Décrivez l'apparition de votre don et la façon dont vous le maitrisez à l'heure actuelle
Bo a découvert ses pouvoirs alors qu’elle avait 14 ans, ils firent leurs apparitions étrangement, le premier jour où elle eut ses règles. Ceci n’est pas réellement glamour, mais il semblerait que son corps ait senti ce moment précis pour lui montrer qu’en plus d’être une femme elle était désormais quelque chose d’autre. Il s’activa sur une femme de ménage qui toucha Bo, mais alors que cette femme qui avait toujours regardé d’un mauvais œil Bo changea totalement de comportement, la demoiselle crue tout d’abord à une farce. Elle ne sut pas réellement ce qui s’était passé, mais, lorsqu’elle vu que la chose se réitérer elle comprit que c’était elle la source. Bo peux donc, par contacte simplement rendre quelqu'un dévoué à elle. Cela ne dure jamais très longtemps, principalement cela dépend de la personnalité de la personne subissant les pouvoirs de la jeune fille. Quelques minutes pour les personnalités les plus affirmées et cela peut durée une heure voir plus pour les personnalités plus effacées. Pendant cette période de transe, la personne "Convertie" aura comme but de satisfaire Bo. Son utilisation est coûteuse en énergie vitale et la plupart du temps, elle s'effondre ensuite. Il lui faut alors attendre plusieurs longues minutes pour espérer bouger, quelques jours avant de pouvoir réutiliser son pouvoir.
Malheureusement pour elle, son pouvoir est toujours instable, comme s’il voulait dicter sa vie, il s’active de temps à autre sans qu’elle l’ait voulu. Elle n’arrive pourtant pas à avoir entièrement la main dessus. Ses émotions lui font défaut, la peur ou la colère activement automatiquement le don, il est aussi récurrent que le plaisir le fasse aussi. C’est quelque chose de contraignant.

avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ?
Bo s’est retrouvé confronté à un Hunter une seule fois, c’est assez récent à vrai dire. Une expérience qui l’a contrainte à se renfermer davantage. Elle qui pensait n’avoir jamais été repéré par son don. Mais elle s’était trompé et le découvrit d’une manière très peu agréable, traitée de dégénérée et effrayée, son don s’activa et le chasseur fut sous son emprise. Bo aurait pu le questionner, après tout son don lui permettait beaucoup de choses mêmes si cela était que temporaire. Mais elle ordonna qu’une simple petite chose, qui elle l’espère fonctionne toujours « oublie qui je suis et ne me suit pas »

utilisez-vous beaucoup votre don ?
Bo a toujours détesté l’utiliser ce don. Mais pendant une époque oui, quand son père le lui demander. Un politicien avait besoin de connaitre les points faibles de ses adversaires et elle l’a aidé. Elle a beaucoup souffert d’être un objet dans une quête de pouvoir. Et surtout, considère qu’il est dangereux d’avoir une tel emprise sur une personne. Maintenant, elle s’est faite à son don. Et il lui arrive de l’utiliser pour son intérêt personnel ou pour avoir les informations dont elle a besoin pour vivre sa vie correctement, principalement quand elle a l’impression qu’on lui ment. Bo n’en abuse pas, mais oui, elle l’utilise quand c’est nécessaire.

que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles anti-hunters nommé Uprising ?
Les hunters sont des personnes qui ont peur de la nouveauté, des personnes très certainement trop coincées dans leurs vieilles habitudes pour accepter les personnes spéciales comme Bo. Mais Bo estime que l’apparition d’un groupe anti-Hunter n’a pour but que de donner de l’eau à leurs moulins. Le seul risque ? Créé de tels conflits que la population lancera une « chasse à la sorcière ». Jeune, elle a été utilisée comme objet dans une quête de pouvoir mené par son propre père. Et si il y a une chose qu’elle a apprise là-dedans c’est que l’apparition d’une opposition à la cause finira toujours par servir la partie contre qui il s'était dressé. C’est comme jouer avec le feu, on peut finir par se brûler les doigts.

