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 what you see isn't what you get (soli)

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MessageSujet: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 14:43

Soledad Maiena Cobb
there's no place to hide

NOM : cobb, ça remonte pas à si loin mais c'est connu dans les hautes sphères, comme le nom d'un de ceux qui essayent de ramener l'ordre et la discipline. elle en a hérité comme de la tâche américaine qui souille son sang méditerranéen, qui la prive des terres de sa naissance. on lui a pas vraiment laissé le choix. PRÉNOMS : c'était un peu comme si on avait voulu lui dicter son avenir, comme si, par leur faute, c'était inévitable : soledad, c'est ce qu'il y avait écrit sur le bracelet rose qui entourait son poignet ridicule à la maternité. la solitude d'une vie entière, programmée dès le berceau. là non plus, elle avait rien pu dire. alors maintenant soli, plus personne a le droit de l'appeler comme ça. c'est soli. le suffixe s'est décroché naturellement comme pour leur prouver qu'ils avaient tort. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : les terres arides et sableuses l'étaient toujours autant, car le soleil chasse la neige même en hiver, ici. née un 29 janvier, à alicante, elle s'est toujours considérée comme une fille de l'été. ÂGE : vingt-sept ans, et déjà le sentiment qu'elle court après le temps perdu. ORIGINES : sa mère était espagnole. son père est américain. pour soli, les deux ne font pas bon ménage, et elle a clairement choisi son camp ; avant qu'on le lui retire, sans crier gare. de très loin, dans la lignée de son père, on lui trouve également des origines danoises, dont il ne lui reste qu'une cousine éloignée.NATIONALITÉ : américaine, elle n'a presque plus aucun souvenir des printemps de son enfance aux couleurs vives et aux parfums de miel, sauf celui qu'elle s'imagine et qu'elle repeint sur les murs de son appartement gris et terne. STATUT CIVIL : soli est comme son nom l'indique, célibataire. il semble qu'elle n'arrive pas à les garder. c'est sûrement que l'amour n'a jamais frappé à la porte, ou qu'elle ne l'a jamais laissé entrer. elle flirte, elle essaye, parfois elle y croit, mais tout s'écroule toujours ; une tromperie, un mensonge, des non-dits et l'absence de sentiments de temps en temps. aujourd'hui, elle s'est faite une raison, et elle ne pense même plus à trouver chaussure à son pied : elle n'en veut pas. MÉTIER : infiltrée chez les hunters pour le compte de la rébellion et du gouvernement, heureusement, quelque part, que son nom est commun ou peu connu du peuple. elle travaille au fbi, placée par son père dans une cellule anti-terroriste où elle est agent. ORIENTATION SEXUELLE : si elle s'est toujours sentie hétérosexuelle, elle admet que la nature même de l'être humain est de tomber amoureux d'une personne et non d'un genre. et puis, il elle cherche bien dans son esprit, même pas si loin que ça, elle a déjà craqué pour des filles, même si rien ne s'en est jamais suivie. aujourd'hui, elle se dit pansexuelle, et elle pense que ce devrait être le cas de tout le monde. MUTATION : elle entend tout ce qu'elle veut entendre même si elle en est loin ; elle monte ou descend le volume à la force de sa simple volonté ; elle contrôle les ondes radio. soli s'accompagne toujours de son audiokinésie, qui lui a posé bien des problèmes par le passé mais qui s'avèrera plus qu'utile pour mener sa mission à bien. TRAITS DE CARACTÈRE : volontaire, débrouillarde, réfléchie, imprévisible, courageuse, stratège, opportuniste, imprudente, nerveuse, obstinée, instable, intelligente, facilement dépendante, méfiante, pétillante, maline, revancharde, rancunière, cyclothymique. AVATAR : maria valverde. GROUPE : transmutants CRÉDITS : roleplayfrolic.tumblr.



(001), elle a une peur maladive de l'orage qu'elle tente, tant bien que mal, de maitriser avec l'aide de son psy. c'est une phobie qui lui vient de son pouvoir, qui devenait incontrôlable dès que l'orage grondait trop fort et que les éclairs déchiraient le ciel comme une potence qu'elle n'avait pas mérité. aujourd'hui, avec une forte concentration et si son humeur ne fait pas de vague, elle est capable de contrôler le son d'un orage jusqu'à s'en couper totalement. quelques secondes de silence. mais la peur revient au galop. (002), c'est à l'adolescence que son pouvoir a commencé à véritablement poser problème, puisque c'est en fait à ce moment là qu'il s'est pleinement fait ressentir. elle a tenté de vivre avec pendant longtemps, plusieurs années, mais elle n'avait ni contrôle ni professeur et était forcée de subir sa capacité sans jamais prendre l'ascendant. à un certain stade, elle n'arrivait même plus à s'endormir tant tous les bruits extérieurs semblaient avoir lieu juste à côté d'elle. pour s'en sortir (ou s'embourber davantage), à dix-neuf ans elle s'est sévèrement laissée emporter par un tourbillon de dépendance aux pilules, poudre, herbes, liquides et cachetons, dont elle n'est sortie qu'il y a quelques années, grâce à Maiken, notamment. (003), soli a toujours gardé sa mutation secrète ; un peu sur ordre de son père, et un peu pour elle-même aussi. pour se protéger des fous dangereux dont elle avait connaissance, les mêmes qui ont enlevé sa mère à sa vie comblée. c'est à 14 ans, via son père, que soli a appris sa mort. à vrai dire, elle ne s'en est jamais totalement remise. elle avait le don de guérison. qui, au monde, serait assez cruel pour exécuter quelqu'un qui sauve des vies. c'est aussi un peu pour ça, sans doute, qu'elle est où elle est maintenant, soli. aujourd'hui, les seules qui savent qu'elle est mutante sont Maiken, Felix, et naturellement : son père. (004), son père est un sujet assez délicat à aborder avec soli. jamais très présent, parce que toujours très occupé par son travail, il a toujours eu pour elle une figure autoritaire et pas vraiment affectueuse. si dans son être profond, il l'aime comme sa vie, elle a toujours eu beaucoup de mal à le voir comme un papa. aujourd'hui, leurs rapports sont cordiaux et tendent chaque jour un peu plus vers le mieux : pour la première fois dans sa vie, il montre une volonté de l'aider et d'être présent ; si toutefois il ne s'agit pas simplement de veiller à ce que ses intérêts à lui soient fournis. (005), soli s'est exilée quelques temps, pour ses études, à la fac de boston. si elle n'a jamais tenu assez longtemps pour avoir son diplôme - elle a tenté la criminologie ; douée, mais pas exceptionnelle - elle a tout de même eu le temps de tisser des liens qui lui sont chers et précieux aujourd'hui. parmi eux, le plus complexe reste Aspen, qu'elle a aimée comme une amie et dont elle doit absolument se détacher aujourd'hui si elle ne veut pas faillir à sa mission. pour autant, ce n'est pas vraiment une période qu'elle regrette. la fête et les cachetons renvoient aujourd'hui à son esprit une image de douce époque, comme la période glorieuse de sa vie. (006), souvent lâche et fuyarde devant les situations difficiles, soli tente aujourd'hui de racheter ses comportements d'autrefois. avec sa mission, notamment, elle entend montrer aux autres - entendre : à son père - qu'elle a pris de l'assurance et qu'elle n'est plus la jeune fille en détresse et perdue d'avance qu'elle était autrefois. néanmoins, il demeure en elle les cendres froides de ce passé instable, et bien qu'elle ait clairement pris du gallon face aux situations difficile, il se pourrait qu'une étincelle suffise à les rallumer. soli, même si elle veut se donner des airs de grande à la tête froide, elle flippe encore pas mal, mais c'est pas elle qui l'admettra. (007), quand le monde se fait trop bruyant, et qu'elle a besoin de s'éclipser, soli aime se retrouver seule et éteindre le bruit. elle monte sur une colline, se pose dans une vallée ou se perd dans une forêt, et elle éteint tout. le silence absolu. tellement de calme qu'on a l'impression d'entendre que l'on entend plus rien. le monde est mort et la vie avec lui, il ne reste plus qu'elle, une seconde, une heure, un an.  (008), soli n'est pas, pour autant, un véritable prodige dans la musique. elle a effectivement plus de facilités pour apprendre un instruments, mais si la volonté ne suit pas, elle est juste comme tout le monde : moyenne. elle a appris la guitare, pendant qu'elle était chez Maiken. elle y joue encore de temps à autre quand l'envie la prend. elle se débrouille également à a batterie. elle s'est essayé au piano mais l'instrument était plus compliqué que les autres, alors elle a laissé tomber. elle sait quand même jouer quelques morceaux basiques et pas trop compliqués de grands compositeurs. juste pour le show-off. (009), elle n'est pas fière d'être transmutante. ce n'est, pour elle, ni une malédiction ni une bénédiction. c'est un fait, c'est une condition avec laquelle elle a du apprendre à vivre, comme on apprend à vivre avec son physique ou son caractère. aujourd'hui, elle en tire une véritable force, d'un côté parce qu'elle n'a pas vraiment le choix, par les temps qui courent, mais aussi pour rendre sa mère fière, si elle la regarde de quelque part. elle a déjà imaginé sa vie sans son pouvoir : plus simple, sans doute. certainement. mais à ce jour, pour rien au monde elle ne voudrait changer quoi que ce soit à qui elle est. les chasseurs sont frustrés. ils sont jaloux, et envieux. c'est ce qu'elle se répète pour les vaincre. (010), cobb, première et dernière du nom. fille unique, seule dans l'enfance et dans son développement, elle a toujours eu le sentiment qu'il lui manquait quelqu'un. peut-être que c'est pour ça qu'elle s'est attachée, si vite et si fort, à sa cousine. peut-être que c'est pour ça qu'elle a toujours vu son prénom comme une tare. seule au monde, sans personne d'autre qu'elle-même, c'est quelque chose dont elle a beaucoup souffert. elle aurait juste voulu avoir quelqu'un à qui parler, dans ces moments.

