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 (carlisle) – the devil is calling me back home.

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MessageSujet: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:17

carlisle sidney lecter
our turn to decide who lives and who dies.


time for telling tales on me
NOM : lecter. un patronyme un peu trop célèbre, un nom étalé sur un peu trop de lèvres. c'était une fierté de le porter, jusqu'à il y a un peu plus de deux ans. aujourd'hui, s'il l'assume autant que par le passé, ce n'est plus le cas tout le monde. image ternie, paraît-il. PRÉNOMS : carlisle, sidney. surnommé cal, par ceux qui osent réduire son nom. il n'a pas d'affinités particulières avec ses prénoms ; il ne les aime ni ne les déteste.  DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le vingt décembre, à Radcliff ; le jour de l'hiver. une date qui aurait pu être emblématique, si seulement il y portait attention. ÂGE : cinquante-deux ans. plus de la moitié de fait, comme dirait l'autre. dans le fond, il n'est pas vraiment certain de s'en inquiéter. ORIGINES : américaines. un pur souche, l'un de ceux qui y sont nés et qui y ont vécu toute leur vie, dans ce beau pays.  NATIONALITÉ : aussi américaine que ses origines. STATUT CIVIL : marié. ça fait plus de deux ans que les choses ne sont pas au beau fixe, malgré cette union qui avait pourtant si bien commencé, et qui est de celles faites pour durer. elle s'est renfermée, éloignée, blessée dans sa fierté et dans l'orgueil du nom qu'elle porte grâce à lui. mais il ne l'en aime pas moins pour autant. claire, ç'a toujours été son évidence. sa raison d'être. ça n'a pas changé, trente-quatre ans de mariage plus tard. même pris au piège entre quatre murs. MÉTIER : de simple flic à détective, de détective à inspecteur, d'inspecteur à shérif adjoint et de shérif adjoint à shérif, sa carrière semblait déjà toute tracée ; les échelons se grimpent vite, quand on est un acharné portant exactement le nom qu'il faut. pourtant, il y a six ans, la vie a asséné le premier coup, et il a été déclaré inapte à exercer sur le terrain. on lui a gentiment proposé de rester dans les forces de l'ordre, mais l'idée de se cogner la paperasse et de donner des avis ne l'enchantait pas. alors il a foutu le camp, fin de la carrière, fin du pouvoir de l'uniforme. son beau parcours lui a valu un poste à l'université, au titre - plus honorifique qu'attesté - de professeur. la criminologie, voilà ce qu'on lui a offert d'enseigner. et ça lui a plu, vraiment plu ; ses connaissances en la matière étaient déjà rodées par sa carrière, et son charisme en faisait un professeur plutôt apprécié, autant que son exigence et sa froideur le faisaient craint. la réputation du patriarche lecter s'est redorée et affirmée sous ce nouveau blason. et puis la vie a frappé une seconde fois. et aujourd'hui, il n'est plus rien. rien qu'un ex-flic et qu'ex-professeur en criminologie, que l'on a envoyé derrière les barreaux pour tentative d'homicide. et il sera bien moins aisé de repartir du bon pied, cette fois-ci. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. il ne s'est jamais posé de questions sur le sujet, et les valeurs conservatrices de sa famille l'auraient de toute manière bien obligé à taire de quelconques idées déplacées. pour autant, il a appris à accepter la différence, à mesure que les années passaient, et que l'une de ses filles se révélait particulièrement amourachée des gens du même sexe. les mentalités sont dures à faire évoluer, mais il tente de faire des efforts, et de mettre toutes les chances de son côté. un jour, peut-être arrivera-t-il à ne plus ressentir cette amertume au fond de la gorge en l'imaginant dans les bras d'une femme ; peut-être. d'aucuns disent qu'on ne change jamais vraiment, mais pour elle, il s'était pris à essayer. TRAITS DE CARACTÈRE : exigeant, froid, très intelligent, calculateur, manipulateur, patient, violent, vindicatif, charismatique, très bon rhéteur, taciturne, réfléchi, arrogant, fier, déterminé, fataliste, lucide, cynique, droit, loyal, fidèle à ses valeurs, organisé, méticuleux, borné, rancunier. s'il peut avoir l'air bien souvent maître de lui-même, la colère qu'il abrite est bien souvent dévastatrice ; une force calme en apparence, mais dont il vaut mieux éviter de s'attirer les foudres. il a appris à se contenir et à enrayer sa rage, mais elle reste exceptionnellement dangereuse.  AVATAR : matthew mcconaughey, le parfait. GROUPE : protect those who fear them. CRÉDITS : tumblr.
nothing left to say
001. dans la vie, il y a des valeurs. des choses qui comptent plus que d'autres, envers et contre tout. quel que soit le chemin que l'on emprunte, il y a des principes qui ne s'oublient pas, des choses qui ne changent pas. et pour carlisle, c'est et ç'a toujours été sa famille. parce que les liens du sang, c'est sacré. ça ne se remplace pas, ça ne se refait pas. il lui a toujours accordé une place privilégiée, et davantage encore depuis qu'il a fondé sa propre lignée, son propre noyau. sa femme et ses quatre enfants, c'est toute sa vie, depuis autant d'années qu'ils sont liés. mais maintenant qu'il est sorti de prison, un arrière-goût amer refuse de quitter son palais. la famille semble s'être disloquée, les principes envolés. de leur foyer si soudé, que reste-t-il désormais ? 002. il y a six ans, déjà, qu'il ne peut plus vraiment se déplacer sans une canne. son genou ne s'est jamais complètement remis de la balle qu'il a prise, lors d'une chasse au mutant. une blessure qui a ruiné sa carrière dans la police, et avec elle, toute une partie de sa vie. depuis, il a besoin de ce soutien, jambe de bois appuyée contre la sienne. sans, il peut marcher ; boitant douloureusement, peinant à ne pas laisser transparaître le supplice qui l'habite au bout de quelques minutes. mais s'il peut éviter, il évite. autant dire qu'en prison, certains ont cru bon de bien s'en amuser, avant qu'il ne décide de remettre les choses à leur place. 003. c'est un homme violent. le genre d'homme qu'il ne fait pas bon de mettre en colère, le genre qu'il vaut mieux éviter de contrarier. car si la fureur met bien longtemps avant de se manifester, les ravages qu'elle cause en lui avant d'éclater ne sont pas à sous-estimer. force calme en apparence, sa violence ne transparaît vraiment que lorsqu'il laisse la colère le submerger. généralement, les crises sont brèves, mais intenses. et lorsqu'il en ressort, lorsqu'il se redresse, il affiche son habituel visage fermé. comme si rien de tout ça ne s'était passé. 