AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  tumblr  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 ≈ bros before eggs (desmond)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité

Invité
MessageSujet: ≈ bros before eggs (desmond)   ≈ bros before eggs (desmond) Icon_minitimeMer 8 Oct 2014 - 0:56


bros before eggs
felix & desmond
 
Felix avait toujours adoré avoir des frères. Il avait toujours voulu être, à leurs yeux, ce que Bea était pour lui – un modèle, une source de sécurité, de soutien, mais également le synonyme de fraternité et d’amour. Pour Felix, la famille était tout, absolument tout. La famille était ce qui l’avait emmené où il était et ce serait la chose qui l’emmènerait là il va être toute sa vie. Tout ce qu’il avait  jamais fait, c’était pour sa famille. Que ce soit pour rendre son père fier, pour gâter sa mère, pour suivre Bea, pour embêter Desmond et Faust, pour cajoler Doreen, Felix était prêt à tout. Il avait beau adorer son boulot, craquer pour une scientifique aux taches de rousseur adorable, sa famille était la chose la plus importante pour lui, et jamais il ne s’en éloignerait. Il vivait pour les dîners de famille, les visites chez sa mère, les chasses avec Bea. Une chose qu’il aimait en particulier, c’était de jouer des coups à Desmond et Faust. Ses petits frères, ces deux petites créatures énergiques et malicieuses, à qui c’était si facile et si amusant de faire des coups. Felix avait toujours adorer les mener en bateau, les malmener un peu même, sans jamais être cruel. Il était là pour ça, après tout. Il voulait toujours tout savoir sur leurs vies, et avait tenté d’être le meilleur grand frère qui soit. Felix aimait penser qu’il était pas mal, jusqu’à maintenant. Il était très fier de ses petits frères, et de leur restaurant, et de leur carrière. Ils avaient grandis en fiers Lecter, représentant parfaits de leur famille, travaillant, enthousiastes. L’horaire de Felix avait été pas mal chargé pendant les semaines qui avaient passées, et il décida de faire de l’espace pour Desmond et Faust, qu’il n’avait pas vu depuis un bout de temps. Il se leva donc tôt ce matin-là et se dirigea vers l’endroit où il était certain de les trouver: leur restaurant. Le soleil était à peine levé que Felix marchait dans les rues tranquilles de Radcliff. Depuis quelques temps, les gens sortaient de moins en moins, on aurait dit, et ceux qui le faisait abordait la plupart du temps une mine basse, prudente. Ça en était presque triste, car Radcliff avait auparavant été plein de vie, mais c’était ce que tous les récents événements faisaient à une ville. Felix s’en attristait, mais il ne pouvait pas faire grand chose sinon continuer son travail : défendre les citoyens contre tout. Par sa carrière en police, il avait eu l’occasion de remplir ce boulot là à merveille. Il devait être l’homme le plus heureux de toute la ville, sinon une petit ombre au tableau qui n’en était pas vraiment une. Maiken, cette brune aux yeux dorés, qui l’obsédait toujours, à qui il pensait toujours, ça en était agaçant, mais pas vraiment. Qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour qu’elle le regarde sans mépris et inquiétude. Qu’elle sache qu’il ne voulait que l’aider, pas lui nuire, jamais lui nuire. Une voiture passa à ses côtés, ramenant Felix sur terre. Le soleil était déjà assez chaud, ses rayons transperçants sa veste. Ce serait une belle journée, sans nul doute.

Felix atteignit le restaurant des jumeaux quelques minutes plus tard, son appartement n’étant pas très éloigné de ce dernier. Il y avait quelques clients lève-tôt à l’intérieur, et Felix afficha un sourire rassurant et chaleureux sur ses lèvres en traversant la grande pièce. La plupart des habitants le connaissait de vue, puisqu’il était reconnu en tant qu’agent dans toute la ville. Il tentait toujours d’être gentil avec tout le monde, juste pour qu’ils sachent tous qu’il était là pour eux, pas contre eux. Enfin, pas tous. Felix se dirigea vers la cuisine et poussa les deux portes d’un grand geste, sans attendre une quelconque autorisation. “Frérots!” lança-t’il d’une voix forte, son sourire étiré jusqu’aux oreilles, aperçevant Desmond derrière les fourneaux. Il approcha son frère cadet et le serra dans ses bras avec force, tapotant son épaule. “Allez, lâche cet oeuf et parle-moi” dit-il en s’emparant de la casserole que Desmond tenait, la déposant sur le four sans aucune considération. Puis Felix jeta un coup d’oeil autour de la cuisine. “Faust n’est pas là ? Où il se cache, ce petit vaurien ?” demanda-t’il d’un ton enthousiaste.

Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
MessageSujet: Re: ≈ bros before eggs (desmond)   ≈ bros before eggs (desmond) Icon_minitimeSam 11 Oct 2014 - 8:39


❝ What strange creatures
brothers are
• You're the best brother a guy could have. You're a fucking hero. You are an incredible person, be it in the army fighting a war or sitting on the goddamn couch watching the game •


