La banque... Une cible de choix pour les voleurs, les bandits, les criminels. Un endroit de choix pour la jeune Lilo où frapper. Simplement pour le plaisir et rien de plus. L'argent au fond, elle s'en fichait. Elle avait envie de voler la banque seulement parce qu'elle le pouvait. Une sorte de terrain de jeu. Autrement la vie serait incroyablement moche. Se lever, aller travailler et payer ses dettes. Jamais... Ils l'avaient traité comme un monstre, elle allait leur montrer dans ce cas qu'ils avaient raison de la craindre. Mais comme elle n'était pas une tueuse, elle avait trouvé le vol comme joyeux hobby. Les petits magasins, le centre commercial, et maintenant la banque. Ouais, elle adorait voler et passait pratiquement toutes ses nuits dehors. Elle n'avait pas de maison, ni d'appartement. Elle dormait dans des sous-sols, des maisons vides ou dans le motel sans avoir à payer. L'argent qu'elle volait, elle l'utilisait que très peu, sauf quand elle voulait avoir l'impression d'être une jeune femme comme les autres. Il lui arrivait de faire l'épicerie et de remplir son panier pour ne finalement jamais tout manger. Ce qui restait, elle le donnait à des gens dans la rue, les filaient dans les frigos de gens qui la laissait squatter chez eux. Certains refusaient le cadeau croyant qu'elle avait volé cette nourriture. Ce qui était d'une certaine manière le cas.

La blonde se fichait donc un peu de l'argent en lui-même mais avait décidé de voler la banque parce qu'elle voyait cela comme un défi. Et puis c'était tout ce qu'elle savait faire. Enfant des rues, sans attaches - ou presque à part son mentor, Will cloué dans le coma - petite peste qui donnait des maux de tête aux chasseurs. Elle ne trouvait qu'une façon de se détendre et c'était ce qu'elle faisait alors qu'elle approchait de l'institution bancaire. Elle traversa les épais murs de béton armé comme si elle ne rencontrait aucun obstacle et se trouva dans la voûte. C'était la nuit, il n'y avait probablement qu'un gardien qui ne pourrait rien pour l'arrêter. Son sac à main en bandoulière sur son épaule, elle commença à prendre l'argent dans les casiers en passant sa main à travers. Elle chantonnait doucement pour elle-même et n'entendit pas les mouvements d'un autre voleur derrière elle. « Dites-moi que vous n'êtes pas flics. » Elle sursauta et se retourna pour apercevoir un jeune homme, le sac rempli de billets, tout comme elle. Un autre voleur. Ça lui semblait bien trop familier. C'était exactement ainsi qu'elle avait rencontré William. Maintenant qu'elle était une mutante aguerrie, elle n'avait besoin de personne mais elle ne pouvait s'empêcher d'être amusée de voir qu'elle avait de la compagnie. « Ah ah, ouais, j'suis totalement une flic, c'pour ça que j'ai les mains pleines de fric. » Pour accompagner l'image, elle leva ses deux pattes dans lesquelles elle tenait l'argent qu'elle comptait voler. « Comment t'es entré ici ? » Ça l'intriguait bien de savoir comment les autres voleurs si prenaient. Elle ignorait au premier coup d'oeil qu'il était un mutant comme elle et se demandait aussi comment elle avait fait pour ne pas l'apercevoir avant. Elle ne le quittait pas des yeux sans cesser de piger l'argent à travers les casiers. Le gardien pouvait débarquer d'un moment à l'autre et bien que ça ne lui faisait pas peur, elle préférait arriver et partir sans être vue.