Décrivez l'apparition de votre don et la façon dont vous le maitrisez.
elle a vu à l'école que l'ouïe d'un individu se développe jusqu'à l'adolescence. comment elle aurait pu deviner, étant gosse, que c'était pas normal. que le volume qui monte et qui descend tout seul, c'est pas humain, c'est plus que ça. que les sons qu'elle entendait à la maison, venus de loin, comme des murmures, ils provenaient d'ailleurs. y avait pas moyen qu'elle sache, Soli, parce que ça la dérangeait pas, quand elle était gamine. c'est à l'adolescence que ça a commencé à lui bouffer le crâne, à lui enflammer les sens. pendant un temps, elle a cru qu'elle devenait folle. parce qu'elle entendait tout, que ça s'arrêtait pas. et puis, sa mère, elle a tout juste eu le temps de lui expliquer les choses ; que c'était normal, que c'était pas une tare, que c'était un don, même, et qu'elle l'avait aussi. c'est pour ça qu'elle est morte, maman. on lui a prit sa vie parce qu'elle valait mieux que celles des hommes et Soli, elle a à peine eu le temps de comprendre, que déjà, il fallait qu'elle prétende. qu'elle fasse semblant. elle a promis à son père, juré qu'elle serais humaine, dorénavant. elle a convaincu ses profs et ses camarades de classe, qui si elle divaguait parfois, c'était juste qu'elle était un peu plus étrange que les autres. elle contrôlait rien et pourtant fallait qu'elle vive avec, qu'elle fasse comme si de rien n'était. et rien n'était. elle a tout fait pour oublié, Soli. elle a bu pour oublier, elle a fumé pour oublier, s'est piqué pour oublié, a sniffé pour oublier, elle a sombré pour oublier, Soli. et puis elle a fini par oublier. par s'oublier. avoir posé ses valises chez Maiken, c'est sa meilleure décision, elle s'en félicite encore. c'est grâce à elle qu'elle va bien, aujourd'hui. certainement grâce à elle qu'elle a pas crevé sous un pont, noyée dans son vomi. c'est comme une seconde naissance, une deuxième chance, une autre vie : le contrôle, elle l'a. les mauvais souvenirs sont partis, mais le désir de vengeance est restée, et puisqu'elle sait maintenant comment choisir ce qu'elle écoute, les chasseurs ont du soucis à se faire, elle se dit. seulement, elle se dit pas que, peut-être, elle aussi.

Comment s'est passé votre chemin chez les hunters ?
c'était presque inévitable, en fait. un passage obligatoire, une étape vers la rédemption. c'est sa soif de vengeance, et aussi un peu les pressions paternelles, qui l'y ont conduite. Soli a jamais voulu chasser les mutants. c'était comme se chasser elle-même ; comme chasser sa mère. Soli, elle est incapable de tuer - elle croit. elle espère. alors Soli, dans la salle de réunion, quand on a commencé à parler de mission d'infiltration, elle s'est levée. elle s'est dit qu'elle pourrait se racheter ; gagner la confiance des autres, et le respects de son père ; venger sa mère qui le méritait tant ; et puis aussi un peu se prouver à elle-même qu'elle en était capable. ils disaient : c'est de la folie. c'est une mission suicide. parce que Soli, elle le sait, que si elle est découverte, elle fera pas long feu. mais pour la première fois, elle a confiance en elle. peut-être un peu trop fort, peut-être un peu trop vite. son père a pas bronché. il a hoché la tête. il s'est dit qu'avec sa capacité, Soli, elle pourrait entendre plein de choses et tout leur rapporter. il s'est dit qu'un mutant hackeur ou télépathe, c'était pratique aussi, mais peut-être encore moins pratique que Soli : elle avait tellement l'air d'une humaine, qu'est-ce qui pourrait bien la trahir ? elle s'y était presque entraînée toute sa vie. alors elle en a parlé à Aspen, de son désir de les rejoindre. elle a gagné la confiance des chasseurs grâce à Felix. aujourd'hui, elle a même l'impression d'avoir sa place ; mais elle oublie pas d'où elle vient, la traitresse, pas pour qui elle bosse, pas à qui elle doit des comptes. elle oublie pas sa mère.