Peu importe ce qu’on vous dira, les matins les plus chargés niveau petit déjeuner, sont toujours les dimanches matin. Or, heureusement pour moi, c’était samedi et avec les merdes qui tombaient sur la ville, les gens étaient vachement moins enclins à venir trainer dans le restau. Bon d’accord, ça avait aussi une incidence sur nos revenus, mais on ne peut pas tout avoir, Faust le dit tout le temps ! Bref, je voyais les choses positivement moi, derrière mon fourneau, la radio jouant à plein régime, ma voix l’accompagnant évidemment. Mon jumeau avait bien râlé à deux ou trois occasions, baissant le son en grognant que j’allais faire fuir le peu de client ayan osé se pointer, mais au bout de dix minutes, je remontais le son et me remettait à chanter, « bang bang into the room, bang bang all over you ! » Aller hop, deux pas de danse et je retourne mon œuf. Toujours pas de trace de Faust ? Parfait ! Je dodeline de la tête, balance mes hanches et voilà, je suis trop glamour ! Trop oui, du coup je me calme, parce que si mon frère me surprend comme ça, bonjour les moqueries pour les trois prochains mois à venir, MINIMUM ! Je ne baisse pas le son évidemment, mais je chante un peu moins fort, utilisant parfois ma spatule comme si c’était un micro. En fait, j’adore les mâtinés passées dans ma cuisine, de l’aide est la bienvenu la plupart du temps, mais pas le matin. Non, c’est MON moment de la journée, celui que j’aime m’approprier dans ma cuisine de rêve, dans MON bureau à moi, de travail. Sauf que ça ne dure finalement pas, la chanson à tout juste le temps de finir et moi, d’empoigner ma poêle, qu’une voix familière retentit derrière moi, en même temps que le tintement des portes, « frérots! » C’est automatique, quand j’entends la voix de Felix, je souris, ma tête se retournant tout naturellement dans sa direction.

Et le voilà le saligaud, tout fringuant, un grand sourire éclairant son visage, alors qu’il m’approche avec tout le naturel du monde. De toute manière, il le sait, ils le savent tous en fait, les Lecter sont ici chez eux. Ce qui est à nous, est à eux, mais surtout à Felix. Pourquoi ? Parce que c’est mon préféré tien ! Bon, Faust ne compte pas, mais c’est normal, vu que c’est mon reflet, l’autre con. « Tien tien, si c’pas le flic le plus sexy en ville qui déboule dans ma cuisine ! » Je ris, repose ma poêle pour profiter de son accolade. Entre nous, les câlins c’est sacré, mais c’est aussi souvent un piège hein, alors quand il se recule, je me questionne déjà quant à savoir s’il m’a foutu un truc dans le dos, ou pas. Bah oui, ça a beau être l’ainé, il ne faut pas rêver, Felix est un sale gosse encore, aussi attardé que je peux l’être. « Allez, lâche cet oeuf et parle-moi » bah voilà, le côté sale mioche ressort et je souris déjà avec amusement, même quand il me retire ma poêle et la fourre sur le feu. Merde, il va cramer mes œufs là ! C’est plus fort que moi, je déplace encore la poêle en riant, « okay, okay, je m’occupe de toi, mais ne crame pas ma cuisine pour autant, tsk ! » Le temps que je puisse baisser le feu, il a le temps de scanner les lieux des yeux et de me questionner, « Faust n’est pas là ? Où il se cache, ce petit vaurien ? » Vaurien, j’adore ce mot et je souris de plus belle, pour m’essuyer les mains sur mon tablier et lui offrir un sourire complice, « oh il est là, mais tu le connais, il en fait pas des masses le matin. Limite, il ne sert qu’à faire beau et à attirer les clientes à l’intérieur. » Ouais, je me fais plaisir, parce que bon, tout le monde sait très bien que dans le genre travaillant, Faust ne donne pas sa place. Il doit être occupé à courir plus loin dans le restaurant ou à répondre à un caprice insensé de la part d’un client, ça ne m’étonnerait pas un seul instant. Sauf que là, tout de suite, je m’en fiche un peu. Chacun ses soucis hein !

J’observe plutôt l’ainé des Lecter, qui se tient devant moi, en pleine forme et de bonne humeur. C’est louche, mais tout est louche avec Felix, il aurait une gueule de conspirateur, que je le soupçonnerais aussi. « T’as l’air de péter la forme, Fel’. T’es venu tout seul, ce matin encore ? » Il n’y a rien de mieux que la réorientation pour faire oublier à un Lecter qu’il devait ficher du sel dans le café de l’autre, ça aussi, on le sait tous. Tant pis, les meilleurs trucs sont les plus connus aussi hein ! Je regarde donc derrière lui, curieux et amusé, un peu coquin, comme le sale gosse que je me dois d’être en tant que fils rebelle de la famille. « Encore un matin sans ta chieuse de scientifique, pour venir casser la croute ? Tu ne trouves pas que ça devient problématique ? Moi, je trouve ça limite malsain… » Après, moi et les conseils en relation de couple, c’est pas encore ça. Je hausse quand même les épaules, pour lui indiquer la machine à café. « T’en veux un ? T’as faim ? Je peux parler en cuisinant tu sais, je suis assez intelligent pour ça. Même si mon psy en doute ! » je ricane, je me trouve très drôle moi hein, mais je me met déjà en route, direction : la machine à café ! Je mets tout ça en route et me tourne vers mon ainé, attendant toujours qu’il me parle de la brune qu’il convoite. Après, moi j’ai toujours été un fervent adepte des blondes, donc qu’est-ce que j’y connais hein ? Rien, bien entendu.

•••

code par Skank aka Achiavel sur Apple-Spring
Revenir en haut Aller en bas
 

≈ bros before eggs (desmond)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» desmond ≈ 553-666-147
» Another way out (Caleb, Desmond, Deirdre & Blake)
» (ra - louis et desmond) ≈ there's nowhere we can hide.
» (desmond) - with fire and rain
» mission : desmond et aspen.
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
THE HUNTED :: passer le temps :: version deux :: Rps :: rps abandonnés-
Sauter vers: