i. êtes-vous originaire de radcliff ?
Non, Stanley est un bon vieux londonien d'origine, issu d'une famille assez riche qui plus est. Il a passé pour le moment la majorité de son existence en Angleterre avant de venir s'installer à Radcliff, loin de ce pays l'ayant fortement déçu. Néanmoins, aujourd'hui il ne va pas renier ses origines.

ii. avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ?
Oui, plus d'une fois, mais Stanley a toujours su s'en sortir pour le moment. Certains le connaissent bien, d'autres se passionnent même sur le personnage qu'il est et se donne pour but d'avoir sa tête. Pour notre ancien scientifique de renommé, aujourd'hui c'est chose commune de se retrouver face à des Hunters, il s'y attend souvent.

iii. utilisez-vous beaucoup votre don ?
Oh que oui, notre cher Mr. Rebours passe son temps à l'employer afin de s'octroyer plus de temps à la réflexion en moment critique. Il maîtrise très bien son don malgré le fait qu'il juge encore imparfaite sa maîtrise de celui-ci. Sachez que son mode de vie tourne autour de celui-ci, il voit au quotidien le monde vivre au ralenti autour de lui, donnant l'impression de ne jamais avancer au final.

iv. pensez-vous que les mesures mise en place par le gouvernement sont suffisante ?
Stanley ne peut pas vraiment donner son avis car il ne sera pas objectif la-dessus. La révélation de l'existence des mutants fut sans doute bien trop rapide néanmoins, l'Homme n'a pas pris le temps de s'adapter à cette nouvelle car on ne le lui a pas vraiment laissé. Selon lui, il aurait fallu faire les choses dans l'ordre, et par ailleurs il se sent coupable par moment, car après tout il a travaillé sur le génome des mutants et l'a laissé sous les yeux de l'Homme en Angleterre. Le gouvernement ne sera qu’incompétent désormais.

Dans un hôpital londonien, alors qu'une nuit calme et paisible s'installe, des cris se font entendre, des hurlements, une femme qui accouche est en train de souffrir le martyr pour un enfant se refusant à sortir de son corps. Le garçon, futur Stanley Bishop, avait déjà lors de sa naissance son don qui le rend si particulier, et affecté par de fortes émotions et étant dans l'impossibilité de maîtriser celui-ci, il fait endurer à sa mère le plus long accouchement au monde. Les heures se suivent, mais l'enfant ne sort toujours pas, Elizabeth, sa mère, tente tant bien que mal de l'éjecter, mais pour elle, une seconde équivaut à une minute, impossible d'accélérer les choses. Continuant à souffrir, elle finit enfin par mettre son enfant au monde alors que le soleil se dresse déjà depuis quelques heures dans le ciel, essoufflé et à bout de force, la jolie brune succombe et ne se relève pas de cette atroce expérience qu'était l'accouchement de son premier enfant. Son père est effondré sur le chevet de celle-ci, des larmes coulant sur son visage se font voir, puis il décide de prendre son petit Stanislas, on aurait pu croire que le père aurait détesté l'enfant, mais non. Bien au contraire, Barthélémy le réconforte, tente de le faire taire en le berçant dans ses bras, le vieil homme ne le voit pas comme l'assassin de sa femme, mais comme son dernier signe d'amour, son dernier cadeau.

C'est ainsi que Barthélémy commence à faire une place dans sa vie pour son fils Stanislas. Jamais il ne sera un père tyrannique ou méprisant, son but est de faire de son enfant un homme de bien, comme le voulait Elizabeth. C'est dans le souvenir de celle-ci qu'il puise la force dont il a besoin pour élever ce nouveau né. Toujours derrière lui, il l'aide à grandir et à avancer sans la présence d'une mère, commence déjà à lui inculquer des valeurs, quelques connaissances relevant de la base britannique. L'enfant commence alors à grandir, quelques petites années passent avant qu'il ne grandisse encore et encore, un matin il se lève, une journée ordinaire, mais très rapidement Stanislas se voit confronter à un monde vivant au ralenti. C'est la première fois qu'il voit son don agir ainsi sur son entourage, à l'âge de six ans, alors qu'il est déjà rejeté, le garçon s'entraîne à maîtriser d'abord son don sur sa montre à gousset mais n'a encore jamais vue un tel événement. Sa journée lui paraît normal pour lui, mais tout autour de lui le monde tourne au ralenti, du moins sur son entourage, et c'est la qu'il découvre l'étendu véritable de son don.