PAYS : France DISPONIBILITÉ : Inconnu, mais je passe toujours au moins une fois par semaineVOTRE AVIS SUR TH : En un mot ? Magnifique COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Bazzart PERSONNAGE : inventé VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : Nope UN DERNIER MOT ? : Les mangoustes unijambistes vous dévoreront l'âme si vous mangez du chocolat après minuit

 Certains n'ont aucun secret, ils évoluent au grand jour sans jamais se demander ce qu'ils pourraient bien avoir à cacher tant leur vie est d'une ignoble monotonie. C'était le cas de beaucoup de familles. Cependant, il est une autre race, de ceux qui évoluaient dans l'ombre et qui sont comme toujours entourés de cette aura sombre que jamais personne n'arrive à transpercer. Tu étais de ceux-là, enfant du péché, vivant dans un secret, vivant dans l’obscurité, loin de tous les conflits et des querelles, dont tu n’étais devenu qu’une habillent spectatrices, pour jamais sortir de cet anonymat qu’on t’avait imposé à ta naissance. Tes parents t’avaient égoïstement conçu, un homme marié Américain et une simple maîtresse d'un autre pays.. Ils savaient ce que cela te coûterait, mais comme tout être humain ils furent égoïstes. Ton père ne craignait qu’une chose que tu taches son nom, mais après tout l’anonymat t’eût été imposée pour cela, pour son ego.
Tu as été élevé par ta mère seulement, cette mère qui se laissait mourir à chaque fois qu’il repartait, pleurant les larmes sur son absence que tu aurais du déplorer. Toi, enfant, tu ne comprenais pas, mais elle était triste. Tu étais tout ce qu’elle possédait de lui, mais cela ne lui suffisait pas. Tu grandissais hors du dessein de ton père. Il venait te voir, t’offrait de belles choses, comme si les objets suffisaient à combler son absence. Puis il repartait et elle tu la voyais, sombrer à nouveau. Ta mère aimait l’intouchable et le fantôme d’un homme qui n’avait que peu de temps pour elle. Elle avait oublié et s’était laissé espérer que ta présence changerait la donne. Mais elle n’était qu’une femme facile aux yeux de ta famille et toi n’était qu’une gamine qui n’avait aucune raison d’être. Ta simple présence avait suffi pour qu’ils te détestent de tous leurs êtres. Enfant du péché. Néanmoins, tu grandissais sans ton père, et comprenais qu’un mal rongeait ta mère. Les bouteilles s’accumulaient, son absence aussi terrible pouvait-elle être pour toi était en train de la détruire elle. Quand il revint, une certaine lucidité vint le frapper, cela se voyait. Tu étais jeune, mais tu le sentais. L’état de ta mère était devenu dangereux, ce n’était qu’une question de temps pour que ce poison en bouteille ait raison de sa vie. C’est à tes 12 ans que ceci se produisit.
Bien que tu l'eut devinée, ton père décida de partir avec toi, mais cela n’avait qu’un seul prit. Le mensonge, tu perdais un père et gagnais un parrain, si tu acceptais. Si tu acceptais de partir avec lui, il te serait interdit à tout jamais de l’appeler père, alors qu’on venait de te priver du privilège d’avoir une mère. Orpheline serait l’étiquette qui te collerait à la peau. Une pauvre petite chose recueillie au sein d’une famille qui ne serait pas la sienne. Mais tu acceptais, tu quittais simplement l’obscurité pour vivre dans un mensonge.

