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| dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 0:02 | |
| dallasteagan chamberlain people are concerned with the wrong type of black holes NOM : Chamberlain. PRÉNOMS : Dallas Teagan, bien qu’on le surnomme souvent Dale. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 13 octobre 1981, Radcliff, Kentucky. ÂGE : 33 ans. ORIGINES : américaines. NATIONALITÉ : américain.STATUT CIVIL : célibataire. MÉTIER : professeur de littérature et d’écriture créative à l’université Stanford, en année sabbatique pour la rédaction de son prochain roman. ORIENTATION SEXUELLE : homosexuel, ce qu’il a du mal à assumer. TRAITS DE CARACTÈRE : méfiant + cultivé + entêté + déterminé + secret + impulsif + romantique + combatif + intelligent + sens de l’humour + sens du répondant + bourru + loquace + cassant. MUTATION : téléportation. AVATAR : jensen ackles. CRÉDITS : maya, carole71 & tumblr (various.) | THE FUTURE IS HERE nothing left to say≈ 001. il a du mal à assumer sa mutation, découverte vers l’âge de 14 ans. ≈ 002. il n’assume pas vraiment non plus son homosexualité, qui lui est tombée dessus à peu près au même âge. ≈ 003. il est diplômé d’un doctorat en littérature de l’université de Sarah Lawrence et a ensuite commencé à enseigner à Stanford. ≈ 004. il a publié sous son nom de plume un certain nombre de romans mettant en scène des protagonistes mutants et qui abordent le sujet de l’antagonisme entre humains, chasseurs et mutants. ≈ 005. à la suite d’une émeute anti-mutants sur le campus de Stanford, il a décidé de se retirer de sa chaire et de revenir à Radcliff pour travailler sur son nouveau roman – un livre d’un nouveau genre. ≈ 006. il ne quitte jamais sa maison sans sa montre. ≈ 007. il a des cals sous l’annulaire de sa main droite en raison d’une lourde bague en argent qu’il porte en permanence. ≈ 008. ses livres ont rencontré un certain succès, bien qu’ils ne soient pas signés Dallas Chamberlain mais Teagan Lancaster. ≈ 009. depuis les émeutes anti-mutants de Stanford, il ne sort plus sans avoir quelque part sur sa personne son Taurus PT92 9mm, un pistolet automatique avec 15 balles en magasin, une glissière en acier et une crosse en ivoire, pour lequel il a un permis de port d’arme. ≈ 010. ne le dites à personne, mais il détient le record de rodéo sur le taureau mécanique du village du Colorado où habitent ses parents. | Décrivez l'apparition de votre don et la façon dont vous le maitrisez à l'heure actuelle A 33 ans, Dallas a eu un bout de temps pour se familiariser avec son don, et il s’est toujours débrouillé pour le tenir secret. C’est dans l’arrière-cour de sa maison familiale à Radcliff, alors qu’il courait après sa balle de baseball, qu’il s’est pour la première fois téléporté. Il ne se sent pas très bien, mais sa mère l’encourage à aller jouer dehors avec son père avant le dîner, pour s’aérer ; un grand disque noir, comme un tunnel, apparaît devant lui, trop proche pour ne pas qu’il s’y engouffre, lancé à pleine vitesse comme on peut l’être à treize ans et qu’on cherche à rattraper la balle que son père vient de lancer. Il réapparaît dans un champ voisin, se coupe contre une longue de maïs. Le premier bond n’est pas très loin, une centaine de mètres à peine. L’apparition du don est erratique, irrégulière, incontrôlée, mais elle ne se traduit pas à chaque hoquet de pouvoir par une téléportation, simplement l’apparition de ces trous noirs à quelques pas de lui. L’apparition de ces vortex est, durant les premières années, liée à ses émotions, instables lors de l’adolescence. Tristesse, colère, joie, honte, les stimuli sont variés, imprévisibles, et d’une puissance aléatoire. Certains vortex ont la taille d’une chatière, d’autres au contraire sont si larges qu’ils pourraient faire disparaître le mobilier d’une pièce avec lui. Les trous noirs sont-ils visibles au reste de la population ? Dallas en doute, bien qu’il n’ait jamais posé la question. Les trous noirs disparaissent au bout d’un temps – qui s’élève de quelques secondes à