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 red right hand.

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MessageSujet: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeJeu 16 Avr 2015 - 23:30

Roman Maksimilian Griske
- Que vous est-il arrivé ? - Je suis pas fini.
(edward scissorhands)
NOM : Griske. PRÉNOMS : Roman Maksimilian DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Vingt-neuf novembre mille neuf cent soixante-quatre à Saint-Pétersbourg. ÂGE : 50 ans. ORIGINES : Scandinaves. NATIONALITÉ : Russe puis Norvégien. STATUT CIVIL : Veuf. MÉTIER : Officiellement homme d'affaires, officieusement chasseur et ancien trafiquant avec une certaine tendance à reproduire les schémas supposés révolus. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. TRAITS DE CARACTÈRE : Contrôlé ; impulsif, voire violent (verbalement et physiquement) ; froid ; intelligent ; leader ; calculateur ; manipulateur ; joueur ; orgueilleux ; dangereux ; borné ; mystérieux ; inébranlable ; haineux ; rancunier ; glacialement ordonné, méthodique et maniaque, perturbé par les changements dans ses idées définies ; impitoyable ; inflexible ; âme corrompue ; intraitable AVATAR : Viggo Mortensen CRÉDITS :roscoehelps.tumblr (gif) + Moriarty (avatar ci-dessous).