004. il n'a jamais été particulièrement friand de la violence gratuite, ou de la torture pour le plaisir. tueur, oui. chasseur, sans aucun doute. mais lorsqu'il traque pour exécuter, il n'est pas dans la peau du bourreau. on ne joue pas avec la nourriture ; les mutants ne sont pas des poupées que l'on peut désarticuler à sa guise. il faut les éliminer pour protéger les humains, mais ils sont dotés de la vie, comme tout un chacun. si on ne torture pas un chien pour s'amuser, alors pourquoi faire de même avec un homme ? lorsqu'il doit tuer, il tue. sans détour. une balle dans la tête ; parfois deux, mais rarement plus. 005. si sa sortie de prison aurait pu être synonyme de reprise des activités, il a néanmoins décidé d'y apporter quelques nuances. lynché en public par les médias, sifflé par la population fervente défenseuse des mutants, il a été décrié, déclamé, et sa réputation traînée dans la boue. et pour ces raisons, tuer n'est désormais plus sa priorité. il laisse les autres appuyer sur la gâchette à sa place, et il rase les murs. faussement repenti, enfilant son second costume dans l'ombre, et exerçant son art le plus subtil, et celui dans lequel il exerce incontestablement : l'interrogatoire. car la guerre n'est pas finie, mes amis. elle ne fait que commencer. et s'il ne joue pas avec une nourriture n'ayant rien à lui apporter, celle qu'on lui sert pour être marinée et interrogée connaît une seconde facette bien moins clémente. maître bourreau, tant physiquement que psychologiquement, il sait ce qu'il veut, et il sait comment l'obtenir. lorsqu'il a ce qu'il lui faut, il laisse les autres se débarrasser des preuves, ou se contente de les achever d'une unique balle si l'ordre n'a pas été donné de les garder ou de les relâcher. pas de gaspillages inutiles ; il respecte la souffrance, et ne semble d'ailleurs pas prendre de plaisir évident à se couvrir les mains de sang jusqu'au coude pour obtenir les renseignements dont il a besoin. c'est son boulot, c'est tout. tout est une question de principes. et s'il condamne la torture dans certains cas, il la tolère parfaitement dans d'autres. ce n'est pas pour autant qu'il en ferait son hobby. 006. son silencieux n'est jamais bien loin, et sa lame de rasoir non plus. ce n'est pas un adepte du tir à l'arme de poing. au cours de ses chasses, il a souvent privilégié les tirs longue distance, ou s'est arrangé pour forcer ses proies à se retrouver à sa merci à un moment donné pour les abattre à bout portant. il préfère les pièges qui se referment lentement et sûrement que les traques effrénées et épuisantes. tout vient à point à qui sait attendre. et réfléchir avant d'agir lui a toujours été des plus profitables. il n'est pas un loup lambda qui se contente de courir après le gibier ; il préfère voir la chasse comme une partie d'échec grandeur nature. chaque coup a son temps et son utilité. et c'est un maître en la matière. 007. c'est un homme droit, et fidèle à ses valeurs. pour lui, tuer des mutants n'est ni un jeu ni un passe-temps. il s'agit d'une mission qu'il a héritée, d'un désir de protéger les plus faibles, ceux qui ne peuvent se défendre contre les différents. les éliminer est un moyen de parvenir à cet objectif, le moyen pour mettre hors d'état de nuire ces êtres dangereux ; le seul qu'on lui ait enseigné. et qu'il a inculqué à son tour à ses descendants. il ne se considère pas comme un monstre ; davantage comme un protecteur de ceux qui ne peuvent assurer eux-mêmes leur sécurité. tout cela est à prendre au sérieux, et les écarts de conduite et les abus de pouvoir lui font généralement bien plus grincer des dents qu'autre chose. 008. intelligent et organisé, c'est un homme d'une grande méticulosité. il fait toujours les choses jusqu'au bout, et du mieux qu'il le peut. le travail bâclé ne lui ressemble en rien, et son exigence et sa sévérité transparaissent dans toutes les sphères de sa vie. 009. on lui reconnaît un charisme certain, qui a valu sa réputation comme professeur à l'université. bon rhéteur, il sait se rendre intéressant malgré la distance que son apparente froideur a parfois tendance à instaurer entre lui et les autres. un caractère fort appuyé de bonnes manières, qui a cette faculté de cadrer les autres autant qu'il ne peut se cadrer lui. 010. c'est un amateur de poésie et d'opéra. il apprécie également le théâtre et les autres formes de lecture, mais son amour artistique va majoritairement à ces deux premières formes. il a d'ailleurs un goût prononcé pour la musique classique, qu'il ne tente pas de cacher. hors de ça, il écoute principalement du jazz et du blues, et n'est pas du tout au fait des productions musicales récentes. 011. avant sa blessure au genou, il entretenait sa forme physique très régulièrement. aujourd'hui, il se concentre sur ce qui peut bien lui rester, mais ses entraînement sont relativement limités. pour autant, il lui arrive parfois de forcer un peu et d'aller boxer, seul sport lui manquant réellement. et tant pis pour la douleur que ça peut occasionner après ; les calmants, ça existe. 012. il n'est pas de ceux qui prennent la peine d'écarter les possibilités sans toutes les considérer. beaucoup trop calculateur pour ça, bien trop lucide et conscient de la réalité l'entourant pour se permettre de telles choses. tout se travaille, tout se réfléchit. il envisage toujours toutes les options, ne les écarte pas avant d'avoir de bonnes raisons de le faire. cela lui vaut parfois des coups d'oeil irrités, auxquels il est totalement indifférent. mieux vaut prévenir que guérir, dit-on. et les meilleurs plans sont les plus sûrement travaillés. 013. borné, il est de ceux qui ne changeront pas d'avis, une fois lancés. il n'est pas fermé à la discussion, mais n'en changera pas son avis pour autant. il va jusqu'au bout de ce qu'il fait, jusqu'au bout de ses idées. 014. et il a conscience, le bougre, que les mots sont parfois tout aussi efficaces que les coups ou les menaces physiques. plus efficaces et plus mortels que les balles, de ces petits objets invisibles, flottant dans les airs, qui offrent des milliards de possibilités. et ces mots sont une arme qu'il sait manier, autant qu'il peut les économiser. pas bavard, il est rare de l'entendre parler pour ne rien dire, et rare que ses paroles dépassent sa pensée. comme tout le reste de sa vie, tout est au compte-goutte. tout est pensé, travaillé. rien n'est laissé au hasard. la vie est trop imprévisible pour qu'il se permettre de l'être, lui aussi.


