+ poupée de cire, poupée de son.

plum charlotte campbell

" monsters are real"

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cosmic love

✤ NOM(S) : campbell, tu le tiens de ta mère, tu aurais aimé porter celui de ton père, comme tout le monde, mais quand à la place de ce dernier on a un géniteur c'est plutôt difficile. ✤ PRENOM(S) : plum charlotte, mais généralement tu ne donnes jamais ton vrai prénom par mesure de sécurité, alors on t'appelle charlie la plupart du temps, lola parfois ou juste plum. ✤ ÂGE : vingt ans. ✤ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : dix-sept août, à miami (floride). ✤ NATIONALITÉ : américaine. ✤ STATUT CIVIL : célibataire. ✤ ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. ✤ EMPLOI : serveuse dans une station-service. ✤ TRAIT DE CARACTÈRES : dépendante affectueusement parlant, naïve, susceptible, volage, épicurienne, impulsive, jalouse, têtue, possessive, gamine, sensuelle, capricieuse, cynique, sincère. ✤ MUTATION : combustion moléculaire ; capacité de briser les objets/corps sans aucun contact physique. ✤ GROUPE : dégénérés. ✤ AVATAR : nastassia lindes.

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✤ êtes-vous originaire de radcliff ?
Pas du tout, mais alors pas du tout. Je viens de Miami, et autant dire qu’avant mon arrivée à Radcliff je ne connaissais le Kentucky que pour sa célèbre chaine de fast-food. Et puis ce n’est pas avec une mère comme la mienne que j’aurais pu avoir l’occasion de voyager. Si j’ai décidé de m’installer à Radcliff il y a tout juste quatre mois c’est pour une seule et unique raison : mon père. Du moins, c’est ici que j’avais pensé retrouver sa trace après vingt années d’absence, au final il semblerait que je sois tombé sur un demi-frère… Je ne m’en plains pas, après tout il est la seule famille qui me reste.

✤ avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ?
Oh que oui. C’est à cause d’eux que j’ai du quitter Miami et ma mère. Je venais d’avoir dix-huit ans, c’était quelques semaines après ma rentrée, depuis quelques jours déjà j’avais la désagréable impression d’être suivie et mon intuition s’est avéré être exact : un hunter m’avait pris pour cible depuis plusieurs mois. A la fin des cours j’ai pris la national et puis tout un tas de petites routes, une voiture noire n’a cessé de me suivre, j’ai fais exploser ses roues et je ne suis plus jamais rentré chez moi = ma première rencontre avec un hunter. En tout j’en ai rencontré quatre.

✤ utilisez-vous beaucoup votre don ?
Tous les jours. Et ce malgré moi, j’ai beau avoir découvert mon don relativement tôt, j’avais quinze ans, il m’arrive souvent d’en perdre le contrôle notamment lorsque je m’énerve, après de « fortes sensations », et je ne vais pas vous mentir : un tour de grand huit, un orgasme… vous n’imaginez même pas les dégâts que je peux causer. Sinon je l’utilise souvent au travail, lorsqu’une bouteille ou qu’une boite de conserve me résiste, il m’a été utile durant ma cavale. Néanmoins lorsque je m’énerve il devient un véritable handicap, et quand on est sensible comme moi… Un mot de trop, un geste qui ne me plait pas, un client un peu trop entreprenant et c’est partie pour une nouvelle cavale ! Toutefois depuis que je suis à Radcliff j’arrive à me contrôler, peut-être parce que je n’ai plus tellement le choix.

✤ comment avez vous réagi à l'officialisation de votre statut ?
Très mal. L’officialisation de notre statut, les hunters, les cavales… J’ai très mal vécu cette période, être montré du doigt, passe d’humaine à « chose », à « bête de foire », j’ai beau jouer à la fille forte devenir la paria de toute une société c’est difficile, surtout à dix-neuf ans. Encore aujourd’hui je n’arrive pas à comprendre pourquoi tant d’effervescence autour de personne un tant soi peu plus développé que la moyenne, et je regrette l’avant-officialisation.

