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| Cathy + to perceive is to suffer | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 7:33 | |
| cathy sophia atwood No one cares how much you know, until they know how much you care NOM : Atwood. PRÉNOMS : Cathy Sophia. Il est sûrement écrit Catherine sur ton certificat de naissance, et peut-être que durant tes premières années de vie, tes parents t’appelaient comme cela. Mais Cathy, ce diminutif que tu t’étais apparemment auto attribué lorsque tu avais quatre ans, te convenait beaucoup mieux. Ton deuxième prénom, Sophia, te laissait de marbre. Tu t’étais toujours dit que tu pourrais potentiellement l’utiliser si, un jour, tu devrais te cacher. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Angleterre, 1987. ÂGE : 27 ans ORIGINES : Ton père était anglais et ta mère, irlandaise. NATIONALITÉ : Anglaise STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER : Psychologue. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle TRAITS DE CARACTÈRE : Ouverte d’esprit, attentionnée, peu bavarde, secrète, introvertie, généreuse, brillante, hypersensible, ce qui t’amène souvent à réagir de façon disproportionnée, a une certaine tendance à vouloir sauver le monde, modeste, empathique, et un peu crédule sur les bords, car tu crois au bien fondamental des gens, ce qui malheureusement peut te jouer des tours. MUTATION : Empathie. Ce qui, compte tenu de ton travail, se révèle franchement pratique, mais qui s’est révélé être une corvée dans ta vie personnelle. Tu peux ressentir les émotions fortes ressenties par les gens qui t’entourent en les touchant. Dépendant de ton affinité avec la dite personne, ces sentiments se révèlent à toi comme des émotions claires et précises, avec une cause ou une direction ou au contraire comme de simples impressions qui s’envolent après quelques secondes. La force de certaines émotions peuvent te faire souffrir le martyr, car leur intensité est souvent trop forte pour ce que ta tête est capable de supporter. Souvent, tu es affectée toute la journée par tes plus fortes interactions avec les gens et leurs émotions laissent des traces indélébiles en toi que tu n’es pas capable d’oublier. Cela fait de toi quelqu’un de plutôt instable et d’un peu susceptible, car tu dois apprendre à gérer les émotions des autres en plus des tiennes, ce qui n’est pas gagné d’avance. AVATAR : La magnifique et talentueuse Emilia Clarke. CRÉDITS : (c) tumblr daenerystargarryen, avatar (c) angel dust et gif (c) myfavsagas | THE FUTURE IS HERE nothing left to say≈ 001. Tu ne l’as dit à personne au risque d’essuyer des remarques désobligeantes, mais tu cherches depuis quelques temps des façons d’apaiser toutes les émotions qui se bousculent dans ta tête – les tiennes et celles des autres. Tu as essayé la méditation pour faire la part des choses, les jeux vidéo violents pour faire passer ta frustration, le kick boxing pour la même raison, et tu as récemment décidé de te mettre au piano. Enfin, te remettre, puisque ta mère t’avait obligé de prendre des cours lorsque tu avais six ans. Alors, retour aux sources. Ta mère serait fière, parce que pour le moment, cela marche de façon raisonnable : la musique apaise tes esprits et la concentration que tu as en jouant t’empêche de penser à autre chose. ≈ 002. Comme ton don ne fonctionne que lorsque ta peau nue touche celle de ton interlocuteur, tu essaies de couvrir tes bras, puisqu’il est facile d’accrocher des inconnus dans la rue et franchement, tu aimes mieux ne pas partager leurs sentiments les plus intimes. ≈ 003. Tu adores manger. Tu as toujours eu tendance à manger tes émotions et maintenant que tu dois gérer les tiennes en plus de celles de tout le monde que tu rencontres, tu as souvent l’impression que tu mérites trois gaufres. Et deux crêpes. Et quatre tablettes de chocolat. Et un pot de crème glacée. C’est très thérapeutique. C’est juste un peu moins bon pour ta ligne, mais c’est littéralement le moindre de tes soucis en ce moment, et comme tu adores aller courir, cela compense un peu. Espérons. ≈ 004. Tu aimerais pouvoir sauver tout le monde. C’est vrai. En tant que psychologue, tu vois autant de belles histoires, voir des miracles, que des dépressions qui finissent en suicide, des histoires de deuils qui ne se sont jamais réellement. Tu aimerais tellement pouvoir aider tous ces gens, trouver les mots pour les soutirer à leurs douleurs. Malheureusement, tout ce que tu peux dire, c’est que tu comprends leur douleur. Que tu la ressens avec eux, que tu peux la vivre en même