Que pensez vous des hunters et du gunpowder squad ?
à vrai dire, là-dessus, elle peut pas vraiment dire grand chose. c'est pas comme si elle avait vraiment le droit de dire ce qu'elle pense et de penser ce qu'elle dit. peut-être que si on regarde bien profond, dans ses yeux, on arrive à le voir, qu'elle les déteste et qu'elle demande qu'à s'en débarrasser. parce qu'ils ont peur, et que leur peur attise la haine, et qu'on n'y peut plus rien faire. qu'ils méritent le même traitement que celui qu'ils infligent à ceux qu'ils jalousent. parce que c'est ça, rien de plus que ça : des humains envieux, avides de ce qu'ils n'ont pas. c'est comme avoir peur d'un homme à la peau noire, d'une femme qui en aime une autre. c'est idiot, immodéré, dangereux ; tout ce qu'ils sont. c'est ça, qu'elle en pense, et elle le cache bien, elle n'a pas d'autres choix ; mais Soli, elle sait pas qu'il y en a parmi eux qui sont juste comme elle : qui cherchent des réponses, qui cherchent la rédemption. une vengeance sur quelque chose, sur quelqu'un. qu'ils y en a qui ont peut-être toutes les raisons de vouloir les mutants éteints, et que, peut-être, elle serait d'accord avec leur vision des choses, à un moment. non. ça elle le sait pas, c'est même pas encore un germe dans son petit cerveau. elle les déteste. elle pensent qu'ils ne méritent pas de vivre. c'est toujours plus facile de voir le mal chez les autres que celui qui grandit en soi.

Que pensez vous d'uprising et d'insurgency ?
elle en est partie prenante, indirectement. si elle n'appartient ni à l'un, ni à l'autre, elle est en totale symbiose avec leurs actions - notamment insurgency, dans lequel elle se retrouve davantage. En collaboration étroite avec la rébellion, puisque fille d'homme politique et agent au fbi, elle n'éprouve que de l'admiration et de la compassion envers ces groupes courageux qui se dressent contre l'ennemi. si elle n'avait pas été au bureau, et si elle avait eu toute sa tête les années précédentes, elle les aurait même probablement rejoints, à un moment donné. pourtant, elle n'est pas sûre qu'elle aurait eu la force et la bravoure de faire ce qu'ils font au quotidien. Soli est davantage dans l'observation que dans l'action, tant qu'elle garde son sang froid ; et si elle le perd, on n'en peut rien espérer de bon. alors elle les soutient, rien qu'en étant où elle est aujourd'hui ; elle les informe lorsqu'ils ont besoin de renseignement détaillé. pourtant, ce n'est pas à eux qu'elle rend des comptes, le bureau et le gouvernement sont clairs : elle travaille directement pour l'élite, pas pour les rebelles. alors elle fait avec. même si elle regarde les audacieux de loin, inquiète en pensant à l'issue de cette guerre.


polar lights - cécile - 21 ans
ft. maria valverde - personnage inventé

fréquence de connexion : 5/7. pays : france. avis sur le forum : pour l'instant, j'vous aime. avez vous des suggestions : j'pose mes valises, et je vous tiens au courant  what you see isn't what you get (soli) 2765873474. comment l'avez vous connu : sur bazzart. dernier mot : JF CHERCHE HUNTER ACTIVEMENT POUR ACTIVITÉS PAS TRÈS LICITES. (j'rigole. (c'était pour attirer votre attention. (mpottez-moi  what you see isn't what you get (soli) 2675131757))).


Dernière édition par Soli Cobb le Jeu 4 Aoû 2016 - 22:07, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 14:44

Stories are where memories go
when they´re forgotten.