PROTECTING THOSE WHO FEAR THEM

nothing left to say
001. La naissance de Roman s'est faite avec quelques complications. Quatrième enfant de la famille, quatrième accouchement pour Madame Griske, première fois qu'une mauvaise nouvelle venait à son oreille alors que l’excitation de l'arrivée d'un nouveau-né se faisait ressentir dans les rangs de la famille. Le cerveau de Roman était compressé contre un autre organe de sa mère, ce qui pouvait entraîner un possible handicap physique ou mental si le bébé venait à rester plus longtemps à l'intérieur du ventre de sa génitrice. Ni une, ni deux, cette dernière s'est alors retrouvée en salle d'accouchement, cherchant à mettre au monde le plus vite possible cet enfant qu'elle ne voulait voir blessé par sa faute avant même la naissance. Après plusieurs heures d'examens, où bébé et parents furent séparés, les médecins revinrent avec une bonne nouvelle : Roman n'aurait pas de séquelles permanentes ou irrémédiables. Oui, permanentes ou irrémédiables. Aveugle durant les premières semaines de sa vie, l'enfant a dû apprendre à éduquer une vue trouble que sa famille a toujours eu espoir de voir s'améliorer au fil du temps, lui le premier. Depuis le tout début, le port de lunettes de vue aux verres plus épais que quelques pièces de monnaie assemblées est souvent le meilleur remède à la vision douteuse et parfois défaillante que l'homme endure. Néanmoins, le développement des lentilles de contact a été une révélation pour lui. 002. La famille Griske était une famille jugée « difficile ». Les parents s'étaient rencontrés puis mariés jeunes, avant de commencer une vie de famille entourés de bambins dans la foulée. Roman est le quatrième d'une fratrie de cinq enfants : trois garçons et deux filles. L'éducation que chacun d'eux reçut fut exactement la même : aussi sévère qu'aimante, bien que l'une des deux caractéristiques se ressentaient plus dans le comportement des deux géniteurs que l'autre. L'avant-dernier de la famille a donc dû se plier aux remarques et aux désirs de grandeur de son père, appuyés aussi par sa mère ; à l'âge de seize ans, il n'a eu d'autre choix que de rejoindre les rangs de l'armée soviétique qui, toujours selon ses parents, allait renforcer ce « petit » caractère qu'il avait et qui semblait tout sauf digne des Griske à leurs yeux. 003. Pourtant, ce que les parents de Roman n'ont jamais compris, c'était que derrière cet apparent visage plus sage et calme que les autres (nous parlons bien des jeunes années de la vie du Norvégien), plus en retrait alors que le nom Griske se devait d'être arboré fièrement, le garçon était en fait un « cerveau », un petit génie que personne n'aurait pu deviner sans s'y intéresser de plus près. Ce fut de cette manière que l'adolescent puis homme grimpa aisément les échelons sans que personne ne s'en sente menacé, jusqu'à ce que ce soit presque lui qui donne les ordres et affirme son côté naturellement leader, préservé de tous durant tout ce temps.   004.  De fait, il ne fut étonnant pour personne lorsqu'on le plaça dans une sorte de laboratoire durant la Guerre Froide, afin d'aider sur une nouvelle mission bien différente de ce qu'on avait eu pour habitude de lui proposer auparavant. On avait eu vent de ses qualités et de ses diverses réussites, ce qui garantissait à ses supérieurs un travail net et propre. Néanmoins, lorsque le soldat se retrouva derrière une vitre teintée, à observer les déambulations et les coups d'éclats violents d'une personne qu'on lui décrivit comme étant « mutant », les choses prirent encore plus sens à ses yeux et son désir d'exercer son rôle au mieux augmenta de la même manière. 005. Le choc d'échouer à empêcher les mutants de s'échapper du laboratoire soviétique d'expérimentation a semble-t-il déréglé quelque chose chez Roman. En effet, depuis ce jour, et depuis le séjour à l'hôpital qui s'en suivit, l'ex-soldat a développé une violence peu commune. Il canalise au mieux cette dernière mais rien ne prévient les autres d'un soudain accès qui peut s'extérioriser soit par les paroles, soit par les gestes. Au final, peut-être que ses parents seraient finalement fiers de cet enfant aussi explosif que tous les autres qu'ils ont mis au monde. Il n'est donc pas rare que le visage des adversaires du Norvégien se retrouve en sang, ou que ses collaborateurs se méfient en permanence de leurs faits et gestes en sa présence. 006. Afin de gérer au mieux ces crises de violence, ou du moins pour les prévenir avec un peu plus de préparation (même si au final développer et emmagasiner assez de cette colère naturelle est pour Roman signe que ce dont il sera capable dès qu'il aura mis la main sur les mutants qui se sont évadés du laboratoire sera à la hauteur de ses espérances), on a conseillé à l'ex-soldat de se mettre à la boxe. Sport de combat répandu, il fut forcé d'avouer que ces entraînements réguliers qu'il s'était imposé ont eu leur effet. Jusqu'à la fin de son trafic et la loi de protection des mutants toutefois. 007. Lorsque l'on évoque le nom de Roman Maksimilian Griske, il n'est pas rare pour certains de l'associer au réseau de trafic de mutants le plus développé et rentable qu'il ait pu exister en Norvège au milieu des années 90. Son expérience au sein du laboratoire puis son renvoi des rangs de l'armée soviétique ont forcé le pauvre homme à se réfugier dans les contrées gelées de ce pays, dont il devint rapidement un patriote officiel. Par la suite, il n'eut alors aucun mal à se créer de nouvelles relations, sachant qu'à cette époque les mutants n'étaient en aucun cas aussi bien considérés qu'aujourd'hui. Qui aurait donc pu se révolter contre son trafic de monstres ? Personne, absolument personne. Ainsi, Roman dirigea une trentaine de personnes d'une main de maître et permit l'établissement d'un réseau à travers l'Europe et aurait eu le temps de mettre en place d'autres connexions si son entreprise n'avait pas été démantelée peu de temps après la mort de sa femme, du même temps où cette stupide loi pour la protection des mutants émergea de l'esprit de simples et sombres idiots. 008. Roman se promène toujours avec la photo de Slava, la seule femme pour qui il semble avoir été capable d'éprouver des sentiments. Personne ne le sait et ce n'est pas lui qui viendra la montrer aux yeux du monde de sa propre initiative. Au vu de la mort de cette dernière, on aurait d'ailleurs pu penser que sa motivation à devenir chasseur pour tenter d'oublier son passé de trafiquant y trouverait son origine. Pourtant, il n'en est rien, ou presque. La mort de Slava a rappelé à Roman son objectif premier de remettre la main sur les mutants s'étant échappés du laboratoire, redonnant un second souffle à cet objectif, lui permettant de la même façon de tirer un trait étrange et malsain sur sa vie en Norvège, bien qu'il fallut attendre plusieurs années avant de le voir quitter ce pays devenu cher à son cœur. 009. Roman porte souvent un grand manteau noir, dernier vestige qu'il a gardé de sa vie avec sa femme, qui lui avait offert ce manteau quelques années après leur mariage. 010. Si vous demandez à Griske son métier, ou bien la raison de sa venue en Amérique plutôt que d'être resté dans son petit glaçon de Norvège, il vous répondra que le changement d'air est bon pour la santé, avant de vous indiquer qu'il est avant tout présent dans les parages pour affaires. Par là, il sous-entend un travail plus ou moins officiel dans le laboratoire de la ville, ce dernier étant pour lui un moyen efficace de suivre les évolutions contre les mutants qui se préparent à Radcliff. En somme, il peut même prétendre à tel ou tel métier suivant la personne en face de qui il se trouve, son but étant de ne jamais être totalement défini par les habitants de cette ville, de peur d'être bien trop vite repéré par ceux qu'il est venu chercher. Encore ne faut-il pas oublier que l'homme est particulièrement doué au corps à corps et manie les couteaux et autres armes sans grand mal, ce qui sert plutôt bien sa condition de chasseur officieux. 011. Depuis 2003, Roman a pris sous son aile Charlotte. Enfin, cela dépend de la façon dont on entend les mots « prendre sous son aile ». Chez l'ex-soldat, cela veut dire briser l'âme d'une personne pour la détourner à son avantage. Durant de longs mois, des années, et même encore à présent, il ne s'est privé d'aucune façon de bouleverser l'équilibre mentale et physique de la jeune femme afin de la contraindre à faire ce qu'il avait prévu pour elle : le rapatriement de mutants dans son trafic en Norvège tout d'abord, jusqu'à ce que ce dernier ne disparaisse, pour ensuite poursuivre son dessein de retrouver les mutants évadés, que ce soit du trafic ou du laboratoire. Charlotte est devenue au fil du temps le pantin de Griske : façonnée pour répondre au moindre petit ordre qu'il prononce, il ne regrette en aucun cas de l'avoir privée de sommeil, torturée, affamée ou assoiffée dans le seul et unique but de l'asseoir à sa cause et de contrôler son être, et par procuration l'utilisation de sa mutation, à savoir l'absorption d'énergie. Toutefois, il faut bien faire attention à ne pas se méprendre : ce n'est pas parce que, désormais, Roman et Charlotte se retrouvent dans le même appartement à Radcliff et que leur route est la même depuis maintenant quelques années que le russe ne la considère pas pour autant comme un monstre. Le jour où son but sera atteint, le destin n'est en rien sûr pour la jeune femme, qu'on se le dise.