One thief or Two? whatever, the money's still missing! Lloyd feat. Lilo

Illud autem non dubitatur quod cum esset aliquando virtutum omnium domicilium Roma, ingenuos advenas plerique nobilium, ut Homerici bacarum suavitate Lotophagi, humanitatis multiformibus officiis retentabant.  Δ Lorem Ipsum Je sais bien que mes questions ne sont pas toujours les plus intelligents, mais la peur n’aide pas franchement à réfléchir. Bon, j'avoue qu'elle marque un point, mais vu la morale dans cette ville, ça ne m'étonnerait même pas qu'un flic se serve pendant une arrestation. La police de Radcliffe n'est pas franchement réputée pour ces actions héroïques mais plus pour son taux de hunters profitant de leurs position pour commettre des crimes plus horrible que ceux que commettent les gens qu'ils arrêtent... Enfin bref c'est une voleuse, le truc, c'est que je n'ai vu personne d'autre que le vigil dans la banque...Le coffre est légèrement entre ouvert....A son avis comment je suis rentré ici? ''Moi mademoiselle, je suis passé par la grande porte...'' bon ce n'est pas complètement la vérité, mais de là à dire que je suis invisible...il n'y a pas plus stupide...manquerait plus qu'elle soit une chasseuse, ou alors il est possible qu'elle soit elle aussi une mutante...ce ne serait pas vraiment étonnant vu son apparition soudaine.  "Ce qui m'intrigue c'est la façon dont vous, vous êtes rentrée ici'' si ça se trouve, elle peut se téléporter...ça expliquerait son arrivée mystérieuse. Si elle était passée par la porte je l'aurais vue! C'est bien la première fois que je tombe sur un autre voleur, ou plutôt devrais-je dire voleuse, depuis que j'en suis un moi-même. Je sais bien que je ne suis pas tout seul, mais de là à dérober la même banque au même moment, ceux sont des facteurs difficiles à réunir. Quoi qu'il en soit, moi j'ai tout ce dont j'ai besoin et même un peu plus. Je n'ai pas vraiment envie de passer plus de temps ici. Voler une banque n'est pas vraiment la situation la plus sûre qui soit et bien que m'en sortir si jamais quelqu'un débarque ne soit pas la chose la plus compliqué qui soit...mieux vaut éviter de faire savoir que j'étais ici et je suppose qu'elle est comme moi. ''Y'a quelqu'un??'' Et merde...le gardien, manquait plus que ça! Mon sac rempli d'argent à la main j'attrape de l'autre le poignet de ma congénère voleuse, et nous rend tout deux invisibles en lui soufflant rapidement ''ne bouge pas et ne parle pas'' en espérant qu'elle m'écoute. Il fallait que ça arrive maintenant! Le vigil ne voyant personne a fermé la porte. La journée se dégrade...je n'ai pas franchement envie de passer la nuit ici. Pourtant, c'est bien partit pour! ''Et ben, c'est qu’on n’est pas dans la merde'' dis-je en relâchant la jeune femme et par la même occasion en redevenant visible. Et voilà, une personne de plus à connaître mon secret. A cet allure là je vais pouvoir porter un t-shirt avec marqué ''je suis un mutant voleur'' clairement ça ne surprendra plus personne. ''Bon...je vais espérer que vous n'êtes pas une fervente supporter des hunters et si j'ose rêver, que vous pouvez nous téléporter en dehors du bâtiment?'' Je sais j'ai de l'espoir, mais premièrement Miss Sadler a été élue alors c'est qu'il y a moins de psychopathe anti mutant que de pro mutant ou de je-m'en-foutiste, en bref, il y toujours d l’espoir. Et deuxièmement... je ne peux pas vraiment faire autre chose. De plus, je vais mourir de faim si je dois attendre que quelqu'un se ramène. Gasmask

Spoiler:

