It's affection you're gonna see it someday

Sujet: It's affection you're gonna see it someday Lun 19 Oct 2015 - 18:59

Rose Larsen

It's affection you're gonne see it someday

time for telling tales on me

NOM : Larsen, tel est son nom, porté par des générations et des générations mais qui s'éteindra obligatoirement après la mort de la belle, étant la seule héritière de celui-ci. Autrefois, ils étaient des dizaines à le porter mais à présent ils ne sont plus qu'une poignée. PRÉNOMS : Rose. Prénom si simple et joli à la fois. Lorsqu'elle était petite, sa mère l'appelait "petite fleur" car Rose était en permanence fourrée au jardin, été comme hiver, et surveillait les par-terres de magnolias. Cocasse pour une petite fille portant un nom de fleur, non? DATE ET LIEU DE NAISSANCE : C'est un 6 mai que la petite Rose a vu le jour, dans un réputé hôpital de Radcliff. Depuis, elle y a toujours vécu et en connait tous les recoins comme sa poche. ÂGE : 18 printemps ORIGINES : Les Larsen sont une famille typiquement Américaine depuis la nuit des temps. Casaniers et peu aventureux, ils ont toujours vécu en Amérique, au grand damne de Rose qui ne rêvait que d'une chose : d'aventure. Ses racines sont ancrées dans ces terres, en particulier dans Radcliff, depuis toujours et cela ne risque pas de changer. NATIONALITÉ : Américaine STATUT CIVIL : Ne parlez pas à Rose d'amour, elle déteste ça et ça la met terriblement mal à l'aise. Elle préfère largement le rêver que de le vivre, après tout, c'est moins dangereux. MÉTIER : Après son déménagement, et bien que ses parents lui envoient une pension alimentaire tous les mois, la jolie Rose a dû trouver un moyen de subvenir à ses besoins et étant encore une simple lycéenne, elle n'a réussi à trouver qu'un emploi de serveuse dans un café du coin. ORIENTATION SEXUELLE : Comment savoir lorsqu'on a jamais rien essayé? Rose s'est toujours posée la question, mais pour l'instant l'amour lui passe bien au-dessus de la tête. TRAITS DE CARACTÈRE : Douce - Gentille - Réservée - Têtue - Un brin manipulatrice - Réfléchie - Calculatrice - Protectrice - Peu sûre d'elle - Altruiste - Généreuse - Hypersensible - Peureuse - Perfectionniste - Ordonnée - Possessive avec les gens qu'elle apprécie - Discrète - Franche - Souriante - Observatrice - Sage - Calme - Imaginative - Rêveuse - Fleur bleue MUTATION : La mutation de la belle est à la fois un avantage et un inconvénient. Elle est facilement contrôlable et, bien cachée, on ne la remarque même pas mais il suffit de peu de chose et bam, tout se dévoile. L'été pour la belle est un véritable calvaire et faire des choses simples comme prendre une douche relève du plus grand des défis. Mais malgré tout, Rose n'échangerait sa paire d'ailes pour au monde. AVATAR : Taylor Hill GROUPE : Transmutants CRÉDITS : Gif Hunt

nothing left to say

≈ 001. Rose est de nature discrète et n'aime pas se faire remarquer ≈ 002. Elle aime beaucoup la lecture, elle pourrait passer des journées à lire ≈ 003. Elle adore les animaux, en particulier les chats ≈ 004. Elle peint de temps en temps, mais elle préfère largement le dessin qui est l'un de ses seuls échappatoire face à la solitude qu'engendre sa mutation ≈ 005. La jeune femme ne sort jamais sans le corset qu'elle utilise pour cacher ses ailes ≈ 006. Elle ne se séparerait de ses ailes pour rien au monde, elle les trouve même plutôt jolies ≈ 007. Rose est dotée d'une hypersensibilité rare, un rien la heurte ≈ 008. Petite, la jeune fille a fait de la danse classique mais a dû arrêter à l'apparition de ses ailes ≈ 009. Le prénom Rose lui vient du teint rosé qu'elle avait à la naissance ≈ 010. La jeune fille est très têtue, elle déteste se laisser dicter sa conduite par les autres et est très indépendante.

Décrivez l'apparition de votre don et la façon dont vous le maitrisez.