Comment êtes-vous entré parmi les hunters ?
D'une certaine façon, on peut considérer que Roman a toujours fait partie des hunters : dans les années 90, l'homme a développé un important réseau de trafic de mutants. De ce fait, pour trouver les mutants à revendre à ses contacts des pays européens, il se devait bien d'aller les chercher quelque part. Néanmoins, si l'on joue vraiment sur les mots, Griske n'était pas un chasseur mais plutôt un traqueur. Il lui arrivait parfois de leur faire du mal « sans faire exprès » mais sans l'objectif de les tuer ensuite, l'argent et la prospérité de son trafic étant bien plus importants que le reste de son point de vue. Toutefois, à partir du moment où son réseau fut démantelé, à la suite de la loi pro-mutant, ses tendances à simplement faire son boulot pour l'argent ont évolué pour devenir les réelles motivations d'un chasseur : éliminer le gêne mutant de la planète. Enfin, ça c'est ce qu'on lui conseille de dire. Ce qu'il préfère de son côté est passer le plus vite possible à l'acte et de ne laisser aucun témoin après avoir agi. Éliminer des mutants pour de bon, c'est quand même vachement plus gratifiant, non ?

Avez-vous déjà effectué votre devoir de chasseur ?
Comme expliqué plus haut, Roman a en premier lieu traqué les mutants avant de se mettre à les achever concrètement. Cruel, direct et diabolique dans sa façon d'agir, il n'hésite pas à faire souffrir en bonne et due forme sa victime, sa proie, avant de passer à l'acte. Il s'est d'ailleurs entraînement longuement en Norvège sur du gros gibier, mais doit reconnaître que reproduire les mêmes gestes précis, beaux et salvateurs sur des êtres encore plus vivants est une expérience dont il ne se lassera certainement jamais.

Que pensez-vous de l’émergence du groupe de rebelles nommé Uprising ?
Roman en a entendu parler. Est-il étonnant de dire que cela l'irrite particulièrement ? Déjà que son affection pour les mutants était limite, imaginez le niveau que cette inimitié a atteint lorsqu'il a découvert l'existence de ce groupe de monstres. Son envie irrépressible de le voir disparaître aussi vite qu'il est apparu n'en est donc que croissante et s'il a un jour l'occasion de mettre la main sur les personnes à l'origine des « uprising », il ne se privera sans doute pas pour partager son point de vue radical sur la chose.

Que pensez-vous des actions de Thaddeus Lancaster à la tête du Comté ?
Roman n'a pas admiré beaucoup de personnes dans sa vie. Sa femme était peut-être même la seule. Cependant, ça c'est ce qu'il pensait avant de croiser la route de Thaddeus Lancaster. Voilà, un homme avec de bonnes idées et des solutions pour mettre un terme à la prolifération de ces monstres aux mutations toutes plus affreuses et répugnantes les unes que les autres ! La dernière nouveauté en date, le serum NH24, a été pour le russe une occasion de marquer d'une pierre blanche ce jour pas comme les autres. Alors, lorsqu'un autre chasseur a évoqué avec lui le développement du NH25, supposé faire disparaître complètement la mutation de ceux qu'il traque et chasse depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne à présent, la foi qu'il avait déjà placée en Lancaster n'en fut que plus forte et ce n'est pas lui qui sera le dernier à appuyer chaque décision prise par le Maire de Radcliff, bien au contraire.


JOHNSON - Sonia - 18 ans

PAYS : France. DISPONIBILITÉ : Je suis en vacances à partir de demain à 15h30 très précise ! red right hand. 3163460199 Et ce jusqu'à mi-septembre je crois. Je n'ai pas encore trouvé mon job d'été, j'enchaîne les défaites sans me décourager, mais on va dire que que ça arrange pas mal ma disponibilité en contre-partie.  red right hand. 3865114578VOTRE AVIS SUR TH : red right hand. 243543726 COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Grâce à la pub Bazzart ! PERSONNAGE : J'ai encore farfouillé du côté des scénarios. Et encore du côté des chasseurs, aussi.   red right hand. 1030106593 Cette fois-ci, ce n'est pas un Callahan mais Mister Griske, scénario de Seth et Johan. red right hand. 2675131757  red right hand. 1838896285 VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : red right hand. 475114356 UN DERNIER MOT ? : Les chasseurs vaincront !  red right hand. 292007208



Dernière édition par Roman Griske le Dim 19 Avr 2015 - 14:18, édité 21 fois
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeJeu 16 Avr 2015 - 23:30

we're all stories in the end
just make it a good one
1988 (25 ans) « Je ne me souviens plus exactement de ce qui s'est passé. Il y avait juste un grand silence. C'était pas habituel, de plus rien entendre. C'était salvateur je dirais même. Pour une fois qu'ils la fermaient tous au même moment. Plus aucune voix, plus aucun son, plus aucun satané murmure. Plus rien. C'est peut-être ça qui aurait dû me foutre le doute. Arrêtez d'acquiescer, vous n'auriez pas fait mieux et vous le savez. A un moment, tout est redevenu bruyant. J'ai ce truc qui m'a explosé dans le dos et les choses se sont vite enchaînées. C'est tout ce dont je me souviens. Ah, si, j'ai sorti mon flingue et tiré quelques coups en croyant les avoir atteints mais c'était pas le cas. Et je me suis évanoui pour de bon. Je ne peux rien vous dire de plus. Je ne suis pas responsable de leur fuite. J'étais pas le seul à bosser ce soir-là, on était plusieurs dans le coin, vous ne pouvez pas tout me foutre sur le dos, vous le savez, je le sais, nous le savons. (…) Ne prenez pas cet air ! Ne me regardez pas comme ça ! Vous savez que ce n'est pas ma faute, vous le savez ! Vous n'êtes qu'un pauvre- », s'arrêta-t-il brusquement. Les machines cliquetaient à côté de lui. Une infirmière voulut passer les deux chiens de garde qui se trouvaient au niveau de la porte d'entrée de sa chambre d'hôpital mais échoua. Le regard de Roman s'ancra dans celui de son supérieur. La haine qui se devinait au creux de leurs pupilles respectives dépassait tout entendement. « Continuez, Griske, je vous en prie. » Aucune réponse, juste une respiration quémandant ses repères. « Bien. Nous nous passerons de vos services à l'avenir. Je vous conseille de ne pas essayer de nous recontacter. Partez, même. Je pense que ce serait une bonne idée que d'emmener votre petite famille loin d'ici, ailleurs... », fit l'homme en secouant sa main droite en l'air, comme si ses doigts repoussaient au loin une poussière sale et désagréable. Encombrante. Puis il s'avança vers la porte où se trouvait ses « collègues », passa entre eux et s'éloigna dans le couloir blanc. Roman tourna la tête vers son ombre sombre qui s’effaçait petit à petit. « JE N'AI PAS DE FAMILLE ! A CAUSE DE VOUS ! MUDAK ! MUDAK ! Mudak... » Sa voix se perdit dans l'air alors que ses mains s'agitèrent nerveusement pour dégager ses bras forts de l'emprise des aiguilles. L'infirmière qui venait de s'avancer auprès de son lit fut repoussée en arrière. A genoux au sol, elle supplia le personnel de venir l'aider à maîtriser le patient de la chambre 417. Ils durent se mettre à 5 pour canaliser cette rage folle qui semblait l'avoir gagné. La cicatrice fraîche qui parsemait son dos le brûlait, elle arrachait son âme, elle menaçait sa vie. Et elle le brûlerait sans doute encore et encore, lui rappelant chaque jour quel dessein il devait servir, quel but à atteindre il n'oublierait pas. (...)