La jeune mutante aimait bien s'entourer de mutants, de malfrats et de mauvaises fréquentations. C'était ce qu'elle faisait de mieux depuis les derniers années de sa courte vie. Ou peut-être que c'était elle la mauvaise influence... Franchement, elle l'ignorait et s'en contrefichait. Elle vivait sa vie, moments par moments. Sans s'encombrer du passé, sans s'inquiéter de l'avenir. Les situations dangereuses, elle les connaissait que trop bien. Heureusement, elle pouvait passer à travers les murs et ficher le camp si la situation empirait mais tomber nez à nez avec un autre voleur n'avait rien de dangereux. Il ne semblait même pas armé. Il avait presque l'air... charmant. Loin des bandits et criminels sans coeur qu'elle avait habitude de côtoyer. Peut-être qu'il était seulement aventureux comme elle. Fallait bien avouer que soudain, la Valentine était curieuse d'en savoir plus sur son vis-à-vis. Ce n'était pas la première fois qu'elle volait une banque en même temps qu'un autre ; William ayant été le premier. Cependant, le jeune homme devant elle était différent. Moins... inquiet. Comme s'il était maître de la situation et ne craignait pas d'être interrompu par un garde. « Moi mademoiselle, je suis passé par la grande porte... Ce qui m'intrigue c'est la façon dont vous, vous êtes rentrée ici. » Il ne l'avait donc pas vu passer à travers le mur, ni attraper les billets à travers le métal de leur coffre. La mutante pouvait donc garder son secret si ça lui chantait. Secret... non, sa mutation n'avait jamais été un secret. Elle ne s'en cachait pas et ce n'était pas devant le voleur qu'elle allait commencer ce soir. Cependant, avant qu'elle ne puisse le rassurer et le dévoiler à quel point il avait de la chance d'être tombé sur une mutante au pouvoir bien utile dans leur situation, ils entendirent le garde appeler dans leur direction. Il devait probablement avoir entendu des voix et se ramenait dangereusement vite. Le jeune homme réagit le premier et attrapa la main de l'orpheline. Elle ouvrit de grands yeux ronds quand elle vit sa main et leurs corps entier disparaître. Maintenant, elle comprenait ce qu'il avait voulu dire par ; être entré par la grande porte. C'était un mutant. Lilo peinait à cacher son excitation bien qu'elle garda le silence le temps que le gardien ne referme la porte et les laisse tous les deux coincés - ou presque - dans la banque. Pas un seul instant elle n'avait eu peur de se faire pincer par le garde, bien qu'elle avait retenu son souffle pour ne pas faire un seul son. Bientôt, ils se retrouvèrent isolés dans la petite pièce mais Lilo n'en faisait pas grand cas. Son compagnon lui, ne semblait pas apprécier. « Et ben, c'est qu’on n’est pas dans la merde. Bon...je vais espérer que vous n'êtes pas une fervente supporter des hunters et si j'ose rêver, que vous pouvez nous téléporter en dehors du bâtiment? » Tous les deux de nouveau visible, il avait relâché la Valentine qui lui souriait, amusée et fascinée par son pouvoir d'invisibilité. « Relaxe, y'a plus de hunters qui veulent me voir crever que j'peux compter. C'qui est beaucoup. J'suis pas leur plus grande fan, et ils sont loin d'm'apprécier eux aussi. » Elle ricana. Ouais, entre elle et les hunters, c'était loin d'être une histoire d'amour. Elle les dérangeait, les volaient, se moquaient d'eux quand elle venait contrecarrer leurs plans. C'était sa façon de se battre contre eux. Pas Insurgency, pas Uprising, juste leur faire perdre patience et d'être l'agaçante peste qu'elle savait être. En attendant, elle volait aussi la banque et ne semblait pas plus inquiète que cela d'être coincés dans la voûte. « S'téléporter ? Pas vraiment, mais on va pouvoir sortir d'ici d'la même manière que j'suis entrée. Par le mur. » Sur ses mots, elle plongea sa main à travers le métal d'un coffre pour lui démontrer son pouvoir d'intangibilité. Elle en tira une liasse de pognons et s'approcha doucement du jeune homme pour déposer l'argent dans sa main. « Moi c'est Lilo, en passant. » Un sourire espiègle étira les lèvres de la mutante, lui demandant le sien d'un simple regard plongé dans le sien.