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Tu glissas ta main dans celle du garçon et la tins fermement, il avait passé l’âge de ce genre de chose, mais il se laissait faire avec toi. Bien qu’il était engagé par ton père pour t’apprendre à parler l’anglais, un fils d’un de ces nombreux collègues qui par miracle comprenant ta langue natale. .«Ich will nicht sprechen englischer*» murmuras-tu pour que seul lui t’entende. Depuis ton arrivée aux États-Unis on t’avait forcé à parler encore et toujours en anglais, comme si tu devais tirer un trait sur tes origines. La soirée paraissait s’éterniser. Ta « famille adoptive » avait un gout très prononcé pour les soirées mondaines et adorait organiser des évènements dans leurs manoirs, profitant de l’occasion pour exposer leurs nouvelles œuvres de charité : toi. Les invités étaient venus avec leurs enfants, mais tu préférais restait avec Eleazar, bien qu’il ait 7 ans de plus que toi, c’était la personne que tu connaissais le plus dans ces lieux, vu qu’il t’aidait à apprendre l’anglais. « Bo, je suis bien contente que tu sois encore là » tu regardas la femme qui venait te parler, cette celle qui devait remplacer ta mère désormais. Cette soirée était en quelque sorte un coup d’essai, pour voir si tu étais assez digne pour être sortie en compagnie de ton géniteur et de sa femme qui pensait que tu étais sa nièce. Elle était douce, mais tu ne te sentais pas toujours à ton aise avec elle, son regard s’attarda sur ta main et cette d’Eleazar. « Arrête d’importuner le jeune homme Bo. » Rien de méchant dans ces propos, mais elle ne semblait gênée, regardant autour de nous puis en se pencha vers toi « Tu es grande Bo, il faut éviter que tu te montres aussi dépendante des gens. » Tu baissas la tête, il était vrai que tu étais grande, mais c’était le seul repère que tu avais ici, mais tu finis par lui lâcher la main à contrecœur.

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Tu n’étais pas idiote, ton père enfin ton parrain, t’avait fait demander pour une raison. Tu venais rarement dans son bureau, encore moins parce qu’il t’avait convoqué. Alors le silence qui fit son apparition à la seconde où tu arrivas à la porte de son bureau, c’était parce qu’il avait un service à te demander. C’était souvent la même chose, les mots-clés : charme et grâce tu n’avais jamais réellement aimé cette idée d’être utilisé pour qu’il puisse gagner en popularité, mais c’était le jeu, c’était la condition. Tu étais là, non pas par charité, mais pour le servir d’une certaine manière. Il se tenait droit devant toi, un verre à la main « Bo, j’ai besoin de ton aide, demain je pars en Angleterre pour affaire qui risque de durer 1 mois et j’aimerais que tu m’accompagnes. J’ai parfaitement conscience que tu ne vas pas me dire non, mais je veux que tu restes dans l’ambassade, parle avec les enfants des gens présents, Fais-toi apprécier. » Tu baissas la tête, tu le faisais toujours quand il te demandait quelque chose « D’accord » susurra tu, détestant d’être utilisé comme la poupée qu’il avait faite de toi.
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Chère Bo;
J'aurais souhaité te faire cette requête en personne, mais étant actuellement retenu en Suisse pour le travail, je suis obligé de passer par un bout de papier. Ne crois pas que cela signifie que je me fiche de toi, cela aurait été le cas, tu aurais grandi dans un orphelinat en Allemagne et je sais parfaitement que tu en as conscience. Toi et moi savions que ce jour allait arriver, tu ne peux plus rester vivre sous mon toit, tu es trop vieille et les gens risqueraient d'avoir une image erronée de notre relation ce qui nuirait à la réputation. Je dois te paraître monstrueux d'avoir toujours mis l'accent sur cela: ma réputation. Mais la vérité l'aurait simplement mis dans une situation très compliquée.
D'ici à la fin du mois, tu vas partir, j'ai tout préparé. J'ai pris contact avec un homme Porter Malachi, qui se prône expert dans les mutations. Cet homme a accepté de te recevoir dans sa demeure à Radcliff, dans le but de t'aider.
Tu es quelqu’un d’exceptionnel, comme ta mère. Mais ta condition met ma réputation en danger. J’aurais aimé qu’il y ait une autre solution, prépare tes affaires, prenne cela comme un nouveau départ.
Je continuerais à te fournir de l’argent, car je te dois bien cela et en cas de souci, tu connais le numéro de mon portable.
Cordialement Mr x.