I won't let you gp

Jekyll & Adonis

"Faut croire que tu détends sur moi, peut être..." répondit Adonis avec un petit clin d'oeil. Peut être qu'il allait changer maintenant que Stantum n'était plus là, que ce chapitre de sa vie était définitivement clos ? Cette pensée fut cependant reléguée dans un coin de son esprit alors que Jek prenait les devant. Adonis le laissa faire, retrouvant tout son être avec plaisir. Deux années et une vitre renforcée pour les séparer. Plus jamais. Une vague de désir le parcouru lorsque Jekyll mordit sa lèvre inférieure, Adonis se redressant pour chasser ses lèvres alors que le brun se redressait, pour lui dire que seul lui avait jamais compté. Adonis sentit sa gorge se serrer et il plongea son regard dans celui de Jekyll, pour quelques secondes seulement, mais des secondes importantes. Il gravait ce moment dans son esprit, celui où les chaines qui avaient enchainés les deux jeunes hommes de bouger, d'être libre disparaissaient. Il leva les bras lorsque Jekyll voulu lui retirer son haut. Il le regarda en faire de même avec le sien, son regard sombre parcourant la peau découverte comme une caresse invisible. Il releva son regard vers Jekyll et lui sourit avant de caresser sa joue, sa main descendant ensuite sur son épaule, puis dans son dos. Il se redressa pour l'embrasser, jouant avec sa langue alors que tout son corps s'embrasaient au contact de leurs torses dénudés. Il voulait le posséder là tout de suite, mais dans sa tête une petite voix lui dit de prendre son temps, pour une fois rien ne pressé, pas de mission, de réunions, de briefing. Rien que eux. Et tout le temps du monde. Ses lèvres quittèrent celles de Jekyll pour son cou qu'il embrassa et mordilla, avant de décider d'y laisser sa marque, un suçon, comme pour dire qu'il était à lui seul. Ses mains se baladaient sur son corps, traçant ses muscles, ses formes. Il le connaissait par coeur, il savait qu'elles étaient les zones sensibles pour attiser en lui le désir.
   

I won't let you gp

Jekyll & Adonis

Encouragé par Jekyll, Adonis laissa ses lèvres et ses dents marquer la peau de son amant. Il savait être le seul à pouvoir le faire, le seul avec l'autorisation. Ca nourrissait son égo, mais ça lui faisait également du bien d'être l'unique à avoir ce droit là. Parce qu'il pouvait revoir ces marques et dire c'est moi qui l'ai ai faites, il est à moi et personne d'autre. Il n'épargna aucune parcelle de son cou, embrassant, mordant, léchant. Ses mains n'étaient pas en reste, descendant le long de son dos pour le creux de ses reins, une de ses mains vint descendit plus bas pour caresser son postérieur sans gène. Adonis ne s'en était jamais privé avant, il n'allait pas le faire maintenant. Son excitation grimpa alors qu'il sentait la main de Jek ouvrir son pantalon, sa main se frayant un chemin jusqu'à son boxer. Il mordit un peu plus fort la peau de son épaule alors que les premiers signes du plaisir se faisait ressentir à ce simple contact. Il sourit à sa remarque et répondit à son baiser, entrant dans une danse endiablée avec ses lèvres et sa langue alors que la caresse de Jek le rendait de plus en plus fou. Il était à bout de souffle au terme de cet échange passionné mais il acquiesça, plongeant son regard dans celui de Jekyll. Un sourire étiré ses lèvres gonflées, ce soir il dormirait enfin en paix, après leurs ébats. Jek était le seul de ses partenaires à pouvoir lui apporter la plénitude dont il avait besoin la nuit. Passant ses bras autour de Jekyll, il se redressa en soutenant ce dernier pour se lever. Pour cette première fois, il comptait faire les choses bien, et cela voulait dire trouver au plus vite le lit de Jekyll. Il attendit que ce dernier tienne sur ses jambes pour le relâcher et faire tomber son pantalon au sol. Son boxer ne cachait plus vraiment son excitation et tant mieux, Adonis voulait que Jekyll voit l'effet qu'il avait sur lui. Il l'embrassa encore en le faisant reculer sous la force de son élan. Ses mains descendirent sur le pantalon de son amant qu'il eu tôt fait d'ouvrir pour qu'il le retire. "Ta chambre maintenant, on va faire les choses en grand." murmura t'il contre les lèvres de Jekyll avant de l'embrasser, sa main se posant sur le boxer du brun comme pour le "motiver", comme s'il en avait besoin...Adonis savait que Jek ne reviendrait pas sur ce qu'il était entrain de se passer. Il en avait trop envie, besoin même pour cela.