Comment êtes-vous entré parmi les hunters ?
La famille peut être un poids, comme un tremplin. S'il a initié ses propres enfants, il a été le fils de quelqu'un également. Et c'est comme ça que tout a commencé. À ses treize ans, l'embrigadement moral a commencé. Les leçons ont été enseignées, l'entraînement les ont accompagnées. Et depuis, il n'a jamais réellement cessé. Son père lui a appris l'existence des transmutants et l'a fait pénétrer dans ce monde de violence qui lui est aujourd'hui devenu familier. Un monde qui a, depuis, complètement façonné sa vie.

Avez-vous déjà effectué votre devoir de chasseur ?
Plus souvent qu'à son tour, témoigneront les corps disséminés çà et là. Longtemps, il a tué. Froid et calculateur, déterminé, le bras ne tremblant pas plus que s'il avait été en train d'effectuer une tâche de routine. Et peut-être en était-ce justement devenu une. La confiance qui s'installe, avec toutes ces années d'une efficacité redoutable. Au final, appuyer sur la détente ne provoque plus la même vague d'adrénaline et la même excitation que les premières fois. On en vient à le faire machinalement, comme une seconde peau. Et c'est peut-être là que ç'a péché. Peut-être qu'il aurait dû faire plus attention et se reprendre, se forcer à briser l'automatisme. Peut-être que ça lui aurait évité de se faire jouer une première fois, et de prendre une balle dans le genou. Depuis, tuer est devenu bien plus compliqué. Les plans se doivent d'être plus précis et plus ciblés, et de ne laisser aucune échappatoire à ses cibles. De très bon chasseur, il est devenu excellent stratège. Les exécutions ont continué pendant encore quelques années, avant qu'on ne se joue de lui pour la seconde fois. Plus de deux ans à rester coincé dans entre quatre murs, après la sentence, et à être privé de ce devoir devenu une raison de vivre. Et maintenant qu'il est sorti, il n'a pas repris. Les idéaux n'ont pas changé, et son bras ne tremblera pas s'il faut appuyer à nouveau sur la détente ; mais pour le moment, mieux vaut longer les murs. C'est de prendre trop son devoir à coeur qui l'a fait chuter. C'est d'être un chasseur qui lui a fait manger le bitume pour tous les autres. Et s'il n'en a pas honte, la situation est néanmoins devenue délicate. Trop pour qu'il puisse fermer les yeux et reprendre son ancienne vie comme si de rien n'était.