Je me rappelle de l'apparition de mes ailes comme si c'était hier. Je devais avoir aux alentours de 11 ans. Cela faisait déjà quelques temps que j'avais mal au dos mais maman me disait que ce n'était rien, que c'était dû à la danse, alors je n'y prêtais pas plus attention que ça. Mais ce soir-là, c'était différent. C'était un vendredi et j'allais à mon cour de danse. Comme d'habitude, j'étais en retard. J'ai commencé à me dévêtir pour enfiler mon body. Cela faisait déjà quelques temps que j'avais mal au dos mais maman me disait que ce n'était rien, que c'était dû à la danse, alors je n'y prêtais pas plus attention que ça. Mais ce soir-là, c'était différent. Je commença par enlever mon pull puis mon débardeur. Il était maculé de sang. Je passa alors instinctivement ma main sur mes omoplates et sentie quelque chose de dur. J'alla alors aux toilettes pour voir ce que c'était et à ma grande stupeur c'était de tous petits bouts de cartilages avec de petites plumes. Je n'y croyais pas mes yeux. Je rentra alors chez moi en prétextant un mal de ventre.
Dans un premier temps, je ne dis rien à ma mère, trop honteuse et confuse. Les jours passèrent et au bout d'un moment je ne pu plus cacher mon secret. Je leur en parla alors, un peu gênée. Tous deux me dirent de garder cela pour moi, de n'en parler à personne. Maman me confectionna un corset pour cacher mes ailes, repliées dans mon dos.

Je ne vous cache pas qu'au début j'ai eu beaucoup de mal à maîtriser mon don. Mes ailes étaient immenses et je ne savais pas trop comment m'en servir. Je me cachais tout au fond de mon jardin, la nuit et tentais de décoller. Ce fut un échec cuisant. Puis un jour, je décida de prendre mon courage à deux mains et de monter sur le toit de la maison. Après tout, c'est comme ça que les oiseaux font, ils se jettent dans le vide et ça leur vient instinctivement. Alors pourquoi pas moi ?
Je dû m'y prendre plusieurs fois pour avoir le courage de sauter, mais lorsque j'y parvins je sentis mes ailes s'étendre de toute ampleur avant de battre et battre. Je sentais le vent dans mes cheveux, mes plumes frémir et depuis, je sais voler.

avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ?

Oui, en quelque sorte. C'était un soir, mes parents, ma petite sœur et moi étions attroupés autour du feu de cheminé entrain de regarder la télévision quand nous entendîmes des coups retentirent contre le bois de notre porte d'entrée. Nous frémirent tous. Nous vivions tous dans la peur qu'un jour ils viennent faire une rafle, fouillent la maison et qu'ils découvrent qui j'étais. C'est donc pour cela qu'avec ma mère nous avions mis sur pied un stratagème. Lorsqu'une personne « suspecte » se présentait à notre porte, je devais me cacher dans le cellier et attendre. C'est alors ce que je fis, je partis à pas de loup avant que mon père ne vienne ouvrir. Je rentra à l'intérieur et ferma le loquet avant de me recroqueviller sur moi-même, le coeur battant.
Deux hunters entrèrent alors sans dire mot, bousculant mon père au passage. Ils vociférèrent quelques mots que je ne compris pas immédiatement ils demandèrent si des mutants se cachaient ici. Bien entendu, mes parents dirent que non. Ils les fouillèrent avant de mettre la maison sans dessus-dessous. C'était impressionnant comment si peu de personnes pouvaient détruire avec une si grande aisance ce que d'autres avaient eu tant de peine à bâtir.
Ses deux idiots ne trouvèrent rien et quelques minutes après leur départ ma mère vint me chercher. C'est ce jour-là que je décida de partir. De quitter le foyer familial pour vivre ma propre vie, loin d'eux, et ainsi ne plus les obliger à risquer leur vie pour moi.

utilisez-vous beaucoup votre don ?

J'aime mon don, j'aime mes ailes. Elles sont une partie de moi, comment pourrai-je les renier ? Je ne vole que la nuit et encore, dans les lieux très peu éclairés. J'essaie de voler autant que possible, mais malheureusement avec les Hunters qui guettent, je ne peux me permettre de prendre des risques bêtement en volant dans un endroit trop éclairé ou trop fréquenté juste par coquetterie. Mais j'essaie de voler en moyenne au moins une fois par semaine minimum, car quand je vole je ne pense plus à rien, je suis libre d'aller où le vent me mène et plus rien ne me fait peur, même pas la mort.

que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles anti-hunters nommé Uprising ?