Depuis ce jour, le petit brun n'a pas eu de repos, entre son envie d'être un grand scientifique et celle de développer son don, il s'adonne à plusieurs entraînements, à des tonnes d'heures de bouquinage. Ainsi, le garçon se forge un savoir conséquent à ses ambitions et commence tout juste à découvrir les ouvertures de son don, il se fait une place dans l'élite de l'établissement privé dans lequel il est. Oui, car il faut savoir que son paternel possède une grande fortune et est reconnu dans la Grande Bretagne comme étant un homme d'affaire hors norme, il s'avère qu'en faites sans que son fils le sache, son père possède lui aussi un don, celui-la même qui lui permet d'influencer les choix de ses clients. Stanislas grandit sans le savoir, et de son coté développe le sien, ainsi que son savoir avant d'aboutir à l'acceptation de son inscription dans une université prestigieuse.

Toujours aussi ambitieux, c'est dans ses études supérieurs que le jeune garçon se fait bien plus aimant de l'Homme, et bien plus réceptif à son contact. Un jour, lors d'un long devoir, il utilise son don afin de ralentir le temps et de se donner un moment de réflexion bien plus long que les autres. Dans cette salle, quelques minutes après avoir terminé de réfléchir, il remarque une jeune femme qui ne semble pas affecter par le ralentissement temporel. Intrigué et dans l'envie de savoir comment cela se fait, Stanislas suit cette femme, s'y intéresse, se renseigne, et tente à plusieurs reprises de l'avoir sous l'emprise de son don ! A l'époque, le beau brun étudiait déjà sur le génome humain ainsi que sur son propre génome afin de découvrir la clef de tout ça, et veut afin de concrétiser ses débuts de recherches, exploiter le sang de la belle Maria.

Quelques mois plus tard, Stanislas arrive enfin à ses fins, il fait de cette femme d'abord une bonne amie, puis lui propose de participer à ses expériences et se porter volontaire pour être en quelque sorte son cobaye. C'est sur sa futur femme qu'il fait ses premières comparaisons, il prend des notes, examine encore et encore ce qui pour lui est un miracle, en ralentissement le temps, il commence à décortiquer un à un les secrets qu'avaient autrefois le génome pour lui. C'est avec ses premières thèses qu'il aboutit plus tard à être diplômé et engagé comme scientifique. A l'âge de vingt-sept ans il concrétise ses recherches sur de nouvelles thèses, et avec l'aide de son père, il arrive à se faire financer ses recherches sans savoir à l'époque les conséquences qu'auront celles-ci par la suite.

Un an plus tard, toujours accompagné de Maria, il commence de nouvelles recherches et commence aussi sa vie à deux avec celle-ci. Toujours associable au niveau des autres individus, il se forge une première et réelle réputation.


A l'âge de trente deux ans, Stanislas Bishop a l'envie de se marier, et le fait, sa compagne devient alors Maria Bishop, ou celle qu'il nomme à l'époque dans ses recherches : le sujet zéro. Dans l'année qui suit, sa femme et lui tentent d'avoir un enfant à plusieurs reprises, mais n'y arrivent pas. Dans la même année, il termine ses recherches, Stanislas Bishop est l'homme qui a isolé le génome transmutant, devenant alors scientifique de renommé mondiale. Son père le félicite et lui offre une nouvelle fois l'opportunité de s'ouvrir sur de nouvelles recherches, chose que Stanislas accepte avec joie. Peu de temps après ces événements, et un bonheur ne venant pas seul, Maria Bishop est déclaré enceinte et porteuse d'un enfant. Cette année est pour lui de loin la meilleure de sa vie.