BENNETT'S HOUSE, RADCLIFF, KENTUCKY – 8 years from now
Le souffle court. Les jambes flageolantes, prêtes à ciller. Le palpitant qui tape, gonfle ses vaisseaux sanguins, bat à tout rompre dans sa poitrine. Les gouttelettes qui ruissellent, de son front jusqu'à la pointe de son menton, et viennent s’écraser au sol. Les dents qui claquent, la mâchoire qui grince, le corps sur le point de lâcher. Lentement, ses pas silencieux font marche arrière, mais ses yeux ne quittent pas la scène. Son dos trouve le mur et elle se laisse glisser jusqu’au sol. Elle a chaud, elle brûle. Elle grelotte de froid. Elle porte ses mains tremblantes à son visage, elles tambourinent contre sa tempe ; elle n’arrive pas à se calmer. Elle n’arrive pas à réfléchir. Le drogues quittent son corps, doucement, drainant toute son énergie à mesure qu’elles rejoignent les airs dans leurs effluves. La descente est terrible, angoissante, douloureuse. Tu rêves, là. Bad trip total. Y a aucun bruit. C’est bizarre, parce qu’elle n'a rien éteint. Mais elle n’entend rien, rien d’autre que sa respiration haletante, le boum-boum dans sa cage thoracique, qui fait écho dans sa boite crânienne, une putain de migraine. Son regard est resté verrouillé sur les deux corps sans vie qui gisent sur le sol. Qu’est-ce qui vient d’se passer, Soli, qu’est-ce que t’as foutu ? Elle secoue la tête vivement, pour en faire sortir les voix. Elle peut même pas retracer la scène, ça semble irréel. Comment elle en est arrivée là ? Elle s’était détachée de son groupe, avait perdu son chemin, s’était retrouvée seule dans les rues d’une ville dont elle ne connaissait rien. Elle avait pris peur, d’un coup, crise de parano : y a quelqu’un qui la suit, elle s’était dit. Et puis y avait son ventre, qui gargouillait, qui lui ordonnait de lui trouver à bouffer, alors elle s’était mise à courir, avait défoncé la porte de la première maison et s’était mise à fouiller les placards de la cuisine. Jusque là, ouais, elle s’en souvient un peu, ça revient. Avant qu’elle ait le temps de croquer dans la cuisse de poulet froide qu’elle avait trouvé dans le frigo, y avait deux silhouettes qui s’étaient dessinées de l’autre côté de la pièce. Elle avait entendu « Qu’est-ce que vous faites ici », elle avait entendu « Voleuse ». Elle avait entendu le ton monter, les voix prises de frayeur, la sienne aussi. L’homme avait dit « J’appelle la police » ou un truc comme ça. Mais Soli, elle avait une bonne quantité de poudre dans sa poche, alors elle pouvait pas le laisser faire ça, ça peut se comprendre, hein ? La femme gueulait, trop fort, trop vite, on pouvait plus s’entendre penser. C’était encore une gamine, Soli, comment elle aurait pu savoir. Elle entendait les doigts de l’homme taper sur l’appareil, le bruit des touches du téléphone. Elle s’est énervée. Elle a généré un ultrason, pour les calmer. Alors ils ont essayé d’éteindre le son de posant les paumes sur leurs oreilles, elle a entendu les décibels grimper en flèche, les obligeant à se plier en deux. Elle a entendu « Qu’est-ce que vous faites, arrêtez ça ! » et elle aurait voulu arrêter, elle le jure, mais elle y arrivait pas, elle contrôlait plus rien, et plus elle paniquait, plus le son était strident.
Un être humain normalement constitué – entendez là qu’il ne soit pas transmutant – n’est pas capable de survivre à deux cents décibels. Ouais, comment elle aurait pu le savoir, elle. Elle qui savait rien. Elle est là depuis une demi-heure, recroquevillée dans le coin de la cuisine, ses pupilles qui retracent les moindres détails des contours de leurs silhouettes inertes, s’arrêtent sur la ligne de sang, sèche, qui a coulé de leurs oreilles. C’est un cauchemar, c’est forcément un cauchemar. Le silence se coupe d’un coup quand des pas claquent à l’extérieur, dans l’allée, des clefs dans la serrure. Il faut partir vite, avant qu’il se rendent compte que la porte est déjà ouverte. Avant qu’il la voit. Mais elle arrive pas à bouger, elle est pétrifiée, son cerveau va trop vite et elle ne comprend rien. « Maman ? » la panique grandit lorsque la voix de la jeune fille lui parvient aux oreilles. Elle est pas encore capable, Soli, de se dire qu’elle vient d’endeuiller une famille. « Papa ? » elle se rapproche, pas de loup, prudente, méfiante. C’est fini. Elle va trouver Soli, c’est sûr. Barre-toi, pauvre idiote. « Hep ! » Soli fait volte-face. Un homme se tient dans l’embrasure de la porte de derrière, caché dans l’ombre, elle ne discerne pas son visage. Pourtant, prise d’un élan venu d’outre-tombe, elle se rue vers lui, comme s’il était la lueur d’espoir qu’elle attendait. Il l’aide à sortir, et elle prend ses jambes à son cou, sans même prendre le soin de lui dire merci.
Derrière, le bruit de mort s’éloigne et vient à disparaître totalement à mesure qu’elle suit le soleil.
Il ne se passe plus rien dans cette maison. Il ne s’est rien passé.
Elle a rêvé.