temps qu’eux. Ils ne peuvent pas s’imaginer à quel point c’est vrai. ≈ 005. Tu as été dépistée, mais tu gardes ta condition aussi secrète que possible. Tout d’abord pour ne pas perdre ta clientèle, et ensuite parce que tu as eu de mauvaises expériences en annonçant ta mutation à des proches. C’est d’ailleurs la véritable raison qui t’as poussée à venir en Amérique. Ton père était plus tolérant, mais ta mère n’a jamais supporté que tu ne sois pas une petite fille normale. Et lorsque tu touchais sa main, tu ne ressentais qu’une peur, une peur viscérale pour ta personne et pour tes nouvelles capacités. Ce n’est que plusieurs années plus tard que tu as appris pourquoi ta mère te fuyait à ce point : elle trompait ton père et elle était terrifiée que tu ne découvres son secret. Cette découverte s’est terminée avec toi décidant de partir de la maison familiale pour aller terminer tes études à l’étranger. Tu n’arrivais pas à croire que ta propre mère t’avait poussée à te détester pendant toutes ces années pour que tu ne découvres pas son adultère. Tu es cependant toujours en contact avec ton père. ≈ 006. Même s’il est difficile, tu adores ton travail. Tu aimes faire une différence, et tes patients sont souvent reconnaissants de l’aide que tu peux leur apporter, ou simplement de l’oreille attentive que tu leur portes. Tu t’accomplis donc lorsque tu te retrouves dans une situation d’aide. Mais, lorsque tu quittes l’hôpital et que tu retournes, vulnérable, dans ton appartement vide, qui prend soin de toi ? ≈ 007. Tu es un paradoxe. Tu as peur d’être seule, mais tu as peur de t’ouvrir, ce qui est assez ironique pour une personne qui peut connaître vos sentiments les plus profonds. Tu as peur d’être jugée pour ce que tu es, tu as peur que quelqu’un finisse par te comprendre, tu as peur de devenir comme ta mère, perdue dans les apparences et battant jusqu’à la fin pour garder la face alors que tout le reste s’écroule. Cela te rend malade de réaliser que ce sentiment d’insécurité qui te prend au plus profond de toi te vient nécessairement de ta mère, de son rejet. Tu aimerais te sortir de cela, d’être plus forte, mais tu as parfois l’impression de n’être qu’une petite fille effrayée qui tente de régler les problèmes des autres alors qu’elle n’est même pas capable de faire face aux siens. ≈ 008. À part le piano, il y a une autre façon d’apaiser ton esprit : la lecture. C’est pourquoi on te retrouve toujours écrasée dans un coin d'un café, avec un bon chocolat chaud et un gros roman épique qui, tu l’espères à chaque fois, sera assez intéressant pour que ton esprit s’envole vers un autre monde, un monde qui n’est pas celui-ci.≈ 009. Il est souvent parvenu à tes oreilles que tes sourcils sont très expressifs. ≈ 010. Hypersensible, tu te fais souvent dire de ne pas tout prendre au premier degré, que tu ne devrais pas prendre tout cela aussi personnel, et que tu réagis souvent de façon disproportionnée. Pas hystérique, non, mais tu as souvent remarqué que tu vis les critiques plus durement que les autres, que tu ne supportes pas les disputes, que tu te repasses certains commentaires dans ta tête alors qu’ils ne voulaient absolument rien dire. Tu n’es pas tout à fait susceptible. C’est juste qu’être aussi empathique n’a pas que des qualités. À la base, tu as déjà un certain talent pour repérer les émotions des autres, pour les comprendre. C’est pourquoi, toute petite, tu savais que tu voulais être psychologue. Lorsque ton don s’est révélé à toi, tout t’as semblé plus fort encore, et c’est à ce moment-là que tu as eu plus de difficulté à tout gérer. C’est à ce moment-là que les commentaires désobligeants sur toi qui prends toujours tout trop au sérieux sont arrivés, aussi. S’ils savaient, peut-être qu’ils riraient un peu moins. |
Décrivez l'apparition de votre don et la façon dont vous le maitrisez à l'heure actuelle La toute première fois que tu as remarqué que tu n’étais pas tout à fait comme les autres, tu devais avoir quatorze ans. Tu jouais à un jeu de société avec quelques amis lorsque l’une d’elles, en te tendant une carte, effleure ta main par inadvertance. Tu ressens alors une immense tristesse, une douleur indescriptible, un manque et un vide qui ne seraient jamais comblés. C’était si fort, si soudain. Au début, évidemment, tu pensais que cela venait de toi. Tu ne comprenais pas, pourtant, puisque tu ne ressentais rien de tel : ta vie allait très bien. Les petits problèmes du quotidien que tu pouvais vivre ne méritaient pas des émotions aussi puissantes. Quelques jours plus tard, pourtant, l’amie en question vient t’avouer qu’elle vient de perdre sa mère d’un cancer, ce qui expliquait pourquoi elle n’avait pas l’air dans son assiette durant les derniers jours. Cela t’a permis de repenser un peu à l’incident, mais tu n’arrivais pas encore à faire de liens cohérents. Tu en avais pourtant parlé à ta mère, à qui tu faisais extrêmement confiance à l’époque. Entre quatorze et dix-huit ans, tu ne peux compter que quatre, maximum cinq incidents de la sorte. Tu lui as confié toutes tes théories, tu lui as raconté tous les incidents. Et elle avait peur de toi. Plus tu lui en parlais, plus elle s’effaçait et plus tu voyais dans ses yeux que ce que tu vivais n’était, pour elle, pas normal. Contre nature, en fait, ce sont les mots qu’elle utilisait. Elle te considérait déjà comme une abomination et elle n’avait encore rien vu, car la plupart du temps, lorsque tu touchais la peau des autres par inadvertance, rien de notable ne se produisait. C’était le réveil, lent et franchement aléatoire, de ton don. À partir de tes dix-huit ans, les incidents commencèrent à devenir plus fréquents, et la gamme d’émotion que tu as ressentie à travers les autres s’est élargie. Peur, abandon, joie, fierté, jalousie. Tu ne les reconnaissais pas tous et tu ne comprenais toujours pas ce qu’il t’arrivait, malgré plusieurs hypothèses farfelues. Vers vingt ans, tu as dû te rendre à l’évidence que tu pouvais ressentir les émotions des autres en les touchant. La réalisation est un grand pas vers le contrôle, mais tu en étais encore bien loin. C’est à ce moment-là que le peu de relation que tu avais encore avec ta mère a complètement disparu. Elle refusait de t’approcher, apparemment effrayée que tu puisses ressentir les émotions profondes des gens autour de toi. Elle faisait des acrobaties ridicules pour éviter que sa peau entre en contact avec la tienne. Intimidée par ce rejet, tu as longtemps tenté de réprimer cette empathie que tu ressentais. Évidemment, tu n’as jamais pu. Tu es entrée en psychologie, tout d’abord parce que le domaine t’avais toujours intéressée, et ensuite parce qu’avoir un don d’empathie dans un tel domaine était quasiment un don du ciel. Tu luttais alors encore pour t’accepter et surtout pour te comprendre. Tu as donc décidé de quitter l’Angleterre à 23 ans pour aller vivre en Amérique, et surtout finir tes études. Tu en as profité pour te soutirer aux jugements de ta mère tout en gardant contact avec ton père. En Amérique, tu as pu te concentrer sur tes études et sur la compréhension de ce don bien étrange que tu avais. À la fin de tes études, tu disais que tu avais le don de l’empathie, et que tu pouvais grâce à lui ressentir les plus profondes émotions de tes interlocuteurs en leur touchant la peau. Tu as remarqué, avec des années d’expérience, qu’il était très aisé de comprendre les émotions de certaines personnes parce qu’elles étaient claires et fortes dans ton esprit. Tu savais quelle émotion c’était, d’où elle venait et parfois où elle était dirigée. Alors qu’au contraire, pour d’autres personnes, tu n’avais qu’une vague impression, tout au plus. Les humains ont toujours eu des affinités plus grandes avec certaines personnes, sans aucune raison apparente, sinon au niveau des hormones et des phéromones compatibles. Peut-être est-ce que ton don fonctionnait de la même façon ? Tu l’ignorais. Ce que tu n’ignorais pas, par contre, c’était ton incapacité à contrôler la force des émotions qui te submergent parfois. Tu es déjà tombée inconsciente tellement la douleur d’une patiente était trop forte pour toi. Tu n’arrivais tout simplement pas à le supporter. Sinon, tu peux avoir des migraines qui durent toute la journée et qui vrillent ton crâne. La plupart du temps, ton fardeau n’est pas physique. Il est psychologique. Tu trouves cela extrêmement difficile de vivre en connaissant toutes ces émotions intenses, en vivant avec toute cette souffrance supplémentaire. C’est horrible de savoir à quel point les gens qui t’entourent souffrent, et de réaliser par la suite que tu ne peux rien faire pour les aider. Tu as l’impression qu’en le domaine, il te reste encore beaucoup de choses à apprendre, notamment à comprendre ces impressions que tu ressens pour pouvoir mieux aider les gens qui t’entourent. Avec de la pratique, peut-être seras-tu capable de former une histoire autour de cette émotion. D’où elle vient, pourquoi elle est là, où elle est dirigée. Cependant, tu es encore loin d’être rendue là. Identifier l’émotion et vers qui elle est dirigée est souvent un grand exploit pour toi.
avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ? Pas directement. Cependant, tu sais que tu dois faire attention et que ce n’est jamais une bonne idée de trop se dévoiler en tant que mutant. Tu ne serais probablement pas considérée comme une mutante dangereuse parce que ton don ne peut tuer personne – à part peut-être toi, à petit feu. Par contre, tu as souvent eu l’impression que certains patients, eux, les ont vus de très proche. Cette peur panique, cette paranoïa que les mutants ont par rapport aux Hunters… Ce sont des émotions qui ont un goût très unique. Dans certains cas, tu penses que les souffrances endurées par tes patients, ce meurtre violent dont ils parlent, tu penses que c’est l’œuvre des Hunters. Tu vois donc ce qu’ils font, tu vois les conséquences de leurs actes dans ton travail. Tu tentes de gérer les victimes, de les aider à aller mieux, mais les atrocités qu’ils ont vues sont difficiles à oublier. À pardonner. Tu ne peux donc pas dire que tu les tiens en très haute estime, tout d’abord parce que leurs victimes sont des dégénérés, des gens comme toi. Ensuite, parce que tu n’approuves pas du tout leurs méthodes radicales. Tu estimes que tout le monde a le droit à la vie, et que tous sans exceptions devraient avoir droit à une deuxième chance. Tu sais que certains ne le méritent pas, mais tu as toujours préféré croire à la bonté des gens. C’est ce qui te permet de garder espoir, de ne pas te laisser engloutir par le tourbillon d’émotions négatives que tu dois gérer chaque jour. Tu n’as donc jamais eu de Hunters à tes trousses, mais c’est tout comme. Tu dois gérer leurs dégâts, leurs faux pas. Leurs dommages collatéraux. Et pour ça, toi aussi tu as un peu de difficulté à pardonner.
utilisez-vous beaucoup votre don ? Tu essaies de l’utiliser de façon intelligente. Tu sais faire ton travail sans utiliser ton don : tu es empathique à la base, sans besoin de toucher, sans ressentir des émotions fortes. Tu es observatrice, et tu comprends la plupart de tes patients sans avoir besoin d’utiliser une petite aide supplémentaire. Par contre, certains sont très mystérieux et tu te vois dans l’obligation de t’aider de ton don pour les comprendre. Tu te dis toujours que c’est dans le but de les aider, parce que si tu ne sais pas où réside le véritable problème, que peux-tu bien faire pour alléger leur peine ? Pourtant, tu ressens toujours beaucoup de culpabilité face à ces petits écarts de conduite que tu te vois obligée de faire. Tu as l’impression de violer leur intimité, leur vie privée, ce petit jardin secret qui n’appartient qu’à eux. Tu t’en voudras toujours un peu pour cela, au fond, parce que ce n’est pas juste. Tu n’as pas le droit d’entrer impunément dans leur tête comme cela. Tu te dis et tu te répètes que c’est pour les aider, parce que si tu connais la source du problème, tu peux trouver une solution viable. Normalement, tu ne l’utilises qu’en cas de nécessité extrême, même si tu te laisses parfois avoir par la curiosité. Et il y a les accidents, évidemment. Les gens qui te frôlent sans savoir et qui déclenchent en toi une avalanche d’émotions. Tu essaies tout simplement de ne pas en abuser, premièrement pour ta santé mentale, et ensuite parce que ce n’est pas prudent d’utiliser son don à outrance.