plusieurs minutes – si Dale ne les emprunte pas lui-même, et il soupçonne qu’aux yeux des passants, il ne s’agit que d’un reflet dans l’air, comme un mirage, un effet du soleil, un arc-en-ciel. Sans doute est-ce pour cette raison que personne ne l’a jamais attrapé. Au fur et à mesure qu’il grandit, il arrive à mieux maintenir ces effusions sous contrôle, parvient davantage à soumettre son don à sa volonté consciente plutôt qu’à un émoi furtif, bien qu’il ne soit jamais à l’abri d’un bouleversement inattendu. Il découvre plusieurs choses, également. D’une, lui seul peut les utiliser, le vortex ne sert à rien s’il ne décide pas de le traverser. Ensuite, il peut emmener une personne avec lui si celle-ci se trouve dans le périmètre du trou noir. Trois, cela fonctionne aussi pour les objets. Quatre, le processus n’est pas très agréable, comme si ses cellules subissaient une compression et une reconstruction lors du transfert – mais la signature biologique de tous ces éléments disparates est reconnue, ce qui lui évite de faire un remake de la mouche chaque fois qu’il décide de se rendre autre part. Cinq, il est plus facile de faire apparaître un vortex qui débouche sur un endroit qu’il a en visu ou qu’il connaît déjà – essayer de se téléporter vers un lieu qu’il n’a vu qu’en photo ou dont il ne connaît que le nom n’est pas du tout une solution fiable, et cela le fait en général atterrir n’importe où. Six, un voyage court est tout aussi drainant qu’un voyage long. Sept, il ne peut enchaîner guère plus que quelques rebonds successifs car l’effort physiologique et la pression sur son organisme augmentent selon une courbe exponentielle à chacun de ses sauts.
avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ? Hunters, activistes anti-mutants, il y a une nuance mais Dallas les met tous dans le même sac, et il s’en méfie comme de la peste. Dallas a la chance que son don ne soit pas trop voyant, mais il est certain qu’un chasseur expérimenté ne manquerait pas de remarquer les ondulations dans l’atmosphère qui accompagne invariablement l’arrivée de ses vortex personnels, comparable à une ride dans l’eau. Malgré tout, il est prudent, ne peut prévenir l’ouverture inopinée d’un trou noir les jours où son pouvoir le submerge et où il n’est pas assez concentré pour l’en empêcher, mais fait attention à être seul, à éviter les soupçons. Il a déjà, par hasard, été témoin d’expéditions punitives – dans les états du Sud où il a grandi, de telles pratiques dignes du KKK sont monnaie courante et à chaque fois, il n’hésite pas à s’interposer, soustrayant aux chasseurs leurs victimes sans défense dans un chatoiement de l’atmosphère. Aucun, croit-il, n’a été capable de l’identifier – trop sombre, trop rapide – et il n’a jamais eu besoin d’en affronter un lui-même, à mains nues, se contentant de fuir la scène du crime avec un compagnon mutant ou deux. Néanmoins, depuis l’émeute qui a agité le campus de Stanford, il prend garde de ne jamais sortir sans arme de poing.
utilisez-vous beaucoup votre don ? Dallas tente de s’abstenir, pour sa propre sécurité ; il évite de faire ce qu’il appelle des sauts de « confort », ceux pour se rendre au travail, au supermarché, et réserve son don pour les situations d’urgence ou celles où la discrétion absolue est garantie – dans l’enceinte de sa propre maison, par exemple, entre le canapé où il s’est endormi un soir et son lit à l’étage, par exemple. Il ne croit pas, cependant, à l’utilisation « zéro », notamment parce que s’il ne l’utilise pas, son don a tendance à déborder et à lui claquer entre les doigts, un peu comme si l’énergie s’accumulait au fur et à mesure sans exutoire avant d’exploser au moment le plus inattendu. Sans compter que pour être honnête, cela lui manque d’utiliser son don, tellement pratique, tellement tentant. Pour ne pas céder, il a acheté une très belle voiture de collection, une Cadillac Eldorado décapotable noir de 1983 – baptisée Dora, beaucoup plus simple – qui l’encourage à prendre la route plutôt qu’à se transférer quelque part en un claquement de doigts.