Que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles nommé Uprising ?
C'était à prévoir. Tôt ou tard, il fallait que quelqu'un prenne pour l'ennemi l'initiative qu'eux ont pris pour les populations sans défense. Une guerre nécessite deux camps, et traquer des isolés ne pouvait décemment pas durer. Les parties d'échec ne sont intéressantes que lorsque quelqu'un est assis sur le fauteuil d'en face pour faire avancer les pions, les guider. Sinon, c'est la débandade. Chacun part de son côté, les règles ne sont pas respectées. Et tout stratège qu'il est, il apprécie voir le siège de l'adversaire enfin rempli. Les organisations sont peut-être dangereuses, mais au moins, l'ennemi se rassemble. Et s'il se rassemble, il est moins difficile à trouver ; à la manière des fourmis, remonte la colonne et fais tomber le nid.

Que pensez-vous des actions de Thaddeus Lancaster à la tête du Comté ?
Thaddeus a des objectifs louables. Plus que louables, même. Des idéaux qui épousent ceux de la famille Lecter, des projets qu'il approuve bien volontiers. Sa présence à la tête du comté permet de resserrer l'étau sur les mutants, et a officialisé la naissance d'une guerre. Pour autant, s'il approuve beaucoup de choses chez le maire — et notamment la clémence dont celui-ci a fait preuve en le faisant récemment gracier —, il n'est pas sûr de totalement cautionner quelques récents événements. Il le respecte, et il a une dette de vie envers lui. Il suivra la plupart de ses idéaux, oui, mais pas tous. Thaddeus lui a confié la responsabilité des interrogatoires dans le cadre de la Gunpowder Squad, et il se fera un honneur de remplir son devoir ; néanmoins, s'en prendre à des humains ne fait pas partie de sa déontologie, et lui grincer des dents. Il ne protestera pas et ne dira rien ; bien trop redevable d'être sorti, pour le moment. Mais le temps finira par venir où il condamnera la violence débridée qui prend progressivement le pas dans leurs agissements. Un homme extrême avec de telles idées, et prenant de telles mesures, peut vite devenir incontrôlable. L'ambition de Lancaster est démesurée, et l'abus de pouvoir se fait ressentir. Les règles du jeu sont abolies, tous les coups sont permis. Et si certains s'en réjouissent, si cela l'arrange dans une certaine mesure, il n'est pour autant pas friand du chaos et l'anarchie qui s'en suivent.


elephant song - clo - twenty y.o.

PAYS : il y fait froid. DISPONIBILITÉ : it depends. VOTRE AVIS SUR TH : kk. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : dans un tiroir de p'tites culottes. PERSONNAGE : scénario. c'est l'deuxième, j'arrive pas à croire que je joue autant de scénarios. VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : ouais, tout. UN DERNIER MOT ? : cinq, même. dites au revoir à abbie. (carlisle) – the devil is calling me back home. 3013803170 (carlisle) – the devil is calling me back home. 3013803170



Dernière édition par Carlisle Lecter le Ven 9 Oct 2015 - 20:30, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:17

we're all stories in the end
just make it a good one


– nothing ever lasts forever –


Bang bang. Il abaisse son fusil à plomb, un rictus déposé sur ses lèvres d'adolescent. En deux coups, tous les ballons ont éclaté. C’est la première fois qu’il tirait comme ça. La première fois qu’il allait dans un endroit pareil, aussi. Un passe-temps de la plèbe, passe-temps des petites gens. Il n’avait pas protesté face à ce choix étrange de lieu, face à cette drôle d’idée de l’amener ici. Et il tourne la tête vers l’homme qui attendait dans son dos, les bras croisés, le regard fermé. Il regarde ce visage glacé, cherche une trace de fierté dans le fond de ce regard si dur. Rien ne transparaît dans les yeux, mais l’ombre d’un sourire passe sur le visage froid, taillé au couteau.

L’homme du stand de tir à la carabine va pour donner un ticket à l’adolescent, mais celui-ci ne lui prête plus aucune attention. Il a rejoint en deux pas son paternel, après un petit signe de tête de sa part. Pas de contact entre le père et le fils. Rien qui ne pourrait présager la fierté donc celui-ci rêvait sans trop y croire, pas de proximité qui pourrait les catégoriser comme un géniteur et sa descendance. Et pourtant, ils sont là. Père et fils, Lecter. Ils s’éloignent de la foule, se glissent vers la sortie de toute cette masse informe et agitée. Le rejeton n’ose pas prononcer le premier mot. Mais il n’a pas besoin de le faire ; dès que la musique s’est un peu estompée, dès que les oreilles indiscrètes se font plus rares, et que les seuls passants alentours se moquent bien de ce qu’un homme peut dire à un gamin, les mots coulent. Aussi froids que le reste de l’être qui se tenait là, droit et carré ; de pierre et de glace. « Il faut que je te parle. » Il faut que je te parle de quelque chose. Et pour ça, je dois t’adresser la parole.  

Il faut que je te parle de quelque chose, car c’est l’heure que tu saches. L’heure que tu saches ce que je suis.

L’heure que tu saches qui tu vas être.