Durant les neufs mois de grossesse, les choses changent, la vision d'une potentielle existence des mutants se fait montrer du doigt par plusieurs politiciens. C'est à l'international que la rumeur se répand, très vite, Stanislas comprend que ses recherches y sont pour quelque chose, que le monde a enfin décidé de reconnaître son existence, à lui, et aux autres de son espèce. C'est l'espoir d'un avenir radieux qui s'installe dans sa vision du monde, lui qui pourtant n'est pas très sociable... C'est alors qu'il pousse ses recherches un peu plus loin, le but étant de tenter d'isoler la mutation pour la faire disparaître, ou bien la répandre, le projet va dans les deux sens. L'un est classé comme officiel, l'autre non.

Maria Bishop accouche d'un petit garçon, âgé alors de trente quatre ans, Stanislas Bishop est enfin père de cet enfant qu'ils nomment ensemble Barth, l'abréviation de Barthélémy. C'est une vie plus stressante qui se fait alors sentir, l'enfant né, des recherches à mener, le trentenaire n'avait plus assez de temps pour assurer sur tout les domaines de sa vie. Alors, il décide de ralentir un peu ses recherches, le temps, oui, le temps lui manque un peu, et pourtant ça ne doit pas arriver, jamais ! Mais bon, rien ne presse, ce n'est que l'ébauche d'une possibilité de guérison pour les siens qui ne veulent pas de leur don, et sans doute pour d'autres la possibilité de s'octroyer la capacité de muter. Chose sans doute peu probable, mais sur lesquelles il travaille durement durant un temps, puis qu'il va ranger dans un coin pour un moment.

C'est donc sa vie familiale que va privilégier Stanislas afin de s'occuper un peu de son petit garçon. Naturellement Maria lui conseille de tout de même tenir ses engagements envers ses associés, elle lui confit aussi sa crainte que dans un jour prochain leur existence devienne un problème. Accroc à l'actualité et soucieuse de son foyer, sa femme s'inquiète, devient mère au foyer, mais reste soucieuse de l'avenir qui peut les attendre. Dans son coin, le père de famille ne se fait pas de soucis, il a confiance en l'Homme, même si il ne le fréquente que pour ses recherches, il est confiant dans l'idée qu'un jour ils pourront se faire à l'idée que les mutants sont parmi eux, qu'ils peuvent vivre avec eux. Toujours doux rêveur, il commence même à éduquer son fils dans l'idée de l'acceptation de tous, dans la tolérance des étrangers, de tout ce qui peut paraître trop étrange à l'Homme pour survivre.

Malheureusement, deux ans s'écoulent, Stanislas aboutit sur le fait que pour le moment il lui sera impossible de guérir les mutations, peu importe les moyens qu'il emploie, rien ne change, rien ne bouge. L'apparition de la vérité sur l'existence des mutants semblent approcher, et il se fixe comme objectif de réussir à créer un remède. C'est pour lui un moyen de garantir la survie des mutants si leur existence est mise en danger, lui ne va pas rejeter son don, mais veut permette aux autres de s'en débarrasser si nécessaire. L'homme se remet donc le nez dans ses recherches, mettant un peu de coté la vie de famille, il s'occupe de ses recherches tant bien que mal. A son quotidien, il exploite son don afin de mieux cerner le problème dans les solutions qu'il trouve, le trentenaire se fait alors très souvent colérique et nerveux.