ONE'S FRIEND'S HOUSE - 3 years from now
Un splash résonne au milieu des têtes qui se balancent en rythme, et sa vision se floute. L’eau s’engouffre dans ses poumons dès la première inspiration, mais le brouhaha s’est arrêté. C’est tout ce qui compte. Pas de continuer à vivre ni de mourir correctement. Juste d’avoir droit au silence qu’elle ne connaît plus depuis si longtemps. Qu’elle a oublié. Même le sentiment de solitude a fini par lui manquer. Soli s’envole, Soli s’en va. Et si elle quitte le monde, tant pis, elle ne peut déjà plus y vivre. Elle plane. Ses cheveux qui flottent entourent son regard qui pétillent des lumières extérieures multicolores, comme ces scènes au ralenti dans les films, où tout se calme. C’est vrai. Tout s’est calmé. Sous l’eau, les sons s’étouffent et son pouvoir se retire un peu. Il accepte, peut-être, pour une fois, de ne pas avoir le dessus. Et s’il accepte si finalement, c’est parce qu’il vient de gagner. Elle s’avoue vaincue, Soli. Ça fait huit ans que ça dure, les voix permanentes, les mille chaînes radio et télé qui jouent en même temps dans sa tête, les gens qui parlent, tous à l'unisson. Huit ans qu’elle double ses quantités illicites pour être un peu tranquille. Ce soir, la drogue ne fait plus effet. Si elle cherche bien, ça fait un moment qu’elle a cessé de fonctionner. Alors ce soir, elle en a pris plus, elle en a pris trop, elle a tout pris. Pique, injecte, sniffe, avale, bois, fume, et détruis-tout ce qu’il reste d’humain chez toi. Elle s’est souvent dit qu’elle avait juste pas eu de chance, qu’elle aurait mieux fait d’avoir la mutation de sa mère, un pouvoir tranquille, qui fait pas de dégât : au contraire, qui répare. Et puis, elle se souvient comme elle a fini. C’est sans doute inévitable. Ils sont sûrement tous voués à disparaître, de toute manière, alors elle peut leur mâcher un peu le travail. Elle a pas envie de mourir, Soli, vraiment, elle a même pas conscience de ce qu’elle est en train de faire ; elle tout ce qu’elle veut, à cet instant, c’est que le monde arrête de tourner. Une seconde, une minute, mille ans. Que tout le monde se stoppe, que les lumières s’éteignent et le silence se fasse. Et à mesure qu’elle se noie, Soli, tout s’éteint. Elle est bien. Enfin.  Malgré les bras qui la tirent. Qui tentent tant bien que mal de la ramener sur le bord. Malgré les poings qui tapent sur son thorax, qui essayent de lui rendre la vie. Ils sont trop tard. Le bruit s’est arrêté. Ils se sont tus. Et y a un sourire qui vient étirer ses lèvres, parce qu’elle quitte le monde dans une tranquillité absolue.

Elle se réveille quelques jours plus tard dans une chambre éclairée aux néons. C’est blanc, c’est pâle, ça lui explose les rétines. Elle essaye de se lever, mais son ventre lui fait un mal de chien. Et bien sûr, elle se rappelle rien. « Ça va ? » son père la regarde, sévèrement, mais sans colère pourtant, elle s’en réjouit une petite seconde, c’est rare. Elle secoue la tête. Pour dire non. Pour dire désolée. Y a la sensation de l’eau envahissante qui lui revient dans les poumons, c’est moins agréable que la première fois. « Soli, ils ont un centre ici- » « J’ai glissé. » elle le coupe. « J’ai glissé dans la piscine, je vois pas pourquoi tu veux me foutre dans un centre, ça arrive à tout le monde. » même si généralement, ils essayent de remonter à la surface. Mais ça, elle le rajoute pas. « Soli. » il soupire, ça a l’air de le faire aussi chier qu’elle, d’être ici. « Le docteur m’a dit. » il s’arrête encore, on dirait qu’il a du mal à le dire, ça doit pas lui sembler réel. « Tu ne t’es pas noyée. Tu n’es pas restée assez longtemps. Tu as fait une overdose et tu as perdu connaissance. C’est ce que le médecin m’a dit. Ils t’ont fait un lavage d’estomac- » elle arrête d’écouter, parce qu’elle connaît la suite. Il va dire t’as besoin d’aide, Soledad, et il va dire laisse-moi t’aider, promets-moi que t’arrêtes, promets-moi, promets-moi. Mais elle sait déjà qu’elle peut rien promettre. « Je suis plus jamais seule, papa. » Y a toujours des sons, toujours des voix qui l’accompagnent, partout où elle va, ça rend fou, vraiment fou. Alors il se tait, et là, pour la première fois depuis qu’elle est née, il a l’air vulnérable. Y a une larme qui glisse de son œil droit, elle s’y attendait pas. Elle a envie de le prendre dans ses bras, mais elle reste immobile. Au fond de ses pupilles à lui, y a écrit « je pourrais pas vivre sans toi » et au fond des siennes, y a surement marqué la même chose.
Elle sort le lendemain.
Mais dès qu’elle se retrouve seule, tous les sons reviennent la hanter. Il faut juste qu’elle apprenne à le contrôler, combien de fois elle se l’est répété. C’est trop dur. Elle fourre sa main dans sa poche et en ressort un sachet de pilules qu’elle vient d’acheter à l’instant. Même pas une heure après être sortie. Elle le contemple, longtemps, en sachant très bien que d’ici dix minutes elle en aura avalé la moitié. A quoi ça sert de lutter. Alors elle réfléchit. Elle essaye. Y a ses pensées qui se font un chemin à travers les voix des autres. Elle en gobe une, puis deux, puis quatre. Puis elle regrette. Ses pas la guident tous seuls, elle est en pleure et il se met à pleuvoir. Quand elle arrive devant la porte, elle est trempée, elle a froid, les pilules l’ont à peine aidée, elle pourrait encore se laisser clamser. Mais elle frappe trois coups. Trois coups comme un appel à l’aide. Et quand la porte s’ouvre, c’est tout ce dont elle avait besoin. Un visage familier. Quelqu’un de confiance. La seule qui lui reste, en dehors de son père. Maiken. Elle lui dit « J’ai besoin d’aide. » et elle s'écroule dans ses bras.