Bang, bang. Le corps s’effondre à ses pieds, et sa main se met à trembler. Trembler d’excitation, plus que d’hésitation. Il a fait ce que l’homme, debout non loin, bras croisés, lui a demandé. Il a fait ce qu’il fallait. Il a supprimé une créature, une bête qui menaçait l’humanité. Il a supprimé un être différent, et il le sait. Sa dégénérescence, il l’a vue. De ses propres yeux, comme son père lui en avait longuement parlé. Il l’a vue, et il a été sûr ; sûr de son coup, sûr qu’il pouvait le tuer. Sûr qu’il pouvait tirer.

Trop longtemps qu'on l'entraînait pour ça, sans relâche. Jusqu’à ce qu’il soit prêt à faire ce qu’il venait de faire. Lâcher deux balles dans la tête de cet homme, sans lui donner la moindre chance d’en réchapper. S’être assuré, juste avant ça, de l’avoir piégé, acculé dans un endroit et dans une situation où il ne pourrait se servir de son don pour se défendre ; où la surprise et la peur serait trop grandes, où le temps lui manquerait pour réagir. Et il avait réussi. Comme chaque fois qu’il entreprenait quelque chose, comme chaque fois que son père lui formulait une exigence. Il réussissait toujours. L’échec n’était pas en option.

Et il tourne les yeux vers l’homme, en entendant les pas qui se rapprochent. Il guette la fierté dans ses yeux, maintenant qu’il a rempli son devoir pour la première fois. Il sonde le regard de cette silhouette marmoréenne, à la recherche d’un semblant de satisfaction. Et à défaut d’en découvrir la moindre parcelle, il place tous ses espoirs dans les lèvres qui s’entrouvrent. Persuadé qu’il peut tirer quelque chose de cette figure emblématique, de ce visage paternel, maintenant qu’il est comme lui. Espoir infime, ultime.  « Une balle aurait suffi. »  

Il hoche la tête et il baisse son regard d’acier, le gamin. Il regarde le cadavre du mutant à ses pieds, et il remet la sécurité de son arme, comme on lui a si souvent répété de le faire. La déception s’est nichée au creux de son ventre, mais il ne lui laisse que la plus petite des places qu’il puisse trouver. C’est un sentiment qu’il lui faudra éradiquer, avec le temps, et il le sait. Il apprendra. Il est encore jeune. Jeune mais exigeant. Trop soucieux de bien faire. La prochaine fois, il ne tirera qu’une balle.

Et la prochaine fois, même d'excitation, sa main ne tremblera pas.


Bang, bang. Le corps s’effondre aux pieds du jeune homme, et son regard vient chercher celui de son père. Comme une impression de déjà-vu, de trop longues années auparavant. Comme une impression de revivre la même scène en jouant l’autre rôle. Il n’est plus le jeune chasseur, cette fois ; il est le père, celui dont on guette l’approbation, celui que l’on veut rendre fier. Celui dans les yeux de qui on recherche la satisfaction, et à qui on espère arracher une parole gratifiante. Les rôles sont inversés, mais lui est fier. Fier de voir que la main de Felix n’a pas autant tremblé que ce qu’il aurait pu en être, fier de voir que son fils marche dans ses pas avec une efficacité redoutable. Il est fier de se dire que dans quelques années, Beatrix sera à cette place, et qu’après eux, les tours de Desmond et Doreen viendront. Il est fier, et il se demande ce que cela apporterait à ses enfants de le leur cacher. Il veut les voir continuer dans ce sens, et il sait qu’ils le feront. Que la froideur n’empêchera pas l’admiration, et qu’une fierté bien que mesurée ne pourra que les pousser à faire encore mieux ; toujours mieux.

Alors il avance d’un pas, décroise les bras. Il hoche doucement la tête, sans rompre un seul instant le contact visuel avec son fils. Un simple geste, approbation furtive. Sa main se pose un instant sur le côté du cou de Felix. « N’oublie pas de remettre la sécurité. Une balle perdue est vite tirée. » Le contact se brise, et ses yeux gris tombent sur le corps sans vie. Le sang s’étale progressivement autour de son crâne, et les deux impacts nets dans son front s’auréolent de rouge.

Pour cet homme, c’est fini. Pour son fils, tout vient seulement de commencer.


Bang.

Une fraction de seconde, ses pensées quittent l’hôpital. Il revoit cette fille, il revoit son regard. Il peut presque sentir à nouveau la stupeur de la voir, elle, à la place de ce mutant qu’il traquait. Un instant, il se demande s’il doit appuyer sur la détente. Mais ce n’était peut-être qu’une humaine, s’était-il dit. Au mauvais endroit, au mauvais moment. Alors il avait baissé son arme, une fraction de secondes. Suffisamment pour qu’en un mouvement plus vif qu’il ne l’en pensait capable, elle ne sorte la sienne et ne lui tire dessus. Il avait touché le sol avant d’avoir pu la mettre en joue. Et lorsqu’il avait à nouveau relevé les yeux, elle était partie. Envolée, comme une ombre ; et il aurait juré à une hallucination, si la douleur ne l'avait pas forcé à rester à terre. Elle l’avait piégé. Et s’il n’en était pas certain, au moment où elle s’était envolée, il n’y avait désormais plus de doutes possibles.

« Qu’est-ce que ça dit ? » L’amertume au fond de la gorge, il ne laisse rien paraître de plus que d’ordinaire. Ses dents se desserrent, alors qu’il remet la carte dans la petite enveloppe. « Bon rétablissement. » Mensonge. La douleur, revenue à la lecture du mot, refuse de refluer. Il n’en laisse rien paraître, refuse que Calista ne s’inquiète de ce que la remise de cette enveloppe anonyme a pu provoquer chez lui.