que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles anti-hunters nommé Uprising ? Tu crois que c’est une bonne idée. Tu n’es pas encore vraiment sûre de la place que tu occuperas dans cette guerre, mais à quelque part, cela te fait plaisir de voir que certaines personnes ont décidé de riposter. Tu ne les connais pas vraiment, tu ne connais pas leurs méthodes non plus, tu n’as entendu que des rumeurs, mais dans ta tête, ce ne peut pas être une mauvaise nouvelle. Quelqu’un doit se lever pour faire face aux Hunters. Quelqu’un doit faire quelque chose pour dénoncer l’inacceptable. Tu ne te sens pas vraiment prête à faire partie de ce combat, mais peut-être que ce jour viendra. Peut-être que certaines de tes capacités pourraient être potentiellement utiles à la cause. Peut-être que si tu étais capable de déceler une haine viscérale dirigée vers les dégénérés, tu pourrais avoir une bonne idée de l’allégeance des gens, et peut-être que cela pourrait aider la cause des rebelles. Je dis bien peut-être. La confiance que tu as en toi n’est pas encore assez grande pour que tu t’engages là-dedans, et tu ne contrôles pas encore assez bien tes pouvoirs pour en être sûre à 100%, et ce n’est pas quelque chose sur laquelle tu aimerais te tromper.
G. - Geneviève - 17 ans PAYS : Canada. DISPONIBILITÉ : Pendant les vacances, presque tous les jours, sauf pendant le jour de l'an. Pendant les cours, une ou deux fois par semaine. VOTRE AVIS SUR TH : Il est merveilleux et parfait COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Ça fait un moment qu'il est dans mes favoris et que j'hésite, donc je ne saurai dire les origines PERSONNAGE : Inventé. VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : Pas à date (a) UN DERNIER MOT ? :
Dernière édition par Cathy Atwood le Sam 3 Jan 2015 - 7:20, édité 6 fois |
| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 7:33 | |
| we're all stories in the end just make it a good one Ecrire ici l'histoire de votre personnage, dans un minimum de trente lignes. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Nullam feugiat, odio eget lobortis iaculis, turpis nunc molestie lacus, sit amet molestie velit tellus a tortor. Nullam vulputate dui nec ante fringilla sit amet ultricies magna cursus. In purus eros, imperdiet sit amet varius vitae, iaculis at orci. Suspendisse rutrum rutrum urna eget pharetra. Fusce mattis faucibus lectus a ullamcorper. Integer eget nibh eget nibh semper tristique nec sed mauris. Curabitur placerat, justo interdum facilisis convallis, erat ante ultrices lorem, nec commodo mi nibh id sapien. Morbi enim orci, eleifend eget vehicula sit amet, imperdiet non libero. Praesent malesuada eleifend erat eu bibendum. Maecenas risus ante, tristique ac viverra id, ornare at turpis. |
| | | Salomé Callahan MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 4164
SUR TH DEPUIS : 29/04/2014
| Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 10:39 | |
| Emilia mon amouuuuur ! En plus une psychologue empathe, il nous faudra ABSOLUMENT un lien avec Salomé Bienvenue parmi nous !! |
| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 10:46 | |
| Emilia c'est ma femme *o* Bienvenue avec ce perso qui promet |
| | | Faith Cunningham MEMBER - join the evolution. MESSAGES : 17676
SUR TH DEPUIS : 26/04/2014
| Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 11:48 | |
| Oh la zoulie demoiselle Bienvenue miss et courage pour ta fichette ! |
| | | | | | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 16:55 | |
| J't'ai Mpé botey Bienvenue parmi nouuuus |
| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 17:52 | |
| BB EMILIA Bienvenue, bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas |
| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 18:11 | |
| Yay, tu t'es inscrite ! Avec Emilia, très bon choix Bienvenue parmi nous alors, et il faudra qu'on voie pour ces liens ! N'hésite pas si tu as des questions |
| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 22:59 | |
| Une psy, une empathe... (EMILIA)... NEED. Bienvenuuue et bon courage pour ta fiche *o* |
| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mar 30 Déc 2014 - 23:15 | |
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| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Mer 31 Déc 2014 - 4:43 | |
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| | | | | | | | | | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer Ven 2 Jan 2015 - 16:23 | |
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| | | | Sujet: Re: Cathy + to perceive is to suffer | |
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| | | | Cathy + to perceive is to suffer | |
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