, tu crains pour la sienne. Tu ne fais plus confiance à personne, pas même à ta propre personne. « Qu'est-ce que tu fous dehors à cette heure là Lykke? » Ça te fait presque rire que ce soit ça, sa première question qu'elle te pose après le long silence qu'il y a eu entre vous dans les derniers mois. Depuis l'épisode du vaccin, et puis ce que tu as appris entre temps, le fait que tu sois en train de rôder en tant que membre d'Insurgency en ce moment ne semble pas être très haut dans ta liste de priorités de discussion. Mais tu embarques dans le jeu de la brune, parce que t'es pas encore tout à fait prête à entrer dans le vif du sujet, à revivre cette douleur, cette trahison qui te suit depuis trop longtemps déjà. « J'pourrais t'poser la même question, mais en même temps, j'suis pas surprise. Tu m'dis que t'as besoin de moi pour accepter qui t'es vraiment et deux secondes après, tu essayes de me changer en ce que j'suis pas. Vraiment, c'est à ce demander ce que tu veux Lecter. » Tu veux qu'elle souffre, autant que toi. Tu veux qu'elle agonise sous tes yeux comme tu as agoniser pendant ta discussion horrible avec celle qui devrait être ta meilleure amie, celle avec qui tu as tout partager. Tu t'approches d'elle et tu n'as pas peur de lui faire mal. Que ce soit physiquement ou mentalement. Même si tu sais que sa douleur deviendra la tienne, sans même que tu ne sois prête à l'accepter. « Mais j'aurais dû me douter que je ne pouvais pas te faire confiance Beatrix. J'aurais dû savoir. J'devrais te tuer, là, tout de suite. Me débarasser de toi et de toute la merde que tu as placée dans ma vie depuis que je te connais. » Mais tu en serais incapable. Tu le dis, mais ça sonne complètement faux. Parce que fuck, elle t'a quand même emmené à lui dire toutes ses choses, elle a quand même cet effet sur toi que personne n'a jamais eu auparavant. Et tu sais aucunement comment tu es censée gérer avec toute cette haine et toute cette attirance, le tout mélangé. Vous êtes trop proches, beaucoup trop proches. Tu joues avec le feu Lykke. Et t'es sur le point de tout brûler sur ton passage. « J'devrais te détester. J'devrais pas avoir envie de t'embrasser en ce moment. J'devrais pas. » Ton visage est trop près du sien. Tu ne vas pas céder, même si tu sens son souffle sur ta bouche. Sans même t'en rendre compte, tu lui laisses le pouvoir, le contrôle. Parce qu'elle te fait complètement perdre la tête.
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