que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles anti-hunters nommé Uprising ? Dallas aurait-il le cran de tuer un hunter ? Oui, sans doute, et c’est bien pour cette raison qu’il se balade avec un pistolet semi-automatique partout où il va : dans sa boîte à gants, dans le creux de ses reins, coincé dans sa ceinture, dans son porte-documents en cuir. Comprend-il ce mouvement de mutants radicalisés destiné à rendre coup pour coup aux hunters ? Tout à fait. Il sait que ce n’est pas comme ça que Martin Luther King ou Gandhi ont lutté contre l’oppresseur – eux préféraient la non-violence, mais avant d’y parvenir, il croit aux actes frappants et il a même considéré s’engager, à condition qu’il puisse le faire sans trahir son identité. Pense-t-il que sa conscience le torturerait ? Evidemment, ça dépend des circonstances, mais il ne pense pas que son sens de l’éthique en souffrirait trop, pourvu que la rétribution soit justifiée. WaterwickBambi - Kim - 22 ans PAYS : Allemagne (jusqu’à fin août, et après wieder mal Frankreich.) DISPONIBILITÉ : 4/7. VOTRE AVIS SUR TH : écrire ici. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : j’ai été membre ici il y a quelques mois très brièvement avant que mon master ne me prive définitivement de mon temps pour rp. PERSONNAGE : scénario de harvey dockerty. VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : pas particulièrement, ça me paraît vraiment très bien. UN DERNIER MOT ? : lots of love, et n’hésitez pas à m’inonder de MPs.
Dernière édition par Dallas Chamberlain le Mer 8 Avr 2015 - 1:01, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 0:02 | |
| we're all stories in the end just make it a good one Dallas naît à l’hôpital de Radcliff d’un père policier et d’une mère institutrice et grandit dans une petite maison typiquement américaine de la ville. Il y a une enfance paisible, est inscrit auprès de l’école locale. C’est de sa faute s’ils déménagent, s’ils doivent quitter Radcliff. Sa petite sœur, Kendall, n’a que trois ans et lui treize, et c’est cette année-là qu’il se rematérialise pour la première fois dans un champ voisin. A l’époque, la mutation est un tabou, on en parle peu, on taxe les hunters d’illuminés, on relègue la mutation au rang de légende. Mais Dallas est bien réel, irréfutable. Par peur des attaques « à l’aveugle » qui sévissent dans les environs, Benjamin et Katherine Chamberlain déménagent au Colorado dans les semaines qui suivent, dans une grande propriété rurale à l’écart, où Dallas court moins de risque que dans leur ancien lotissement de Radcliff.
Dallas a le physique du jeune homme qui excellerait en sport, qui serait capitaine de l’équipe de football ou de lacrosse de son école. Certes, il fait partie de l’équipe de tracking et de cross country, mais pour rien au monde il ne participerait à un sport collectif. Il déteste porter les lunettes de protection pour les expériences stupides du prof de chimie – synthétiser de l’ADN de banane ? vraiment ? – mais il ne connaît pas plus grand plaisir que de lire pour la classe un extrait d’un livre obligatoire en cours d’anglais, et ses essais sont toujours trop longs quand il rend un devoir en écriture créative.