Quelques mois plus tard, il aboutit sur un début de réussite où la mutation est ralentie dans un premier temps, bizarrement il est arrivé à cette petite prouesse en mélangeant un peu de son génome au remède qu'il prépare. En quelque sorte, c'est un début de vaccin. Malheureusement, on ne lui laisse pas le temps de terminer les recherches, « Les mutants sont déjà parmi nous mes amis, les mutants sont présents depuis toujours... », sont les mots prononcés durant une annonce officielle. La panique le prend alors, il arrête immédiatement ses recherches en laboratoire et efface les traces de celles-ci, Stanislas juge trop dangereux de laisser ses recherches entre les mains de l'Homme désormais, il ne prend aucun risque ! Puis, très vite, il est aussi jugé comme un mutant, observé, épié, Maria ne veut plus vivre ainsi, refuse de vivre à Londres et désire de tout cœur partir avant que le pire n'arrive.

C'est donc sous la demande de sa femme que le trentenaire décide de quitter Londres, emportant avec lui sa femme et son enfant, ainsi que l'ensemble de ses recherches. Pour eux il est clair que dans très peu de tant les mutants seront désignés pour des erreurs, comme le problème de la société, un virus. Maria et Stanislas décident de s'installer dans un coin perdu de l'Angleterre afin de se faire oublier, un jour plus tard Stanislas apprend que son père a été mis aux arrêts. Partagé entre l'envie de retourner le chercher et celle de terminer ses recherches dans son coin, le père de famille se fait plus sage et prévoyant, pour le moment il préfère rester à l'abri et tenter de trouver une solution scientifique.

Le malheur arrive alors, quelques mois après s'être installé, après s'être mis à l'abri de la menace, Stanislas voit le pire sous ses yeux. Alors que sa femme, son enfant, et lui-même mangent, les bruits de plusieurs canons se font entendre, c'est la panique totale, le stresse complet ! Stanislas ordonne brutalement à sa femme de sortir par derrière, de se cacher dans le sous-sol et de s'enfermer avec Barth, celle-ci refuse de s'y rendre sans lui, c'est alors que le scientifique décide d'aller se mettre à l'abri avec eux, erreur qui leur sera fatale. S'y rendant, Stanislas reste en arrière pour clore les portes du sous-sol, Maria et Barth se cachent dans le fond, et entendant les bruits en haut, ainsi que les coups des fusils, il se font silencieux, ne parlent plus, et ne versent plus que des larmes tandis que le père, lui, grince des dents, s'énerve et sombre dans une haine portée à l'Homme.

Les minutes passent, il est inutile de ralentir le temps, Maria qui est trop stressée ne contrôle pas son don et sans pouvoir se maîtriser, protège l'ensemble de la bâtisse, ainsi donc que les traqueurs qui sont en haut. A la porte du sous-sol on entend des coups qui y sont portés avec rage et avec haine. Au final, la porte est enfoncée, on entend des hommes descendre alors que Stanislas se met en première ligne, malheureusement les premières balles fusent, non pas en sa direction, non, non... c'est sa femme qui est visée en première, puis son enfant essuie un tir de plein fouet. C'est alors que le temps se ralentit subitement, tout lui paraît presque immobile, presque plus rien ne bouge à cette seconde. Se retournant, les yeux écarquillés, il voit sa femme à terre, et son enfant, la tête posée sur le ventre de sa mère, à l'agonie totale, à la frontière de la mort. A cet instant précis, le regard de Stanislas se fait noir, il se dirige lentement vers les trois tireurs, marmonnant un tic, puis un tac, puis un tic, et ainsi de suite, il compte les secondes avant de prendre la parole...