J'attendais depuis longtemps l'arrivée d'un mouvement de rebelles. Il était temps de se défendre et d'arrêter de se laisser marcher sur les pieds. Je ne supporte plus d'être oppressée, il est temps que cela cesse, malheureusement nous sommes trop peu comparé à leur nombre. Nous sommes trop faibles comparés à tout l'armement qu'ils possèdent. J'ai peur que tout cela dérape et que nous, les mutants, disparaissions une bonne fois pour toute. Je ne leur demande qu'une chose : d'être prudents. De ne pas prendre de risques inutiles.

Muse - Agathe - 16 ans

PAYS : France DISPONIBILITÉ : 2 jours sur 7 minimum en période scolaire .. VOTRE AVIS SUR TH : Il a l'air génial ! COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Grâce à bazzart PERSONNAGE : Inventé VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : Pour l'instant non, je suis encore toute nouvelle, je ne connais rien du forum pour l'instant haha. UN DERNIER MOT ? : Il me tarde de rp It's affection you're gonna see it someday 243543726

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Sujet: Re: It's affection you're gonna see it someday Lun 19 Oct 2015 - 18:59

we're all stories in the end

just make it a good one

Rose est née le 6 mai 1997 à Radcliff, aux Etats-Unis dans un foyer aimant où elle n'a jamais manqué de rien. La petite Rose était toujours heureuse, toujours satisfaite de ce qu'on lui donnait. Elle avait de bonnes notes, était polie et faisait la fierté de ses parents. Passionnée de danse, elle était très douée et adorait ça. Ça l'amusait. Tout allait pour le mieux dans la vie de la jeune fille.
Bien qu'évoluant dans un monde sombre ravagé par la guerre entre les mutants et les humains, ses parents arrivèrent à la préserver de toute cette noirceur jusqu'à ses 11 ans, quand elle y fut confrontée de plein fouet.

L'arrivée de ses ailes. De sa mutation. Ses parents ne comprenaient pas. Ils étaient tous les deux de simples humains, comment leur petite fille chérie pouvait être un de ces « monstres » que l'on montrait à la télé ? Bien qu'ils lui cachèrent et la rassurèrent, au fond, ils étaient totalement ravagés. Elle devait se faire guérir ou elle était destinée à une mort certaine.
La mère lui cousu un corset lui permettant de plaquer ses ailes contre son dos et d'ainsi les dissimuler totalement, ou du moins presque, sous un haut ample on ne verrait rien.
La jeune Rose continua sa vie comme si de rien n'était, bien que ses parents n'étaient pas tranquilles. Dès qu'elle rentrait de l'école un peu en retard, ils se faisaient un sang d'ancre, dès que quelqu'un toquait à la porte, ils frémissaient. Elle n'était encore qu'une enfant, comment cela pouvait-il lui arriver à elle ?

Rose, elle, semblait moins affectées. Elle était encore jeune. 11 ans. Elle ne réalisait pas très bien la gravité de la situation. Elle jouait encore avec ses poupées. Elle aimait bien ses ailes, elle. Elle disait qu'elle était un ange ou un oiseau. Elle se sentait spéciale.
La petite Rose grandit et, à l'adolescence, se mit à détester ses ailes. Elle ne pouvait rien faire comme les autres. Elle ne pouvait pas faire des après-midi piscine avec ses amies ou encore aller à la mer ni même reçevoir un câlin. Ses ailes handicapaient. La belle rentrait souvent le soir chez elle en pleurant. Un soir, même, lorsqu'elle était seule, elle a tenté de les couper. Elle a pris une lame de rasoir de son père et à commencer à couper la base de celles-ci mais n'y est jamais parvenu. Le lendemain, tout était guéri. Alors, la belle apprit à vivre avec. Elle les adopta finalement et ne voulu plus s'en séparer.

L'année de ses 18 ans, des Hunters vinrent sonner à la porte de la maison. Ils fouillèrent tout mais ne réussirent à trouver Rose. On ne sait par quel moyen ils avaient découvert que la belle était une Mutante. C'est ce jour-là qu'elle décida de partir vivre ailleurs, dans un appartement à l'écart de la ville où personne ne saurait qui elle est. Cela déchira le coeur de ses parents. Ils s'inquiétaient, ils avaient peur de ne jamais revoir leur petite fille chérie, leur petit ange. Mais c'était ainsi, la jeune femme voulait les protéger et le meilleur moyen de les maintenir en sécurité était de s'éloigner d'eux. La belle prit alors un emploi en tant que serveuse dans un café et déménagea dans un quartier pauvre de la ville, pour redémarrer une nouvelle vie.