C’est tout naturellement qu’il commence à étudier la littérature anglaise et l’écriture créative une fois diplômé du secondaire. Son score aux examens lui a permis de décrocher une bourse qui lui permet de s’inscrire à Sarah Lawrence, dans l’état de New York. Le décor est bucolique, appelle à la flânerie, à la rêverie, et c’est exactement ce qu’il fait. Il commence à écrire un livre, s’arrête en plein milieu. Il en recommence un autre, l’envoie à des éditeurs, reçoit de nombreuses lettres de refus. Ce n’est que son quatrième manuscrit qui attire l’attention d’une maison d’édition – il a vingt-quatre ans, est en master de littérature, assistant d’un professeur de l’université. Le premier livre n’est pas un best-seller, mais il se rentabilise suffisamment pour que l’éditeur passe un contrat pour un deuxième livre. Celui-ci rencontre un succès plus franc, et la vie de Dallas s’équilibre sans effort entre le temps qu’il passe à écrire, son poste d’assistant à l’université qui s’est mué, après l’obtention de son doctorat, en poste de professeur assistant à plein temps dans les domaines où il s’est distingué. Il n’est plus à Sarah Lawrence mais à Stanford, plus dans l’état de New-York mais en Californie, à Palo Alto. Dans les années qui suivent, il devient professeur-titulaire, obtient son propre bureau, son propre département. Sa vie est simple, parfaite, routinière – à peine troublée par une homosexualité qu’il a toujours, au même titre que son don, tenté de masquer sans renier ; il ne s’affiche pas ouvertement avec des hommes, mais s’il n’a pas de relation suivie, il ne rechigne pas non plus à sortir dans un bar pour y trouver une conquête d’un soir.
Son quotidien est troublé en juin 2013, lors du lancement de la campagne de dépistage. Il a 31 ans quand il fait sa première prise de sang. Le résultat est sans appel, indéniable réduit à néant ses chances de garder à jamais secret sa mutation. L’actualité et l’opinion publique ont été agitées ces dernières années, les témoignages de manifestations surnaturelles se sont multipliés ; si le front de Dallas s’est plissé si souvent en regardant les informations que sa ride du lion entre ses sourcils s’est accentuée jusqu’à devenir permanente, il a fait de son mieux pour se tenir à l’écart des troubles, mais cette fois, c’est officiel, catastrophique. Certes, son dossier médical est privé, ne peut être divulgué à des tiers, mais savoir que le résultat de l’analyse sanguine est là, bien réel, consigné sur un bulletin, cela le tourmente. Groupe sanguin : homo superior, la prochaine étape de l’évolution après homo sapiens. Le mouvement de panique gonfle, trouve ses émules. Si Dallas n’est pas inquiété, il y en a d’autres qui subissent la brutalité des hunters, d’activistes zélés qui hurlent au contre-nature, des bigots qui ne veulent pas comprendre que c’est tout simplement l’évolution. L’homme est un loup pour l’homme, et comme toujours lorsque l’homme se sent menacé par un être plus évolué, plus puissant, il mord, griffe, tue.
Le campus de Stanford n’est pas étranger à l’émoi ; les étincelles sont inévitables, mais c’est sur le campus que la situation s’envenime. Le jeune homme est un étudiant de Dallas, mais ils n’ont pas de cours ensemble cette journée-là – Dallas n’est même pas présent sur le campus, sans quoi, il serait intervenu. Il connaît bien le jeune homme, qui s’est retrouvé au centre d’un scandale lorsqu’on a découvert sa mutation, une force surhumaine qui lui a valu d’être exclu de l’équipe de football universitaire. Stephen Collins – c’est son nom – est pris à partie par plusieurs jeunes étudiants. Stephen a longtemps été le héros de l’équipe, attentif à ne pas faire de démonstrations incroyables ; c’est un joueur exceptionnel, certes, mais pas ahurissant. Mais son équipe loyale s’est transformée soudain en nid de rancœur, de haine de quelqu’un qui est différent, supérieur. Stephen est lynché par la foule liguée contre lui, une foule exaltée contre laquelle même son métabolisme avancé ne peut rien faire.
Dans les semaines qui viennent, en bon homme du Sud qu’il est, Dallas fait une demande de permis de port d’arme et achète un pistolet semi-automatique à conserver sur lui. Qui sait si lui aurait eu le temps de s’échapper s’il avait été la cible de ces excités ?