" let's talk about you and me "

✤ PSEUDO : cinderella + poupée de cire, poupée de son. 2976688543

✤ PRÉNOM : colonel reyel

✤ ÂGE : dix-sept ans sous peu. ✤ PERSONNAGE : inventé. ✤ FRÉQUENCE DE CONNEXION : six jours sur sept ✤ COMMENT AS-TU TROUVE LE FORUM ? : bazzart. ✤ UN DERNIER MOT ? + poupée de cire, poupée de son. 520337459

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we're all stories in the end

" just make it a good one "

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maison des campbell, miami, charlie quinze ans:
Elle le regardait s’en aller. Elle était triste, avait les larmes aux yeux, mais se contenait. Elle savait le faire, ça faisait quinze ans qu’elle serrait la mâchoire et les poings. Il lui fit un signe de la main et disparut, laissant derrière lui son odeur si particulière, mélange de cigarette et de bière. Charlotte s’assit sur le bord de la route et colla ses jambes à sa poitrine. Elle posa sa tête sur ses genoux. Cette position la canalisait, lui permettait de réfléchir. John était partit, lui aussi. C’était le sixième en trois mois à la laissée là, toute seule avec sa mère ivrogne et irresponsable. Ils avaient tous été très gentils avec elle, et c’était pour cela que sa mère les avait bannis de leurs vies. Depuis la mort de son dernier mari, deux ans plus tôt, la mère de Charlotte était devenue âcre et mauvaise, persuadée que l’accident de voiture avait été provoqué par la petite. Ce qui était totalement faux, Charlotte n’ayant même pas été présente ce soir-là. Madame Campbell était juste trop saoule pour s’en souvenir. Peu importe, elle refusait catégoriquement que sa fille soit heureuse alors que sa vie à elle était détruite. Elle ferait de son existence un enfer jusqu’à sa propre mort. Charlotte en était consciente, sa mère ne lui ayant que trop répété.

En silence, après une bonne demi-heure à méditer, Charlotte se releva. Elle marcha, tel un zombie, vers la maisonnette à l’apparence sale qu’elle partageait avec sa mère. Elle poussa la porte dont le verrou était cassé et fixa avec dégoût l’espèce de loque humaine qu’était sa génitrice. Elle allait exploser. Ses phalanges devenaient blanches à force d’être serrées. Elle se mordait la lèvre supérieure, et finit même par sentir du sang en couler délicatement. Sa mère se retourna, quittant des yeux son émission télévisée.

- Tu comptes rester là encore longtemps ? Je suis occupée, va jouer sur la route.

- T’es une vraie salope.

Charlotte prononça ses mots d’un ton solennel. Elle était blessée, elle souffrait plus que les autres fois. John était le portrait craché, qu’elle imaginait, de son père biologique, en mieux. Il était sympathique et souriant, câlin et toujours plein d’énergie. Il s’était occupé de Charlotte comme personne auparavant, et son départ prématuré déchirait le cœur de la jeune fille. Madame Campbell soupira et se releva. Elle titubait, décidément encore bourrée. Elle s’approcha de Charlotte et posa une main sur son épaule. Elle lui sourit délicatement, lui caressa la joue. L’acte le plus doux qu’elle ne lui ait jamais porté. La gifle n’en fut que plus douloureuse et violente. Charlotte tomba et se cogna la tête contre la table basse. Des larmes perlèrent sur ses joues rouges.

- Et toi, tu es une gamine abrutie. John est partit de son plein gré, il te détestait. Tout ce qu’il aimait, c’était ce qu’on faisait lui et moi. Tu sais, dans notre lit. Tu nous entendais, non, ma chérie ?

Charlotte couru vers sa chambre et s’enferma. Sa mère riait à gorge déployée, son humour ne faisant rire qu’elle. Le petit corps frêle et fatigué de Charlotte tremblait. Sa vie était merdique. Elle s’affala parterre et contempla le parquet. Ecrasée contre le sol, là où était sa place. En bas de l’échelle sociale. Un rat. Charlotte avait toujours été renfermée et timide. Cet énième moment de souffrance aussi bien physique que moral l’avait changée. Elle s’essuya les yeux et se releva. Elle ne désirait plus se faire marcher sur les pieds, aussi bien par sa mère que par n’importe qui d’autre. Elle deviendrait plus forte. Elle n’aurait jamais les conditions pour devenir quelqu’un, vu la mentalité des gens, mais elle pouvait se battre pour sa fierté. Elle n’était pas moins intelligente qu’une autre, elle avait juste moins d’aide et de moyens. Elle n’avait besoin de personne, et écraserait ceux qui seraient devant son chemin. C’était le début d’une nouvelle vie. La mort de l’ancienne Charlotte.