1994 (31 ans) Une nouvelle fois, les dossiers tombèrent sur la table. Il devait trouver quelque chose. Un indice, un message, un signe. Il y avait forcément un moyen de mettre la main sur ces monstres, Roman en était persuadé. Les cendres de sa cigarette vinrent s'échouer sur la photographie du premier document ouvert. D'un geste rapide, il les balaya. Manquait plus que les seules traces qu'il avait entre les mains ne tombent en ruines. Soufflant un grand coup, il sursauta presque lorsqu'un contact froid vint tracer le chemin de sa cicatrice dorsale. L'homme balança sa tête en arrière. « J't'ai pas dit de partir ? », murmura-t-il d'un ton sec. « Hum, hum » fut la seule réponse qu'il obtint, avant que les lèvres de la femme avec qui il venait de passer une courte nuit ne viennent se déposer là où ses doigts avaient déjà laissé leurs empreintes. Roman secoua la tête. « J'ai du travail, il faut que tu partes. » Il se retourna, déposa brièvement ses mains sur ses épaules nues et la força à le regarder dans les yeux. « Maintenant. » Une moue se glissa sur les traits de sa dame. Elle n'avait pas passé l'âge de faire de telles choses ? « Il fait froid dehors », souffla-t-elle d'une voix qu'elle voulait certainement rauque et aguicheuse. « Ouais, on est en Norvège, pas aux Bahamas. » Des coups résonnèrent vers l'entrée de l'appartement spacieux. Poussant son interlocutrice vers la chambre où se trouvait ses affaires, le trentenaire lui intima d'un geste de se dépêcher tandis qu'il poursuivait sa route jusqu'au hall d'entrée. La porte s'ouvrit sur les hommes qu'il espérait voir venir taper chez lui un jour ou l'autre, jouant au fil des jours sur une patience qu'il n'avait pas. « On en a trouvé. » Ni une, ni deux, Roman s'affaira à ranger son arme dans sa poche, enfila veste et autre attirail et passa une dernière fois dans sa chambre, où il poussa la porte. Il s'avança vers sa conquête de plusieurs nuits déjà et déposa un baiser sauvage sur ses lèvres, avant de faire chemin inverse. «  Reste ici pour la journée, je te retrouve ce soir. » Cette fois-ci était la bonne : il allait élargir son trafic pour de bon et personne ne viendrait lui tirer dans les pattes. Personne. (...)

