i. êtes-vous originaire de radcliff ?
      Tu es originaire de Radcliff, tu es né à Radcliffe, tu as vécu à Radcliffe et tu mourras à Radcliff. Tu as tes petites habitudes dans cette ville et partir signifierai que tu devras tout reconstruire ce que tu as déjà construis en tes 19 années sur la ville.

      ii. avez-vous déjà eu affaire à un ou plusieurs hunters ?
      A vrai dire, oui. Tu étais issu d'une famille de chasseurs. Ils détestaient les mutants et cela te blessait d'entendre que toute ta famille détestait ce que tu étais. Tu as essayé de dissimuler ton secret, mais c'est lors d'une monstrueuse journée que tes pouvoirs ont prit le dessus sur toi et à tué toute ta famille.

      iii. utilisez-vous beaucoup votre don ?
      Toujours. Tu l'utilises lorsque tu es déçu d'une personne et que tu veux le punir ou que tu donnes des petites nausées aux passants de la rue devant ta chambre, tu t'éclates à chaque fois devant ta fenêtre, les gens vomissant jusqu'à en pleurer te fait rire aux éclats jusqu'à l'heure du dîner. Tu arrives à contrôler ton don mais une fois que quelqu'un a tapé sur tes nerfs, tu ne te contrôles pas toujours, même si tu essais.

      iv. pensez-vous que les mesures mise en place par le gouvernement sont suffisante ?
      Il n'y a pas plus grosse connerie que le gouvernement. Tu ne penses en aucun cas que le gouvernement puisse protéger les habitants. Ce qu'ils savent faire c'est juste de parler de la pluie et du beau temps ainsi que d'énoncer des possibilités qui ne seront rien d'autre que des mots. Tu n'as d'ailleurs, pas fais le dépistage.

Tu étais un jeune garçon âgé de 17 ans à peine. Tu étais quelqu'un de gentil mais colérique sur les bords. Tu étais spécial, personne ne t'aimait pendant ton enfance. Tes deux parents t'avaient élevé dûrement, avec un seul désire : que tu reprennes le flambeau de la famille de chasseurs. Seulement, tu n'étais pas un petit garçon comme les autres. Le temps où les jeunes garçons lambda passaient devant la télé ou devant leur jeux, toi, tu t'amusais à faire souffrir les gens au bord de ta fenêtre. Comment ? Ah oui... Tu es un mutant, et tes pouvoirs se sont manifestés lors de tes neuf ans, c'était pendant une sortie au zoo. Tu étais agacé par la visite, mais ton regard à flanché sur un cobra qui élargissait sa gueule pour dévorer le pauvre lapin innocent. C'est alors que tu fronces les sourcils et le cobra referma aussitôt sa gueule et se mit à glisser partout, jusqu'au moment où il bougeait plus. Il était pas mort, mais il était sur les bords du décès. C'est ainsi que tu as appris l'existence de ton don, et depuis ce jour, tu t'amuses avec ton petit pouvoir, et tu en abuses parfois.

Aujourd'hui était une journée spéciale. C'était la dixième année d'anniversaire de mariage de tes deux parents, et pour cet évènement, ils ont invité toute la famille à manger à 13 heures dans leur imense maison. Tu étais un garçon ayant deux parents riches et tu n'as manqué de rien dans ton enfance, juste des choses qui ne s'offrent pas seulement avec de l'argent... Il y avait tes trois oncles et tes deux tantes, ta grand-mère, tes parents, tes trois cousins et une femme proche de la famille. Ils avaient prévu pour le repas du poulet. Mais tu n'avais pas faim, et tu décidas de retourner dans ta chambre pendant les 4 heures de blablatages avec tes parents et le reste de ta famille de chasseurs.

« Aloé, descend ! Y'a oncle Jack et tante Mary qui vont partir ! »

Tu étais perché sur ta fenêtre, la joue collée sur la vitre, voyant tes cousins s'entraîner au tir à l'arc et aux armes à feu. Ta famille était une famille de chasseurs, et cela dure depuis des dizaines de générations. Leur destin étaient déjà écrits, ils devaient abattre tout mutants. Ton secret comme à être lourd à porter. Si tu te dévoiles être un mutant apte à faire souffrir les personnes, tu risques de te trouver avec une pile d'armes pointées sur ta tête. Une larme glisse sur ta joue et tu l'essuies avec un geste de la main. Tu descends de ta fenêtre et tu descends les escaliers de ta riche demeure à pas lents et lourds. Tu respires et tu te diriges vers ta tante et ton oncle, les embrassant sur la joue pour faire signe d'au revoir. Tu détournes le regard et tu l'égares sur tes cousins, armés, pointant dans le ciel une pauvre colombe innocente. Tu te diriges vers eux à pas de courses et tu leur dis d'arrêter. Ta plus jeune cousine t'adresse la parole.

« Ta gueule, froussard. »

Ce surnom t'était donné car tu ne voulais abattre aucun animal pour ton entraînement où autre. Vexé par le comportement de ta proche, tu te tais, les demandant une dernière fois d'arrêter. La mort du oiseau demeurerai à jamais dans ta conscience. C'est alors qu'un bruit assourdissant, déclenché par ton plus grand cousin, fit dégager une balle ne fer qui se dirigea tout droit vers l'aile de la colombe. Tu vis l'animal se poser soigneusement sur une branche d'un arbre avant de pousser son dernier soupir. Pris par une énorme colère, tu tends ta main vers l'avant et tu tords ton poignet pour donner une énorme douleur à tes cousins. Le sang de ta cousine commençait à couler de son nez, tandis que tes deux autres cousins se jettent carrément à terre, de mal. Soudain, tu sentis une masse te toucher l'épaule. C'était ton père, une massue dans la main, répétant sans cesse qu'il n'hésiterait pas à tuer si tu n'arrêtais pas. Vexé et en colère, tu intégras ton père suivant ta mère dans les douleurs. Tu étais inconscient, tu ne savais pas ce que tu faisais. Tu commences toi-même à saigner du nez toi aussi, tu étais au point de lâcher et de t'évanouir toi aussi, tu cesses ton pouvoir. Tu respires un bon coup avant de te rendre compte que tu avais tué ta mère, tes oncles et tes tantes, tes trois autres cousins ainsi que le reste de la famille, laissant ton père dans d'affreuses situations, mais toujours vivant. Tu t’échappes du domicile et tu fugues dans les profondeurs de Radcliff où maintenant tu as appris à vivre seul et à survivre en faisant tes études pour devenir médecin, un de ces jours. Tu étais également devenu plus autonome et beaucoup moins protecteur et gentil. Ce drame t'avait fait tourner dans le mauvais côté, et tu le fait de ne pas pouvoir compter sur ses parents te font faire des horribles choses.