« Le temps nous manque souvent, et même si il ne m'a jamais réellement manqué, je me rends compte qu'à ce jour j'ai perdu bien trop de temps... oui... bien trop de temps à penser que l'Homme était compétent dans le domaine de la tolérance, mais j'ai été bien trop aveugle.... NON ! J'ai été bien trop indulgent avec vous, je vous ai laissé bien trop de temps à me vendre de l'espoir, mais c'est terminé ! ». Suite à cette déclaration, il empoigne le fusil du premier homme, puis se recule, constate qu'il a désormais la totale maîtrise de la situation. Stanislas tire une balle en direction de l'homme à qui il vient de prendre son fusil, puis une autre vers le second, puis le troisième. Très vite, il laisse le temps filer, le libérant seconde par seconde de son emprise, puis c'est enfin qu'il voit les balles atteindre leurs objectifs, laissant la liberté aussi à sa femme et à son fils de mourir sans trop attendre. Il sait pertinemment qu'il ne peut pas les sauver, qu'il ne peut rien faire.

Après ces événements, il enterre lui-même les amours qu'il a perdu, les met en terre sans verser une seule larme, il n'en est plus capable. Le mutant a vieilli, et porte désormais sur ses épaules un désire de vengeance ainsi qu'une culpabilité sans limite. L'Angleterre n'est plus aussi belle qu'autrefois, ce qui le pousse à s'exiler de la Grande Bretagne et part pour l'Amérique, il arbore à ce jour des vêtements du passé, est à l'image de Londres dans les temps décrit dans le roman racontant les récits de Sherlock. Son regard sur le monde est sombre, il boit beaucoup, se laisse couler, traitant encore ses recherches clandestines, sauf que dans l'état dans lequel il est il n'aboutit plus à rien.

Très souvent il est confronté à ce qui est aujourd'hui des Hunters, sauf que maintenant il se fait appeler Stanley Bishop, un prénom qu'il juge bien plus sérieux malgré qu'il soit devenu un alcoolique. Face à ceux qu'il juge comme ses ennemis, il ne fait preuve d'aucune pitié et s'en sort toujours. C'est à Radcliff qu'il finit par atterrir et où il décide de se remettre sur pied, ayant enfin fait son deuil, Stanley Bishop désire redevenir le mutant d'autrefois, mais sans oublier le passé.


C'est un soir assez macabre, un accident de la route fait plusieurs blessés. Stanley Bishop a quarante-trois ans quand il est sur les lieux de l'accident. Face à tant de blessés, à tant de morts, l'ancien scientifique décide de se remettre au travail et entreprend d'aider les médecins en se rendant à l'hôpital. Malgré le fait qu'on le juge comme étant un mutant, on accepte son aide, Stanley passe alors la seconde plus longue nuit de sa vie à aider son prochain, utilisant son don pour s'octroyer le temps nécessaire afin de sauver ces vies en dangers. C'est grâce à cet événements qu'on l'accepte au début, grâce à son don qui n'est plus si monstrueux que ça à la vue des autres, mais encore, on ne peut cesser de le juger.

Avec les événements qui suivent, Stanley se fait manipulateur, bien plus associable qu'autrefois, même si il rend service de bon cœur, il n'en est pas moins quelqu'un de cruel quand il le faut. Le vieil homme est vue comme un génie perdu, encore capable des prouesses d'autrefois, mais vivant à une époque n'étant plus la sienne. Sa montre à gousset ne le quitte plus, elle est son outil de torture favoris face à ses ennemis, et l'ancien scientifique, désormais médecin à ses temps perdus, possède plusieurs locaux où il entreprend des recherches en proposant à des siens de s'y adonner. Pour certains mutants, il est vue comme celui qui peut les aider à devenir ou à redevenir des humais normaux, pour d'autres un traître à son espèce, mais dans les deux cas il n'est guère tendre face aux personnes qui le craignent.

Aujourd'hui, il se cache souvent, mais sort aussi très souvent dehors, une façon pour lui de se dire invulnérable, de se dire téméraire face aux menaces de l'Homme. Stanley Bishop est un mutant que l'on juge bon, ou mauvais, cela dépend de la relation que l'on entretient avec lui, mais par l'ensemble de son entourage, il est jugé comme froid et calculateur malgré son désir d'aider. « Le Rebours » est son surnom donné par les Hunters.