2000 (37 ans) « Où est-elle ?! » La voix de Roman venait de traverser les locaux. Chaque personne qui se trouvait dans son champ de vision n'avait pu échapper à son regard assassin, à cette rancœur qui se dégageait de chacun de ses mots et chacun de ses gestes. Cette amertume violente, elle n'était pas dirigée seulement vers eux, elle l'était également envers lui-même. Lui, l'incapable, le maudit, l'homme en qui il ne fallait finalement pas avoir confiance. Slava l'avait cru. Lorsqu'il lui avait dit qu'elle ne risquait rien ici, lorsqu'il lui avait assuré qu'il la protégerait, lorsqu'il lui avait promis qu'il garderait toujours un œil sur elle, même quand il n'était pas physiquement présent. Personne ne te fera de mal. Ces monstres ne te toucheront pas, je te le promets. Dans le grand entrepôt où le Norvégien l'avait poussée à accepter d'établir leur cocon, il avait juré que tout irait bien. Pourtant, ce n'était pas le cas. Ce n'était plus le cas. Les mains du trafiquant se mirent à trembler. Il n'avait pas encore aperçu son corps. Laissant son regard balayer une dernière fois les alentours, il se fraya un chemin à travers ses employés jusqu'à son appartement à l'étage. Déjà, il ressentait l'atmosphère froide, pétrifiante. Roman sentait qu'il s'était passé quelque chose de déroutant, il devinait avec une aisance qu'il aurait préféré éviter l'épreuve qu'avait endurée Slava. Les pas de Roman le guidèrent jusqu'à leur chambre en de grandes enjambées. On lui avait dit que son corps avait été laissé là. La nervosité frôlait sa volonté, elle la perturbait du bout des doigts. Son épaule rencontra un instant le mur, signe que son monde commençait déjà à ne plus tellement marcher correctement sans elle. Son cœur manqua un battement. Pour la première fois de sa vie, il détourna même le regard. Il avait à peine aperçu son visage éteint, son corps raidi et ses yeux clos. Il n'en avait presque pas eu le temps car son palpitant venait de mourir à son tour, il venait de la suivre, sans doute pour se raccrocher une dernière fois à ces sentiments qu'il avait éprouvés pour elle et qui n'avaient dorénavant plus aucun sens. Enfin, au bout de quelques minutes, l'ancien soldat s'approcha de la seule femme qu'il avait jamais aimée. La seule qui avait réussi à le comprendre, à l'écouter, à l'épauler. La seule pour qui il aurait tout abandonné si elle lui avait demandé. Mais elle ne l'avait pas fait. Jamais, à aucun moment, même dans les instants où elle avait émis le plus de réserves quant à son trafic. En aucun cas Slava n'avait laissé son appréhension prendre le pas sur leurs vies, sur leur couple ou sur la détermination de Roman. Cette femme possédait une force dont il avait toujours été le plus grand admirateur. Ses doigts vinrent enserrer les siens, complètement gelés. « Le mutant qui devait partir aujourd'hui pour l'Irlande s'est rebellé. On a essayé de le maîtriser, mais on a rapidement perdu le contrôle de la situation. Je- Je crois que votre femme- Slava- Madame Griske était dans son viseur depuis le début. Il n'a pas hésité à la chercher avant de s'en prendre à nous. Nous- nous avons tout fait pour tenter de la ranimer mais c'était trop tard quand nous sommes arrivés auprès d'elle... (…) Roman, je préfère vous prévenir : il a glacé chaque parcelle de sa peau et refroidi ses entrailles jusqu'à ne plus avoir qu'à la regarder convulser alors qu'il prenait le temps de lui geler le cœur. Vous feriez bien d'att... » Pétrifié, le trentenaire passa alors brusquement ses bras autour du corps inanimé. Sa respiration s'accéléra, affolant l'afflux sanguin au niveau de son cœur pour le coup bien trop vivant. « Slava, reviens. Reviens, tu peux pas me laisser, tu peux pas les laisser gagner... Tu te souviens de ce qu'on s'était promis ? De leur survivre. Et que tu me survivrais après avoir passé les 90 ans, tu t'en rappelles ? Réveille-toi, Slava, ne me laisse pas. T'es belle. Tu es tellement belle, tu l'as toujours été. Tu peux pas... », s’essouffla-t-il au creux de son oreille. Je t'aime, pensa-t-il, incapable de prononcer ces mots qu'il n'avait même pas eu le temps de lui dire assez souvent de son vivant. Un sanglot vint bouleverser tout son être. D'un geste à la fois doux et tremblant, ses doigts abîmés caressèrent le vêtement ample qui recouvrait le ventre légèrement rebondi de sa femme. Ils n'avaient rien dit, à personne. Ils avaient l'intention de garder le secret jusqu'à ce que ce soit aussi évident que le nez au milieu de la figure. C'était surtout Slava qui voulait garder la surprise. Comme elle n'avait pas pu lui cacher la nouvelle trop longtemps à lui, elle avait décidé de se jouer des autres un peu plus longtemps : Roman avait senti que quelque chose chez elle était différent. Observateur, il l'était, encore plus lorsqu'il s'agissait de Slava. Dès qu'elle se trouvait dans les parages, difficile pour lui de ne pas avoir envie de lui accorder toute l'attention dont il était capable, de lui prouver qu'il pouvait tout oublier pour n'avoir d'yeux que pour elle. Sans doute les séquelles d'une famille russe qui n'avait pas pour habitude de se préoccuper de ce que pouvait ressentir ses membres. Le trafiquant releva avec une délicatesse que Slava seule avait eu la chance de découvrir derrière cette carapace féroce qui le caractérisait le tissu gris. La peau blafarde qui lui apparut dissuada son regard de rester trop longtemps tourné dans cette direction. Inspirant profondément, sa paume brûlante rencontra l'épiderme glacé. Ce fut à ce moment précis que ses yeux s'embrumèrent, mais aucune larme ne vint cisailler ses joues. Sa vision se troubla jusqu'à ce que ses lèvres ne viennent s'échouer sur celles de Slava. « On se retrouve plus tard », cracha-t-il avant de se reculer du lit, de s'élever en direction de l'entrée de la chambre et de laisser son poing, ses phalanges et sa pauvre carcasse venir s'achopper contre le béton du couloir, jusqu'à ce que plusieurs de ses hommes ne forcent l'entrée de son appartement et ne viennent l'empêcher d'étaler un peu plus de son sang sur les murs tristes des lieux. (...)