Il est à l’hôpital. À l’hôpital quand il devrait être chez lui, ou dans son bureau. Dans une foutue chambre, cloîtré là comme un animal. Incapable de se lever, incapable de s’appuyer sur cette putain de jambe. La balle a traversé il y a deux jours, et son genou est dans un état lamentable. Les médecins disent qu’il ne récupèrera jamais la totalité de sa mobilité, et qu’il devra probablement prendre des calmants pendant plusieurs années — si ce n’est toute sa vie. Il faudra qu’il se ménage, il faudra qu’il fasse attention. Et s’il ne le fait pas, la douleur le rattrapera de toute manière pour le lui rappeler.

Ils vont faire passer ça pour une intervention qui a mal tournée, ou pour une agression par un délinquant vengeur. Ils vont trouver un moyen de couvrir cette blessure, de trouver une explication valable aux yeux de ceux qui poseront des questions. Mais au fond de lui, il le sait : le problème n’est pas là. Le problème c’est que ce n’est qu’une question de jours ou d’heures, avant qu’on ne vienne lui rendre visite avec cette tête d’enterrement, et lui annoncer qu’il va falloir qu’il passe la main. Qu’il pourra garder l’insigne, mais que la ville a besoin d’un shérif en pleine possession de ses capacités. On va lui demander poliment si un successeur lui vient en tête, et il n’aura pas d’autre choix de coopérer. Avec ou sans lui, ils changeront. Les médecins ont été très clairs, et pour lui, le terrain, c’est fini. Fini à cause d’une adversaire se croyant aussi intelligente que lui.

« Échec à la découverte. » Quatre mots pour lui apprendre qu’il avait bel et bien été piégé. Quatre putains de mots d’un langage de joueur d’échecs, pour lui montrer que la partie ne faisait que commencer. Et son regard partit vers la fenêtre, après qu’il a jeté la petite carte sur sa table de chevet. Personne ne devait savoir. Pas pour le moment. Mais il la retrouverait.

Il la retrouverait, et quand ce serait fait, il n’aurait que trois mots à prononcer. Trois mots, et tout serait terminé.

Échec et mat.


« Vas-y. » À toi l’honneur, ma princesse.

Bang, bang. Et elle range son arme, sa fille chérie, tandis qu’il relâche sa poigne sur la sienne. Il ne l’a pas sortie de l’arrière de son pantalon et il l’y laisse, rabat sa veste par-dessus. Son silencieux n’a pas eu besoin de venir se greffer au bout de l’arme, et aucune balle ne sera gaspillée ce soir. Celles de Bea’ ont eu le souci de venir à bout de l’objectif qu’ils s’étaient fixé, et c’était suffisant. Amplement suffisant.

Il lâche une légère expiration. Le mutant a ciblé son don sur lui, et la douleur dans sa jambe refuse désormais de refluer. Il s’appuie sur sa canne, ferme un instant les yeux en serrant les dents. Au moins, la concentration du jeune dégénéré avait permis à Bea de s’approcher sans se faire remarquer. Même s’il avait été plus expérimenté, il n’aurait probablement rien vu venir ; mais là, c’était la surprise pure et dure qui avait répondu au premier coup qu’il avait pris. Le plan s’était déroulé comme prévu. Ce type avait juste été un peu plus prompt à utiliser sa mutation qu’il ne l’aurait dû, mais ça n’en faisait que conforter le Lecter dans son idée : si son recours à cette abomination était aussi spontané à chaque fois qu'il se sentait menacé, il était un danger pour les autres. Un danger pour tous ceux qui n’avaient pas les moyens de s'en défendre.

« Ça va ? » Il rouvre les yeux, au moment où la voix familière le sort de sa torpeur. Un hochement de tête, mensonge qu’elle sait éhonté, mais face auquel elle n’osera probablement pas insister. Même si ça n'allait pas, il ne l'avouerait jamais ; c'était déjà presque un affront de le lui demander. « Ça va. » Il se force à s’appuyer un peu moins sur sa canne, à poser à nouveau son pied au sol. La blessure date d’il y a plus d'un an, déjà, mais la douleur semble décidée à revenir régulièrement, jusqu’à la fin de sa vie. Revenir lui prouver qu’il avait échoué, qu’il s’était laissé piéger. Mais la vengeance, elle aussi, viendrait. Tôt ou tard, elle venait toujours. « Nettoyons ça et rentrons. » Heureusement, tout avait été fait dans les règles de l'art. Pas de cervelle éparpillée dans les couloirs de l’université — ou, de manière plus générale, là où les gens seraient susceptibles de marcher le lendemain. Ils l’avaient attiré calmement dans un coin où il n’y avait plus qu’à l’exécuter, et le nettoyage n’en serait que plus aisé.