L’inspiration pour un nouveau livre s’empare de lui, dévorante, l’empêchant de fermer l’œil la nuit. Il n’a pas besoin de café pour tenir, cependant, l’adrénaline s’en occupe pour lui. Mais il est trop fébrile pour écrire, coucher les mots sur le papier. Il a besoin de… de quoi ? De calme ? Son appartement à Palo Alto n’est pas exactement fantastique, mais il est confortable, douillet vraiment, paisible. C’est le cadre qui ne convient pas, réalise Dallas.
Revenir à Radcliff est comme une évidence. Pour lui, c’est là que tout a commencé. La ville est exactement ce dont il se rappelait, il peut encore revoir sa petite sœur apprendre à marcher dans le lotissement où se trouve encore l’ancienne maison familiale. Elle a vingt-trois ans, maintenant, elle est superbe, avec une silhouette de liane, des yeux aussi verts que les siens, les pommettes hautes des Chamberlain. Elle est humaine, téméraire, déterminée, toujours au Colorado. Dallas soupçonne Kendall d’être membre d’un de ces groupuscules pro-mutants qui défendent ceux que d’autres taxent de « dégénérés » contre les hunters. Il a entendu parler d’Uprising, ce mouvement semblable de Radcliff. Il a l’intention de s’engager, a l’intention de suivre le chemin que sa petite sœur a emprunté pour le protéger.
Il sait aussi que la ville l’inspire, avec son air qui crépite comme une mèche allumée avant une explosion. La maison qu’il acquiert est modeste, cent-trente mètres carrés, trois chambres, deux salles de bain, un garage pour y garer sa décapotable, mais elle est récente, bâtie il y a un peu plus de cinq ans, et elle est jolie, avec sa façade lambrissée, la porte blanche qui ressort contre les lattes grises, le petit jardin qui l’entoure. Elle est parfaite pour l’écrivain qu’il est, pour sa retraite temporaire, cette année sabbatique qu’il a prise pour se concentrer sur son écriture. Un an, peut-être plus. Qui sait ? Certainement pas lui.
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| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 0:12 | |
| OMGGGG JENSEN ! Re-bienvenue sur le foruum. |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 1:04 | |
| Merci beaucoup Nath ! En espérant que cette fois-ci, c'est la bonne ! |
| | | Seth Koraha MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 4656
SUR TH DEPUIS : 01/11/2014
| Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 1:10 | |
| Haaaaaaaaaaaan Jensen Bienvenue - ou plutôt rebienvenue |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 4:07 | |
| Haan la lettrée en moi adore l'emploi Rebienvenue alors et bonne chance pour ta fiche validation |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 8:04 | |
| Bienvenuuuuuue Jje suis désolée mais l'avatar a été pris, le membre avait terminé sa fiche avant que tu ne t'inscrives en fait, il attendait juste sa validation ... Il va falloir que tu changes Et dès que Harvey aura donné son feu vert on pourra te valider |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 12:11 | |
| Jensen Ackles! miam!! Mais pourquoi vous faites tous des homos... Il y a aussi des gens qui aiment le sexe opposé, vous savez? Bienvenue en tous cas!! |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 13:17 | |
| (Re)Bienvenue parmi nous. |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 14:30 | |
| Bienvenue parmi nous charmant monsieur |
| | | Calista Wolstenholme ADMIN - master of evolution MESSAGES : 14639
SUR TH DEPUIS : 26/04/2014
| Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 14:52 | |
| Bienvenue bonne chance pour ta fiche Si tu as des questions, n'hésite pas |
| | | | | | | Cesare DeMaggio ADMIN - master of evolution MESSAGES : 45269
SUR TH DEPUIS : 15/02/2015
| Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 15:06 | |
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| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 16:10 | |
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| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger Mer 8 Avr 2015 - 18:00 | |
| Bienvenuuuuuuue ! Bonne validation donc, j'aime beaucoup ta fiche et ta manière de jouer le scénar Pareil que mes VDD, si tu as besoin d'aide pour un nouvel avatar, je peux aussi essayer de mettre mes connaissances en pratique |
| | | | Sujet: Re: dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger | |
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| | | | dallas (+) faster than snapping your fingers, faster than pulling the trigger | |
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