2003 (39 ans) Son bras encercla le cou de la blonde. Brutalement, sauvagement, subitement. Ne lui laissant aucune nouvelle chance de lui échapper. « Tu sais que tu m'as manqué », vint-il murmurer à son oreille d'une voix douce, bien trop douce pour lui. Son emprise se resserra encore un peu. Au fond, il savait qu'elle pouvait lui filer entre les doigts sans prévenir. Alors, il vint écraser la crosse de son arme contre sa tempe avec violence, soutenant ensuite son corps qui menaçait de s'effondrer au sol. (…) « Bienvenue à la maison ma belle » furent les premiers mots que prononça Roman à l'égard de Charlotte lorsqu'elle rouvrit enfin les yeux. Ses lèvres se courbèrent dans un sourire froid, glacial, diabolique. Rehaussant ses lunettes, le presque quadragénaire s'approcha d'elle alors qu'elle menaçait de repartir dans un sommeil plus ou moins profond. « Non, non, on reste avec moi... », murmura-t-il près de son visage alors que sa main venait caresser doucement sa peau fraîche. Ce n'était pas encore qu'elle aurait la chance de fermer à nouveau les yeux. « Il faut que tu me parles de toi, Charlotte, il faut que tu me dises où tu étais passée ces dernières années, ce que tu as fait durant tout ce temps loin de moi. Je veux tout savoir, je veux tout entendre. CHARLOTTE », hurla-t-il soudain, alors que les paupières de la jeune femme souffraient de ne pas pouvoir se fermer complètement, la voix sauvage et rauque de Roman empêchant le geste. Se rapprochant à nouveau d'elle, son pouce vint creuser sa joue droite tandis que le reste de sa main façonner l'autre côté de son visage d'un trou douloureux. « J'ai dit qu'on ne fermait pas les yeux, Charlotte, non ? Ce n'est pas ce que je viens de dire ?! », hurla-t-il dans son tympan droit avant que son poing ne vienne s'échouer avec une violence non-contrôlée dans le ventre de la blonde. Inspirant un grand coup, le russe se recula du centre de la pièce où sa victime venait de pousser un cri sourd, étouffé par l'endroit où ils se trouvaient, sous terre, dans son espèce de bunker où il n'avait cessé de chercher à mettre la main sur ces mutants qui avaient gâché sa vie. Un rire s'évada de ses lèvres. Roman sentait l'adrénaline filtrer dans ses veines, son cœur, son esprit. Ça lui redonnait une fougue qu'il pensait avoir laissé filer avec le temps. Ça le plaçait dans une position de force dont il n'avait plus osé rêver depuis un bon moment. Doucement, ses pas le guidèrent près de sa captive. Sa main glissa dans ses longs cheveux, savourant ce contact salvateur, avant de tirer d'un coup sec sur ces derniers pour l'obliger à courber la tête. Là, ce regard, cet air sauvage et menaçant qu'elle avait au creux de ses iris grisés, c'était ça qu'il voulait voir. « Voilà, on y est, tu me reconnais, j'ai cru que ça n'arriverait jamais. » Ses lèvres desséchées par l'ivresse de la réussite et de la satisfaction vinrent se déposer sur le front brûlant de Charlotte. Cette dernière tenta en vain de se dégager de cette marque d'« affection » impromptue. Secouant la tête, Roman s'en alla tirer une chaise qui se trouvait à quelques pas avant de prendre place face à la mutante. Le long regard rageur et silencieux qu'ils échangèrent alors en disait long sur les prochaines semaines qu'ils allaient vivre. Mais le russe n'était pas prêt de lâcher l'affaire, non, pas à présent que son plan commençait tout juste à paraître évident et tangible, sûrement pas.



Dernière édition par Roman Griske le Dim 19 Avr 2015 - 14:20, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeJeu 16 Avr 2015 - 23:41

Rebienvenue avec ce nouveau personnage. red right hand. 292007208
Bonne chance avec ta fiche. red right hand. 2765873474 red right hand. 1838896285
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 0:00

Merci beaucoup toi. red right hand. 243543726 red right hand. 1838896285 red right hand. 3167136188
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 7:12

RE bienvenue, je suis amoureuse de ce scéna, ça va être trop bien de voir Seth et Jo' flipper un peu red right hand. 921491218
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 9:13

Rebienvenue !
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 9:35

red right hand. 292007208 NONO T'ES VIEUX.