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journal de charlie, dans un motel près d'atlanta, charlie dix-huit ans:
Tu sais maman, j'aimerais te dire tant de choses aujourd'hui. Au lieu de te prendre dans mes bras comme il y a bien longtemps, je me retrouve là, dans ce motel que vous ne connaîtrez jamais, à écrire dans le journal que tu m'as offert pour mes sept ans, je savais à peine écrire. Au début je l’utilisais plus comme un cahier de brouillon, j’y collais des feuilles ramassés dans le jardin des Newton et les vieux paquets de cigarettes de Matthew et puis j’ai fini par me laisser prendre aux jeux et depuis je ne le lâche plus. Larme après larme, je vide ma tête de toutes les idées noires qui me tourmentent et me tuent un peu plus à chaque assaut fatal qu'elles entreprennent sur ma raison. Il y a tant de choses que j’aurais aimé mettre au clair avec toi, mais désormais, c'est trop tard. Peut-être qu’un jour, quand je serais en sécurité, je t’enverrais ce journal. Tu sais maman, je ne t’en veux pas, tu souffrais et j’étais incapable de comprendre ce que ton cœur pouvait ressentir. Maintenant je le sais. Cette douleur, l’absence d’un être cher, ton absence. Je te pardonne.

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00h57, appel en cours : maddox ♥♥♥♥, elizabethtown, charlie vingt ans:
(…)
- Tu comptes fuir jusqu’à quand Charlie ?
- Je sais pas…
- Sérieusement faut que t’arrêtes !
- Mouais…
- Oh, tu m’écoutes quand je te parle ou quoi ?
- Ne me crie pas dessus stp… Tu… t’es pas à ma place putain…
- C’est bon, pleure pas je suis…
- Arrête ! Tu comprends pas ! Je… Ils me prennent pour un monstre ! Je dois me barrer à chaque fois, parce qu’ils sont partout, j’ai du quitter ma mère, la seule famille que j’ai jamais connue ! Je dois changer d’identité à chaque fois que quelqu’un à un soupçon, tu peux pas comprendre. Je voudrais avoir la vie d’une fille normal de vingt ans, normalement je devrais être à la fac dans une sororité, j’irais en cours, je galérerais à payer mon essence et j’aurais un petit ami qui viendrait me voir tous les week-ends et on le ferait dans sa bagnole. J’en ai marre de devoir fuir, d’exploser tout ce qui m’entoure quand ça ne va pas… Et maintenant que je pense avoir retrouvé mon père tu voudrais que je reste, que j’arrête de fuir ?
- Charlie…
- Non, laisse tomber, j’dois te laisser j’ai de la route à faire.
- Charlie tu pas où ? Réponds ! T’es là ? Putain… Charlie !

Welcome & bonne chance pour ta fiche ! + poupée de cire, poupée de son. 3589615265

Ton titre est juste extra !

Mon dieu ta mutation a l'air plutôt puissante oo' mais bienvenue ! I love you

Le don

+ poupée de cire, poupée de son. 921491218

Très bien choisi !
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche

Le dooon

+ poupée de cire, poupée de son. 243543726

Piper Halliwell + poupée de cire, poupée de son. 2636227509

BIENVENUUUE

.

Bienvenue parmi nous I love you

:gnni:
"Où est Charlie? + poupée de cire, poupée de son. 222075304

"

Je ne connais pas l'ava' mais elle a une jolie bouille + poupée de cire, poupée de son. 243543726

Puis le don de ouf 0.0

Bienvenue sur TH ! + poupée de cire, poupée de son. 921491218

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you

oh meeeeeerci vous êtes tous des amours.
et puis j'avais même pas remarqué que c'était le même que piper, ahah.

Ton don de fifou *_* Bienvenue et bonne chance pour ta fiche :D

dit le mec qui peut se dédoubler. merci.

soeurette bienvenue sur TH, fais comme chez toi je te réserve nastassia pour la semaine

La demi-soeur de mon Stephen Il nous faudra un lien avec mon dc Evey
Bienvenue sur TH et bon courage pour cette fiche

tout est bon soeurette! I love you

te voila validé

" real life starts now "

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✤ Te voilà validé, félicitation + poupée de cire, poupée de son. 4170729518

Tu peux dès à présent poster des rps, mais pense également à créer une fiche de liens et un journal de rp. N'oublie pas non plus de recenser ton métier. Tu peux également créer un scénario, c'est par ici. Pour finir, n'oublie pas de te tenir au courant de l'intrigue en cours sur le forum par là.
Encore une fois bienvenue sur The Hunted, et bon jeu ! I love you