Les yeux du patriarche Lecter se vrillent dans ceux de sa fille. Il l'observe un temps, la fierté au cœur. Peut-être sa carrière avait-elle pris une sérieuse claque l’an passée, après sa blessure. Peut-être avait-il perdu plus qu’il ne voulait l’admettre, et peut-être cela l’avait-il heurté plus qu’il ne le reconnaîtrait jamais. Mais dans le fond, il ne s’en était pas trop mal tiré. Et eux étaient toujours là. Il était toujours capable de remplir son devoir, et ils ne le traitaient pas comme un infirme. Leur regard n’avait pas changé. Leur désir de le rendre fier non plus. La vie continuait.

Alors, si ses lèvres ne souriaient pas, ses yeux, eux, le faisaient.


Bang, bang.

Le bruit familier le ramène deux ans et demi en arrière sans qu’il n’ait besoin de faire le moindre calcul. Il revoit le visage du mutant, son sourire. Et il ressent à nouveau cette désagréable stupeur, cette étrange sensation qu’il vient de se faire piéger. Il sent la douleur et il croit percevoir le murmure, ce murmure qu’avec le recul, il sait ne pas avoir rêvé. Celui qui a hanté ses songes depuis. « Zugzwang. » C’était trop précis pour être illusoire, trop significatif pour avoir été imaginé. Il sait que c’est arrivé, et il sait que c’est elle qui le lui a envoyé. Le message a eu beau avoir été délivré par un homme, c’était une signature, une signature d’une joueuse expérimentée, qu’il avait déjà affrontée par le passé. Elle l’avait doublé une deuxième fois, resserrant l’étau autour de lui. Cruelle. Intelligente. Et cette fois-ci, plus maligne que lui.

Mais à cet instant précis, ce bruit ne signifie pas sa fin à lui. Il signe la fin de quelqu’un d’autre, et après quelques soubresauts, la tête de la jeune femme retombe mollement sur son épaule. L’exécuteur laisse son bras rejoindre le long de son corps, regarde le travail d’un air satisfait. Et derrière lui, le Lecter patiente. Appuyé sur sa canne, toisant le dos de l’homme, détaillant le peu qu’il peut apercevoir de sa victime. Les choses mal faites, les tortures non ciblées. Faire du mal pour le plaisir, là où il n’y avait aucune nécessité. C’était du travail d’amateur, cruel et imprécis. Du travail bâclé. « J’espère au moins que tu en as tiré ce que tu avais besoin. » Pour l’avoir massacrée comme ça, ça vaut mieux pour toi. L’homme se tourne vers lui, vivement. Il ne semblait pas l’avoir entendu arriver. Son arme s’est à demi levée vers le chasseur, mais celui-ci ne cille pas ; ne la regarde même pas. Ses yeux métalliques attrapent ceux du bourreau, qui baisse bien rapidement sa garde. « J’peux faire quelque chose pour vous ? » Les deux se toisent, mais le meurtrier ne sait plus vraiment sur quel pied danser. La froideur qu’il aperçoit dans les deux billes grises le font s’interroger, et un coup d’œil plus détaillé sur l’homme lui suffit pour comprendre qu’il ne vaut mieux pas trop la ramener. Trop de jugement, dans cette simple attitude posée. Trop de mépris, dans ce visage pourtant impassible. « La prochaine fois que tu tortures quelqu’un, tire-lui une balle dans la tête pour en finir. Si tu en as obtenu c'que tu voulais, tu n'as aucune raison de le laisser souffrir. » Chien fou. L’autre semble avoir les mots qui lui brûlent les lèvres, mais la froideur de son vis-à-vis le dissuade de toute tentative stupide. « Nettoie ton bordel. » Petit con. La sentence est sans appel, et le boiteux fait demi-tour, retournant vers la porte de la salle si sombre et si lugubre. « À partir de maintenant, c’est moi qui prends le relai. » Et si t’es assez stupide pour essayer de protester, réfère-t’en au grand chef. Il doit sentir la suite qui flotte dans les airs, le simplet, parce qu’il ne dit rien. Il ne dit rien et il laisse le Lecter retourner vers la sortie sans mot ajouter, les yeux vrillés sur la nuque de son aîné.

À partir de maintenant, c'était lui qui se chargerait des interrogatoires. Ils avaient commencé sans gradé pour coordonner, mais le maire avait décidé d’offrir cette responsabilité à son ami récemment gracié — au grand plaisir de ce dernier. Après deux ans cloîtré entre quatre murs, mieux valait se faire discret, et ne pas retourner à la chasse aux mutants tout de suite ; il allait se laisser amener ses proies, là où personne ne le saurait jamais. Il avait trop à perdre pour se permettre de le jouer. Et même si la radicalité de cette unité spéciale de Hunters le laissaient perplexe, il ne pensait pas avoir son mot à dire pour l'instant. La promotion le flattait, et il comptait la prendre comme un premier pas vers une estime à regagner chez ses pairs. Une première avancée dans ce monde qui avait tant changé, ces deux dernières années. Et dans lequel il peinait à retrouver une certaine familiarité.

Car à trop tuer, il s’était fait prendre ; à jouer parmi les pions, le roi était tombé. C’était cette simple leçon, susurrée à son oreille en un mot, que l’on avait voulu lui faire assimiler. Alors le roi prenait la place qu'on lui offrait, à l’abri derrière ses sujets. Assis derrière ce plateau grandeur nature, avec dans sa manche ce coup d’avance : il venait de sortir de prison. Et ça, elle ne s’y attendrait pas. C’était un pas vers elle, un coup de maître, pourtant indépendant de sa volonté.