FBI HEADQUARTERS - a couple of months from now
Elle n’a jamais vraiment rien mérité, pourtant elle a toujours tout eu facilement. Ça aide, d’avoir un père comme le sien. La fac, c’était trop d’études pour elle, elle a lâché quelques mois avant son diplôme. Après ça, qui aurait pu prévoir qu’elle se retrouverait là, assise avec des costards-cravates autour d’une table en bois ovale de la taille de la pièce, à les écouter parler de grands méchants et de missions suicides. Mais elle voulait bien faire. Elle voulait vraiment bien faire. Quatorze ans que maman était partie. Huit ans depuis l’incident à Radcliff, huit ans que sa mémoire en refoule le souvenir dès qu’il veut refaire surface. Trois ans qu’elle était clean. Purgée de tout. Même pas d’alcool, même pas de cigarettes. Trois ans que ça allait mieux. Et trois ans qu’elle essayait de se racheter. Pour la mémoire de sa mère. Pour l’honneur de son père. Pour elle-même, aussi, pour être fière, pour se prouver qu’elle en est capable. Les conversations vont bon train, elle suit, elle note ce qu’elle comprend, ça n’a pas l’air si compliqué. À un moment qu’elle aurait du mal à situer dans le temps, la porte s’ouvre à la volée, laisse apparaître son père, un dossier à la main, qu’il vient tendre à l’agent en chef avant d’adresser un signe de la tête en direction de Letha. « Le président vient de nous donner son accord. » il lui dit. Elle lâche un soupir, étire ses lèvres d’un sourire soulagé. Puis, il se tourne vers l’assemblée, fier. « Mesdames et messieurs, votre journée vient tout juste de devenir intéressante. »
Ils passent les deux heures suivantes à expliquer en quoi consiste la mission, dont une bonne demi-heure à en préciser la confidentialité la plus totale. Pour infiltrer les chasseurs, le bureau a besoin d’un agent volontaire, costaud, à la tête froide, habile et manipulateur. Tout ce que Soli n’est pas. Ils favorisent un transmutant, si tant est que son pouvoir ne soit pas évident, car une capacité spéciale pourrait être une grande aide au candidat dans la cage aux lions, face au hunters mais aussi pour pêcher le plus de renseignements possible. La liste se réduit ; un hackeur, un clairvoyant, un télépathe. Et puis Soli. Soli qui, sans rien voir venir, comme spectatrice de ses propres actions, se retrouve debout, droite sur ses deux pieds, au milieu d’une foule qui verrouillent leur regards dans sa direction. Elle verrouille le sien sur son père. « Je vais le faire. » Tout le monde se tait, son chef regarde son père, inquiet. Elle arrive à deviner ce qu’il pense, et il pense : elle est pas prête. Pourtant elle l’est, elle le sent ; et son père l’a sûrement deviné, parce qu’il hoche fermement la tête, et lui demande de l’accompagner dans le bureau d’à côté. Lorsqu’il se retrouve seul avec elle, il lui fait foi de sa confiance, mais elle essaye de se vendre quand même. « Je peux le faire. » il répond « Je sais », mais elle continue quand même. Elle plaide en sa faveur. A quel point elle va mieux depuis trois ans, comme elle maîtrise son pouvoir à la perfection, comme elle se sent plus forte, plus capable. Et à chaque fois qu’elle fait une pause dans son discours pour reprendre sa respiration, il dit « Je sais ». Alors, quand elle s’arrête enfin pour de bon, il lui demande quand même : « C’est pour ta mère ? » et, fermement, sans flancher, sans lâcher son regard, elle dit : « Oui. »
De retour chez Maiken, Soli explique à sa cousine la mission à laquelle elle vient d’être assignée. Brisant immédiatement, après seulement quelques heures, la règle de confidentialité établie. Mais y a rien d’autre à faire, elle le sait, y a que Maiken qui peut l’aider à faire disparaître son dossier l’étiquetant de dégénérée, obtenu avec le dépistage. Elle lui dit que Felix peut l’aider à s’intégrer, qu’il est respecté, qu’avec lui ele pourra gagner facilement la confiance des chasseurs. Elle prépare tout ce dont elle a besoin, en quelques jours, répète l’histoire de son personnage, pendant quelques semaines. Elle s’appelle Soli May, maintenant, comme le surnom que sa mère lui donnait quand elle était petite, le diminutif de ses deux prénoms. Et quand elle entre enfin dans leur repère, elle laisse Soledad Cobb à la porte, l’inconsciente. L’idiote qui va risquer sa vie, se voir confronter à des gens du passé, devoir apprendre à faire des choses dont elle ne se serait jamais crue capable. L’imbécile qui nage déjà avec ses vieux démons sans même le savoir. Pourtant, quand on lui a dit qu’elle bosserait à Radcliff, ça lui a vaguement dit quelque chose, comme si elle était déjà passée par là. Mais c’est une nuit qu’elle a effacé de sa mémoire, Soli, qui va revenir lui éclater en peine figure, si elle ne fait pas attention.