Tout de suite, Lilo remarqua l'air ravi apparaître sur les traits du jeune homme. Il était rare pour la Valentine de voir une telle réaction face à son don. En général, on la gratifiait de cris, d'injures. En la voyant traverser la matière, c'était souvent l'indignation et le dégoût qu'elle voyait apparaître sur les visages des autres. Même certains mutants n'étaient pas certains d'apprécier son pouvoir - sachant qu'elle pouvait aller où elle le désirait sans rien pour pouvoir l'arrêter. Comme un fantôme venu tous les hanter. Même Will avait au début été agacé par le pouvoir de la gamine. Et surtout son manque de contrôle de celui-ci. Mais à présent, elle arrivait à le contrôler à la perfection grâce à lui et pour une des premières fois de sa vie, on ne la fuyait pas pour ce qu'elle était. « Hum, Lloyd, enchanté ! » Il lui souriait même. C'était presque irréel et pendant un instant, Lilo rougit. Ouais, Lilo rougissait, un peu gênée de cette réaction pleine d'admiration du jeune homme. Lloyd. C'était un joli nom, qui commençait par un L, comme elle. Décidément, ils en avaient des points communs. Elle se jurait alors de ne pas laisser Lloyd lui filer entre les doigts. Ensembles, ils seraient invincibles. Intangibilité et invisibilité, c'était comme s'ils n'existeraient pas, que leurs voix et les sons pour prouver leur existence. De véritables spectres. Cette idée donnait pratiquement des frissons à l'orpheline. « Donc, tu peux nous faire sortir de là ? Je serais presque jaloux de ton pouvoir ! » Lilo lui sourit un peu plus. La jalousie était réciproque. Disparaître aux yeux du monde, ne plus avoir tous les regards réprobateurs posés sur elle. Ce serait un soulagement. Cependant, le mutant n'avait pas besoin de savoir ça. « Ce n’est pas dangereux ton pouvoir ? Il n’y a aucun risque de se retrouver empalé dans un grillage ou un truc du genre dû à une mauvaise maîtrise du don ? » Faisant mine d'être insultée en portant sa main à sa poitrine comme s'il venait de lui faire mal au coeur, Lilo ne put garder son sérieux bien longtemps. C'était en effet un débat qu'elle avait bien souvent eu avec elle-même. Que se passerait-il si elle envoyait un objet traverser un mur et le laisser planté au milieu. Et un corps ? Récemment, elle avait découvert avec dégoût qu'une personne coincée dans le plancher, ce n'était pas aussi glamour que dans les X-Men. Ça faisait mal, ça s'imprégnait à la peau. Alors elle s'était jurée de ne jamais recommencer. Alors Lloyd avait de la chance parce qu'elle contrôlait son pouvoir aujourd'hui. Pas certaine que ce serait le cas son son mentor, sans Will. « Disons que dans les bandes dessinées c'est bien joli mais en réalité c'est pas mal plus... messy si on reste coincé dans un mur ou une grillade comme tu dis. Heureusement ! J'ai appris à le maîtriser parfaitement. Sinon je ne prendrais pas de tels risques que d'me pointer dans la banque. » Sur ce, elle glissa sa main dans la sienne pour l'attirer avec elle vers le mur. Elle s'arrêta devant et tourna les yeux sur lui. « Tu m'fais confiance ? Petite remarque ; les premières fois c'est... une sensation assez désagréable. » Lilo préférait prévenir que guérir. Elle se rappelait les premières fois où elle avait traversé des murs et des planchers, c'était accompagné d'un fourmillement désagréable. Maintenant, elle ne ressentait plus rien, habituée à la sensation mais ce n'était pas le cas pour ceux qu'elle attirait avec elle à travers les objets. Sa main toujours dans la sienne, elle sourit donc à Lloyd, attendant sa permission avant de traverser le mur, rendant leurs deux corps intangibles.