... Mais t'es toujours très joli, au moins. red right hand. 4170729518 Rebienvenue avec ce scénario qui va faire de belles frayeurs à Seth et Jojo red right hand. 3865114578
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 11:12

Rebienvenue ! red right hand. 284087483

il est vraiment cool ce scéna ! red right hand. 243543726
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 11:16

rebienvenue ** Viggo I love you
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 11:30

Toiiiiii red right hand. 284087483 red right hand. 292007208 red right hand. 2448454997 Rebienvenue sur le forum et merci de prendre notre scénario red right hand. 1734221201 On l'attend depuis un moment red right hand. 457556871 Si tu as la moindre question, n'hésites pas à nous contacter, Seth ou moi red right hand. 4178655748 Et qu'est-ce que vous avez tous à vouloir voir mon Jojo qui flippe, hein ? red right hand. 751340763 Bref, j'aime déjà le début de ta fiche et ton histoire red right hand. 2976688543
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Seth Koraha
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 12:15

ON VA TOUS MOURIIIIIIIIIIIIR red right hand. 292007208
Tu sais ce que je pense de ton interprétation de Jakob, hein What a Face Re-bienvenue officiellement !
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Mikael Hartman
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 15:16

Rebienvenue petit scarabééééééée!!!!!
Tu aimes les scénas toi avoue!
red right hand. 2765873474
En plus Viggo quoi...
Bon t'es vieux, mais t'as la classe!
YEAH!
red right hand. 3589615265
Et puis, t'as pas le choix, je veux un lien avec Mika.
Nonon. T'as pas le choix.
Je sais que ça fait peur mais t'as pas le choix.
/SBAF/
Bon aller j'arrête mes conneries
ou pas.
Bonne chance pour l'histoire ma beauté
et les mutants vaincront d'abord!!
red right hand. 3589615265 red right hand. 457556871
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 15:27

red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888 red right hand. 2497508888
quel choix de scénario, encore une fois red right hand. 2765873474 red right hand. 2346529578
rebienvenue chez toi, j'ai très hâte de lire ta fiche red right hand. 2765873474
tu connais la maison, si tu as besoin de quoi que ce soit red right hand. 3013803170
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeVen 17 Avr 2015 - 22:48

Tellement content de te voir avec. red right hand. 2976688543 Et tu prends Viggo. red right hand. 921491218
Bon courage pour la suite de ta fichette. I love you
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MessageSujet: Re: red right hand.   red right hand. Icon_minitimeSam 18 Avr 2015 - 14:25

@Malachi : Un peu que ça va être bien de les voir flipper. What a Face merci à toi ! red right hand. 243543726

@Emily : Merci red right hand. 1838896285 red right hand. 292007208

@Chel : Mais je ne suis pas vieux voyons red right hand. 3460047885 merci beaucoup red right hand. 1734149047 red right hand. 1734149047

@Azaria : Merci red right hand. 1030106593

@Astrid : Merci beaucoup red right hand. 921491218 red right hand. 1838896285

@Mon Jojo : Mais de rien et surtout merci à toi et Seth de l'avoir créé ce BG de Norvégien, c'est l'essentiel red right hand. 292007208 red right hand. 3865114578 merci encore et je suis contente que ça te plaise. red right hand. 921491218 red right hand. 2346529578

@Mon Sethounet : YEAAAAAAH red right hand. 292007208 red right hand. 2976688543 red right hand. 3865114578
Oui, encore merci. red right hand. 3013803170 red right hand. 3167136188 red right hand. 3167136188

@Mikael : Wouah red right hand. 284087483 bon si j'ai la classe alors ça passe red right hand. 2976688543 avec grand, grand, grand plaisir pour le lien. red right hand. 243543726 red right hand. 921491218 j'ai pas peur, encore moins quand je suis sous Griske What a Face red right hand. 222075304 red right hand. 2798156964 merci à toi red right hand. 1838896285

@Eleanor : Merci beaucoup beaucoup red right hand. 243543726 red right hand. 2346529578 je n'hésiterai pas red right hand. 921491218 red right hand. 2675131757 red right hand. 1838896285

@Papounet : Merci à toi red right hand. 921491218 red right hand. 2976688543 je suis certaine que Jakob va trouver quelque chose pour venir embêter cette bouille d'ange, j'sais pas pourquoi, une impression red right hand. 3460047885 red right hand. 292007208 red right hand. 3865114578 red right hand. 3865114578 red right hand. 3865114578
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