Dernière édition par Soli Cobb le Ven 5 Aoû 2016 - 11:35, édité 4 fois
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Gene Warner
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 15:13

*glisse sur les genoux* Bonjooouuuur, bienvenue parmi nous what you see isn't what you get (soli) 921491218
Je viens d'aller voir ton message dans la partie invités, et tu cherches un hunter qui aurait pu t'introniser au sein du pari ? Ca tombe bien, j'en ai deux what you see isn't what you get (soli) 3440612238 Un qui est né et vit à Radcliff depuis toujours, qui est très connu parmi les hunters de la région, et un autre qui est un grand vagabond et qui a débarqué en ville depuis quatre-cinq mois. Si jamais y en a un des deux qui t'intéresse, je te les prête de bon coeur what you see isn't what you get (soli) 2765873474
Bref, rebienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche what you see isn't what you get (soli) 921491218
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 16:05

bienvenue parmi nous I love you I love you
j'adore ton idée de personnage, j'ai bien hâte d'en voir plus what you see isn't what you get (soli) 1838896285
si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésite pas what you see isn't what you get (soli) 921491218
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Isolde Saddler
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 16:18

Bienvenuuuuuue what you see isn't what you get (soli) 921491218 Bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas what you see isn't what you get (soli) 3013803170 what you see isn't what you get (soli) 243543726 :keur:
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 16:51

Bienvenue what you see isn't what you get (soli) 457556871 what you see isn't what you get (soli) 2947079949
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Lorcan Wolstenholme
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 16:59

Bienvenue officiellement ! what you see isn't what you get (soli) 3770803369

Comme je l'ai déjà dit, j'aime tes idées what you see isn't what you get (soli) 475114356 j'ai hâte d'en lire plus sur Soli ! what you see isn't what you get (soli) 921491218
Si tu as des questions, tu connais le chemin de ma boîte mp what you see isn't what you get (soli) 2765873474
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 17:43

ouech, d'où y'a des gens du FBI qui viennent souffler dans les bronches de mason? what you see isn't what you get (soli) 222075304 :flirt:
bienvenuuuuuuuue :flirt: what you see isn't what you get (soli) 243543726 bonne chance pour ta fiche :keur:
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Kaisa Makinen
Kaisa Makinen

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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeSam 30 Juil 2016 - 19:10

Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! what you see isn't what you get (soli) 921491218
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Calvin Bennett
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeDim 31 Juil 2016 - 1:36

bienvenue sur le fofo ! bonne chance pour ta fiche what you see isn't what you get (soli) 243543726
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeDim 31 Juil 2016 - 15:11

bienvenue parmi nous I love you
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeDim 31 Juil 2016 - 20:44

Bienvenue sur TH I love you Bon courage pour ta fiche. :a:
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeLun 1 Aoû 2016 - 10:03

Bienvenue à Radcliff !
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Salomé Callahan
Salomé Callahan

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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeLun 1 Aoû 2016 - 10:53

J'aime l'idée du personnage, j'te demanderai sûrement un lien avec mon dc Octavia, petite humaine infiltrée chez les hunters :aw:

bienvenue par ici, et bon courage avec la suite de ta fiche what you see isn't what you get (soli) 2765873474
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MessageSujet: Re: what you see isn't what you get (soli)   what you see isn't what you get (soli) Icon_minitimeLun 1 Aoû 2016 - 11:02

wouuuuuh merci à tous, ça c'est de l'accueil what you see isn't what you get (soli) 996374593
j'me sens comme un poisson dans l'eau parmi vos caboches what you see isn't what you get (soli) 359046985
gene > tu m'intéresses what you see isn't what you get (soli) 4170729518 je te mpotte pendant ma pause dej' what you see isn't what you get (soli) 3440612238
isolde > ouais, j'ai une question : tu m'épouses ? what you see isn't what you get (soli) 2765873474 (ouais j'suis amoureuse d'eliza et pas très douée pour la cacher what you see isn't what you get (soli) 4178655748)
lorcan > merci encore pour tout, pareil je t'oublie pas, je réponds à ton mp aaaaasap what you see isn't what you get (soli) 1091897475
mason > hein quoi qui ça où ça comment what you see isn't what you get (soli) 3440612238 what you see isn't what you get (soli) 3440612238 faudra qu'on discute what you see isn't what you get (soli) 359046985
salomé > oh mais ouuui grave what you see isn't what you get (soli) 2605979431 on se mpotte what you see isn't what you get (soli) 4170729518

merci encore mille fois à tous I love you
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