La petite voleuse attend la réaction de Lloyd. Elle ne veut pas le brusquer. Car contrairement à ce qu'on peut penser, Lilo est peut-être une petite peste, elle ne sait peut-être pas pratiquer les bonnes manières mais elle peut se montrer civilisée aussi. Elle n'est pas un animal sauvage à qui on a pas appris à vivre. Alors elle attend jusqu'à ce que le jeune homme se décide finalement à enlacer ses doigts dans les siens. Et quand il donne le signal, la Valentine les fait passer à travers l'épais mur de béton armé sans problème, comme de vrais fantômes. La sensation désagréable de la première fois ne semble pas atteindre Lloyd plus que cela. Il est bien le premier. Lilo se rappelle encore William, les premières fois qu'elle le faisait passer par les murs. Il grognait sans arrêt et avait même refusé à un moment donné de continuer tellement ça le mettait dans un état de malaise. Même Elisa a dû s'adapter à cette sensation la première fois. « C’était génial ! C’est trop bien ! Je suis jaloux ! » Sa main toujours dans la sienne, il s'emballe déjà et Lilo ricane doucement à ses paroles. C'est bien la première fois qu'elle voit quelqu'un s'émerveiller autant devant son pouvoir. En général, elle a droit aux regards de dégoût, surtout venant des humains lambdas. Mais les mutants eux, c'est déjà moins pire bien que certains n'aiment pas savoir qu'une des leurs peut entrer chez eux et aller fouiller dans leur tiroir à petites culottes. Il relâche soudain la main de la passe-muraille un peu embarrassé... et elle aussi. Ce n'est pas dans ses habitudes tout cela. « Tu peux rentrer partout, pas besoin de craindre les coups, ni les balles, rien du tout c’est génial, invisible ou pas, je reste en chair et en os, ce n’est pas juste ! » Elle lui sourit avant de l'inviter à la suivre pour s'éloigner de la banque avant que quelqu'un ne les aperçoivent. Elle s'arrête sous un escalier de secours de l'immeuble en compagnie du jeune homme. « C'est vrai que c'est très pratique. Mais bon, j'ai quand même connu des ennuis parfois. Mais je suis encore là, merci mutation ! » Notamment auprès des hunters qui veulent ardemment sa peau à la petite peste qui les vole sans arrête. La Valentine hausse les épaules. Si elle avait pu être invisible comme le jeune homme, elle aurait pu vivre une vie normale. Elle aurait pu voler sans se faire pincer. Maintenant, elle est condamnée à fuir toute sa vie. À se cacher si elle ne veut pas finir en prison. « C'est bien beau passer à travers les murs, ça n'empêche pas que maintenant, j'ai pas le choix de vivre en fugitive pour le reste de ma vie. Fuir. C'est tout ce que je fais. Avoir été invisible dès le début, j'aurais jamais eu ce problème. » Elle hausse les épaules. Gamine, elle n'avait pas compris comment faire le crime parfait alors elle n'avait jamais songé cacher son visage. Du coup, elle doit assumer sa connerie d'enfant fuguant l'orphelinat. D'enfant des rues qui craint le rejet et qui vole pour survivre. Souvent on lui a offert un deal. Revenir à l'orphelinat et faire quelques travaux communautaires pour se racheter. Puis elle a connu William et plus jamais elle n'a osé songé retourner là où personne ne l'accepte comme elle est. Mutante. « Mais toi... Tu es invisible. Tu as déjà connu des ennuis ? J'veux dire... Je sais pas... Ça me semble bizarre, on peut pas frapper et tirer sur quelqu'un qu'on ne voit pas... non ? » La naïve gamine essaie d'envisager tout cela. Son regard plein de curiosité, elle n'attend même pas qu'il réponde, elle lui pose une autre question. « Et qu'est-ce qui t'as poussé à commencer à voler ? Simplement parce que ton pouvoir te le permet ? » Elle se mord la lèvre pour se taire. Oh oui, Lilo est très curieuse et se retient de ne pas lui poser pleins d'autres questions. Il la fascine l'autre mutant. Ensembles, ils pourraient faire de grandes choses. Elle ne compte pas le laisser filer et s'assit dans l'escalier, comme si elle s'apprête à l'écouter raconter la plus incroyable des histoires en posant son menton au creux de ses paumes alors que ses coudes prennent appui sur ses genoux.