Le sien viendrait plus tard. Quand elle s’y attendrait, pour la voir pâlir. La voir admettre qu'il avait gagné. Et il la regarderait dans les yeux, l’organisatrice de sa déchéance, la prétentieuse se croyant capable de le vaincre sur son propre terrain.

La partie ne faisait réellement que commencer.
Et c’était à son tour de jouer.  


Dernière édition par Carlisle Lecter le Dim 11 Oct 2015 - 1:31, édité 7 fois
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Lorcan Wolstenholme
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:21

Vilaiiiiiin tonton, vilain ! (carlisle) – the devil is calling me back home. 3144990225
Rebienvenue, sinon (carlisle) – the devil is calling me back home. 3107078471 Trop méga bon choix de scéna (carlisle) – the devil is calling me back home. 921491218 Le club des papas hunters s'agrandit encore un peu (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474
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Calista Wolstenholme
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:28

C'EST QUI TA NIÈCE PRÉFÉRÉE ? :aw: ET TON BFF DE LA MOOOORT ? (carlisle) – the devil is calling me back home. 2922054708
REBIENVENUE, JE T'AIME ET JTE FAIS DES BÉBÉS MÊME SI AVEC CALISTA ÇA FAIT INCESTUEUX (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474
Puis, bonen chance pour ta fiche, si tu as des questions, tu sais où me trouver (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:34

bienvenue <3
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:36

lorcan, neveu. (carlisle) – the devil is calling me back home. 222075304 (carlisle) – the devil is calling me back home. 222075304 va falloir qu'on discutaille d'un lien, mon petit. surtout que tu te tapes ma filleule, j'sais pas si j'aime ça. (carlisle) – the devil is calling me back home. 222075304 (carlisle) – the devil is calling me back home. 3144990225 MERCI EN TOUT CAS. (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165

calistamour, MA NIÈCE PRÉFÉRÉE ET MON BFF SOUS UN AUTRE VISAGE, I LOVE UUUUUUUU (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165 (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165 (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165 hâte de jouer nos liens cool okay. :aw: :aw: je viendrai te harceler au besoin, as always. (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2922054708 I love you I love you

astrid, merci la belle. I love you I love you
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Lorcan Wolstenholme
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:43

TA FILLEULE ????? (carlisle) – the devil is calling me back home. 292007208 Je sais pas si j'aime ça qu'elle soit ta filleule non plus en fait (carlisle) – the devil is calling me back home. 3991503307

Un tonton qui sort de prison, je sens qu'on va avoir un sacré lien hein (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 même si visiblement avec Cali ça passe bien (carlisle) – the devil is calling me back home. 3991503307

Et vu que ma mémoire me fait gravement défaut, la femme de Carlisle c'est la soeur de qui chez les Wolstenholme ? D'Alistair ou de Maebhe ? (carlisle) – the devil is calling me back home. 786090450
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:46

Re-bienvenue ! Bon courage pour cette nouvelle fiche (carlisle) – the devil is calling me back home. 284087483
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 18:49

lorcan, ouais, ma filleule. (carlisle) – the devil is calling me back home. 3865114578 (carlisle) – the devil is calling me back home. 3865114578 on va aller discuter de tout ça je vais venir te mpotter. (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 et claire c'est la soeur d'alistair. (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 (carlisle) – the devil is calling me back home. 4170729518

bonbon, merci la belle. (carlisle) – the devil is calling me back home. 243543726 I love you
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Faith Cunningham
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 19:09

Oh mon dieu cet avatar (carlisle) – the devil is calling me back home. 243543726 Bon changement de perso d'autant plus quand il s'agit de cette famille !


Dernière édition par Faith Cunningham le Ven 9 Oct 2015 - 19:36, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 19:10

rebienvenue ici I love you
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 19:14

merci mes amours. (carlisle) – the devil is calling me back home. 243543726 (carlisle) – the devil is calling me back home. 243543726 (carlisle) – the devil is calling me back home. 475114356
(pis yes, faith, matthew en lecter, c'est la vie, j'approuve. (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 )
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Alec Lynch
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 19:23

saluuuuuuuuuut krkr (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474
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Salomé Callahan
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 20:10

LE PARRAINNNNN ! (carlisle) – the devil is calling me back home. 292007208 (carlisle) – the devil is calling me back home. 3163460199 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2497508888
Rererebienvenue avec ce nouveau personnage de toute beauté, j'ai hâte de lire ta fiche, il va tellement déchirer. (carlisle) – the devil is calling me back home. 937015410 (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165 (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165
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MessageSujet: Re: (carlisle) – the devil is calling me back home.   (carlisle) – the devil is calling me back home. Icon_minitimeVen 9 Oct 2015 - 20:20

alec, salut sexy u. (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2922054708 :aw:

salomé, filleule d'amûûûûûûûr. (carlisle) – the devil is calling me back home. 243543726 (carlisle) – the devil is calling me back home. 921491218 (carlisle) – the devil is calling me back home. 921491218 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2605979431 merci bien ma belle, j'espère qu'ton parrain te plaira. (carlisle) – the devil is calling me back home. 3865114578 (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165 (carlisle) – the devil is calling me back home. 422354165 (carlisle) – the devil is calling me back home. 2765873474
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